1A affections respiratoires PA Flashcards

1
Q

Def paralysie laryngée
Cause fréquente de quoi
+ fréquent chez qui
(A)

A

Paralysie laryngée: incapacité d’abduction (ouverture) des cartilages aryténoïdes à l’inspiration

Cause fréquente d’obstruction haute

+ fréquent chez chien

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2
Q

Causes de paralysie laryngée acquise
(A)

A
  • Polyneuropathie dégénérative (++GR)
  • Lésion nerf laryngé récurrent
  • Lésion tronc cérébral
  • Myopathie (muscles atteints) / myasthénie (innervation muscles atteint)
  • Idiopathique
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3
Q

SC paralysie laryngée (6*)
(A)

A
  • Dyspnée inspiratoire
  • Installation progressive
  • Stridor/cornage (bruits laryngée et sous-glottique, ronflements)
  • Toux déclenchée par prise alimentaire / boisson
  • Dysphonie
  • Fausse déglutition
    *Peuvent être pas présents au repos, mais majoré par stress, excitation ou chaleur
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4
Q

Diagnostiquer paralysie laryngée par laryngoscopie
(A)

A
  • Animal en décubitus sternal, sous anesthésie légère (pas trop)
  • Observation des mouvements du larynx à l’inspiration (on veut voir ouvrir) et à l’expiration
  • Défaut d’abduction uni ou bilatéral = paralysie laryngée
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5
Q

Possibilités thérapeutiques pour paralysie laryngée et risques
(B)

A
  • Chirurgical: juste quand paralysie bilatérale avec SC importants
    Latéralisation unilatérale du cartilage G (fixe cartilage G sur paroi pour maintenir ouverte)
    Risques: ++ précautions car augmente les risques de fausse déglutition, éviter excitation, éviter surpoids
  • Anti-inflammatoires: si inflammation associée
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6
Q

Étiologie collapsus trachéal (A)

A
  • Cause inconnue
  • Diminution suspectée des composantes du cartilage (glycosaminoglycanes et chondroïtine sulfate)
    = diminution de capacité à retenir l’eau, et perte de rigidité, et cartilage devient souple (affaiblissement)
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7
Q

SC collapsus trachéal (4) (A)

A
  • Toux (chronique, non productive, forte (klaxon), déclenchable à la palpation, aggravé par anxiété, excitation, repas)
  • Dyspnée (inspi, expi, ou mixte)
  • Palpation trachéale cervicale anormale
  • Sifflements trachéaux
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8
Q

Dx avec radios un collapsus trachéal intra-thoracique et extra-thoracique (A)

A

Besoin de vues latérales en inspiration maximale et en expiration maximale (les 2 pour savoir atteintes de la trachée, localisation:

  • Rétrécissement intra-thoracique: se voit à l’expiration
  • Rétrécissement extra-thoracique: se voit à l’inspiration
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9
Q

Tx collapsus trachéal en urgence (4) et en situation chronique (3)
(A)

A
  • Urgence: sédation (butorphanol), oxygéothérapie, glucocorticoïdes (AIS), refroidissement (hyperthermie)
  • Chronique: glucocorticoïdes (prednisolone), bronchodilatateurs (théophylline), antibiothérapie si infection concurrente
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10
Q

Juger quand un chien atteint de collapsus trachéal est candidat pour un stent (B)

A

Lors d’échec du traitement médical

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11
Q
  • Def bronchite chronique du chien
  • Pathogénèse
  • Évolution vers bronchite obstructive
    (A)
A
  • Bronchite chronique: inflammation des voie respiratoires profondes et fait obstruction des bronches et bronchioles
  • Par: oedème et infiltration cellulaire de la muqueuse bronchique (diminution diamètre), hypertrophie et hyperplasie des glandes à mucus (hyperproduction et hyperviscosité mucus), diminution du # de cellules ciliés
    = lésions irréversibles
  • Lésions irréversibles = bronchique chronique obstructive (par augmentation résistance passage d’air, fait un effet trappe et hypoventilation alvéolaire)
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12
Q

