cours 12.2 Flashcards

1
Q

Approche classique

quel est le problème principal avec l’approche classique

A

manque de propriétés nécessaires et suffisantes
Tous les items d’une catégorie doivent partager propr. Toutefois… existe bcp de catégories qui ne partagent pas mm propriétés ou des fois propriétés mais pas une cuillère (pelle)

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2
Q

Ressemblance familiale (Wittgenstein, 1953)

explique cest quoi

A

 Tous les “frères” se ressemblent beaucoup
Pas de propriété unique commune
Pas de propriétés nécessaires
 Pourtant, on les classerait dans la même famille (catégorie)
Ressemblance familiale est basée sur le nombre de propriétés partagées par les membres d’une catégorie

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3
Q

Ressemblance familiale, Rosch & Mervis (1975)

quel est le but, le rationnel, et les 2 tâches

A
  1. But: Montrer la validité de l’approche des ressemblances familiales
  2. Rationnel: Items les plus typiques d’une catégorie sont ceux qui partagent le plus grand nombre de caractéristiques (qui ont le plus grand degré de ressemblance familiale) avec les autres membres de la catégorie
  3. Tâches
    - Phase 1: Jugements de typicité (1 = Bas; 7 = Haut)
    - Phase 2: Lister propriétés
    (Scores de ressemblance familiale)
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4
Q

Ressemblance familiale, Rosch & Mervis (1975)

explique la phase 2 : liste de propriétés

A
  • Tâche: Lister toutes les propriétés connues pour différents exemplaires
  • Propriétés nécessaires ou non-nécessaires (caractéristiques)

Score de ressemblance familiale pour un item
 Nombre d’autres items pour lesquels une propriété
spécifique est partagée
 Somme pour toutes propriétés de l’item étudié

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5
Q

Ressemblance familiale, Rosch & Mervis (1975)

donne exemple de la phase 2

A

items en rouge = 1er à lequel je pense quand je pense animal

score RF = somme des chiffres en parenthèse

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6
Q
A
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7
Q

Ressemblance familiale, Rosch & Mervis (1975)

resultats de la phase (1et2) (2)

A

 Haute corrélation entre jugements de typicité et mesure de ressemblance fam. pour toutes catég.
 Item plus typique partage plus de propriétés avec autre membres de catégorie (et moins avec membres d’autres catégories)

ex : chat tres typique et partage bcp de caract de la catégorie

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8
Q

Ressemblance familiale, Rosch & Mervis (1975)

interprétation (3)

A

 Ressemblances familiales utilisées dans le processus de catégorisation
 On utilise propriétés “non-nécessaires” ou caractéristiques (habitué de voir caract sur items, mais si pas caract sur items ca veut pas dire que cest pas un membre de la catégorie)
 Lorsqu’un item montre le plus grand score RF, on dit que c’est le prototype de la catégorie

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9
Q

que stipule la ressmeblance familiale (3)

A
  1. Similarité détermine catégorisation
  2. Si l’objet à classer possède assez de propriétés en commun avec une représentation mentale donnée (i.e., il est assez similaire), alors il est classé comme un membre de cette catégorie
  3. Deux modèles basés sur la similarité - Approche prototypiste
    - Approche exemplariste
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10
Q

Approche prototypiste

explique l’approche prototypiste (3)

A
  1. Les concepts sont des prototypes
    - Représentation abstraite et sommaire dérivée en “moyennant” tous les exemplaires rencontrés d’une catégorie donnée
  2. “Moyennage”
    - Choisir la valeur la plus commune pour ch. propriété -» Lorsque propriétés peuvent être identifiées
    - Moyenne mathématique -» Lorsque propriétés ne peuvent être identifiées
    - Un prototype peut ne pas être identifiable!
  3. Règle de classification: Si objet possède assez de propriétés en commun avec (ou est “assez similaire au) prototype, alors il est classé comme un membre de cette catégorie
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11
Q

approche classique vs Approche prototypiste avec les frères

A
  1. Approche classique: Ne peut classer les frères ensemble car pas de caractéristiques nécessaires partagées
  2. Approche prototypiste: Suppose que l’expérience avec les frères mène à la composition d’un concept qui est la moyenne des membres de la famille
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12
Q

que permet le prototype

A

Le prototype permet la classification de membres de la famille jamais vus auparavant… et l’exclusion des non-membres

