3- APP #3 (Prost) Flashcards
étiologie HBP
- provient des chgm endocriniens liés au processus du vieillissement
- accumulation excessive de DHT qui stimule la prolifération des cellules de la prostate
- facteurs de risque: obésité, inactivité, alcool, tabac, diabète, ATCD familiaux, âge
vrai ou faux: HBP comprime progressivement urètre jusqu’à obstruction partielle/complte
vrai
manifestations cliniques HBP
- obstructifs: ↓ calibre/jet urinaire, dysurie, intermittance, persistance de l’égouttement à la fin de la miction
- irritatifs (associés à infection/inflammation): miction fréquente/impérieuse, dysurie, nycturie, incontinence
- hématurie dans SMU
examens cliniques/paracliniques poyr HBP
- ERD: examen rectal digital, estimer taille/symétrie, à partir de 50 ans pour surveiller apparition/progression
- APS: prise de sang, antigène prostatique spécifique, taux sanguin élevé = HBP
- urine résiduelle urée/créat pour évaluer si IR
- écho transrectale
APS
- antigène prostatique spécifique
- glycoprotéine qui se trouve dans l’épithélium de la prostate
- sert à surveiller évolution, si taux ↑ + d’investigation
- faux positifs après éjaculation, après vélo, si pas de relations sexuelles, médicament (Allopurinol), après ERD
- faux négatifs par médicaments (Proscar, Avodart)
- procédure: prélever échantillon sanguin avant ERD, car stimulation de production d’antigène (peut créer faux +)
écho transrectale avec ou sans biopsie
- écho: méthode d’exploration non invasive → moyen + efficace pour dx précoce du cancer de la prostate et choix de txt
- montre taille et forme
- lavement 1h avant examen
- après: rectorragie possible (observation post-biopsie → regarder SV → si saignement = ↓TA et ↑FC), inconfort, rétention urinaire
- biopsie se fait en même temps
processus thérapeutique HBP
- chgm de régime (pas d’épicés, café, alcool, etc.)
- éviter m * décongestionnants/anticholinergiques
- éviter boire bcp au même moment
- exercices Kegel: 2-10sec, 8-12 séances x3/jour = 24-36x/jour → redonner tonus et contrôle sphincter
- cathéter pour vider la vessie
- Proscar
- Flomax
Proscar
- ↓ taille prostate → ↓ symptômes, ↓ risque cancer prostate
- effets sec.: ↓ libido, moins de volume d’éjaculat, problèmes érectiles
- 6-12 mois avant effet
Flomax
- ↓ des contractions des muscles lisses
- soulage mais traite pas
- effets sec.: HTO
- 2-3 sem max pour effet
résection trans-urétrale de la prostate (RTUP)
- intervention chx qui retire le tissu prostatique à l’aide d’un instrument inséré dans l’urètre
- préop: il faut mettre cathéter pour rétablir drainage urinaire
- postop: sonde à 3 voies pour irriguer et drainer la vessie pour éviter l’obstruction par des caillots urinaires/muqueuses (2-4 jours), surveillance des complications (distension vessie, spasmes), permet aussi de surveiller saignement
complications HBP
- rétention urinaire aiguë
- infection des voies urinaires
- calculs vésicaux
- IR
complications RTUP
- saignements
- éjaculation rétrograde (sperme à tendance à remonter dans la vessie)
- spasmes de la vessie
- dysfonctionnement sexuel (si nerfs endommagés)
enseignement après RTUP
- exercices Kegel (24-36x/jour) pour redonner tonus et contrôle au sphincter
- pas soulever d’objets lourds, pas forcer pendant défécation, pas marcher lgt
- 2-3L liquide/jour
examens cliniques/paracliniques incontinence urinaire quand HBP
- ERD
- examen abdo après miction
- journal des mictions
- analyse d’urine
- BSPM
processus txt incontinence urinaire
- exercices Kegel
- modification habitudes de vie
- éviter boire bcp d’eau avant coucher si nycturie
- horaire mictionnel fixe
facteurs de risque cancer prostate
- âge > 60 ans
- ATCD familiaux
- africains
- diète riche en viande rouge, produits laitiers, matière grasse
- faible consommation fruits/légumes
- atc d’HBP égal pas facteur de risque
physiopatho cancer de la prostate
- évolution selon présence andénocarcinome androgéno-dépendant
- métastases par voie directe ou lymphatique ou sanguine (os, foie, poumons, etc.)