SC bronchique chronique chez le chien (2*)
(A)

A
  • Toux chronique quotidienne sur 2+ mois
  • Intolérance à l’effet
    *PAS de bronchospasme comme chez chat
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13
Q

Signes radiographiques d’une bronchique chronique chez chien
(A)

A
  • Opacification bronchique pulmonaire (anneaux, rail de chemin de fer - épaississement de la paroi bronchique)
  • Lésions
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14
Q

Tx bronchite chronique chez chien
(A)

A
  • Anti-inflammatoires stéroïdiens (prednisolone, FLUTICASONE PROPRIONATE par voie inhalée)
  • Bronchodilatateurs (théophylline ou bêta-2 agonistes)
  • Hygiénique (éviter embonpoint, aérocontaminants, prioriser harnais, humidificateur)
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15
Q

Prescrire une thérapie par voie inhalée pour une bronchite chronique chez le chien
(A)

A
  • Fluticasone proprionate (glucocortcoïdes/anti-inflam stéroïdiens) par voie inhalée
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16
Q

Complications hématologiques et cardiaques d’une bronchique chronique chez chien
(B)
***** edit

A
  • Emphysème
  • Hypertension artérielle pulmonaire
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17
Q

Diagnostiquer une bronchite chronique chez chien grâce à un lavage broncho-alvéolaire, après exclusion causes infectieuses
(B)

A
  • Infiltration neutrophilique prédominante, et éosinophilique
  • Quantité abondante mucus (spirales de Curshman)
  • # variable de granulocytes éosinophiles et de macrophages
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18
Q

4* mécanismes essentiels à la physiopathologie de la bronchite chronique asthmatiforme chez le chat
(A)

A
  • Hypersécrétion mucus
  • Infiltration de la muqueuse bronchique
  • Hypertrophie muscles lisses
  • Bronchospasme
    *Hypersensibilité type I
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19
Q

SC bronchite chronique asthmatiforme chez chat (6*)
(A)

A
  • Toux chronique sèche
  • Tachypnée
  • Dyspnée expiratoire / disconcordance
  • Sifflements diffus expiratoires
  • Orthopnée (dyspnée couché): + en épisode de crise
  • Cyanose: + en épisode de crise
    *Évolution progressive
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20
Q

Signes radiographiques bronchite chronique asthmatiforme chez chat (6)
(A)

A
  • Atélectasie (collapsus partie ou entiéreté poumon)
  • Opacification bronchique / hypertrophie (rails de chemin de fer)
  • Augmentation champ pulmonaire par rétention d’air
  • Augmentation espace coeur-diaphragme
  • Apparence festonne diaphragme
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21
Q

Tx crise de bronchite chronique asthmatiforme (5)
(A)

A

Médical:
- Oxygénothérapie
- AIS (prednisolone)
- Bronchodilatateurs (salbutamol **pour crise)
Hygiénique:
- Contrôler causes environnementales déclenchantes/favorisantes: enquête allergologique, isoler chat des potentiels allergènes, minimiser aérocontaminants)
- Éduquer proprio

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22
Q

Prescrire thérapie par voie inhalée pour bronchite chronique asthmatiforme chat
(A)

A
  • AIS: fluticasone proprionate
  • Bronchodilatateurs: salmétérol
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23
Q

Réaliser lavage broncho-alvéolaire à l’aveugle chez chat
(B)

A
  • Sous anesthésie générale
  • 5 mL à répéter, injecter et récuperer 30-50%
  • Suivi oxymétrie lors (estimation saturation en oxygène de l’Hb)
  • Oxygénation post-procédure
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24
Q

Tx au long terme pour chat avec bronchite chronique asthmatiforme
(B)

A
  • Thérapie par voie inhalée (fluticasone proprionate+salmétérol)
  • Salbutérol (bronchodilatateurs) en cas de crise
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25
Q

Circonstance favorisant pneumonie bactérienne (6*)
(A)

A

*souvent secondaire
- Traumatique: fausse déglutition
- Altération moyens de défense
- CÉ ou inhalation substance toxique
- Flore bactérienne commensale/pathogène
- Dysfonction immunitaire
- Fistule oesophagienne-trachéale/bronchique