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13
Q

Le besoin de catégories artificielles

explique ca veut dire qiuoi

A

Jusqu’à maintenant, nous avons étudié des catégories naturelles ou concepts “langagiers”, où les propriétés et étiquettes sont verbalisables

Rosch & Mervis (1975): “Les catégories désignées par les mots des langues naturelles présentent l’avantage (pour les étudier) qu’ils ont évolué et apparaissent dans un véritable usage par l’humain; toutefois, ils ont le désavantage de montrer des variables d’intérêt non-contrôlées et non- analysables en conjonction avec d’autres variables et d’autres facteurs externes.”

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14
Q

Le besoin de catégories artificielles

quest ce que ca veut dire pour lexp (3)

A
  1. Beaucoup de variables des catégories naturelles ne peuvent être contrôlées
     Comment les catégories sont apprises
     Fréquence d’usage des exemplaires et catégories
     Familiarité
     Facteurs culturels, etc.
  2. Pour comprendre comment on crée/apprend des concepts, il faut créer des stimuli jamais vus/classifiés
  3. En construisant les catégories selon certaines variables, on peut contrôler tous les facteurs, isoler des effets spécifiques et faire des prédictions
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15
Q

Testons l’approche prototypiste, Posner & Keele (1968)

quel est le but, la tâche, le materiel, et la mesure

A
  1. But: Montrer comment les « idées abstraites » (prototypes) pourraient être acquises et utilisées
  2. Tâche: Induction catégorielle (apprentissage par exposition d’exemplaires)
  3. Matériel: Patrons de points aléatoires
    (Catégories artificielles)
    - 3 catégories (A, B, C) générées selon 3 prototypes
    - Chaque catégorie composée de 4 distorsions
    - 12 exemplaires au total
  4. Mesures ; Taux d’exactitude/Temps de réponse
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16
Q

Créer des exemplaires (distorsions)

comment on crée les exemplaires

A

on va deplacer points sont bcp ou pas bcp de leur endroit original (version prototype)

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17
Q

Créer des exemplaires (distorsions)

donne ex distorsion faible

A

pas bcp bougé

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18
Q

Créer des exemplaires (distorsions)

donne exemple distorsion forte

A

bcp bougé

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19
Q

Testons l’approche prototypiste, Posner & Keele (1968)

quelle est la procédure (2 phases)

A
  1. phases d’induction : où on apprent a classer les exemplaires dans leur catégorie avec retroaction
  2. phase test : classer avec exactitude anciens et nouveaux exemplaires dans la bonne catégorie sans rétroaction
20
Q

Testons l’approche prototypiste, Posner & Keele (1968)

Hypothèses/Prédictions pour les anciennes distorsions (exemplaires deja vu)

A
  1. Anciennes distorsions (exemplaires)
     Classées 36 fois chacune durant apprentissage
     Temps de réponse bas
     Taux d’exactitude élevé
     Effet de pratique
21
Q

Testons l’approche prototypiste, Posner & Keele (1968)

Hypothèses/Prédictions pour les nouveaux items (possibilité 1) (4)

A

Possibilité 1: Pratique
 Seuls les anciens items ont été appris
 Nouveaux items: jamais vus
Tous les nouveaux items classés de façon moins exacte (au hasard) et plus lentement que les anciens items
 Pas de raison de croire qu’on trouvera une différence entre les différents types de nouveaux items

22
Q

Testons l’approche prototypiste, Posner & Keele (1968)

Hypothèses/Prédictions pour les nouveaux items (possibilité 2) (3)

A

Possibilité 2: Prototypes
1. Représentations mentales prototypiques ont été développées même si prototypes jamais présentés
2. Prototypes jamais vus seront classés avec exactitude et rapidement DONC Pairage avec la bonne représentation mentale pour chaque catégorie
3. Autres nouveaux items: performance dépendra de la similarité aux prototypes acquis

23
Q

Testons l’approche prototypiste, Posner & Keele (1968)

quels sont les resultats (3)

