UE1A-3 Relation médecin patient - Habiletés communicationnelles Flashcards

1
Q

Que se passe-t-il lors de la rencontre médecin/patient ?

A

=> Une communication s’établit.

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2
Q

Quels sont les 2 fonctions de la communication qui s’établit ?

A
  • Échanger des informations
  • Établir une relation
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3
Q

À la demande de qui débute la relation médecin/patient ?

A

À la demande du patient.

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4
Q

Que se passe-t-il à chaque interaction entre le patient et le médecin ?

A

La relation évolue.

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5
Q

Qu’est-ce qui est essentiel à la relation thérapeutique ?

A

La confiance, la compétence du professionnel, la bienveillance, secret professionnel.

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6
Q

À qui la confiance est-elle initialement accordée ?

A

N’est pas liée à la personne du médecin, mais au représentant d’une profession autorisée à pratiquer la médecine.

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7
Q

Vers quoi peut ensuite évoluer la relation Médecin/Patient ?

A

Dans la durée elle peut évoluer vers un lien de confiance personnalisé entre ce médecin et ce patient.

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8
Q

Pour quoi est bénéfique la relation médecin/patient ?

A
  • Meilleure adhésion aux traitements
  • Satisfaction mutuelle accrue
  • Meilleure maitrise de certains symptômes

=> Améliore la santé réelle des patients !

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9
Q

Une co-construction : Médecin et Patient cherchent à donner un sens à leur rencontre…

A
  • Soignant : sens médical à ce que lui dit le patient et aux éléments cliniques et paracliniques selon un paradigme scientifique.
  • Patient : sens aux symptômes et les faire disparaître.
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10
Q

Définition : Paradigme scientifique

A

=> Modéré de pensée, dans lequel on exerce la médecine, on se dirige vers le médecin car c’est le mieux qualifié pour nos soins.

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11
Q

Comment est l’acte médical ?

A
  • À la fois scientifique et humaniste.
  • La relation Médecin/Patient implique de la part du soignant à la fois implication et distanciation.
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12
Q

Définition : Relation Asymétrique

A

Relation Médecin/Patient est TOUJOURS Asymétrique.

  • Soignant possède les compétences médicales.
  • Patient possède l’expérience de maladie (patient = expert)
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13
Q

Pourquoi le patient consulte un médecin ?

A

Pour bénéficier de ses compétences.

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14
Q

Quelles sont les attentes du soignant et du médecin ?

A

Ils ont des attentes distinctes non congruentes (= ne vont pas dans le même sens) mais dépendent l’un de l’autre.

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15
Q

Le patient et le médecin sont égaux…

A

Bien que le soignant détient les connaissances et la compétence professionnelle, il n’est pas supérieur au patient.
=> Ce rapport doit se faire au bénéfice du patient.

«Agenda du patient» et «Agenda du médecin» doivent être négociés !

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16
Q

Définition : Agenda

A

= Ce qu’on attend de la consultation

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17
Q

Définition : Relation longue durée

A

=> Se construit lors des séquences de dialogue entre médecin et patient, parfois sur plusieurs dizaines d’années.

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18
Q

Comment est la relation de longue durée ?

A
  • Unique
  • Irréversible
  • Dynamique
  • TOUJOURS évolutive

En redéfinition : continuelle

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19
Q

Quand débute la relation médecin/patient ?

A

AVANT la première rencontre.

(Par la famille ou par réputation, pour avoir été conseillé au patient)

  • Expériences médicales passées sont déterminantes pour les relations à venir.
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20
Q

Définition : Rencontre clinique

A

=> mise en présence de 2 personnes, non pas d’un technicien et d’un organe malade.

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21
Q

Plus le soignant s’engage avec un patient…

A

Plus il prend de risques sur le plan émotionnel.

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22
Q

Moins le soignant s’engage avec un patient…

A

Moins il aura accès à des données personnelles, intimes du patient qui pourraient l’aider

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23
Q

Que doit alors trouver le soignant ?

A

LE JUSTE MILIEU entre Réserve et Engagement.

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24
Q

Que permet également une bonne relation médecin/patient concernant le soignant ?

A

=> Un facteur protecteur du syndrome d’épuisement professionnel (burn-out).

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25
Q

Le Modèle Biomédical (XIXème siècle)

A
  • émerge dans un contexte de changements majeurs survenus dans la pratique médicale (= invention du stéthoscope, vaccination,…)
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26
Q

Qu’est le médecin dans le modèle biomédical ?

A

=> Un scientifique neutre, objectif et détaché.

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27
Q

Que préfère le médecin selon ce modèle ?