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26
Q

Causes bactériennes (3), virales (5), parasitaires (2) et fongiques (3) de pneumonie infectieuse chez chat
(A)

A

Bactérienne: P. multocida, E. coli, mycoplasma
Virale: herpesvirus félin, calicivirus, PIF, FIV et FeLV
Parasitaire: capillaria, toxoplasmose
Fongique: blastomycose (affection sytémique), pneumocytose (dysfonction immunitaire), aspergillose (rare)

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27
Q

Causes bactériennes (4*), virales (1), parasitaires (2) et fongiques (3) de pneumonie infectieuse chez chien
(A)

A

Bactérienne: E. coli, P. multocida, Staph spp (MAIS tous secondaire SAUF Bordetella bronchiseptica)
Virale: maladie de carré
Parasitaires: capillaria, toxoplasmose
Fongique: aspergillose, blastomycose, pneumocytose

28
Q

Causes (3) favorisant pneumonie par fausse déglutition
(A)

A
  • Pneumonie infectieuse bactérienne secondaire
  • Fonction pharyngolaryngée inadéquate
  • Régurgitations/vomissements
29
Q

SC pneumonie infectieuse (8)
(A)

A
  • Hyperthermie
  • Abbatement
  • Dysorexie
  • Signes respiratoires (intolérance à l’effort, toux faible, dyspnée restrictive, jetage nasal bilatéral)
30
Q

Signes radiographiques pneumonie infectieuse + particularités lors pneumonie par fausse déglutition
(A)

A
  • Opacification alvéolaire et interstitielle, focal ou diffus, en périphérie et crânioventral
    FD:
  • Répartition lésions avec tendance lobe moyen et lobe crânial G
31
Q

Tx en première intention pneumonie infectieuse bactérienne ex. par fausse déglutition
(A)

A

Non-spécifique:
- Humidification + clapping, et exercice (décoller mucus et déjection)
- Fluidothérapie
- Oxygénothérapie
**Éviter AIS et anti-tussifs
Spécifique:
- Atbs large spectre (bêta-lactamines), après antibiogramme
- Anti-parasitaires
- Chirurgical si abcès pulmonaire ou CE
- Mesures préventives essentielles (isolement si suspicion contagiosité)

32
Q

Tx de soutien lors pneumonie infectieuse
(A)

A
  • Isolation
  • Atbs large spectre (pour traiter/prévenir infection secondaire)
33
Q

Investiguer les causes pneumonie infectieuse grâce aux examens complémentaires (examens sanguins, coproscopie, radiographie et lavage)
(B)

A

Examens sanguins: pour détection infectieuse, parasitaire (angiostrongylose, dirofilariose), virales (PIF, toxoplasmose), fongique
Copro : si suspicion parasitaire
Radio: si foyers alvéolaires multifocales périphériques, caractéristique de parasitose
LBA : pour faire cytologie (type d’inflammation, agent pathogène), bactériologie (culture et antibiogramme) et PCR (agent viral/fongique/bactéries délicates)

34
Q

Suspecter et prendre en charge en première intention une fibrose interstitielle pulmonaire (race prédisposée, signes cliniques, diagnostic radiographique, traitement et pronostic)
(B)

A

Race : Westies
SC : intolérance à l’effort chronique et évolutif, dyspnée, cyanose, syncopes, toux non systématiques, crépitements en fin d’inspiration
Dx radio : opacification interstielle diffuse
Tx : hygiénique, antitussifs si tousse bcp
Pronostic : sombre car évolutif

35
Q

Suspecter et prendre en charge en première intention une bronchopneumopathie éosinophilique (race prédisposée, signes cliniques, diagnostic radiographique, diagnostic à partir du LBA et traitement)
(B)

A

Races : Sibérien Husky, labradors
SC : toux chronique, dyspnée restrictive, intolérance à l’effort et essoufflement
Dx radio : opacité bronchique à péribronchique et interstitielle diffuse
Dx à partir du LBA : % éosinophilique > 10%
Tx : anti-inflammatoires, antiparasitaires

