pneumo Flashcards
critères de bonne qualité RP
bien centrée
debout (poche à air gastrique)
visualisation 6 arcs costaux antérieurs
clavicules symétriques
bonne pénétration des tissus
signes SAOS
somnolence diurne
céphalées matinales
difficultés de concentration
asthénie diurne
baisse libido
étouffement/suffocation la nuit
sommeil non réparateur
micro réveils répétés
nycturie
détresse respiratoire aigue
tachypnée
tirages
expiration abdo active
cyanose
signes neuro (céphalées, astérixis, comportement et vigilance)
ICD
pouls paradoxal
interrogatoire dyspnée
temporalité
phase du cycle respi
horaire
autres signes respi (toux, douleur, expectorations, bruits respi)
interrogatoire toux
durée
tabac
sèche ou productive
diurne ou nocturne
facteurs déclenchants (odeurs, positions, parfum, spray, t°, rire, parole)
signes associés (pyrosis, jetage post, bronchite chronique)
ttt essayés
retentissement / complications
signes alarme toux
AEG
dyspnée d’effort
hémoptysie
sd infectieux
apparition/modification toux chez fumeur
dysphonie
dysphagie
fausses routes
ADP cervicales suspectes
anomalie examen CP
questionnaire ACT asthme : au cours des 4 dernières semaines …
activités
essoufflement
réveils nocturnes / matinaux
inhalateur
évaluation maitrise de l’asthme
utilisation bronchodilatateur
agiter
expirer à fond
inspirer profondément
retenir sa respi 10 s
±se rincer la bouche
pneumopathie interstitielle diffuse
kystes en rayons de miel, réticulations intralobulaires (petites mailles), bronchectasies de tractions (bases, sous pleural)
→FPI, PR, asbestose
PINS
verre dépoli, réticulation interlobulaires (grandes mailles), bronchectasies
→ sclérodermie systémique, connectivites
interrogatoire général
- Atcd médicaux et familiaux : Asthme, BPCO, insuffisance cardiaque…
- Traitement actuel ou récemment arrêté
- Facteurs de risque cardiovasculaire : HTA, tabagisme, diabète, hypercholestérolémie
- Exposition professionnelle : Amiante, poussières organiques (risque de pneumoconioses).
- Signes cliniques pulmonaires : Dyspnée, toux, hémoptysie, signes d’insuffisance cardiaque droite ou gauche
- Signes associés : Fièvre, AEG, sueurs nocturnes
retentissement tb du sommeil
- Impact quotidien : difficulté de concentration, productivité, moral, et les relations sociales, l’irritabilité, l’anxiété,
la dépression - Fatigue diurne
- Symptômes physiques : maux de tête, trouble de la libido, nycturie
- Altération du fonctionnement cognitif : la baisse de l’attention, problèmes de mémoire, performances intellectuelles altérées.
- Conséquences professionnelles : difficultés au travail, absences fréquentes, accidents professionnels
CI hypnotiques
- Éviter d’en prescrire après 75 ans (risque de chute et de confusion nocturne)
- Déconseiller la conduite dans les 8 heures et de ne pas associer hypnotique et alcool
- Prévenir des manifestations de sevrage et des risques de dépendance
- Rechercher les contre-indication : SAS, IHC grave, Myasthénie, Insuffisance respiratoire grave, allergie a la substance.
- Durée maximale conseillée 4 semaines
- Prévoir d’emblée sur la prescription leur décroissance et leur arrêt
sd de pénétration
- patient paniqué, mains à son cou
- gesticulations sans émettre de son
- bradypnée inspiratoire avec allongement du
temps inspiratoire - dysphonie
- bruit inspiratoire de cornage
interrogatoire douleur thoracique
- Mode d’apparition (brutal ou progressif)
- Moment d’apparition (repos, effort)
- Mode d’évolution (paroxystique, continu, régression ou progression)
- Localisation initiale et irradiation
- Facteurs aggravant ou soulageant la douleur
- Cotation de la douleur à l’aide d’EN ou d’EVA et antalgiques déjà pris
- Signes associés (vomissements, douleurs abdominales, dyspnée…)
examens biologiques douleur thoracique
- troponine : à H0, H3 puis H6
- D-dimères : en cas de d’hypothèse d’EP non grave avec une probabilité faible ou intermédiaire
- LDH et protides du liquide pleural :
o Transsudat : protides < 25 g/L et LDH < 200 UI/L
o Exsudat : protides > 35 g/L et LDH > 200 UI/L
dyspnée temps
- inspiratoire = pathologie à étage et sous glottique immédiat (tirage, cornage) :
▪ enfant = laryngite virales, rougeole, corps étranger, croup laryngé (diphtérie)
▪ adulte = oedème de quincke, tumeur des voies aériennes supérieures - aux deux temps = pathologie trachéale – polypnée ++ : OAP, pneumopathie, EP, atélectasie, PNO ou pleurésie
- expiratoire = pathologie des bronches (wheezing)
- permanente : IResp chronique, IC globale, EP répétitives
- sine materia : neuro, diabète acido-cétosique (kussmaul), acidose rénale (cheyne-stokes), anémies, intox
bilan dyspnée
ECG, RP, NFS, BNP, GDS
précautions air tuberculose
- En cas de tuberculose bacillifère
- En cas de suspicion de tuberculose respiratoire
- En cas d’atteinte pulmonaire excavée ou d’atteinte ORL
- En cas de résultats positifs au direct ou à la culture montrant un BAAR
