physio Flashcards

1
Q

muscle aux myofilaments

A

Du muscle (organe)
* Au faisceau (groupe de cellules)
* À la fibre musculaire (cellule)
* À la myofibrille (organite)
* Au sarcomère (section d’organite)
* Au myofilament (molécule protéïque)

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2
Q

Rôle de l’ATP dans la contraction musculaire

A

Phase 1 : couplage excitation-contraction
 Formation des ponts d’union.
Phase 2 : contraction
 Phase active (de propulsion).
Phase 3 : ! Détachement des têtes de myosine.
Phase 4 : relâchement
 Mise sous tension de la tête de myosine

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3
Q

D’OÙ PROVIENT L’ENERGIE DONT LE MUSCLE A BESOIN ?

A

L’ATP est la
seule molécule
capable de
fournir
directement de
l’énergie au
muscle,

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4
Q

Les métabolismes énergétiques

A

Anaérobie alactique
anaerobie lactique
aérobie

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5
Q

Les réserves d’atp

A

sont très faibles et ne permettent que quelques contraction

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6
Q

la poursuite de l’exerccie exige

A

la resynthese de l’atp

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7
Q

les muscles disposent

A

de réserve d’energie non directement utilisable sous forme de phosphocréatine, de glucides, de lipides

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8
Q

Le Muscle n’est pas

A

producteur d’énergie mais transformateur des réserves
en énergie.

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9
Q

Aérobie

A

l’énergie provient
de la combustion des
lipides et des glucides en
présence d’O2

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10
Q

Anaérobie lactique

A

En
l’absence d’O2, le glucose
libère de l’énergie avec
production de lactates
L’oxygène
n’intervenant pas
dans les réactions
(anaérobie) il y a
production d’acide
lactique lié au
système de
fermentation.

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11
Q

Anaérobie alactique

A

l’énergie provient de la
transformation de la
créatine phosphate
stockée dans les muscles

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12
Q

La voie Anaérobie Alactique (AA) La voie des phosphagènes

A

L’oxygène
n’intervenant pas
dans les
réactions
(anaérobie) il n’y
a pas de
production
d’acide lactique
lié au système
des
phosphagènes.

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13
Q

L’utilisation de l’oxygène

A

participe à la
combustion des macromolécules organiques :
 -Graisses,
 - Sucres.

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14
Q

Le métabolisme aérobie

A

est important dans
l’entraînement des disciplines d’endurance.
- Puissance :
 La Puissance Maximale Aérobie (PMA)
  est atteinte à VO2max,
 C’est la plus petite puissance (ou vitesse pouvant solliciter VO2 max)

 Capacité : Elle représente la capacité de l’organisme à soutenir un
pourcentage donné de VO2max pendant une période prolongée.
L’énergie est principalement assurée par les processus aérobies.

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15
Q

VO2max

A

est le volume maximal d’oxygène qu’un
sujet humain peut consommer par unité de temps
lors d’un exercice aérobie maximal.

la VO2max exprimée en litres d’oxygène par
minute (L/min).

Mais,
VO2max « individualisée », s’exprimera en
ml/min/kg.
la VO2max : un indicateur de performance dans
les épreuves d’endurance,

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16
Q

Critères d’atteinte de la VO2 max

A
  1. Fréquence Cardiaque > à 90% // Fréquence Cardiaque
    max théorique (220-âge)
  2. Lactatémie > à 8 mmol.l de sang
  3. Consommation d’o2

stable en dépit d’une augmentation

de la charge de l’exercice
4. Quotient Respiratoire supérieur à 1,1 (rapport
production CO2 /conso O2 ) (Billat 1998)

La VO2max est associée à la Vitesse Maximale Aérobie
(VMA), VMA = la plus petite vitesse qui sollicite la
consommation d’oxygène maximale.