36
Q

Causes possibles LBA prédominance éosinophilique + examens complémentaires
(B)

A
  • Surinfection bactérienne ou infection secondaire (sérologie, ou écouvillon pour PCR)
  • Affection parasitaire (copro)
  • Rhinite (rhinoscopie)
37
Q

Causes oedème pulmonaire non-cardiogénique
(B)

A
  • Augmentation brutale. de la pression hydrostatique capillaire
  • Oedème lésionnel secondaire suite à une altération membrane alvéolo-capillaire
38
Q

Causes hypercoagulabilité sanguine prédisposant à la thromboembolie pulmonaire (7)
(B)

A
  • Syndrome néphrotique
  • Hypercorticisme
    -Anémie hémolytique immunitaire
  • Cardiopathie
  • Tumeur
  • Dirofilariose (parasites)
  • Pancréatite
39
Q

TD Localiser l’atteinte respiratoire en fonction des signes cliniques observés (jetage, éternuements, toux, dyspnée obstructive, dyspnée restrictive, stertor, stridor, reverse sneezing)
(A)

A

Voies hautes : éternuements, stertor (son grave, obstruction fixe, nez, nasopharynx, trachée) /stridor (son aigue, restriction passage de l’air, larynx), toux, dysphagie (voie), sécrétions, dyspnée inspiratoire et expiratoire

Bronches : toux, dyspnée par crise, fatigue, sécrétions, dyspnée expiratoire

Poumons : dyspnée, fatigue, atteinte état général, toux, sécrétions, dyspnée restrictive

Espace pleural : dyspnée, fatigue, atteinte état général, toux, dyspnée restrictive

40
Q

TD Examens complémentaires adaptés face à une suspicion de rhinosinusite chronique chez le chat et démarche diagnostique
(A)

A

Exams: scanner, hémato-biochimie (vérifier reins pour vieux chats), écouvillonnage profond, rhinoscopie et lavage nasal
Démarche dx: : scanner (liquide bilatéral ou unilatéral) et écouvillonnage profond (si inflammatoire ou tumorale), rhinoscopie et lavage nasal avec examen cytologique

41
Q

TD Prescrire les examens complémentaires adaptés face à une suspicion de sténose nasopharyngée + polype chez le chat
(A)

A

scanner et endoscopie nasale/rhinoscopie, et prélèvements (biopsies et écouvillonnage)

Polype: scanner

42
Q

TD Prescrire examens complémentaires adaptés face à une suspicion d’aspergillose chez chien
(A)

A

écouvillon, sérologie/prise de sang, rhinoscopie, scanner

43
Q

TD Prescrire les examens complémentaires adaptés face à une suspicion de toux chronique chez le chien + démarche diagnostique
(A)

A

Exams: radios, coproscopie, bronchoscopie, lavage broncho-alvéolaire, snap test

Démarche: radios (opacification bronchique), coproscopie (éliminer cause parasitaire), bronchoscopie et lavage broncho-alvéolaire (cytologie)

44
Q

TD Expliquer traitement d’un chat atteint d’une sténose nasopharyngée ou d’un polype nasopharyngé (principe du traitement, risque de récidive et potentielles complications)
(B)

A

Sténose nasopharyngée : dilatation de la sténose par ballonnement ou pinces
- Doit se faire en plusieurs fois
- Rx post-inflammatoire, donc acquise, donc à refaire dans la vie du chat
- Pose de stent (pas chez le chat, trop petit)
- Chirurgie : mais syndrome Claude Berner Homer possible (80%)

Polype nasopharyngé : enlever chirurgicalement
- Peu revenir
- Complications : protrusion membrane nictitante, asymétrie oculaire, myosis d’un œil = syndrome Claude Berner Homer

45
Q

AÉ (A)
Aspergillose sinu-nasale chez le chien.

Il s’agit en majorité de chiens âgés ? (-1 an, 1-6, 6+)

et de race ? (doly/brachycéphale)

Les chiens de sexe ? (m/f)
semblent prédisposés.

