Coming out, famille homoparentale et accès soins de santé LGBTQ+ Flashcards

1
Q

De quoi découlent les enjeux psychologiques, sociaux et médicaux qu’affrontent les jeunes de LGBTQ+

A

découlent presque tous de la RÉPROBATION qu’affrontent ces jeunes plutôt que de leur ORIENTATION MÊME.

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2
Q

rôle du médecin :

A

créer un environnement dans lequel le jeune se sent à l’aise de poser ses questions

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3
Q

Vrai ou faux, les jeunes adolescents LGBTQ+ sont plus sujets à de la violence verbale ou des voies de faits au secondaire + menaces armées et harcèlement (risque de décrochage scolaire) + susceptibles de consommes drogues et alcools et tabac pour s’évader de leurs états dépressifs

A

vrai

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4
Q

vrai ou faux, il existe certains cas où le médecin peut révéler aux parents l’identité sexuel de l’enfant

A

faux, AUCUN CAS

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5
Q

vrai ou faux, plus vulnérables aux ITS car plus susceptibles d’avoir des relations sexuelle avec un plus grands nombre de partenaires et d’avoir des relations non consensuelles

A

vrai

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6
Q

vrai ou faux, le coming out est un événement qui ne se fait qu’une fois dans une vie

A

faux, le cycle du coming out est un processus qui s’étend sur la vie entière de l’individu et qui influence leur quotidien

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7
Q

nommes quelques stresseurs du coming out

A
  • Peur d’être rejeté, intimidation, harcèlement, sécurité et oppression
  • Durant le processus de coming out, l’individu peut expérimenter des émotions négatives
  • Une crise identitaire peut favoriser des sentiments de solitudes, déconnexion, confusion, deuil, honte, colère, peur, vulnérabilité et dépression = risque d’idées suicidaires, basse estime de soi
  • Cela peut mener à de mauvais mécanismes de coping = drogues, automutilation et comportement sexuels à haut risques.
  • En faisant leur coming out à leur entourage, l’individu doit accepter le risque que certaines relations seront permanemment changé.
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8
Q

nommes quelques bénéfices du coming out

A
  • Sentiment de « empowerment »
  • Sentiment de grandir, de s’approprier sa véritable identité = renforcement identitaire, résilience et santé mental en général
  • Diminution du stress et de la détresse psychologique
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9
Q

quelles sont les 3 phases de la nature cyclique du coming out

A
  1. awareness phase
  2. assesment phase
  3. phase de décision
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10
Q

awareness phase :

A

Reconnaissance de son identité sexuel et de l’opportunité de dévoiler son identité (ex : rencontrer une nouvelle personne, désir d’être ouvert et honnête dans ses relations avec les autres). Peut être associé avec de la confusion et de la contemplation. De nouvelles situations peuvent soulever la question selon laquelle l’individu dévoile ou pas son identité. Peut être stressant, déprimant, isolant et frustrant. Risque de mauvais mécanisme de coping.

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11
Q

assessment phase :

A

Analyse à savoir si c’est approprié ou pas de dévoiler son identité sexuelle = évaluation des risques et bénéfices. Dépense d’énergie à planifier et considéré les éventuelles réponses. Peut-être influencé par ses expériences passées (positives ou négatives). Si l’individu a vécu des expériences positives, la phase d’évaluation peut ne pas être difficile. Importance d’avoir un bon système de support. Évaluation des conséquences éventuelles de la décision de dévoiler son identité.

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12
Q

phase de décision :

A

Décision de dévoiler ou pas son identité sexuelle. Peut être super positif mais peut également être influencé par des sentiment de peur, vulnérabilité et incertitudes.

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13
Q

Définition d’une famille homoparentale

A

Couple de même sexe avec un ou des enfants.

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14
Q

Vrai ou faux, les régions de Montréal et de la Capitale-Nationale regroupent 20% des conjoints vivant au sein de couples de même sexe.

A

faux, elles regroupent 50%

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15
Q

Vrai ou faux, les couples homoparentales ont plus tendance à vivre à montréal ou québec que dans les autres régions administratives

A

faux, ils vivent plus en dehors de mtl et qc (64%)

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16
Q

pourcentage de familles homoparentales féminins vs masculins

A

77% des familles homoparentales sont des couples féminins et 22%, des couples masculins.

17
Q

Vrai ou faux, les couples de même sexe avec au moins 1 enfant sont moins nombreux à être mariés que ceux sans enfant

A

faux, ils sont plus nombreux à être mariés

18
Q

vrai ou faux, les couples gais vivent plus souvent avec des enfants majeurs (33%) que les couples lesbiens (16%).

A

vrai

19
Q

vrai ou faux, les couples homoparentales ont un niveau de scolarité similaire au couple hétéroparentale.

A

faux, niveau de scolarité plus élevé :

20
Q

existe-il une différence entre le développement des enfants issus de familles homoparentales et celui des enfants issus de familles hétéroparentales ?

A

Il n’y a pas de différence ! Ils ne sont pas plus susceptibles de développer des problèmes émotionnels ou comportementaux.

C’est la qualité de la relation parent/enfant qui a un effet sur le développement de l’enfant et non pas l’orientation sexuelle des parents.

21
Q

Les enfants de parents homosexuels peuvent faire face à des défis supplémentaires. Nommes en 2.

A

● Faire face à de la discrimination dans leur communauté.
● Les enfants peuvent être taquinés ou intimidés par leurs pairs.

22
Q

Vrai ou faux, les enfants de couples homoparentales ont peut-être une attitude moins stéréotypée par rapport aux rôles sexuels et une plus grande ouverture d’esprit quant aux rôles sexuels et à l’orientation sexuelle.

A

vrai

23
Q

vrai ou faux, les lesbiennes sont plus susceptibles que les femmes hétérosexuelles d’avoir une source habituelle de soins (ex : médecin de famille) et moins susceptibles de faire part de difficultés à obtenir des soins en raison de leur coût.

A

Les femmes lesbiennes sont moins susceptibles que les femmes hétérosexuelles de consulter un médecin

et elles sont plus susceptible de faire part de leur difficultés à obtenir des soins en raisons $

24
Q

vrai ou faux, les bisexuels sont plus susceptibles que les hétérosexuels de juger leur santé passable ou mauvaise

A

vrai

25
Q

Plus de troubles de l’humeur ou de troubles anxieux sont diagnostiqués dans tous les groupes sexuels minoritaires

A

vrai (surtout femmes bisexuelles)

26
Q

Les hommes gais consultent moins que les hommes hétéro

A

faux, hommes gais sont plus susceptibles que les hommes hétérosexuels d’avoir consulté un médecin de famille, un médecin spécialiste, une infirmière, un travailleur social ou un conseiller, un psychologue, un intervenant en médecine douce et des groupes d’entraide

27
Q

L’obtention d’un test Pap varie selon l’identité sexuelle.

A

vrai, les femmes lesbiennes ont subis moins de test pap que les hétéro et les bisexuelles

28
Q

vrai ou faux, les collectivités gaies, lesbiennes et bisexuelles ont fait de l’utilisation des services de santé mentale une norme positive.

A

vrai

29
Q

vrai ou faux, seulement 8%. des couples de même sexes sont homoparentales (vs 50% des couples hétéro)

A

vrai

30
Q

les couples gais ont des enfants plus vieux que les couples lesbiens. vrai ou faux

A

vrai