manifestations cliniques cancer prostate
- asx au début
- similaires à HBP: dysurie, nycturie, interruption du débit urinaire, hématurie)
- ↑ dlr ds région lombosacrée qui irradie hanches/jambes (métastases osseux)
examens cliniques/paracliniques cancer de la prostate
- Hommes > 50 ans
- ERD
- ↑ APS avec cancer, mais + utilisé pour voir efficacité txt
- ↑ PAP dans sang avec cancer
- biopsie + écho transrectale (seul moyen efficace)
- pour déterminer étendue: TDM, IRM
processus thérapeutique cancer prostate
- surveillance active: pertinent pour tumeur peu avancée, pt souvent suivis pour surveiller avec ERD et taux d’APS
- chirurgie (prostatectomie radicale): galnde prostatique + vésicules séminales + partie du col vésical sont retirées, dissection des ganglions lymphatiques rétropéritonéaux, txt le plus efficace pour survie, rétropubienne et périnale (pas accès aux ganglions), laparo
complications prostatectomie
- dysérection
- incontinence urinaire
- absence d’éjaculation (on a enlevé vésicules séminales + prostate qui produisent sperme)
- infertilité (retrait glandes séminales et coupure canaux déférents)
benzodiazépines
- Ativan (txt d’appoint anxiété, mal épileptique) et Sérax (txt anxiété, S sevrage alcoolique)
- entraînent sédation → vigilance si prise d’opiacés
- risque de pharmacodépendance
- soins inf: attention au sevrage brusque, irritabilité, no-vo
épidymite urétrite
- complication ITSS
- processus inflammatoire aigu et dlr de l’épididyme qui est souvent dû à un processus infectieux ou à un reflux urinaire vers le canal déférent, parfois gonflement si intense qu’épididyme et testicules impossible à distinguer
quelles ITSS bactérienne vs virale
- bactérienne: chlamydia, gonorrhée, syphilis
- virale: virus herpès simple (VHS), condylomes (VPH)
pour quelle ITSS pouvons-nous être immunisée
- condylomes/VPH
- par vaccination
quelles ITSS ont des manifestations plus faciles à voir
- gonorrhée H
- herpès: brûlures, démangeaisons
- condylomes: lésions qui ressemblent à des chou fleur
de quoi est constitué l’anamnèse
- nombre de partenaires sexuels
- atcd de santé
- mode de vie
- PQRSTU
txt pour ITSS
- chlamydia, gonorrhée, syphilis: atb
- herpès: antiviraux, reconnaitre facteurs déclencheurs, hygiène génitale
- condylomes: chx, méthode chimique, sinon ↓ S
Monsieur Dupuis, 69 ans, est suivi pour une hypertrophie bénigne de la prostate. Comme il présente certains facteurs de risque, son médecin effectue un toucher rectal chaque six mois afin de suivre l’évolution de son problème de santé. Il indique avoir de plus en plus de difficulté à débuter sa miction et souffrir d’incontinence, malgré la pratique fréquente des exercices de Kegel.
Nommez quatre (4) autres manifestations que pourrait présenter monsieur Dupuis
- diminution du calibre et de la force du jet urinaire
- l’intermittence et la persistance de l’égouttement
à la fin de la miction - augmentation de la fréquence des mictions
- miction impérieuse
- dysurie,
- nycturie
- incontinence
- douleur/inconfort à la vessie
Monsieur Dupuis, 69 ans, est suivi pour une hypertrophie bénigne de la prostate. Comme il présente certains facteurs de risque, son médecin effectue un toucher rectal chaque six mois afin de suivre l’évolution de son problème de santé. Il indique avoir de plus en plus de difficulté à débuter sa miction et souffrir d’incontinence, malgré la pratique fréquente des exercices de Kegel.