A

1-6 ans
Dolycéphales
M

46
Q

AÉ (A)
Vous recevez un chat de 9 mois présentant des ronflements depuis son plus jeune âge. Vous suspectez une obstruction nasale ou nasopharyngée. Voici l’examen buccal lors de l’anesthésie générale de ce chat. Quelle hypothèse retenez vous (un seul mot attendu, sans majuscule)

A

polype

47
Q

AÉ (A)
Laquelle de ces affections fait partie du diagnostic différentiel des dyspnées restrictives ?
Paralysie laryngée, collapsus trachéal, oedème pulmonaire cardiogénique, bronchite chronique, sténose nasopharyngée

A

oedème pulmonaire cardiogénique

48
Q

AÉ (A)
Chien Labrador Retriever âgé de 12 ans, est présenté en consultation pour essoufflement. L’examen de l’appareil respiratoire révèle une discrète augmentation des bruits respiratoires à l’auscultation en région laryngée. L’examen du larynx sous anesthésie superficielle met en évidence un défaut d’abduction des cartilages aryténoïdes à l’inspiration. Quel est le diagnostic le plus probable?
Paralysie laryngée, laryngite, tumeur laryngée, collapsus laryngé stade II

A

paralysie laryngé

49
Q

AÉ (B)
Complications possibles d’une affection respiratoire chronique?
Neutrophilie, hypertension artérielle pulmonaire, lymphocytose, hypertension artérielle systémique

A

Hypertension artérielle pulmonaire

50
Q

AÉ (A)
Quelle anomalie de la courbe respiratoire est attendue chez un chien bouledogue présentant un syndrome obstructif des voies respiratoires ?
Dyspnée inspiratoire, discordance, dyspnée restrictive, dyspnée expiratoire

A

dyspnée inspiratoire

51
Q

AÉ (A)
Quelle maladie peut entraîner une pneumonie infectieuse chez le chien?
Leptospirose, maladie de Carré, puroplasmose, parvovirose

A

Maladie de Carré

52
Q

AÉ (B)
Un chien West Highland White Terrier femelle âgé de 13 ans est présenté en consultation pour un essoufflement à l’effort évoluant vers l’aggravation depuis 3 mois. L’examen cardio-vasculaire met en évidence un souffle systolique apexien gauche de grade 2/6 ainsi qu’une arythmie sinusale respiratoire. L’auscultation pulmonaire met en évidence des crépitements en fin d’inspiration. Quel est le diagnostic le plus probable?
Oedème aigu pulmonaire, bronchopneumopathie éosinophilique, fibrose interstitielle pulmonaire, bronchite chronique

A

Fibrose interstitielle pulmonaire

53
Q

AÉ (B)
Quelle modification aux analyses sanguines est particulièrement évocatrice d’une pneumonie bactérienne chez un chien?
Monocytose, augmentation marquée de protéine C réactive, hyperglobulinémie, éosinophilie

A

augmentation protéine C réactive

54
Q

AÉ (A)
Un chien Caniche mâle âgé de 6 ans est présenté en consultation pour une toux forte évoluant depuis 4 semaines. A l’examen clinique, une dyspnée obstructive de type inspiratoire est observée. Le réflexe laryngo-trachéal est positif. Le chien ne présente pas de dysphagie ni de changement de voix. Quelle est votre principale hypothèse?
Paralysie laryngée, bronchopneumonie éosinophilique, fibrose interstitielle pulmonaire, collapsus trachéal, bronchite chronique

A

collapsus trachéal

55
Q

AÉ (B)
Dans le liquide de lavage broncho-alvéolaire d’un chat atteint d’une bronchite chronique asthmatiforme, quel type de cellules retrouve-t-on généralement en plus grande proportion?
Éosinophiles, neutrophiles, macrophages alvéolaires, lymphocytes, mastocytes

A

éosinophiles

56
Q

AÉ (A)
Quel est le signe clinique attendu chez un chien présentant un collapsus trachéal cervical?
Tachypnée, déclenchement d’une toux faible à l’examen clinique, dyspnée manifestant par tirage costal, dyspnée manifestant par effort abdominal à l’expiration

