réa Flashcards
pose VVC
stérile
anesthésie locale
guidage écho
tredelenburg
/!\ infection, thrombose, hémorragie, pno
indications d’intubation
GWS < 9
état de choc
polytrauma
échec VNI
CI MEOPA
- Altération conscience
- Pneumothorax, emphysème
- Patients nécessitant une ventilation avec FiO2 > 50%
- HTIC
- Traumatisme crânien non évalué
- Anomalies neurologiques d’apparition récente et non expliquées
- Déficit non substitué en vitamine B12/B9
- Traumatisme facial gênant l’application du masque
- Refus du patient
(ES : nausées/vomissements, vertige, paresthésie, sédation excessive, céphalée, convulsion, agitation, angoisse, euphorie, toxicité neurologique (si carence en B12)
complications pose de voie
- centrale : Échec, malpositions, plaie artérielle ou veineuse, pneumothorax (site sous-clavier ++), hémothorax, embolie gazeuse, arythmie
- périph : échec, plaie veineuse, hématome, diffusion extra-veineuse
- tardives (both) : infection (vvp : veinite, lymphangite, bactériémie / vvc : sepsis, endocardite), thrombose, diffusion
examen clinique anaphylaxie
signes de lutte
signes de faillite
signes de gravité hémodynamique
signes cutanés ET muqueux avec examen oral
auscultation cardiaque ET pulmonaire
signes digestifs
classification Ring et Messner (gravité)
Grade 1 : signes cutanéo-muqueux généraux : érythème, urticaire +/- Œdème de Quincke
Grade 2 : atteinte multiviscérale modérée (≥ 2 organes)
Grade 3 : CHOC ANAPHYLACTIQUE : atteinte multiviscérale sévère menaçant la vie & imposant un ttt spécifique = collapsus – tachycardie ou bradycardie – trouble du rythme – bronchospasme
Grade 4 : ARRÊT CARDIO-RESPIRATOIRE, DECES
1ers gestes brûlures
- Analyser l’environnement, se protéger et protéger le lieu
- En cas de vêtement enflammé : s’allonger à terre et se rouleur pour éteindre les flammes
- Ne pas enlever les vêtements adhérents sauf si liquide caustique et chaud, retirer les non adhérents
- Couvrir les brulures avec un linge humide et propre
- Retirer les bijoux avant œdème (bague/bracelet…)
- Brulure chimique : lavage prolongé en faisant couler de l’eau à température ambiante sur la brulure
- Prévenir l’hypothermie (couverture de survie)
- Refroidissement de la brulure : eau à 15°C pendant 15 minutes
profondeur brûlures
- 1er degré : Lésion épidermique isolée, érythème douloureux sans décollement
- 2nd degré : lésion épidermique et dermique, présence de phlyctènes
o Superficiel : derme spontanément hyperalgique, rouge +++, bien vascularisé
o Profond : derme peu douloureux, plutôt blanc et mal vascularisé. Phanères et glandes sébacés intactes (poil résistant à la traction). Hypoesthésie. - 3ème degré : lésion indolore avec aspect cartonné, destruction des terminaisons nerveuses, phanères, follicules pileux et glandes sébacés. Anesthésie totale. Peau noirâtre
La distinction entre brulure de 2nd degré superficiel et profond se fait généralement après quelques semaines
interrogatoire plaie
- localisation
- bords
- taille
- profondeur
- perte de substance
- présence de corps étrangers
- Réfléchir à des potentielles lésions associées : osseuses, vasculaires, nerveuses, organes (fistule par ex)
- Rechercher des signes d’infection notamment en cas de morsure qui est une plaie par définition contaminée
- Statut vaccinal tétanique
surveillance traumatisme abdo
- Surveillance en soins continus :
o patient stable + lésion anatomique ne nécessitant ni chirurgie ni embolisation
o traitement conservateur des fractures de rate+++ : risque de rupture différée jusqu’au 30ème jour justifiant une hospitalisation pendant 2 semaines - Antibiotiques :
o antibioprophylaxie péri-opératoire ou en cas de traumatisme pénétrant
o antibiothérapie en cas de perforation du tube digestif - Monitorage des pressions intra-abdominales :