A
  • Les Questions Fermées et néglige les déterminants psychosociaux et culturels.
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28
Q

Sur quoi est centrée la consultation selon ce modèle ?

A

Sur le médecin, le diagnostic de la maladie et son traitement.

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29
Q

Concernant la subjectivité du patient…

A

Le modèle biomédical néglige la subjectivité du patient et ses attentes.

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30
Q

En quoi le modèle Biomédical est-il très utile ?

A

Il est très utile en formation médicale initiale.

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31
Q

Le Modèle paternaliste (Années 50)

A
  • plutôt une métaphore : similitudes entre l’enfant et la personne malade, dépendance du patient.
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32
Q

Qu’a-t-on dans le modèle paternaliste ?

A

=> Asymétrie verticale entre le médecin et le patient : la dépendance du patient varient selon la situation clinique, les capacités et l’autonomie du patient.

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33
Q

Que subis le modèle paternaliste ?

A

=> surtout évoqué actuellement pour être critiqué, souvent en le dénaturant.

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34
Q

Le Modèle Biopsychosocial (Années 70)

A
  • utilise les données provenant de l’anthropologie, de la sociologie et de la psychologie afin de mieux comprendre le patient.
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35
Q

Comment est considéré le patient dans ce modèle ?

A

Considéré comme un être social et émotif donc les interactions avec l’environnement physique et social agissent sur sa santé.

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36
Q

Définition : BIO

A

Symptômes et Pathologies physique.

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37
Q

Définition : PSYCHO

A

Attitude, Croyances, Comportement, …

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38
Q

Définition : SOCIAL

A

Facteurs environnementales (Famille, Amis, Travail,…)

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39
Q

L’approche centrée patient (Années 80-90)

A
  • médecin explore la maladie et l’expérience de la maladie vécue par le patient.
    => Il fait donc 2 investigations : une pour diagnostiquer la maladie et l’autre pour comprendre l’expérience subjective de la maladie chez le patient.
  • pertinente dans un contexte de soins de première ligne.

=>Modèle de relation à promouvoir !

40
Q

Que s’efforce de faire le professionnel dans ce modèle ?

A

=>De comprendre la personne dans sa globalité biopsychosocial, la décision médicale est partagée et réaliste : plan d’action commun.

41
Q

Que privilégie le médecin dans ce modèle ?

A

Il privilégie une approche directive peu directive et l’emploi de questions ouvertes : participation active du patient.

42
Q

Combien de patient dit avoir un problème de communication avec son médecin ?

A

1 patient sur 5

43
Q

Quel est le pourcentage des patients n’adhèrent pas aux recommandations médicales ?

A

30 à 70%

44
Q

Que détecte le médecin au cours d’une consultation de routine ?

A

Il détecte seulement : 30% des patients présentants une détresse psychologique élevée.

45
Q

Définition : Flexibilité relationnelle

A

Capacité du médecin à entretenir des relations plurielles qui se déclinent en fonction des situations et des circonstances.

46
Q

Les habiletés communicationnelles sont-elles innées ?

A

NON, elles ne sont pas INNÉES !!!

47
Q

Combien de consultation médical le médecin réalisera durant sa carrière ?

A
  • 200 000 consultations médicales = principal instrument de travail.
48
Q

À quoi sert l’Anamnèse ?

A

Elle fournit 60-80% des infos nécessaires à l’établissement d’un diagnostic.

=> La manière de poser les questions est essentielle !

49
Q

Concernant les questions ouvertes…

A

Elles doivent être générales, non directives, permettent l’échange de point de vue, la découverte du motif de consultation, l’exploration des attentes du patient.
- stimule l’échange.

Exemple : « Comment vous sentez vous ajd? » ; « Pouvez vous décrire vos douleurs ? »

50
Q

Concernant les questions ouvertes ciblées…

A

Qui, Quoi,Où, Quand, Comment, Pourquoi ?

Exemple : « quand avez vous appris la maladie de votre mère? »

51
Q

Concernant les questions fermées…

A

=> Plus directives, attendent une réponse courte (oui / non), doit être claire et précise (pas de jargon), sur 1 sujet à la fois, pas de suggestions en série, pas de questions qui suggèrent une réponse.

Exemple : « Combien de temps après le réveil se passe-t-il avant de fumer votre première cigarette? »; « Avez-vous eu vos règles ce mois-ci ? »

52
Q

Définition : Approche en Entonnoir

A

D’abord Questions ouvertes => Questions ouvertes ciblées => Questions fermées.