Relation : VO2max = VMA x 3,5

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17
Q

La voie Aérobie (AE)

A

Cette filière se
réalise
exclusivement
en présence
d’oxygène

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18
Q

Rôles métaboliques des mitochondries

A

Production de la majeure partie de l’ATP,
- Les processus :
- la transformation du pyruvate en acétyl-CoA,
- le cycle de l’acide citrique,
- la chaîne respiratoire couplée à la synthèse
d’ATP

  • la dégradation des acides gras par β-
    oxydation
  • Rôle des mitochondries = réaliser une
    dégradation oxydative des substances de base
    en CO2 et H2O en échange d’ATP.
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19
Q

Le système aérobie de
dégradation des glucides

A

Une voie métabolique commune
- La glycolyse se déroule dans le
cytoplasme.
- un intermédiaire commun,
le glycéraldéhyde-3-phosphate.
- conversion mitochondriale en Acétyl-CoA,
- Le glucose  oxydation totale en CO2 et
en H2O

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20
Q

Le cycle de Krebs

A

Le bilan global du cycle est donc :
- 1 glucose 2 Pyruvates  2 acetyl CoA

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21
Q

Notion d’entraînement de la puissance aérobie

A

Adaptation à l’entraînement aérobie
Adaptations to Aerobic Training
*  Augmentation de la densité des enzymes oxydatives
*  Baisse des enzymes glycolytiques
*  Augmentation de la taille et de la densité des mitochondries
*  Augmentation des protéines régulatrices contractiles des fibres
lentes.
*  Baisse du contingent des fibres rapides.
*  Augmentation de la capillarité

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22
Q

Bases physiologiques et différences en VO2max pour un individu de 70 kg

A

VO2max =

FC max
(HRmax) x

VS max
(SVmax) x
Qc /
min (a-v)O2 diff

Athlètes: 6,250 l/min ou
89,287 ml/kg/min (190 b/min) x (205 ml/b) 39

litres (0.16 ml/l sang)

Normalement
actifs
3,500 l/min ou
50 ml/kg/min (195 b/min) x (112 ml/b) 22

litres (0.16 ml/l sang)

Patients
cardiaques

1,400 l/min ou
20 ml/kg/min (190 b/min) x (43 ml/b) 8

litres (0.17 ml/l sang)

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23
Q

PROCESSUS ANAÉROBIE LACTIQUE

A

DÉVELOPPEMEN DE LA PUISSANCE ANAÉROBIE LACTIQUE

  • Intensité max et soutenue (le max du moment)
  • Durée 15 à 45 sec
    Travail fractionné
  • en décroissance régulière,
  • pyramides montantes puis descendantes
    Durée de la récup : Variable 5 et 30 min
    principe = récup. partielle … mais suffisante
    Peu
    active Eviter l’Effondrement’’ de
    l’intensité
    Objectif : W en état d’acidose
    Athlètes confirmés
    Sollicitant plus des 2/3 des
    masses musculaires
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24
Q

EFFORTS QUI VONT FAVORISER LE DÉVELOPPEMENT
DE LA CAPACITÉ ANAÉROBIE LACTIQUE

A

intensite entre 85% et 95% du max
Duree : entre 45 et 3 min pas plus
formes pyramidale montante descandante
duree recup : entre2 et 8 min
récupérations courtes + pauses plus longues entre
les séries

