Psychologie cognitive: Motivation Flashcards

A.Guerrien

1
Q

Motivation

A

Forces internes et/ou externes qui initient, guident, soutiennent et intensifient le comportement (Vallerand & Thill, 1993). La motivation est ce qui nous pousse à agir, même si elle n’implique pas un passage de l’inaction à l’action mais plutôt une transition entre les activités.

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2
Q

Quels sont les aspects de la motivation?

A

-Déclenchement: Initiation d’un comportement.
-Direction: Objectif du comportement (par exemple, choisir une activité plutôt qu’une autre).
-Intensité: Énergie investie dans le comportement.
-Persistance: Durée pendant laquelle le comportement est soutenu, souvent lié à un intérêt ou à un engagement personnel.

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3
Q

Forces internes

A

Motivation motivée par des intérêts, des valeurs et des désirs personnels (par exemple, étudier la psychologie parce que cela nous fascine).

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4
Q

Forces externes

A

Motivation motivée par des pressions extérieures, comme des attentes ou des obligations sociales (par exemple, étudier la psychologie en raison des attentes familiales)

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5
Q

Motivation primaire (innée)

A

Besoins et pulsions physiologiques liés à la survie, comme la faim, la soif et le sommeil. Ces motivations sont régulées par l’homéostasie, un équilibre de processus internes. (Le besoin de nourriture, de sommeil et d’affection d’un bébé sont les principales motivations.)

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6
Q

Motivation secondaire (appris/acquise)

A

Motivations façonnées par les contextes sociaux ou culturels, apprises au fil du temps, non nécessaires à la survie mais influentes sur l’intégration sociale.
Les désirs influencés par les tendances sociales (chaussures de marque à l’adolescence) sont des motivations secondaires.

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7
Q

Motivations physiologiques

A

Besoins fondamentaux de survie (nourriture, eau).

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8
Q

Motivations générales non apprises

A

Motivations cognitives et affectives universelles, présentes chez tous les humains quelle que soit la culture, telles que la curiosité et les liens émotionnels.

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9
Q

Motivations sociales

A

Motivations liées aux interactions sociales, à l’approbation et à l’appartenance.

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10
Q

Syndrome d’Hospitalisme

A

Condition observée chez les enfants privés d’affection maternelle, entraînant des problèmes de développement et émotionnels. Démontre l’importance des besoins primaires pour le lien émotionnel.

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11
Q

Expérience sur le singe de Harlow

A

Les bébés singes rhésus ont reçu deux mères porteuses : une molle mais sans nourriture et une en fil de fer qui fournissait du lait.
Les singes préféraient le confort de la mère douce même sans nourriture, soulignant l’importance de la sécurité émotionnelle sur les seuls besoins physiques dans la formation de l’attachement.

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12
Q

Expliquer cette phrase: “Pourquoi faisons-nous ce que nous faisons?”.

A

Les motivations sont souvent la raison sous-jacente des actions, qu’elles soient motivées par l’intérêt, la pression sociale ou un instinct de survie. Chaque action a généralement une raison, reflétant l’interaction entre le « pourquoi » (force de motivation) et le « comment » (traitement cognitif).

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13
Q

Movere

A

Dérivé du latin, signifiant mettre en mouvement. La motivation n’est pas une transition de l’inaction à l’action, mais plutôt un processus dynamique de déplacement entre des activités ou des objectifs.

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14
Q

Daniel Berlyne (1960) - Théorie de la curiosité et de l’excitation

A

Berlyne a présenté la curiosité comme un élément central de la motivation intrinsèque. Il a suggéré que les individus sont motivés par un désir inné de réduire l’incertitude et d’augmenter la stimulation cognitive. Selon la théorie de l’éveil de Berlyne, les gens sont naturellement motivés à explorer, à rechercher la nouveauté et à s’engager dans des activités stimulantes.

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15
Q

Curiosité comme motivation

A

La curiosité stimule l’exploration et l’apprentissage en tant que principal facteur de motivation.

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16
Q

Excitation optimale

A

Les individus recherchent un niveau d’excitation modéré, en évitant l’ennui (faible excitation) et l’anxiété (forte excitation), pour la satisfaction et l’engagement.

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17
Q

Comment déterminer l’intérêt?

A

-Complexité : les tâches nécessitant un engagement cognitif plus élevé (par exemple, des problèmes mathématiques complexes) peuvent être plus engageantes.
-Nouveauté : les informations nouvelles ou inconnues sont plus intrigantes et susceptibles de retenir l’attention.
-Incongruité : des aspects inhabituels ou inattendus dans une information ou un contexte suscitent la curiosité.