Comment expliquez-vous la présence d’incontinence en lien avec sa situation?
L’hypertrophie de la prostate peut amener une inflammation ce qui peut causer une irritation à la vessie. Il se peut aussi que l’obstruction de l’urètre par l’hypertrophie de la prostate peut causer une distension de la vessie ce qui cause une incontinence par engorgement.
Monsieur Dupuis, 69 ans, est suivi pour une hypertrophie bénigne de la prostate. Comme il présente certains facteurs de risque, son médecin effectue un toucher rectal chaque six mois afin de suivre l’évolution de son problème de santé. Il indique avoir de plus en plus de difficulté à débuter sa miction et souffrir d’incontinence, malgré la pratique fréquente des exercices de Kegel.
Précisez deux (2) autres conseils que vous pourriez lui donner pour diminuer son incontinence.
-Modifications du mode de vie (arrêt tabac, perte de poids, régularité intestinale, réduire les irritants (comme caféine, alcool), horaire de consommation de liquide en fonction des activités de la journée)
-Établir un horaire mictionnel : horaire fixe avec intervalles, miction sur demande
-Réadaptation des muscles du plancher pelvien à l’aide de physiothérapie
- Techniques de relaxation
- Rétroaction biologique (Biofeedback)
Monsieur Dupuis, 69 ans, est suivi pour une hypertrophie bénigne de la prostate. Comme il présente certains facteurs de risque, son médecin effectue un toucher rectal chaque six mois afin de suivre l’évolution de son problème de santé. Il indique avoir de plus en plus de difficulté à débuter sa miction et souffrir d’incontinence, malgré la pratique fréquente des exercices de Kegel.
Expliquez comment devraient être effectués les exercices effectués par monsieur Dupuis.
Contracter le plancher pelvien en soulevant et resserrant les muscles autour de l’anus (comme s’il devait empêcher le passage des gaz et arrêter l’écoulement de l’urine). Soit par contraction volontaire de 1 à 2 secondes (même temps de repos) ou contraction volontaire soutenue de 6 à 10 secondes (même temps de repos). Les effectuer de 8 à 12 fois par séance, 3 fois par jour. Durée : 15 à 20 semaines.
Par suite de l’examen physique, le médecin a noté une augmentation du volume de la prostate. Il lui prescrit donc du Proscar (finastéride) et une échographie par voie endorectale de la prostate avec possibilité de biopsie
Quel est l’effet recherché par la médication prescrite?
Faire diminuer les symptômes urinaires en diminuant la taille de la prostate.
Par suite de l’examen physique, le médecin a noté une augmentation du volume de la prostate. Il lui prescrit donc du Proscar (finastéride) et une échographie par voie endorectale de la prostate avec possibilité de biopsie
À quel moment monsieur Dupuis pourra-t-il observer les effets de la médication prescrite.
Efficacité de 6 à 12 mois
Redoutant d’avoir un cancer, monsieur Dupuis vous demande quels sont les symptômes qui permettent de distinguer son état de celui d’un cancer. Que lui répondez-vous?
Symptômes semblables à ceux de l’HBP sauf en présence de symptômes associés à la présence de métastase (augmentation de la douleur dans la région lombosacrée (hanches et jambes).
Outre les signes vitaux, nommez un (1) élément que devra surveiller l’infirmière si une biopsie est réalisée
Présence de saignements (normaux et anormaux), douleur, manifestations d’infection, rétention urinaire
Trois ans plus tard, monsieur Dupuis est traité à la suite de sa 6e infection urinaire au cours des 7 derniers mois. Avec son médecin, il a été convenu qu’il aurait une résection transurétrale de la prostate dans les prochaines semaines. Monsieur Dupuis indique avoir longtemps hésité à dire oui à la chirurgie, car il craignait beaucoup les complications, dont l’éjaculation rétrograde, mais considérant la récurrence des infections, il a finalement accepté l’opération.