=> FFP2 pour le soignant, masque chirurgical pour le patient, chambre individuelle avec porte fermée, idéalement en pression négative avec ventilation régulière, limitation des déplacements et du nombre de visiteur
=> levée de l’isolement après obtention de l’apyrexie, régression de la toux et négativation de la recherche de BAAR soit 2 à 3 semaines après mise en place du ttt
causes acidose respiratoire
- iatrogénie (morphinique notamment)
- fièvre, frisson
- foyer à l’imagerie
- traumatisme
- BPCO
- dysfonction neuromusculaire
- syndromes restrictifs
- AVC
- encéphalite…
risques endoscopies
- Complications liées à l’anesthésie
- Hémorragie en cas de geste thérapeutique
- Perforation des organes explorés
- Transmission d’agents infectieux (Creutzfeld-Jacob)
- Bactériémie
- Sensation de ballonnements après une coloscopie en raison de l’injection d’air lors du geste
- Anxiété lié au geste
- Pneumothorax, crachats de sang, voix enrouée, bronchospasme dans le cas des endoscopies bronchiques
préparation endoscopie
- Endoscopie digestive haute : à jeun depuis 6h, et si non à jeun : perfusion d’érythromycine IVL pour vider l’estomac
et intubation pour prévenir le risque d’inhalation - Coloscopie : régime sans résidus 3 à 5 jours avant, PEG la veille ou le matin (prévenir que donne des diarrhées), à jeun depuis 6h si anesthésie générale
- Endoscopie bronchique : à jeun depuis 6h
bilan pré-thérapeutique tuberculose
- Sérologies VHB, VHC, VIH avec accord du patient
- Consultation ophtalmologique : fond d’œil, champ visuel et recherche de troubles de la vision des couleurs
- Uricémie
- Fonction rénale (créatinine et DFG)
- Transaminases et bilan hépatique complet à la recherche d’une insuffisance hépatocellulaire
- Recherche de grossesse
ttt tuberculose
- une quadrithérapie pendant 2 mois par rifampicine, éthambutol (arrêté dès que la souche est identifiée comme
sensile à isoniazide), pyrazinamide et isoniazide - suivie d’une bithérapie pendant 4 mois par rifampicine et isoniazide
- ttt à jeunTraitement en une prise par jour : 1h avant le repas et 2h après le dernier repas.
- vitamine B6 si risque de neuropathie : PVVIH, alcoolisme, dénutrition, grossesse, insuffisance rénale, antécédent
de neuropathie - ttt prolongé (9 à 12 mois) en cas de tuberculose neuroméningée avec ctc
suivi tuberculose
- observance : coloration des liquides biologiques en orange (rifampicine), dosage de l’uricémie augmenté par le pyrazinamide en cas de doute
- efficacité clinique
- disparition des anomalies radiologiques (radiographie de thorax à J30, M2 et M6)
- absence de BAAR au direct (recherche à J15)
- dosage NFS – plaquettes – transaminases à J7, J14, J30 puis tous les deux mois
- cs ophtalmologique pour dépistage de neuropathie optique provoquée par l’éthambutol
ITL ttt
- Immunodéprimé
- Infection tuberculeuse récente (1 an maximum)
- Enfant < 15 ans (déclarer si < 18 ans)
Modalités : Isoniazide pendant 9 mois ou rifampicine + isoniazide pendant 3 mois ± vit B6
interrogatoire patient BPCO
- symptômes : dyspnée (stade mMRC), toux, expectoration…
- évolution des symptômes : aggravation, amélioration, apparition de nouveaux symptômes…
- prise du traitement : observance, technique de prise, effets indésirables/tolérance, difficultés rencontrées…
- vécu : impact au quotidien, limitations des activités
comorbidités associées à la BPCO
- Les affections cardio-vasculaires
- Un cancer bronchique
- Une dénutrition et une obésité
- Un déconditionnement musculaire et squelettique
- Une anémie
- Une anxiété et une dépression
- Une ostéoporose
Index BODE : pronostic à moyen terme de la maladie à partir de l’IMC, le VEMS (GOLD 1-4), le score mMRC et le test de marche 6min
indications OLD
- IRC obstructive = BPCO +++ à PEC par assurance maladie si
*Pao2 < 55 mmHg
*PaO2 entre 55 et 59 mmHg avec signes cliniques d’hypoxies tissulaires : polyglobulie (Ht > 55%) ou insuffisance ventriculaire droite ou désaturations nocturnes non apnéiques (SpO2 nocturne moyenne ≤ 88%) - IRC restrictive : PaO2 < 60 mmHg
- Après 2 mesures de PaO2 par gazométrie au repos à 2 semaines d’intervalle
réadaptation respiratoire
- aide au sevrage tabagique,
- accompagnement pour le traitement,
- réentrainement à l’exercice,
- kinésithérapie respiratoire de drainage bronchique,
- prise en charge psychosociale,
- éducation thérapeutique,
- prise en charge nutritionnelle
score spesi
1 pt pour chaque :
- age > 80 ans
- sat < 90%
- PAS < 100 mmhg
- FC > 110 bpm
- cancer
-IC ou maladie pulmonaire chronique
principales étiologies hémoptysie
CBP
DDB (muco notamment, pas bpco)
tuberculose
aspergillome
interrogatoire essoufflement
depuis quand
pour quels types d’effort
dans quelles positions?
gradation MRC ou NYHA
bruits associés inspiratoires ou expiratoires
événements déclenchants
EFR
- TVO : BPCO, asthme, bronchiolite
- TVR avec ↓ TLCO : PID
- TVR avec TLCO normale : SOH, hypoventilation, atteinte paroi tho
- TV mixte : DDB, mucoviscidose, sq tuberculose