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18
Q

Courbe d’intérêt

A

Les études de Berlyne ont indiqué que l’intérêt est le plus élevé à un niveau de complexité «optimal», formant une courbe en cloche: l’engagement culmine lorsque les tâches correspondent aux compétences d’un individu.

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19
Q

Robert White (1959) - Motivation par la compétence et l’efficacité

A

White a introduit la motivation par compétence, suggérant que les individus ont un besoin intrinsèque de se sentir efficaces et capables dans leurs interactions avec l’environnement. Ce désir de maîtrise et de dépassement des défis est intrinsèquement gratifiant.

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20
Q

Effectance/Effectivité

A

Volonté intérieure de comprendre, de maîtriser et d’interagir efficacement avec son environnement.

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21
Q

Défi et maîtrise

A

White a souligné que les gens sont naturellement attirés par les tâches où ils peuvent démontrer leurs compétences, surmonter les obstacles et acquérir de nouvelles compétences.

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22
Q

Jeu et exploration

A

S’appuyant sur le travail de Piaget, White a noté que le jeu des enfants est une forme d’exploration et une expression de compétence : les enfants s’engagent dans le jeu pour la joie inhérente de l’apprentissage et de la maîtrise plutôt que pour des récompenses externes.

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23
Q

Richard deCharms (1968) - Causalité personnelle et agence

A

DeCharms s’est concentré sur la causalité personnelle, l’idée selon laquelle les gens sont motivés lorsqu’ils sentent qu’ils sont la source de leurs propres actions. Il a proposé que la motivation intrinsèque soit renforcée lorsque les individus ressentent de l’autonomie et du contrôle sur leur comportement.

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24
Q

Causalité personnelle

A

La motivation augmente lorsque les individus se perçoivent comme l’origine de leurs actions plutôt que comme des « pions » passifs influencés par des pressions extérieures.

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25
Q

Motivation intrinsèque et autonomie

A

Le travail de deCharms souligne l’importance de l’autonomie, où la motivation prospère lorsque les actions découlent d’un choix personnel plutôt que d’une coercition externe.

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26
Q

Quelle est la différence entre le concept d’origine et le concept pion?

A

-Origine : Lorsque les actions sont autodirigées, comme choisir d’étudier la psychologie par intérêt réel.
-Pion : Lorsque les actions semblent imposées de l’extérieur, conduisant à un sentiment d’obligation plutôt qu’à un choix personnel.

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27
Q

Théorie de l’Autodétermination (Self-Determination Theory, SDT) de Deci et Ryan

A

Approche cherchant à comprendre comment et pourquoi les individus sont motivés à agir. Fondée dans les années 1980, la SDT identifie trois besoins psychologiques de base: l’autonomie, la compétence et l’affiliation.

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28
Q

Autonomie

A

Sensation d’être maître de ses actions, libre de faire des choix sans contrainte extérieure. Facteur clé pour renforcer l’engagement intrinsèque.

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29
Q

Compétence

A

Besoin de se sentir efficace dans ses activités, avec une perception de progrès. Ce sentiment renforce la persévérance et l’investissement dans une tâche.

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30
Q

Affiliation

A

Besoin de relations significatives, de se sentir connecté et soutenu par autrui. Ce besoin confère du sens et renforce la motivation dans un contexte social.

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31
Q

Motivation intrinsèque

A

Activités réalisées pour elles-mêmes

32
Q

Quels sont les trois types de motivation intrinsèque?

A

-Sensation : pour le bien-être associé à certaines sensations,
-Connaissance : pour l’intérêt d’apprendre et d’enrichir ses connaissances,
-Accomplissement : pour la satisfaction de se sentir efficace et progresser.

33
Q

Motivation extrinsèque

A

Activités réalisées pour obtenir une récompense ou éviter une punition

34
Q

Quels sont les degrés d’autodétermination de la motivation extrinsèque?

A

-Régulation extérieure
-Régulation introjectée
-Régulation identifiée
-Amotivation

35
Q

Régulation extérieure

A

Activités menées par obligation ou injonction, sans possibilité de les éviter

36
Q

Régulation introjectée

A

Pression interne, souvent pour éviter des sentiments de culpabilité ou pour se prouver quelque chose.

37
Q

Régulation identifiée

A

Activité étant perçue comme ayant un sens personnel, bien que l’objectif soit extérieur.

