cours 10.1 Flashcards
Jusqu’à maintenant, les théories de mémoire que nous avons étudiées (Atkinson et Shiffrin, 1968; Baddeley et Hitch, 1974) postulent des systèmes de
mémoire:
❖ Conception théorique de la mémoire (et de la cognition) postulant l’existence de systèmes de mémoire séparés pour rendre de compte de dissociations expérimentales ou neurologiques
❖ L’approche dite des “boîtes”
quest ce que l’Approche basée sur les processus de mémoire
en reaction aux problemes soulevés avec la MCT, on developpe étude des processus de transfert entre la MCT et MLT
- Conception théorique de la mémoire basée sur l’idée que les résultats obtenus avec différents tests de mémoire reflètent les différents processus cognitifs nécessaires pour les produire
l’accent est mis sur les processus utilisés pour l’enregistrement permanent de l’information:
ENCODAGE -» TRAITEMENT -» RÉCUPÉRATION
Niveaux de traitement Craik & Lockhart (1972)
quels sont les postulats (5)
1-1,2-1,3-2-2-3, 4-2,5-2
- Différents stimuli encodés de diff. façons en mémoire
- Type d’encodage influence durée de la trace - Mémoire: séries de processus cognitifs
- Chaque étape de trait. plus profonde que la précédente (+ on doit traiter le sens, + trait. est profond) - Deux types de répétition
- Type I: Répétition de maintien (simple repetition PAS intention d’apprendre)
❖ Maintient information en MCT
❖ Non efficace pour transfert en MLT
- Type II: Répétition élaborative (organisation subjective)
❖ Penser au sens de l’item
❖ Faire liens entre item/connaissance préalable (Associations, images, histoires, etc.)
❖ « Chunking »/Organisation subjective
❖ Selon eux, seul type efficace pour entreposage permanent de l’info - Deux types de traitement
- Surface (Shallow): Accent sur caractéristiques physiques
de l’entrée (ex: son)
❖ Répétition de maintien
- Profond (Deep): Accent sur signification de l’entrée
❖ Répétition élaborative - Traitement plus profond mène à
❖ Traces plus fortes/durables en MLT (encodage)
❖ Meilleur rappel (récupération)
Profondeur de traitement
(Depth of processing) Hyde & Jenkins (1973)
quel est leur but(2), la tâche(2) et les variables (2)
- Buts
❖ Déterminer validité des niveaux de traitement (surface/profond)
❖ Étudier effet de l’intention d’apprendre (50% savent qu’ils vont etre testé, 50% ne savent pas) - Tâche
❖ Phase 1: Tâches cognitives variées/Liste de mots
❖ Phase 2: Rappel libre avec même liste - Variables
❖ Tâche d’orientation -» Profondeur de traitement (Utilisation du sens ou non)
❖ Intention d’apprendre
Profondeur de traitement, Hyde & Jenkins (1973)
explique la tâche avec les conditions
(2 conditions x 4 types d’essais) + 1 contrôle
Profondeur de traitement, Hyde & Jenkins (1973)
quels sont les resultats(2) et l’interprétation (3)
resultats :
1. Performance augmente avec profondeur de traitement (tâche d’orientation) - » Seuls Fréquence/Plaisant aussi bon que Contrôle
2. Intention d’apprendre: aucun effet significatif sur rappel !!!
interprétation (3)
1. Support pour approche des niveaux de traitement
2. Intention: pas un facteur en MLT
3. Facteur important: stratégie optimale d’encodage profond
Effet de génération, Slamecka & Graf (1978)
quel est le but, l’hypothèse et la tâche (2)
- But
❖ Déterminer si implication/effort actif dans le processus d’apprentissage est bénéfique vs. réception passive de l’information - Hypothèse
❖ Si particip. génère item à mémoriser, récupération toujours supérieure (peu importe tâche d’orientation) - Tâche
❖ Phase 1: Traiter 100 paires de mots ❖ Phase 2: Reconnaissance (exemple comme QCM)
- 100 ensembles de trois mots
- Lequel a été vu durant l’apprentissage?
- (vs. Rappel: Récupération complète sans indice)
Effet de génération, Slamecka & Graf (1978)
quelle est la tâche avec les conditions
(2 conditions x 5 types d’essais)
Effet de génération, Slamecka & Graf (1978)
quels sont les resultats (2) et l’interprétation
resultats :
1. Performance pour condition rime→significativement + basse
❖ Traitement moins profond = niveau reconnaissance + bas
2. Genérer mots associés améliore performance de reconnaissance pour toutes les conditions
interprétation
1. Support pour niveaux de traitement
- Génération = traitement + profond = meilleure reconnaissance
Effet d’auto-référence, Rogers, Kuiper & Kirker (1977)
quel est le but, le rationnel(2) et la tâche(2)
- But
❖ Déterminer l’importance de faire des liens entre la nouvelle info et notre expérience personnelle - Rationnel:
❖ Récup. d’info supérieure lorsque individu associe nouveau matériel avec expériences personnelles
❖ Si nouveau matériel cadre avec vision de soi, alors trace mnésique plus forte parce que nouvelle connaissance associée avec traits durables (ex : mots=curieux, i feel like i am, so jvais m’em rappeler + que le mot loud - Tâche
❖ Phase 1: Jugement d’adjectifs
❖ Phase 2: Rappel libre
Effet d’auto-référence, Rogers, Kuiper & Kirker (1977)
quelle est la tâche et l’hypothèses (2)
4 types d’essais
hypothèses : (2)
1. Intégrer connaissances avec expérience personnelle = plus gros effet
2. Pendant auto- référence, si nouveau savoir cadre avec vision de soi (réponse « oui ») = meilleur rappel !!!
Effet d’auto-référence, Rogers, Kuiper & Kirker (1977)
quels sont les resultats (3)
- En moyenne, traitement + profond = meilleure performance
- Performance pour auto-référence significativement + élevée que toutes autres conditions
❖ Même vs. condition sémantique profonde - Condition auto-référence: perfo rappel supérieure pour essais positifs (« oui ») – mais pas autres conditions
Effet d’auto-référence, Rogers, Kuiper & Kirker (1977)
quelle est l’interprétation (3)
❖ Soutien pour l’approche des niveaux de traitement
❖ Découverte d’une manière encore plus puissante de renforcer les traces mnésiques pour des mots
❖ Meilleure façon d’améliorer l’encodage et la récupération à long terme: analyser le sens de l’information entrante et la lier aux expériences personnelles
Imagerie visuelle pour la mémoire, Bower & Winzenz (1970)
quel est le but, l’hypothèse et la tâche
- But
❖ Vérifier profondeur de traitement pour tâches multiples
❖ Déterminer si l’imagerie produit un meilleur rappel - Hypothèse
❖ Imagerie requiert encodage sémantique ET connaissance à long terme de la dynamique des objets
- Serait plus profond que tâches sémantiques - Tâche
❖ Apprentissage de paires associées avec tâche d’orientation -» Paires de noms concrets
Imagerie visuelle pour la mémoire, Bower & Winzenz (1970)
quelle est la tâche et l’hypothèse
4 tâches (groupes) – 3 listes x 30 paires
hypothèses :
1. Imagerie montrera l’effet le plus fort
- Accès au sens + utilisation dynamique des référents dans un contexte
« vif » et bizarre