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L2 > co > Flashcards

co Flashcards

1
Q

Logique interne:

A

En milieu scolaire, la course d’orientation se définit comme une
course individuelleou en petitsgroupes, contre la montreou en
temps limité, dans un terrainvarié, sur un parcours matérialisépar
des postes que l’élève doitdécouvrir dans un ordre imposé ou non, par
des cheminements de son choix en se servant d’une carte et/ou
d’une boussole, dont le déplacement s’effectuera par un moyen
spécifique »

Course contre la montre, en milieu naturel, sur un
parcours matérialisé par des postes de contrôle, par
lesquels l’orienteur doit obligatoirement passerdans
un ordre imposé, en choisissant ses itinéraires avec
l’aide d’une carte et d’une boussole»

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2
Q

Caractéristique inhérente de l’activité

A

Il s’agit d’une activité « située », indissociable ducontexte
dans lequel elle estréalisée. Peck, 1990

 Double valence entre orientation/vitesse decourse

 Modélisation de l’activité cognitive de l’orienteur (Eccles,
Macquet et Barraux, 2012):
 - trouver des balises plus vite que leurs adversaires
 - optimiser la vitesse de course toutau long du trajet
 - réfléchir surles actions menées au coursde la performance

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3
Q

Spécificité de l’APSA:

 D’un point de vue du pratiquant:

A
  • incertitude du milieu
     - diversité du milieu/de la pratique : forêt, parc, montagne,
    milieu urbain… seul, en relais
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4
Q

Spécificité de l’APSA:
D’un point de vue de l’encadrant:

A
  • perte de contrôle visuel
     - contraintes organisationnelles/sécuritaires
     - contraintes fédérales
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5
Q

Problèmesfondamentaux

A
    1. traiter une multitude d’informations, lire- se
      repérer (légende, relation carte/terrain, échelle,
      équidistance, se positionner)
       -2. concevoir l’itinéraire : distances, pointd’attaque,
      point d’appui, ligned’arrêt…
       -3. réalisation de son déplacement et adaptation
      constante : adaptation des choix « en direct » selon le
      terrain, les autres coureurs, fatigue/émotions,
      relations carte/terrain…
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6
Q

Terminologie – la carte

A

Informations présentes :

 - l’échelle : variableselon le milieu
 - l’équidistance: elle indique combiende mètresde
différencesséparent 2 lignesde niveau

 - les datesdu relevéde terrainet le nom
des cartographes
- Le plande situation (où se situe l’endroitconcerné ?)
- Les légendes spécifiquesou générales

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7
Q

PLANIMETRIE : Les éléments construitspar
l’homme=

A

NOIR / GRIS

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8
Q

Les rochers, la pierre

A

=NOIR

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9
Q

HYDROGRAPHIE

A

L’eau = BLEU

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10
Q

Terrains découverts

A

=sol
qui voit le soleil
JAUNE/ORANGE

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11
Q

VEGETATION

A

Forêt et végétation basse

= du BLANC auVERT

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12
Q

TOPOGRAPHIE

A

Les éléments dereliefs
= BISTRE (brun)

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13
Q

Les éléments de traçage de la course

A

VIOLINE

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14
Q

– la course

A

Définition d’un poste : le coureur cherche unélément
du terrain sur lequel se situe une balise, et non pas
l’inverse…

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15
Q

Définir avec des symboles en noir et blanc
l’emplacement exact

A

la balise

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16
Q

Historique et évolution

A

Invention de la boussole au XIesiècle.
 Origine en Scandinavie au XIXème siècle en tant
qu’exercice militaire. Sous forme de compétition, elle
apparaît en Suède à partir de 1897 près de Bergen, en
Norvège, et dans les années 70 enFrance.

 En 1977, la Course d’Orientation est reconnue par leComité
International Olympique
 La Fédération Internationale de Coursed’Orientation
regroupe aujourd’hui 72 pays à travers le monde.