38
Q

Amotivation

A

Absence de motivation, sans raison claire pour s’engager ou persister dans une activité

39
Q

Locus de causalité (interne/externe)

A

-Référence à la source perçue de son comportement.
-Locus interne: on se considère comme l’origine de ses actions, renforçant la motivation intrinsèque
-Locus externe: les actions sont considérées comme contrôlées par des forces externes, réduisant ainsi la motivation intrinsèque.

40
Q

Continuum/Spectre de motivation

A

Gamme décrivant les types de motivation allant de l’extrinsèque à l’intrinsèque, avec différents degrés d’autodétermination en fonction de la mesure dans laquelle la motivation s’aligne sur les valeurs et les intérêts de chacun.

41
Q

Motivation Qualité vs Quantité

A

La SDT souligne que le type (qualité) de motivation est plus important que le degré (quantité) de motivation présente, la motivation autodéterminée conduisant souvent à de meilleurs résultats.

42
Q

Motivation autonome

A

Implique une motivation intrinsèque et une motivation extrinsèque entièrement intériorisée (par exemple, une régulation identifiée et intégrée).

43
Q

Motivation contrôlée

A

Motivation influencée par des pressions ou des obligations externes, souvent liée à des facteurs extrinsèques tels que des récompenses ou des punitions.

44
Q

Théorie de l’évaluation cognitive

A

Sous-théorie du SDT proposant que la motivation intrinsèque est affectée par des événements externes, comme les récompenses ou les commentaires, selon qu’ils soutiennent l’autonomie et la compétence ou qu’ils déplacent le lieu de causalité vers l’extérieur.

45
Q

Défi optimal

A

Idée selon laquelle la motivation est maximisée lorsque les tâches sont suffisamment difficiles, nécessitant des efforts mais étant réalisables, ce qui soutient la compétence.

46
Q

Théorie des objectifs

A

Cadre proposé par Carol Dweck et Ellen Leggett en 1988 explorant la manière dont les objectifs personnels influencent la motivation, la performance et les réponses aux défis et aux échecs, en particulier dans des contextes de réussite. Il fait la distinction entre les objectifs de maîtrise et de performance.

47
Q

Objectifs de maîtrise

A

Objectifs axés sur le développement des compétences et l’amélioration des connaissances.

48
Q

Objectifs de performance

A

Objectifs axés sur la démonstration de capacités aux autres ou l’obtention d’une validation externe, souvent associés à une motivation extrinsèque.

49
Q

Objectifs d’approche de performance

A

Visent à démontrer la compétence et à obtenir une reconnaissance positive, comme obtenir des notes élevées pour montrer ses capacités.

50
Q

Objectifs d’évitement de performance

A

Visent à éviter l’apparence d’incompétence, souvent motivée par la peur du jugement ou de la critique, conduisant à des comportements tels que le retrait de la participation.

51
Q

Théorie de l’entité de l’intelligence

A

Croyance selon laquelle l’intelligence est un trait fixe. Les individus qui partagent ce point de vue sont plus susceptibles d’adopter des objectifs de performance, car ils cherchent à prouver leurs capacités et à éviter les situations où ils pourraient paraître moins intelligents.

52
Q

Théorie incrémentale de l’intelligence

A

Croyance selon laquelle l’intelligence peut être développée par l’effort et l’apprentissage. Les personnes ayant cet état d’esprit sont plus enclines à atteindre des objectifs de maîtrise, considérant l’effort comme une voie vers l’amélioration des compétences.

53
Q

Objectifs auto-référencés

A

Objectifs fixés en mettant l’accent sur le progrès personnel et l’auto-amélioration plutôt que sur la comparaison avec les autres, typiques des objectifs de maîtrise. Exemple: un athlète souhaitant battre son propre record.

54
Q

Objectifs référencés par d’autres

A

Objectifs fixés en mettant l’accent sur la comparaison avec les autres, typiques des objectifs de performance. Exemple: un athlète visant à surpasser ses concurrents.

55
Q

Objectifs de l’approche de maîtrise

A

Sous-catégorie introduite par Elliot (1999) où l’accent est mis sur l’amélioration des compétences personnelles dans une activité.

56
Q

Objectifs de maîtrise-évitement

A

Ssous-catégorie introduite par Elliot, où l’accent est mis sur l’évitement des erreurs ou de la régression de ses compétences.

57
Q

Risques liés aux objectifs de performance

A

Les objectifs de performance peuvent parfois entraîner des conséquences négatives, comme la démotivation après avoir atteint un objectif fixé (par exemple, un athlète se sent perdu après avoir remporté un titre), l’anxiété due à la peur de l’échec ou le développement d’une aversion pour l’activité en raison de perceptions. capacité insuffisante.