Expliquez la présence de la récurrence des infections urinaires dans sa situation.
L’élargissement de la prostate entraine une stase urinaire (vidange incomplète de la vessie) entrainant de l’urine résiduelle→ croissance bactérienne.
Trois ans plus tard, monsieur Dupuis est traité à la suite de sa 6e infection urinaire au cours des 7 derniers mois. Avec son médecin, il a été convenu qu’il aurait une résection transurétrale de la prostate dans les prochaines semaines. Monsieur Dupuis indique avoir longtemps hésité à dire oui à la chirurgie, car il craignait beaucoup les complications, dont l’éjaculation rétrograde, mais considérant la récurrence des infections, il a finalement accepté l’opération.
Expliquez en quoi consiste la complication crainte par monsieur Dupuis
À la suite du trauma du sphincter urétral interne, le sperme est déversé dans la vessie lors de l’éjaculation (moins de pression), ce qui donne un aspect trouble à l’urine lors de la miction suivante
Monsieur Dupuis a été opéré ce matin, la chirurgie s’est bien déroulée. La sonde urinaire draine de l’urine rosée. Il évalue sa douleur à 3/10.
À la suite de sa chirurgie, pourrait-il y avoir des saignements au niveau du méat urinaire?
Oui, un saignement pourrait avoir lieu et s’écouler via le méat urinaire. En position couchée, le saignement a tendance à remonter dans la vessie mais en position debout, le saignement risque de se faire vers le méat à cause de la gravité.
Monsieur Hubert a subi une prostatectomie radicale par laparoscopie. Il est revenu de la salle de réveil il y a une heure. Une perfusion de Lactate Ringer est en cours à 80 ml/h. Le pansement abdominal est propre. La sonde vésicale draine du liquide rosé et il y a peu de caillots sanguins dans le sac collecteur.
Expliquez la pertinence d’une sonde urinaire lors de la période postopératoire?
Surveiller la présence de saignement et de caillots de sang dans l’urine et assurer le drainage de l’urine et des caillots de sang (diminuer spasme et douleur). Permet d’évaluer la quantité d’urine.
Monsieur Hubert a subi une prostatectomie radicale par laparoscopie. Il est revenu de la salle de réveil il y a une heure. Une perfusion de Lactate Ringer est en cours à 80 ml/h. Le pansement abdominal est propre. La sonde vésicale draine du liquide rosé et il y a peu de caillots sanguins dans le sac collecteur.
Serait-il pertinent de faire un bladder scan? Expliquez.
Non, car il y a une sonde donc pas de résidu et la sonde draine bien. Le bladder scan serait pertinent si la sonde était obstruée (le patient se plaindrait de douleur sus-pubienne/spasmes vésicaux ou il y aurait une absence de drainage d’urine).
Le départ de monsieur Hubert est autorisé par le médecin, vous lui remettez donc les prescriptions de départ. Vous lui expliquez qu’il devra se présenter à tous les 3 mois pour un suivi de l’APS.
Expliquer pourquoi on mesurera le taux d’antigène prostatique spécifique (APS) à la suite de la chirurgie.
Dans ce cas, le taux d’APS sert à vérifier la réussite du traitement. Lorsque le traitement a réussi à éliminer le cancer, les taux d’APS devraient descendre à un niveau indétectable. La mesure régulière des taux d’APS après le traitement est donc importante pour évaluer son efficacité et la récurrence possible du cancer.
Le départ de monsieur Hubert est autorisé par le médecin, vous lui remettez donc les prescriptions de départ. Vous lui expliquez qu’il devra se présenter à tous les 3 mois pour un suivi de l’APS.