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25
Principes généraux de travail (cf dev de la vitesse)
Intensités maximales * Durée très courte : *  de 3 à 7 sec (puissance)  jusqu’à 15/20 sec maxi (capacité)  Travailler aux « limites » de l’athlète Faire varier les situations * concentration max et fraîcheur physique * Échauffement  limiter risques de blessures
26
La température corporelle est le résultat de
l’équilibre entre la production et la perte de chaleur
27
Thermogénèse
Production de chaleur interne  métabolisme * Production externe ou périphérique  exercice physique
28
Thermorécepteurs périphériques situés
sous la peau, sensibles au froid et au chaud
29
Thermorécepteurs centraux
HYPOTHALAMUS,   température corporelle moyenne (TCM)
30
Réponses comportementales TR
réponse initiale la plus importante et la plus efficace * liée à la perception thermique (cortex) * plus en rapport avec la température cutanée qu’avec la température centrale * ex: chauffer la maison, mettre un pull...a contrario se découvrir
31
Réponses physiologiques (TR)
1ère manifestation physiologique : Vasoconstriction vs vasodilatation (peu efficace) * Arrêt du phénomène de transpiration vs transpiration ( sudation : très efficace)
32
Pertes de chaleur
-Radiation -Conduction et convection -Evaporation Le passage de l’état liquide à l’état gazeux est consommateur d’énergie Autres: Respiration Sudation
33
Tous les tissus produisent de la chaleur Au repos :
surtout foie, cœur, cerveau, muscles squelettiques inactifs (20-30%)
34
La température corporelle (Tcorp) :
minimum = matin (07h00-09h00) ; - maximum = soir (17h00-19h00). Si Tcorp > 41°C, risque de convulsions Si Tcorp = 43°C, limite absolue pour la survie On supporte mieux les baisses de Tcorp. * Si Tcorp , métabolisme  * Hypothermie utilisée en chirurgie (éviter la lésion des tissus)
35
Si Tcorp augmente
vitesse des réactions chimiques agmt
36
Si Tcorp agmt ++
dénaturation des protéines enzymatiques et structurales + activité des neurones du SN --
37
TEMPERATURE CENTRALE
– Buccale – Rectale – Œsophagienne – Tympanique La Tcent est relativement stable alors que la Tcut peut fluctuer de manière très importante (entre 20 et 40°C)
38
TEMPERATURE PERIPHERIQUE
Cutanée moyenne Différence périphérie/centrale = reflet de l'enveloppe
39
Sang
agent de transfert ou d’échange de chaleur entre l’intérieur du corps et sa surface.
40
Si surface plus chaude que extérieur
Déperdition de chaleur Du sang chaud coule dans les capillaires de la peau (vasodilatation)
40
Si surface moins chaude que extérieur
La chaleur doit être conservée Le sang évite en grande partie le réseau capillaire sous –cutanée (vasoconstriction) Limitation des pertes de chaleur
40
CIRCULATION CUTANEE =
échangeur thermique
41
TISSU SOUS-CUTANE =
isolant thermique
42
Epiderme
plusieurs couches de cellules. - kératine (imperméabilisant) - mélanine (colorent la peau). - couche profonde = couche germinative qui se renouvelle tous les 15 jours.
43
Derme : contient des
fibres élastiques et collagènes. - capteurs (pressions et température). - poils et muscles horripilateurs, - glandes sudoripares dont le canal excréteur s’ouvre sur la peau (pore) et produisent la sueur (eau, sels minéraux, acide urique, sucre, ...)
44
Hypoderme
cellules adipeuses (adipocytes). En relation avec le tissu conjonctif sous cutanée qui entoure les muscles.
45
La peau : structure et fonction
Maintien de la T°C centrale * protection abrasive (chaleur, brûlure...) * perception des stimuli (sensation nerveuses) * fonction d’excrétion (sueur) * synthèse de vitamine D (anti-rachitique,...) * immunité (reconnaissance des cellules étrangères)
46
Basal
évaporation d’eau par les poumons, la muqueuse de la bouche et la peau. Très faible.
47
L’Évaporation de l’eau demande
de l’énergie La Chaleur de vaporisation de l’eau (1 g) est de 2430 J au niveau de la peau à 35°C
48
Exercice / fièvre :
la transpiration apporte des quantités d’eau supplémentaires à évaporer. 1 à 2 l/h de sueur
49
Attention : si transpiration abondante
perte d’eau et de NaCl
50
 Thermorégulation si