58
Q

Avantages des objectifs de maîtrise

A

Les objectifs de maîtrise peuvent favoriser la résilience et l’adaptabilité à l’échec. Les personnes ayant ces objectifs ont tendance à réévaluer leurs stratégies et sont plus flexibles dans leur approche, ce qui les rend plus persévérantes et motivées à continuer d’apprendre.

59
Q

Curiosité résiduelle

A

Intérêt continu pour la tâche après la fin de l’engagement formel, observé chez les individus ayant des objectifs de maîtrise. Par exemple, dans une étude de Vallerand et al. (1996), les participants à des tâches coopératives (orientées vers la maîtrise) ont montré une plus grande persévérance à explorer la tâche par curiosité intrinsèque.

60
Q

Persistance et résilience

A

Caractéristiques communément associées aux objectifs de maîtrise, où les individus sont motivés à continuer malgré les revers, analysant et ajustant souvent leurs méthodes plutôt que d’éviter les défis.

61
Q

Quel est l’impact de la compétition par rapport à la coopération?

A

Dans l’étude de Vallerand et al. de 1996, il a été constaté que la compétition (axée sur la performance) réduisait l’engagement et la persévérance par rapport à la coopération (axée sur la maîtrise).

62
Q

Modèle transthéorique du changement

A

Développé par Prochaska et Di Clemente en 1982, ce modèle décrit les étapes de changement que traversent les individus lorsqu’ils modifient leurs comportements, en particulier dans les domaines liés à la santé comme la dépendance ou la perte de poids.

63
Q

Quels sont les 6 stages de changement?

A

-Précontemplation
-Contemplation
-Préparation
-Action
-Entretien
-Rechute/Recyclage

64
Q

Précontemplation

A

La personne ne reconnaît pas le besoin de changement ou nie tout comportement problématique. La motivation est faible, car les bénéfices du changement ne sont pas encore reconnus.

65
Q

Contemplation

A

La personne prend conscience du comportement problématique et envisage un changement mais reste ambivalente, pesant le pour et le contre du changement par rapport au maintien du comportement actuel.

66
Q

Préparation

A

La personne décide de changer et commence à planifier des actions, à fixer des objectifs et à recueillir des informations, avec l’intention claire de prendre des mesures rapidement.

67
Q

Action

A

L’individu met activement en œuvre des stratégies de changement, en ajustant ses habitudes et ses routines.

68
Q

Entretien

A

L’individu s’efforce de maintenir le nouveau comportement et de prévenir les rechutes, en renforçant les changements positifs pour les rendre durables.

69
Q

Rechute (ou recyclage)

A

Retour temporaire à d’anciens comportements. Considérée comme un élément normal du cycle de changement, la rechute offre l’occasion de réévaluer les motivations et les défis.

70
Q

Ambivalence

A

Courante au stade de la contemplation, l’ambivalence fait référence à des sentiments contradictoires à l’égard du changement. Les gens peuvent y voir à la fois des avantages et des inconvénients, ce qui rend difficile de s’engager pleinement dans le changement.

71
Q

Prévention des rechutes

A

Implique des stratégies utilisées pendant la phase de maintien pour minimiser le risque de retour aux vieilles habitudes, en reconnaissant la rechute comme faisant partie du processus de changement plutôt que comme un échec définitif.

72
Q

Non-linéarité du changement

A

Modèle cyclique plutôt que linéaire, reconnaissant que les personnes peuvent progresser, régresser ou rester dans une étape pendant de longues périodes, le mouvement entre les étapes étant flexible.

73
Q

Entretien motivationnel

A

Technique de conseil développée par Miller et Rollnick (1995) soutenant le mouvement des individus à travers les étapes de changement, visant à résoudre l’ambivalence et à améliorer la motivation pour atteindre les étapes d’action et de maintien.

74
Q

Équilibre décisionnel

A

Technique utilisée en thérapie cognitivo-comportementale (TCC) dans laquelle les individus énumèrent les avantages et les inconvénients du changement, dans le but que les avantages l’emportent sur les inconvénients, favorisant ainsi l’engagement dans le changement.

75
Q

Auto-efficacité

A

Confiance dans sa capacité à changer, souvent renforcée en surmontant avec succès les obstacles. Une faible efficacité personnelle peut survenir après plusieurs tentatives infructueuses, comme on le voit dans les cas d’échecs alimentaires répétés, où les individus peuvent développer la conviction qu’un changement durable est impossible.