Indiquez trois (3) éléments à mentionner à monsieur Hubert qui pourraient modifier les résultats de son test.
Activité sexuelle récente, infection des voies urinaires, inflammation, traumatisme ou manipulation de la prostate, longue promenade à bicyclette, cathétérisme vésical, prise d’allopurinol (augmentation) ou de finastéride (diminution)
Monsieur Roberval, 75 ans, a subi une prostatectomie radicale à la suite d’un cancer de la prostate ce jour. Il est de retour à l’étage depuis 20h. À la FADM vous notez la prescription suivante : Ativan (benzodiazépine) 0, 5 mg SL HS PRN. Lors de votre tournée du coucher, monsieur Roberval vous mentionne qu’il prend son Ativan tous les soirs pour dormir.
Est-ce que vous exécutez l’ordonnance?
Non, compte tenu qu’il a reçu des agents anesthésiants et qu’il risque de recevoir des opiacés (douleur probable). Il devient à risque élevé de faire une dépression respiratoire. Nous pourrions lui donner si le sommeil ne vient pas de lui-même.
Quelques jours plus tard, son congé de l’hôpital est autorisé. Vous lui remettez ses prescriptions et procédez à l’enseignement sur les benzodiazépines.
Identifiez deux (2) éléments importants à inclure dans votre enseignement.
- Risque de pharmacodépendance (physique et psychologique) si usage abusif et/ou prolongé
- Effets secondaires possibles : Étourdissements, somnolence, léthargie, sensation de tête légère, céphalées, dépression, excitation paradoxale, vision trouble, dépression respiratoire, constipation, no/vo, rash
- Ne pas augmenter la dose si devient moins efficace sans consultation médicale
- Éviter de boire de l’alcool ou prendre d’autres dépresseurs du SNC
- Le sevrage brusque peut provoquer : tremblements, nausées, vomissements, crampes abdominales et musculaires, insomnie, irritabilité, nervosité
- Éviter activités qui exigent de la vigilance (peut provoquer somnolence ou étourdissement)
Une amie vient vous voir pour discuter avec vous de sa situation. En pleurs, elle vous confie qu’il y a 6 mois son médecin lui a diagnostiqué de l’herpès génital. Depuis, elle a eu des poussées à 4 reprises. Présentement, elle présente des lésions vésiculeuses au niveau des organes génitaux qui lui causent d’importantes douleurs lors de la miction. Le médecin lui a prescrit de la médication à prendre tous les jours soit de l’acyclovir (antiviral). Elle vous questionne sur la nécessité de prendre ce médicament puisque le médecin lui a bien dit que l’herpès ne se guérissait pas.
Précisez trois (3) facteurs pouvant déclencher ses poussées.
Stress, soleil, fièvre, immunosupression
Une amie vient vous voir pour discuter avec vous de sa situation. En pleurs, elle vous confie qu’il y a 6 mois son médecin lui a diagnostiqué de l’herpès génital. Depuis, elle a eu des poussées à 4 reprises. Présentement, elle présente des lésions vésiculeuses au niveau des organes génitaux qui lui causent d’importantes douleurs lors de la miction. Le médecin lui a prescrit de la médication à prendre tous les jours soit de l’acyclovir (antiviral). Elle vous questionne sur la nécessité de prendre ce médicament puisque le médecin lui a bien dit que l’herpès ne se guérissait pas.
Que répondez-vous à sa question?
Même s’ils ne guérissent pas les antiviraux diminue la durée d’excrétion du virus et de cicatrisation des lésions génitales et réduisent les éruptions de 70 à 80%
Une amie vient vous voir pour discuter avec vous de sa situation. En pleurs, elle vous confie qu’il y a 6 mois son médecin lui a diagnostiqué de l’herpès génital. Depuis, elle a eu des poussées à 4 reprises. Présentement, elle présente des lésions vésiculeuses au niveau des organes génitaux qui lui causent d’importantes douleurs lors de la miction. Le médecin lui a prescrit de la médication à prendre tous les jours soit de l’acyclovir (antiviral). Elle vous questionne sur la nécessité de prendre ce médicament puisque le médecin lui a bien dit que l’herpès ne se guérissait pas.
