RHUMATOLOGIE Flashcards
DMO : Définition du Z-score
nb d’écart type entre la valeur du sujet et la valeur moyenne des adultes de même sexe et âge
DMO : définition du T-score
nb d’écart type entre la valeur du sujet et la valeur des adultes jeunes de même sexe
définition densitométrique de l’ostéoporose
T-score =< 2.5 DS
ostéoporose sévère T-score =< 2,5DS + fracture(s)
fractures sévères
> FESF (fracture de l’extrémité sup du fémur) ==> 1F sur 5 et 1H sur 3 vont décéder dans l’année qui suit
extrémité sup humérus
plus de 3 côtes
pelvis
genou : fémur distal ou tibial proximal
ATTENTION ! le poignet n’est pas une fracture sévère !
facteurs de risque de fracture (15)
Age origine caucasienne ménopause < 40 ans aménorhée primaire ou secondaire ATCD familial de fracture par fragilité osseuse ATCD perso de fracture faible poids troubles de l'acuité visuelle troubles neuromuscu immobilisat° prolongée tabagisme corticothérapie faible apport calcique carence en vitamine D consommation excessive d'alcool (>= 3 unités/j)
causes d’ostéoporose secondaires (6)
corticothérapie
maladies de l’ap dig
maladies infl chroniques en dehors de la corticothéapie (PR, spodylarthrite)
hyperthyroïdie (ou ttt trop dosé en hormones thyroidiennes)
anorexie mentale
mastocytose
fractures majeures
ESF, humérus, poignets et fractures vertébrales cliniques
Score FRAX c’est quoi ?
il permet d’évaluer le risque de fractures majeures en 10 ans
score validé chez les femmes ménopausées et chez les hommes de plus de 40 ans
ostéoporose : fractures les plus fréquentes
poignets ==> POUTEAU-COLLES ==> autour de 60 ans
vertèbres ==> autour de 70 ans
FESF ==> autour de 80 ans
c’est quoi le signe du puzzle ?
==> signe de fracture vertébrale ostéoporotique
bien que fracturée, la corticale de la vertèbre peut être suivie sur tout sa longueur
différence entre SDRC type 1 et type 2
type 1 ==> ALGODYSTROPHIE ==> pas de lésion nerveuse périphérique
type 2 ==> CAUSALGIE ==> lésion nerveuse périphérique
y’a t-il une relation entre la sévérité du trauma et la survenue d’un SDRC ?
NON
causes non traumatiques de SDRC
ostéo-articulaire : Rhumatisme infl, syndrome du canal carpien
neuro : AVC, SEP
cardio : TVP
infectio : zona, panaris
endoc : diabete, dysthyroïdie
médocs : PHENOBARBITAL, ISONIAZIDE, IODE RADIOACTIF
obstétrical : grossesse ==> SDRC de la hanche
ATTENTION ! le terrain anxio dépressif n’est pas un facteur déclenchant en soi
Signes radiologiques de SDRC
interligne articulaire TOUJOURS respectée
déminéralisation régionale DIFFUSE d’abord MODEREE avec amincissement des lames sous chondrales puis HETEROGENE ET MOUCHETEE
Y’a t-il un syndrome inflammatoire biologique dans le SDRC ?
NON ==> si VS et CRP augmentées ==> évoquer un autre diagnostique
SDRC à la scinti osseuse
HYPERFIXATION loco-régionale avec extension aux articulations de voisinage
HYPOFIXATION parfois ==> enfants et ados ++
SDRC : atteintes plus fréquentes au mbre inf
cheville et pieds
SDRC : atteintes plus fréquentes au mbre sup
main, poignet, épaule ==> syndrome épaule-main volontiers secondaire à une pathologie intra-thoracique ou à la prise de barbituriques
traitements du SDRC
> rééducation (l’immobilisation est délétère !) + physiothérapie
neurostimulation (TENS (neurostimulation électrique transcutanée) ou neurostimulation médullaire dans les formes très sévères)
antalgiques classes 1 et 2 ou AINS et cortico ==> souvent peu efficaces sur les douleurs de fond
en cours d’étude :
biphosphonates ==> utilisés HORS AMM dans les SDRC sévères essentiellement sur la douleur
kétamine
patch de capsaïne en cours d’étude
Epanchement articulaire mécanique vs inflammatoire
épanchement arti MECANIQUE :
> JAUNE CLAIR,TRANSPARENT, VISQUEUX (fait un fil en coulant) ==> pauvre en cellules ( <1000 cell/mL, < 50% de PNN) et en protéines (< 40g/L)
épanchement arti INFLAMMATOIRE /
> initialement JAUNE et FLUIDE puis PARFOIS TROUBLE ==> riche en cellules ( > 2000GB/mL) et en protéines (> 40g/L)
nomenclature en fct du nbre d’arti atteintes
mono ==> 1
oligo ==> 2-3
poly ==> >= 4
douleur mécanique vs douleur inflammatoire
douleur mécanique > aggravée par l'effort/ calmée par le repos > pas de réveils nocturnes > max en fin de journées > dérouillage matinal > 30mn douleur inflammatoire > peu ou pas influencée par l'effort / non calmée par le repos > réveils en deuxième partie de nuit > dérouillage matinal > 30mn
citer deux classes de médicaments donnant des arthralgies
ANTIAROMATASES
TRITHERAPIE ANTI VIH
C’est quoi la fibromyalgie ?
= diagnostic d’élimination face à une arthralgie
==> douleur articulaire sans anomalie clinique et sans substratum biologique
==> douleur d’apparition progressive le plus souvent, elles sont diffuses et siègent sur des zones d’insertion tendinomusculaire
==> horaire nocturne + associée à : asthénie, troubles du sommeil, paresthésies des extrémités, céphalées, troubles digestifs, troubles anxiodépressifs