53
Q

Définition : Question poignée de porte

A

=> Patient pas exprimé de problème de santé au début mais qu’à la fin où il dit quelque chose d’important pour la consultation.

54
Q

Quel type de questions est à éviter ?

A

De type «Pourquoi»

55
Q

Écouter attentivement : le silence

A

Pour écouter, le médecin doit savoir garder le
silence (se taire) = forme puissante
d’encouragement à continuer pour le patient.

  • Silence Long
  • Silence Court
56
Q

Définition : Silence Long

A

=> Invitation au patient dans les moments delicats à exprimer ses émotions ou bien encourager le patient à exprimer son opinion, développer un sujet.

57
Q

Définition : Silence court

A

=> Stratégique de 3 secondes :
- effet positif pour contribuer à l’expression de renseignements utiles (= comprendre les motifs de consultations ou les dimensions affectives de
ses problèmes)

58
Q

Écouter attentivement : les facilitateurs

A

= Moyens techniques qui favorisent la participation de l’interlocuteur et encourage le développement du propos.

  • Non Verbaux
  • Simple Interjections
  • Un ou Deux mots
  • Une phrase simple
  • L’Écho
59
Q

Définition : Non verbaux

A

= Sourire, hochements de tête

60
Q

Définition : Simple interjections

A

« Hum Hum»

61
Q

Définition : Un ou Deux mots

A

«Continuez ! D’accord. Et ensuite ?»

62
Q

Définition : Une phrase simple

A

« Je vous écoute, Pouvez-vous m’en dire plus ? »

63
Q

Définition : L’Écho

A

= consiste à répéter un ou deux mots des dernières paroles.

64
Q

Concernant la qualité d’écoute…

A

Le médecin doit être capable d’écouter attentivement les propos et faire émerger de la description des patients : les données de nature biomédicale et biopsychosociale qui lui permettront de poser un diagnostic.

65
Q

Que doit faire le médecin ?

A

Il doit s’informer de la compréhension du patient sur son problème de santé et de ses préoccupations = les résultats de soins seront meilleurs.

66
Q

Les énoncés de clarification

A

=> Lever toute ambiguïté, notamment avec les patients d’origine culturelle différente (avec qui les ambiguïtés/erreurs de compréhension sont fréquentes).

On va alors :
- Préciser les propos
- Clarifier le processus

67
Q

Définition : Préciser le propos

A

« Qu’entendez vous par… ? »
« Pouvez vous me réexpliquer ? »

68
Q

Définition : Clarifier le processus de la consultation

A

« Je vous propose de parler de votre statut vaccinal lors d’une prochaine consultation »

69
Q

Interrompre avec tact, si nécessaire

A

Utilisée avec tact et au bon moment = peut être efficace pour garder une consultation efficace.
Exemple : « Veuillez m’excuser Mme L. mais j’ai besoin de revenir sur la description de vos douleurs abdominales actuelles. »

70
Q

Mais qu’est-il important de faire tout de même lors d’une interruption ?

A

=> Il faut s’excuser !
Ça reste tout de même une violence verbale.

71
Q

Quel est le problème de l’interruption ?

A

=> Les médecins l’utilise trop SOUVENT
- interrompent un patient exposant sa plainte initiale en début de consultation très rapidement = en moyenne au bout de 18 secondes.

72
Q

En cas d’interruption trop souvent et très rapidement lors de la consultation ?

A

=> Le patient ne complète donc pas l’énoncé de son/ses motifs de consultation et à tendance à évoquer un nouveau problème au moment de la fin de consultation : «Question Poignée de porte».

73
Q

Pourcentage de personnes concernant les questions poignées de porte ?

A

35% : pour les personnes interrompus

15% : pour les personnes non interrompus

74
Q

La communication verbale l’emporte sur les mots lors d’une communication…

A

60% du contenu d’un message est NON-VERBALE

75
Q

Les 7 dimensions de la communication non verbale :

A

1) l’Environnement

2) les caractéristiques physique de la personne

3) les vêtements et ornements de la personne

4) la distance = la proxémie

5) le toucher

6) le langage corporel

7) la paralinguisitique

76
Q

4) La Distance = La Proxémie

A
  • INTIME : 0 - 0,45m
  • AMICALE : 0,45 - 1,2m
  • SOCIAL / PROFESSIONNELLE : 1,2 - 3,7m
    => Intime lors de l’examen physique
  • PUBLIQUE : > 3,7m
77
Q

5) Le Toucher

A
  • Poser la main sur l’épaule = atmosphère chaleureuse.
78
Q

6) Langage corporel

A
  • La Kinésique : Position du corps :
    se placer à une distance sociale, s’assoir, posture chaleureuse et détendue, le corps tourné et penché vers le patient.
  • L’Expression Faciale : Éviter les sourcils froncés
  • Contact visuel : le maintenir, ne pas fuir du regard
79
Q

7) La Paralinguistique

A

=> Rythme, Timbre ajusté aux circonstances, Intonation, Volume de la voix, Débit compréhensible.