o mesure de la pression intra-vésicale et du périmètre abdominal
o recherche d’une hyper-pression abdominale + défaillance d’organes : indication de la mise en place d’un laparostome
syndrome post-commotionnel
- Déficit cognitif : trouble de mémoire, d’attention, d’organisation et gestion
- Fatigue, baisse d’énergie, céphalées, troubles du sommeil, phonophobie,
Consignes de prévention - L’exercice physique dans le cadre de programme de réadaptation
- Prévenir les chutes en prenant des mesures physiques au domicile
- Éviter les activités anxiogènes
- Maintenir une bonne hygiène du sommeil
- Face à des céphalées s’isoler du bruit et de la lumière
examen initial trauma rachidien
Examen moteur
- Score ASIA : cotation de la force musculaire 0 à 5 de 10 muscles ou groupes musculaires (score/100)
+ paralysie phrénique et atteinte des muscles intercostaux
Examen de sensibilité
- Score ASIA : cotation de la sensibilité algique et du tact épicritique (0 à 2) sur 28 métamères (score /112 par modalité testée)
Examen du périnée
- Score ASIA : sensibilité anale, contraction volontaire du sphincter anal
Il faut également rechercher : ROT, signes pyramidaux
→ signes péjoratifs (lésion médullaire complète) chez patient inconscient : le PRIAPISME et la BÉANCE ANALE, ATONIE DU SPHINCTER ANAL
pec choc hémorragique
- Correction de l’hypovolémie et de l’état de choc : transfusion sur VVP de CGR en urgence vitale extrême O+ (homme) ou O- (femme en âge de procréer) : 2 CGR/1 PFC
- Fibrinogénémie > 1,5 à 2 g/l avec administration de concentrés de fibrinogène
- Acide tranexamique 1 g sur 10 min en préhospitalier
- Prévention de l’hypothermie
- Remplissage vasculaire 1L ± vasopresseur
- Objectifs tensionnels modestes 50 à 65 mmHg (hypotension artérielle permissive)
calcul et interprétation trou anionique
TA = Na+ + K+ - Cl- - HCO3- = 16 +/- 4 mmol/l
- Acidose lactique à Lactate
o Hypoxie tissulaire
o Intoxication au biguanides (metformine)
o Insuffisance hépatocellulaire
- Acidocétose : diabète, alcool, jeûne
- Intoxication : aspirine, éthylène glycol, méthanol
- Insuffisance rénale aiguë ou chronique
antidotes
- morphiniques : Naloxone
- benzodiazépines : Flumazénil (CI : antécédent d’épilepsie, notion de convulsions)
- paracétamol : N-acétylcystéine (selon paracétamolémie mesurée à H + 4 et rapportée sur le nomogramme de Rumack et Matthew)
- médicament avec effet stabilisant de membrane : bicarbonate de sodium molaire (8,4 %)
- bétabloquant : catécholamines et glucagon
- digoxine : atropine, anticorps anti-digoxine
- CO : oxygène normobare et hyperbare
- fumées d’incendie : intoxication au CO et intoxication au cyanure dont l’antidote est l’hydroxycobolamine (vitB12)
objectifs constantes neurotrauma (vs normal)
PAM > 75-80 mmhg (60-65)
hb > 10 g/dl (7)
plaquettes > 100 G/l (50)
TP > 60% (40)
score de frankel trauma rachis
A : atteinte complète
B : atteinte motrice complète mais préservation, même partiel d’un niveau sensitif
C : atteinte motrice incomplète avec > 50% des muscles ayant un MRC < 3/5
D : atteinte motrice modérée (marche possible avec ou sans aide)
E : absence totale de déficit neuro
testing moteur score asia
C5 : flexion coude
C6 : extension poignet
C7 : extension coude
C8 : flexion 3e phalange
T1 : abduction 5e doigt
S2,S3,S4 : contraction anale
L2 : flexion hache
L3 : extension genou
L4 : flexion dorsale cheville
L5 extension dorsale gros orteil
S1 : flexion plantaire cheville
score asa
ASA 1 : pas d’autre affection que celle necessitant l’acte chirurgical
ASA 2 : perturbation modérée d’une grande fonction
ASA 3 : perturbation grave d’une grande fonction
ASA 4 : risque vital imminent
ASA 5 : moribond
score NNISS prends en compte : ASA (si ≥ 3), alteimer et durée opération