METHODES DIAGNOSTIQUES PULPAIRES Flashcards

1
Q

TEST AU FROID :

A

connaître le degré de sensibilité physiologique du patient. On prend une petite boulette de coton qu’on imbibe de froid puis on applique la boulette sur la face vestibulaire d’une dent supposée saine
assez spécifique. L’application répétée de froid va perturber le système neuronal, le patient risque de ne plus ressentir le froid.

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2
Q

test idéal serait :

A

permettrait une évaluation de l’état pulpaire c’est-à-dire sa vascularisation, son degré d’inflammation et sa fonction neurale
-simple -précis -objectif -reproductible -non invasif -peu coûteux

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3
Q

TEST AU CHAUD

A

ne se fait pas en clinique car compliqué à mettre en œuvre et peu fiable. Il stimule les fibres C. La douleur dure de 2 à 4 secondes.

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4
Q

TEST ÉLECTRIQUE

A

le plus fiable, hyper sensible et spécifique
Il stimule les fibres A∂ et atteste de la présence de fibres nerveuses en bon état, pas de la santé de la pulpe.

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5
Q

Chacun des tests n’est pas pertinent s’il n’est pas combiné avec d’autres tests, ils doivent être
utilisés en association. donc :

A

● Test au chaud combiné au test au froid : augmentation de la spécificité et de la sensibilité.
● Test électrique combiné au test au froid : donne des résultats plus précis que les tests réalisés séparément car ils ne stimulent pas la même chose. (Se :92% ;Sp :96%)

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6
Q

Les tests de vitalité
c’est quoi

A

Ils estiment la fonction vasculaire, c’est-à-dire l’apport sanguin du tissu pulpaire.
● LASER DOPPLER
● L’OXYMÉTRIE :

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7
Q

LASER DOPPLER

A

Mesure la vitesse du flux sanguin par changement de la fréquence quand le rayon tracer se les globules rouges en mouvement. S’il y a du sang alors il y a un potentiel de cicatrisation. C’est inapplicable en clinique aujourd’hui.

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8
Q

L’OXYMÉTRIE :

A

Mesure la saturation d’O2, reflet de la bonne santé pulpaire Difficilement applicable en clinique

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9
Q

Les examens de routine du statut périapical

A

permettent d’évaluer l’état péri-apical et aucunement l’état pulpaire.
1 palpation
2 mobilite
3 percussion

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10
Q

palpation

A

Constitue le premier test il est facile à mettre en place. Il s’agit de repérer les modifications des contours ostéo-muqueux (pas forcément douloureux pour le patient), la palpation se fait en controlatéral, elle est symétrique de la 8 à la 8 simultanément. Nous pouvons repérer des abcès (gonflement), des kystes mais aussi des dépressions synonymes de perte osseuse. Il est important de savoir reconnaitre quand le vestibule a un volume trop important et quand il est dépressif.

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11
Q

mobilité

A

Il se fait entre deux manches d’instruments : la sonde et le miroir. L’objectif est de repérer la ou les dents mobiles en bouche, il ne faut pas confondre mobilité physiologique et mobilité traumatique. En endodontie, dans le cadre d’une ou plusieurs dents mobiles on s’intéressera particulièrement à savoir si le ligament est inflammatoire, après traitement endodontique la mobilité est censée réduire.

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12
Q

percussion

A

Il en existe plusieurs : vertical, axial, contro-latéral. Il s’agit de tapoter sur la dent avec le manche de la sonde, ces tests nous informent sur l’état du ligament parodontal.

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13
Q

Les examens complémentaires

A

Ces examens sont réalisés en fonction des résultats obtenus à l’issue des examens de routine.
- La radiographie
- Le sondage parodontal
- La transillumination
- morsure
- test du cone de gutta

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14
Q

radiographie

A

quasiment systématique, nous permettra de détecter les rapports lésion carieuse/pulpe, les signes de souffrance pulpaire, d’évaluer le volume des LIPOE et le rapport avec les structures environnantes et enfin d’aider au diagnostic et d’anticiper les difficultés anatomiques pour le traitement qui va suivre

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15
Q

Le sondage parodontal :

A

à adapter selon la situation clinique, consistera en l’évaluation des tissus de soutien, se fait délicatement. On sonde tout le sulcus avec une sonde parodontale graduée. On cherche des infections endodontiques qui se propageraient au parodonte profond ou encore des fractures en racine.

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16
Q

transillumination

A

permet d’évaluer les contours des restaurations. Dans le cas où nous devons retirer une restauration et que nous n’arrivons pas à distinguer le composite de la dent naturelle, nous pouvons utiliser la transillumination pour marquer la limite du matériau. C’est un examen qui permet également de détecter les fractures et fêlures.

17
Q

morsure

A

qui mettra en évidence une fêlure ou une fracture au moment du relâchement, l’intégrité des couronnes dentaires.

18
Q

cone de gutta

A

permet de connaitre le trajet d’une fistule, nous avons un abcès perforé qui se draine seul, le cône de gutta sera alors mis dans la fistule afin de savoir si la lésion est apicale ou cervicale. La direction de la fistule nous informe sur l’origine du problème. Ce test ne nécessite pas d’anesthésie

19
Q

phase du diagnostique

A

De l’entretien avec le patient et de l’examen clinique émanent des hypothèses diagnostiques qui seront plus tard confirmées ou non par les examens complémentaires, on parle de diagnostics positifs/ étiologiques/ différentiels.

19
Q

La recherche de l’information se déroule en trois étapes toutes indispensables

A

l’entretien avec le patient où nous devons prendre le temps de l’écouter et de poser les bonnes questions, l’examen clinique rigoureux qui nous permettra de récolter des informations pertinentes et enfin les examens complémentaires.