Q = H Quantité de chaleur produite par le métabolisme : H  Quantité de chaleur perdue : Q
51
Quantité de chaleur perdue par conduction :
Q = C (Tc-Ta)  C : conductance ; Tc : t° corporelle ; Ta : t°ambiante
52
Perte par évaporation
E-H20 H = Q = C (Tc-Ta) + E-H2O
53
Hypothalamus =
principal centre d’intégration de la thermorégulation : rôle de « thermostat ».
54
Centres Thermorégulateurs
Centre de la thermolyse : partie antérieure, dans l’aire pré-optique * Centre de la thermogenèse : partie postérieure de l’hypothalamus
55
Corps humain : env.
3,0 1013 cellules, plus petites unités des êtres vivants
56
Le corps humain : une société de cell ds laquelle
chacun des individus tient une place précise et un rôle déterminé au service de la communauté, cad de l’organisme lui-même. NECESSITE DE COMMUNICATION ENTRE CELLULES DISTANTES
57
Deux grands systèmes de communication
Système nerveux (SN) et système endocrinien (SE) * SN => tissu nerveux (cf. sem 1 L1) * SE => tissus et glandes endocrines sécrétant hormones
58
Collabora° SN et SE
=> contrôle émotions, métabolisme, croissance, développet physique et psychique, mécanismes reproduc°, adapta° effort, constance du milieu int., etc.
59
Une glande est
un organe qui a pour fonction de produire et sécréter des substances chimiques. Deux types de glandes : exocrines et endocrines
60
Glandes exocrines:
=> Déverse ses sécrétions à l’extérieur, par l’intermédiaire d’un canal excréteur. Dite « à sécrétion externe » Principales glandes exocrines : -salivaires (salive ) -sébacées de la peau (sébum) -mammaires (lait ) -sudoripares de la peau (sueur) -digestives du pancréas, intestin et estomac.
61
Glandes endocrines:
déverse ses sécrétions (hormones) directement dans le sang. Dite à « sécrétion interne »
62
* Hormone et système endocrinien
subst. chim. synthétisée et sécrétée par cell. endocrine et qui, véhiculée / sang, exerce à distance act° spécifique sur d’autres cell.(« cellules cibles »)
63
Sécré° des hormones pulsatile
stimula° par le SNC, ion ou hormone - Transmission lente, effets durables & généraux: sang circule à la vitesse de 40 cm/s ds artères et à 0,5mm/s ds capillaires - Concentra° sanguine très faible ~ ng / ml
64
Neurotransmetteur et système nerveux
substance chim. synthétisée et sécrétée par un neurone et active sur d’autres neurones ou cell. cibles spécifiques (musculaires, endocrines)
65
NT de la JNM
Acétylcholine
66
* NT et H sont libérés ds milieu extra-cellulaire par
exocytose
67
L’excès de mb plasmique est compensée par
des endocytoses
68
Structure 3D spécifique du R
fixa°d’1 H particulière => Reconnaissance H - R = clef - serrure => H active uniquet sur cell. avec R spécifique
69
Complexe H – R
modifica° activité cellule-cible = réponse cellulaire Ex : Insuline => glycogénogénèse, Glucagon, Adrénaline => glycogénolyse Etc.
70
*Le tissu adipeux est
capable de prélever du glucose sanguin et de le transformer directement en lipides au niveau des cellules de stockage (adipocytes).
71
*Le tissu musculaire,
consommateur de grandes quantités de glucose. Pour fournir l'énergie nécessaire à la contraction, il stocke le glucose sanguin sous forme de glycogène au niveau des fibres musculaires. Ces réserves de glucose d'une cellule musculaire sont facilement mobilisables (glycogénolyse) mais uniquement pour sa consommation personnelle.
72
Glycogénogénèse
processus de formation de glycogène à partir du glucose
73
Glycogénolyse
processus de libération du glucose à partir du glycogène (dégradation du glycogène)
74
Hormones stéroïdes
Cholestérol (lipide) : précurseur Exemples : - cortisol, aldostérone : surrénales (cortex) - œstrogènes, progestérone : ovaires et placenta - Testostérone : testicules etc.
75
hydrophobes
ds sang, fixa°à protéines de liaison spécifiques
76
liposolubles
diffusion à travers mb plasmique
77
* Hormones non stéroïdes
Hormones dérivées d’1 AA (tyrosine) ou peptidiques (3 à 200 AA) Exemples : - Adrénaline, noradrénaline: surrénales (médulla) - T3, T4 : thyroïde - ADH : post-hypophyse - insuline, glucagon : pancréas
78
hydrophiles
véhiculées libret ds sang
79
non liposolubles:
ne peuvent franchir mb plasmique