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17
Q

FFCO

A

Première compétition nationale a été organisée en
1994, depuis on peut noter undéveloppement
croissant, l’apparition de l’APSA dans lesprogrammes
scolaires, au programme desconcours…
 En 2002, les championnats du monde sontorganisés
en France

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18
Q

Quelques dates…

A

-1897 : 1

ère CO civile à Bergen

 - 1910 : 1

er championnatdu Danemark (àpied et à ski), carteau

1/100 000 ème
 - 1961 : créationde l’IOF par11 pays
 - 1962 : 1 erchampionnatd’Europeen Norvège
 - 1970 : créationde la FFCO ParBernard Stasi
 - 1972 : 1

ère participation française au championnatdu monde

 - 1977 : reconnaissanceparle CIO de la CO pédestre
 - 2000 : introductionde la GEC (Gestion Electroniquede
Course) en France
 -2011 : Championnatdu Mondeen France, Savoie Grand Revard

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19
Q

Thierry Gueorgiou

A

14 titres mondiaux, dont
 le dernier en 2017 enEstonie
 22 médailles mondiales, spécialiste de lamoyenne
distance

 Dominationdes pays scandinaves, des pays de l’Est et
de la Suisse

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20
Q

Championnats du monde Norvège 2019:

A

Moyenne distance : Tove Alexandersson (SWEDEN 38’’20),
Olav Lundanes(Norvège,34 »18)

 Longue distance :Tove Alexandersson (SWEDEN, 1h09)
Olav Lundanes (NORVEGE, 1h 30)

 Relais :
 Podium féminin : Suède/Suisse/Russie
 Podium masculin : Suède/Finlande/France

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21
Q

FACTEURS D’EVOLUTION

A

*Une évolution technique qui permet une véritable CO et
une course moins hasardeuse
 –Des cartes de plus en plus précises
 *Échelle: 1/100 000 fin 19è, jusqu’au 1/2000 début 21ès
 *Carte au 1/50 000 années 1940.
 *Carte fait pardes orienteurs en 1963
 *Relevé de terrain: de la triangulation au GPS
 –L’apparition de la boussole de CO1930
 *Une uniformisation au niveau mondial
 –Des cartes de CO: normes ISOM et ISSOM(sprint)
 –Des formats de course: sprint, MD, LD,Relais
 Utilisation de la Gestion Electronique deCourse

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22
Q

Formes de pratiques fédérales

A

3 formats individuels àpied
 Sprint (15 min environ, urbain/parcforestier)
 Moyenne distance (35 min environ enforêt)
 Longue distance (1H30 à 1h45, enforêt)

 Plusieurs formats collectifs / relais
 - Championnat National par Equipe
 - Championnat de France des Clubs

 Classement National

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23
Q

CO à ski

A

Se réaliseà ski de fond – carte spéciale avec réseau de pistes,
praticabilité etdénivelé

24
Q

CO VTT

A

Carte fixée au cadran, combine la lecture de carte et la technique en
VTT.

La course d’orientation àVTT se pratique surtous types de terrains, sur
des parcours qui varient généralement de 10 à 35 km selon la catégorie
d’âge et le format de course. Toutefois, à la différence de la course
d’orientation à pied, les balises sont placées uniquement sur des routes
ou des chemins. La carte d’orientation à VTT est donc sensiblement
différente puisqu’elle a la particularité d’indiquer aux pratiquants l’état
des chemins selon leur « cyclabilité » et leur « largeur » (possibilitéde

25
Q

Différents parcours selon l’âgeet le sexe, catégorisés pardes
difficultésdifférentes en termede

A

Distance
 - Dénivelé
 - Difficulté technique

 Traçage en lien avec la méthodefédérale
 « Tracer, c’est penser un itinéraire»

26
Q

Outils de cartographie

A

: logiciel OCAD, utilisationde
relevés GPS

27
Q

Outils de traçage

A

logiciel OCAD, logiciel purplepen

28
Q

Gestion électronique de course (GEC)

A

:différents
logiciels

29
Q

Suivre en direct les coureurs

A

GPStracking

30
Q

Analyser son itinéraire

A

logiciel quickroute

31
Q

Formes de pratique autres

A

Depuis plusieurs années, avec l’augmentation des pratiques de
pleines natures, la course d’orientation est de plus en plus
présente dans les différents raids (souvent sous forme de
course au score, mémorisation, répartition, classique), dans les
bivouaks (Raid O’bivwak), animations en tousg enres…

 Les raids peuvent durer de quelques heures à plusieurs jours, et
s’enchaîner de jour comme de nuit, avec ou sans assistance, les
équipes devant être autonomes à chaque transition d’activité.