A
  1. Anciens exemplaires classés avec exactitude et rapidité tel que prédit
  2. MAIS les prototypes catégoriels aussi, même si jamais vus à l’apprentissage
  3. Performance pour autres nouvelles distorsions est une fonction de leur similarité au prototype catégoriel
     Plus similaire = plus grande exactitude/ TR plus bas
24
Q

Testons l’approche prototypiste (encore), Posner & Keele (1970)

quel est le but, la tâche, le materiel, les mesures, les conditions et la procédure

A
  1. But: Est-ce que la mémoire des prototypes est durable?
  2. Tâche: Induction catégorielle
  3. Matériel: Patrons de points aléatoires
     4 catégories (A, B, C, D) générées selon 4 prototypes
     Chaque catégorie composée de 4 distorsions-» 16 exemplaires au total
  4. Mesures = Taux d’exactitude/Temps de réponse
  5. Conditions = Phase test immédiate ou avec délai (1 semaine) (pour voir si durable)
  6. Procédure: Identique
25
Q

Testons l’approche prototypiste (encore), Posner & Keele (1970)

resultats (3)

A

 Avantage pour anciens items disparait avec temps
 Performance pour prototypes élevée et stable même après une semaine
 Performance pour nouveaux exemplaires prédite par similarité aux prototypes après une semaine

26
Q

Testons l’approche prototypiste (encore), Posner & Keele (1970)

interprétation (4)

A
  1. Selon Posner et Keele, les prototypes, i.e. des moyennes des exemplaires vus pendant l’apprentissage, sont développés comme représentations catégorielles (ou concepts)
  2. Ces représentations sont durables
  3. Parce qu’on a utilisé des stimuli et catégories artificielles, pas de variables externes qui peuvent expliquer les résultats
  4. Soutien pour l’approche prototypiste
27
Q

Approche exemplariste

que stipule l’approche exemplariste (3)

A
  1. Les concepts sont l’ensemble ou le sous-ensemble de tous les exemplaires rencontrés précédemment
  2. Pas de représentations sommaires (règles/proto)
  3. Si un objet à classer est assez similaire à des exemplaires mémorisés, alors il est classé comme membre de la catégorie de ces exemplaires

Selon le modèle exemplariste, le nouveau frère sera comparé à tous les frères mémorisés. Il sera classé dans la même catégorie que le frère auquel il est le plus similaire.

28
Q

Testons l’approche exemplariste, Medin & Schaffer (1978):

quel est le but, la tâche et le matériel et la procédure

A
  1. But: Montrer que la classification se fait exclusivement sur la base des exemplaires mémorisés
  2. Tâche: Induction catégorielle
    3.Matériel: Formes géométriques
     Construits avec quatre propriétés binaires (2 valeurs)
  3. Procédure
     On montre 9 exemplaires à classer dans l’une de deux catégories pour jusqu’à 16 blocs (ou jusqu’à
    deux blocs sans erreur)
     Apprendre à classer les stimuli dans l’une de deux catégories à l’aide de rétroaction
29
Q

Testons l’approche exemplariste, Medin & Schaffer (1978):

explique la procédure (etape 1)

A

2 possibilités de propriétés donc binaire

30
Q

Testons l’approche exemplariste, Medin & Schaffer (1978):

explique la procédure (etape 2)

A

on met en 1 ou 0

31
Q

Testons l’approche exemplariste, Medin & Schaffer (1978):

explique la procédure (etape 3)

A

si on change juste 1 propriété va changer le stimulus

32
Q

Testons l’approche exemplariste, Medin & Schaffer (1978):

montre la structure catégorielle qu’on crée à partir stimulus et propriété

A

Cette structure catégorielle célèbre se nomme la “5-4”

33
Q

Testons l’approche exemplariste, Medin & Schaffer (1978):

quelle serait le prototype d’une structure catégorielle 5x4

A
34
Q

Testons l’approche exemplariste, Medin & Schaffer (1978):

Hypothèses/Prédictions (2)

A
  1. Si prototypes sont acquis, alors exemplaires hautement similaires au prototype devraient être appris plus facilement (taux d’erreur plus bas)
  2. Si seulement les exemplaires sont mémorisés, alors exemplaires hautement similaires à d’autres exemplaires dans la même catégorie, et dissimilaires aux exemplaires de l’autre catégorie, devraient être appris plus facilement
35
Q