Indiquez deux (2) conseils que vous pourriez lui donner pour diminuer ses douleurs.
- Sèche-cheveux réglé à froid
- verser de l’eau sur la région périnéale pour diluer l’urine
- uriner dans baignoire ou sous la douche
- prendre acétaminophène ou ibuprophène.
Alicia est une jeune étudiante de 18 ans. Elle a quitté son petit ami il y a un mois et a rencontré un jeune homme de six ans son aîné. Elle consulte l’infirmière praticienne spécialisée en soins de première ligne à la clinique de médecine familiale parce qu’elle a constaté un écoulement vaginal jaunâtre nauséabond. Alicia dit qu’elle éprouve des douleurs pendant les relations sexuelles avec son nouvel ami, ce qu’elle ne ressentait pas auparavant. Elle n’y avait pas accordé d’importance, croyant que cela passerait avec le temps. L’infirmière soupçonne la présence d’une infection à Chlamydia
Les tests ont confirmé qu’Alicia a été infectée par la C. trachomatis. Pourtant, son partenaire ne présente aucun symptôme : « Il ne peut pas m’avoir contaminée », dit-elle. Elle craint de ne pouvoir avoir d’enfants plus tard.
Alicia peut-elle avoir été contaminée par son partenaire actuel, même si ce dernier n’a aucun symptôme ?
Oui. Comme l’infection peut survenir sans aucun symptôme, il est possible de la transmettre à son insu à d’autres personnes ou d’être contaminé par une personne qui ignore en être atteinte.
Alicia est une jeune étudiante de 18 ans. Elle a quitté son petit ami il y a un mois et a rencontré un jeune homme de six ans son aîné. Elle consulte l’infirmière praticienne spécialisée en soins de première ligne à la clinique de médecine familiale parce qu’elle a constaté un écoulement vaginal jaunâtre nauséabond. Alicia dit qu’elle éprouve des douleurs pendant les relations sexuelles avec son nouvel ami, ce qu’elle ne ressentait pas auparavant. Elle n’y avait pas accordé d’importance, croyant que cela passerait avec le temps. L’infirmière soupçonne la présence d’une infection à Chlamydia
Les tests ont confirmé qu’Alicia a été infectée par la C. trachomatis. Pourtant, son partenaire ne présente aucun symptôme : « Il ne peut pas m’avoir contaminée », dit-elle. Elle craint de ne pouvoir avoir d’enfants plus tard.
Le partenaire d’Alicia doit-il être examiné lui aussi pour détecter la présence d’une chlamydiose ?
Oui, car il est peut-être infecté sans le savoir.
Alicia est une jeune étudiante de 18 ans. Elle a quitté son petit ami il y a un mois et a rencontré un jeune homme de six ans son aîné. Elle consulte l’infirmière praticienne spécialisée en soins de première ligne à la clinique de médecine familiale parce qu’elle a constaté un écoulement vaginal jaunâtre nauséabond. Alicia dit qu’elle éprouve des douleurs pendant les relations sexuelles avec son nouvel ami, ce qu’elle ne ressentait pas auparavant. Elle n’y avait pas accordé d’importance, croyant que cela passerait avec le temps. L’infirmière soupçonne la présence d’une infection à Chlamydia
Les tests ont confirmé qu’Alicia a été infectée par la C. trachomatis. Pourtant, son partenaire ne présente aucun symptôme : « Il ne peut pas m’avoir contaminée », dit-elle. Elle craint de ne pouvoir avoir d’enfants plus tard.
L’ancien petit ami d’Alicia, qu’elle a quitté depuis un mois, doit-il être examiné lui aussi?
Oui. Tous les partenaires sexuels des 60 derniers jours doivent être avisés, examinés et traités au
besoin.