32
Q

Routines technico-tactiques et

contenus spécifiques

A

 RTT : « Routine Technico-tactique » = modélisation de
l’itinéraire+ maîtrise des techniques de base+ analyse
tactique du terrain

33
Q

Modélisation de l’itinéraire

A

Avant la balise:
 quand on a le poste en vue ,rechercher le point d’attaque pour la balise
suivante, définir la forme globale de l’itinéraire, points d’appuis et de
passage
 sortie de poste boussole ou azimut de contrôle
 Réalisation de l’itinéraire:
 passer parles points d’appuis
 Anticipation de l’environnement du poste (image mentale, lecture de la
définition)
 Passer le point d’attaque
 Arriver dans un environnement du poste avec la tête radar, utiliser les
éléments de l’environnement du poste mémorisé

34
Q

Fondamentaux techniques

A

selon le contexte, l’orienteur choisit la /les techniques les plus adaptées
 Méthode POP : Plier OrienterPouce
 Simplification : réduire les information àexploiter
 Lecture sommaire : sélectionnerles éléments pertinents, points d’appuis, de
passagesnécessairesà la réalisationde l’itinéraire
 Lecture précise : percevoir etrestituertous les éléments surl’itinérairede la carte
 Manipulationde la boussole : visée sommaireou visée précise
 Comptage de la doublefoulée
 Déviation volontaire : décalervolontairement sadirection de coursepour utiliser
des lignes et garantirsa position d’arrivée
 Estimation desdistances
 Relocalisation : gérer sa zone de « flou »
 Anticipation
 Règledu feu tricolore : variation des alluresde course
 Courir à flan
 Transformer l’itinéraire enlignes
 Vision lointaine

35
Q

Concernant l’aspect physique, sont prioritairement sollicitées les
qualités suivantes

A

développementprioritairede la filièreaérobie (entre 85 et 90
% de FC max ), mais aussi filière anaérobie lactique
 - agilitédudéplacement, coordination volontéde diminuerle
coût énergétiquede la course
 - endurancede force pourabsorberles contraintes musculaireset
biomécaniques

 Formesde travail possibles : travail intermittent, parcours
d’obstacles aménagé, travail de souplesse, de pied et de gainage…
Mais compte tenu de la double spécificité de l’APSA  exercices
conjoints avec l’orientation : exercice de simulation / course avec entretient ou récit itinéraire

36
Q

LIGNE D ARRÊT

A

cequi
me permet de dire que je
suis allé trop loin, j’ai
dépassé la balise, je
reviens sur mespas

37
Q

POINT D ATTAQUE =

A

le
dernier point de la carte sur
laquelle on s’appuie avant
d’aller poinçonner la balise

38
Q

Point de décision:

A

élément
du terrain qui impose et
induit un changement de
direction

39
Q

Point d’appui

A

élément du
terrain qui conforte la bonne
conduite de l’itinéraire

40
Q

Réduction Kilométrique

A

indice qui permet de
comparer la vitessede déplacement en CO, exprimée
en km/h

41
Q

RK=

A

tempsdecourse/distanceparcouruecorrigée(on
ajoute 10 fois ledéniveléà ladistanceen lignedroite)

 Indice fiable mais qui permet peu decomparaison car
trèscontextualisé

42
Q

La pratique multisports

A

Combinaison de plusieurs pratiques : course à pied, de VTT et de
canoë-kayak sont les plus représentées, parfois certaines plus
originales, tellesque l’atelierde corde à des activités d’adresse (tir
à l’arc, sarbacane…), ou encore du roller,du canyoning…
 Ces disciplines peuvent se combinersur un parcours réalisé tout
ou en partie en orientation.
La course d’orientation multisports se pratique avec tout type de
support cartographique (carte IOF, carte IGN, photo aérienneou
road book…) et sous tous les formats (ordre imposé, ordre libre,
score, mémorisation ou postebonus…).