Testons l’approche exemplariste, Medin & Schaffer (1978):

montre ex Si l’approche prototypiste est correcte

A

exemplaire 1 devrait être appris plus facilement qu’exemplaire 2 parce qu’il possède plus de propriétés en commun avec le prototype

36
Q

Testons l’approche exemplariste, Medin & Schaffer (1978):

montre si Si l’approche exemplariste est correcte, pour

A

exemplaire 2 devrait être appris plus facilement qu’exemplaire 1. Exemplaire 2 est hautement similaire à deux autres membres de sa propre catégorie… …mais pas à des exemplaires de l’autre catégorie. Tandis que l’exemplaire 1 est hautement similaire à seulement un autre membre de sa catégorie… …mais hautement similaire à deux exemplaires de l’autre catégorie.

37
Q

Testons l’approche exemplariste, Medin & Schaffer (1978):

Résultats/Conclusion

A
  1. Exemplaire 2 plus facile à appr. qu’Exemplaire 1
    - Plus haut taux d’exactitude tout au long de l’apprentissage

 Medin et Schaffer furent les premiers à montrer des preuves soutenant un modèle exemplariste au détriment d’un modèle prototypiste
 Depuis, beaucoup de recherche/modélisation faite pour montrer que les représentations prototypistes et exemplaristes peuvent toutes deux expliquer certains résultats (qui a raison??)

38
Q

Quelle est la capacité de la MLT visuelle?, Brady et al. (2008):

quel est le but, la tâches et la durée de l’exp

A
  1. But: Démontrer une capacité minimale pour la mémoire des exemplaires distincts
  2. Tâches
     Étude: Regarder des images, noter les doublons
     10 blocs de 20 minutes pour l’étude
     2896 images, présentées durant 3 secondes chacune
     Test: Reconnaissance (2 images côte à côte)
  3. Durée de l’expérience: 5 heures et demie!!!
39
Q

Quelle est la capacité de la MLT visuelle?, Brady et al. (2008):

Résultats (noter doublons)

A

 Étude: Tâche de détection de doublons
 Lorsque les items répétés sont séparés par plus de 1000 items, on détecte les doublons 79% du temps!

40
Q

Quelle est la capacité de la MLT visuelle?, Brady et al. (2008):

quel est le matériel de reconnaissance (test)

A

3 conditions: Catégorie (2 catégories diff) (Novel), Exemplaire (2 exemplaires mm catégorie), État (mm objet dans diff etat)

41
Q

Quelle est la capacité de la MLT visuelle?, Brady et al. (2008):

quels sont les resultats pour test de reconnaissance

A

Résultat: Performance près de 90% peu importe la condition, après 2896 images!!!

42
Q

Quelle est la capacité de la MLT visuelle?, Brady et al. (2008):

conclusion (4)

A
  1. Notre cerveau enregistre tout ce qu’on voit!
  2. Le niveau de détail de nos souvenirs d’exemplaires est excessivement précis
  3. Capacité minimale du cerveau calculée: 228 000 représentations distinctes
  4. Soutien solide pour modèles exemplaristes
43
Q

Arguments théoriques contre les modèles exemplaristes (7)

A
  1. Modèles exemplaristes font du sens dans le cadre d’expériences contrôlées avec des petites catégories mal définies, mais dans la vraie vie?
  2. Certains exemplaires sont plus importants que d’autres  Ex: Votre propre chien
  3. On ne peut pas représenter une structure hiérarchique (Rosch) avec un modèle exemplariste (mais on peut avec un modèle prototypiste)
  4. N’explique pas l’avantage du niveau de base
  5. Ne tient pas compte des effets de contexte, ou des croyances à propos d’un domaine
  6. On ne peut pas généraliser à partir d’un exemplaire
  7. N’explique pas le développement conceptuel, etc.
44
Q

MANUEL

cest quoi le priming

A

presentation dun stimulus facilites la reponse dun autre stimulus qui arrive direct apres

45
Q

manuel

quels sont les effets de la prototypicality (4)

A
46
Q

manuel

cest quoi spreading activation

A

activity that spread out along any link that is connected to an actived node