A

dyspnée inspiratoire manifestant par tirage costal

57
Q

AÉ (B)
Lors de bronchopneumonie éosinophilique idiopathique chez le chien, parmi les molécules suivantes, quel est le traitement indiqué?
AIS, diurétique, anti-tussifs, atbs large spectre

A

AIS

58
Q

AÉ (A)
Vous recevez un labrador male de 2 ans, présentant un jetage unilatéral gauche mucopurulent avec des éternuements et de l’épistaxis intermittent. Une adénopathie mandibulaire ipsilatérale est également présente.
Dans le cadre d’une suspicion d’aspergillose sinu-nasale chez le chien, l’approche diagnostique idéale repose sur:
Radio crâne + endoscopie, scanner, scanner + endoscopie, endoscopie

A

scanner + endoscopie

59
Q

AÉ (A)
Vous recevez un beauceron male de 2 ans pour épistaxis et éternuements. Dans ce contexte où une aspergillose est envisagée, quelle proposition suivante concernant l’exploration diagnostique est vraie ?
examen séro est très sensible, scanner révèle souvent polype, exam séro est très spécifique, scanner révèle lyse étendue des cornets nasaux

A

scanner révèle lyse étendue cornets nasaux

60
Q

AÉ (B)
Pour traiter un chien souffrant d’une aspergillose sino-nasale, quel antifongique oral proposez-vous en relais de la balnéation à l’énilconazole dilué ?
Itraconazole, posaconazole, amphotéricine B, kétoconazole

A

itraconazole

61
Q

AÉ (A)
Vous recevez un chat de 1 an qui présente un stertor isolé depuis plusieurs mois. Aucun autre signe respiratoire n’est présent. Le propriétaire ne signale par ailleurs ni dysphonie ni dysphagie. Dans ce contexte, vous suspectez une lésion obstructive du nasopharynx.

Lors d’une atteinte nasopharyngée, quel examen allie une excellente sensibilité et spécificité et un cout abordable ?
Endoscopie rétrograde, scanner du crâne, IRM du crâne, radio du crâne

A

endoscopie

62
Q

AÉ (B)
Lors de l’extraction chirurgicale d’un polype nasopharyngé (traction et bullotomie ventrale) chez un chat, quelle complication peut être observée ?
syndrome de Horner, dysphonie, mydriase pathologique du côté opéré, paralysie faciale

A

syndrome horner

63
Q

AÉ (A)
Vous recevez une chatte de 8 ans, présentant un jetage bilatéral mucopurulent évoluant depuis plusieurs mois, accompagné d’éternuements en crises quotidiennes. Son état général est par ailleurs conservé. Dans ce contexte vous suspectez une rhinite ou rhino-sinusite chronique idiopathique. S’agissant d’un diagnostic d’exclusion, quel examen parmi les suivants vous semble PRIORITAIRE ?
Écouvillon nasal pour culture bactérienne, radio crâne, biopsie nasale pour PCR, test séro FIV et FeLV

A

biopsie nasale pour PCR et agents infectieux respiratoires

64
Q

AÉ (A)
Vous recevez un chat de 2 ans présentant un stertor depuis l’acquisition à l’âge de 6 mois, sans jetage ni éternuement. L’animal ne présente pas ailleurs ni toux ni dysphagie.
A l’examen clinique, vous confirmez le stertor inspiratoire et le reste de l’examen clinique est sans anomalie.
Il vit en appartement sans congénère et n’a reçu jusqu’à présent aucun traitement.
Quelle hypothèse privilégiez-vous en priorité ?
CE nasopharyngé, sténose nasopharyngée, rhino-sinusite chronique idiopathique, laryngite virale (calicivurs)

A

sténose nasopharyngée

65
Q

AÉ (B)
Vous venez de découvrir une sténose nasopharyngée chez un chat de 2 ans présentant un stertor isolé. Quelle procédure efficace connaissez-vous en première intention pour corriger la sténose ?
Dilatation au ballonet, palatoplastie, dilatation à pince, stent

A

dilatation à pince