43
Q

La pratique multisports, d’un point

de vue organisationnel

A

Avant l’événement …

 Autorisation de l’ONF, des municipalités
 Dossier à déposer auprès de la préfecture
 Si organisation fédérale, attribution des rôles (directeurde
course, traceur, contrôleur, arbitre…)
 Pharmacie/secours

 Points de vigilance :
 Respect du périmètre d’évolution (zones interdites, limites de la
carte)
 Respectdes groupements / conduite à teniren cas de blessure
 Respect du temps imparti
 Respect de l’environnement

44
Q

La maladie de Lyme, une vigilance

à avoir lors de la pratique

A
  • une infection bactérienne suite à une piqûrede tique

 - signes : rougeur autour de la piqûre, fièvre,
épuisement, troubles cognitifs  difficulté dediagnostic
car le déclenchement n’est pas forcémentimmédiat

 - conduite à tenir : se protéger par des vêtements
longs, regarder après lapratique, utiliser un tire-tique, en
cas de piqûre et de signe de rougeur  consulter un
médecin

45
Q

La pratique scolaire en CO

A

APSA qui fait partie du CA2/CP2 : Adapterses
déplacements à des environnementsvariés

 Présente dans les programmes du cycle 3 (6ème) au niveau5
(lycée, classe option EPS)
 On y retrouve les 3 problèmes fondamentaux posésà
l’orienteur

46
Q

La pratique scolaire en CO
Les évolutions

A

Milieuconnu

Milieu
partiellement
connu

Milieu
inconnu

Itinéraire
construit avecdes
lignes simples,
lignesd’arrêts,
planimétrie
privilégiée

Itinéraire
construit
avec des
lignes niv 1
et 2

Itinéraire
construit avecdes
lignes niv 1 et 2,
anticipationde
l’itinéraire, choix
plus important

47
Q

La pratique scolaire en CO
Des permanences

A

Agirdans le respectdes règlesde sécurité

48
Q
  • orienter sa carte/ méthode POP
A

je repère où je suis (triangle
de départ) et où je dois aller. Je plie la carte pour conserver ces
deux points et ce qui les entoure.
 J’oriente ma carte pour avoir devant moi sur la carte ce que j’ai
devant moi dans la réalité, je mets mon pouce où je me situe.
 Je fais glisser mon pouce lorsque j’avance.

49
Q

adapter sa vitesse de course au milieu

A

chercher à courir le
plus vite possible, faire des petites foulées lors que le terrain
monte, adopter un rythme régulierpourla respiration (je souffle
une fois de plus que je prends de l’air), écarter les bras quand ça
descend, regarder ma carte lors des moments les plus « faciles »
à courir

50
Q

méthode du feu tricolore

A

: courir assez vite à la même
vitesse , en ralentissant aux endroits où je change de
direction et au dernier endroit proche de la balise que j’ai
repéré (le point d’attaque), ralentirregarderce qui dois me
faire faire demi tour sur la carte (ligne d’arrêt), tourner la
tête pour repérer labalise,
 Je profite des moments « courants » pourregarder ma carte

51
Q

si je suis désorienté

A

je reviens au dernier endroit où je
suis sûrd’être au bon endroit, je souffle, je ré oriente ma carte avec ce que je vois ( possible avec la boussole N4/5)

52
Q

construction et réalisation de l’itinéraire N2/4

A

 Quand j’ai le poste en vue, je recherche le pointd’attaque pour le poste
suivant. A partir de là =, je regarde la forme globale de mon itinéraire,
les points d’appuis évidents.

 A la sortiedu poste, je vérifie l’orientation de ma carte
 Je passe par les points d’appuis. Une fois au point d’attaque, j’imaginele
poste à partir de ladéfinition.

 Je mets ma tête en radaret je recherche les éléments du poste pour
trouver la balise.

(construction de la routine technico tactique, à partirdes documents de la
FFCO)

53
Q

Principales SAP :

A
  • omnibus, parcours photos
     - course en étoile, enpapillon
     - jalonné, parcours surligné
     - course classique
     - course au score
     - répartition (format UNSS)
    - cartes volantes,
    cartes recopiées
  • Balises leurres, relais,corridors
54
Q
  • Chaque exercice ou SAP proposé va
A

combiner les 2 pôles
orientation et course, en mettant généralement plus
l’accent sur l’un des deux pôles.
Exemples :

 Pour favoriser la lecture de carte : omnibus (1ère séance),suivi
d’itinéraire, pair/impair, corridor…
 Pourfavoriser la vitesse et la prise de risque : duels, situations
impliquant un départ en masse, relais, poursuite
 Pourfavoriser la stratégie et la connaissance de soi : course à la
balise, au score, répartition, à handicap
 Pour favoriser l’utilisation de la boussole : carte blanche,carte
fenêtre

55
Q
A

L2 (12 decks)

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