80
Q

Que permettent Tous ces éléments de communication non verbal ?

A

Permettre de communiquer au mieux dans l’intérêt du patient.

  • pour maîtriser le message qu’il veut adresser au patient
  • interpréter correctement les messages du patients
81
Q

Faire des résumées périodiques : Énoncés de résumé - synthèse

A

=> L’une des stratégies les plus puissantes pour la collecte de données précises.
= résumés à voix hautes par le médecin des propos du patient.

Exemple :
« Si je comprends bien, vous consulter pour des migraines survenant le soir depuis plus d’un mois et qui ne sont pas soulagée par le paracétamol. Ces douleurs sont intenses et vous empêchent parfois de dormir. Est-ce bien ça? »

82
Q

Que permettent les énoncées de résumé - synthèse ?

A

Permettent aux patients de confirmer l’écoute attentive du médecin, de se rassurer sur l’intérêt du médecin, de préciser, de corriger et d’ajouter des éléments.

83
Q

Quand utiliser les énoncés de résumé - synthèse ?

A

=> à chaque fois que le médecin à l’impression de ne pas comprendre son patient.

84
Q

Annoncer les transitions : les énoncés d’entretien / de signalisation

A

En passant d’une étape à une autre, le médecin utilise des marques de transitions claires = énoncés d’entretien
=> pour que le patient sache où il en est

85
Q

Les énoncés d’entretien peuvent servir à :

A
  • rediriger l’entretien :
    « Maintenant je vais palper votre abdomen »
  • annoncer un changement de style de question :
    « J’ai besoin si vous êtes d’accord de vous poser des questions précises sur votre alimentation »
  • présenter une recommandation difficile :
    « Je sais que vous n’aimez pas les médicaments, mais j’aimerais vous expliquer pourquoi un traitement est nécessaire »
  • souligner un différend :
    « Je constate que vous êtes irrités car nous ne sommes pas d’accord sur le certificat que vous demandez »
86
Q

Le reflet empathique

A
  • Le médecin doit constamment garder à l’esprit que sa tâche consiste à comprendre et aider, non à juger la qualité morale du patient ou de son comportement.
  • toujours dans le respect.
87
Q

Définition : EMPATHIE

A

= la capacité à comprendre la perspective du patient, comment il ressent les expériences et aussi la capacité à communiquer au patient cette compréhension (=le reflet empathique).

88
Q

En quoi l’empathie est-elle utile ?

A

= technique de communication utile pour gérer les sentiments puissants.

=> créer une certaine distance et limite le rapprochement
=> peut atténuer la froideur du reflet empathique

89
Q

Concernant la confiance du patient…

A

La confiance du patient en son médecin est directement liée à l’évaluation qu’il fait des émotions qu’exprime le médecin à son égard.

90
Q

Définition : SYMPATHIE

A

= sentiment agréable que l’on ressent pour quelqu’un, alors qu’on ne comprend pas nécessairement ce que vit cette personne.

=> une émotion !

91
Q

Qu’est-ce qui est conseillé pour les soignants ?

A

L’Empathie !!!

92
Q

Délivrer une information adaptée et de qualité, vérifier la compréhension du patient

A

• Le médecin doit organiser les explications en courtes séquences et inciter le patient à participer en lui demandant ce qu’il connait de son problème/traitements
→ s’enquérir des connaissances préalables du patient.

93
Q

Que constituent les croyances et les représentations du patient ?

A

=> constituent les meilleurs points de départ pour une éducation thérapeutique.

94
Q

Que peut aussi fournir le médecin ?

A
  • Un documentation écrite/internet fiable
95
Q

Que doit savoir explorer le médecin ?

A

=> Les différents obstacles qui pourraient empêcher le patient de suivre son traitement et discuter des stratégies possibles pour les surmonter.

96
Q

Intérêt des questions fermées :

A

• Encourager un patient réservé

• Contenir un patient loquace

• Lorsque les questions ouvertes n’ont pas informé suffisamment précisément le soignant

97
Q

Risque des questions fermées :

A
  • Climat d’interrogatoire = si uniquement des questions fermées
  • Arracher au patient une précision erronée.
    « Le médecin voulait tellement savoir, alors je lui ai dit quelque chose…» = la suggestibilité.