Chapitre 5 La croissance économique Flashcards
qui parle de croissance économique moderne + def
Simon Kuznets “la croissance est une augmentation à LT de la capacité d’offrir une diversité croissante de bien, cette capacité croissance étant fondée sur le progrès de la technologie et les ajustements institutionnels et idéologique qu’elle demande”
3 changements structurels avec la croissance (dimension quantitative) et le dvlp (qualitative):
loi des 3 secteurs ( tertiaire +), loi d’engel:1857 structure conso, loi de Wagner 1876: poids de l’état
4 types de croissance
-croissance extensive: hausse FP pour hausse prod
-croissance intensive: amélioration de l’utilisation des FP et de l’efficacité de la combinaison productive
-croissance effective: constatée et dépendante de la D (s’enroule autour de la croissance potentielle: aire / différence = output gap)
-croissance potentielle: croissance résultant du seul jeu du facteur d’offre
croissance potentielle et effective objectif à CT et LT
à CT: atteindre le niveau potentiel
à LT: faire croître le niveau de croissance potentielle, si crise peut affaiblir la croissance potentielle: effet hystérèse
distinctions de Joel MOKYR sur la croissance
-croissance Smithienne : modification des techniques, étendre le marché pour accroître les débouchés
-croissance Schumpétérienne: fondé sur l’innovation + l’offre
-croissance Northienne: rôle crucial des institutions produisant des incitations
-croissance inclusive ou non: si partage des fruits équitable et tout le monde peut participer au processus de croissance
-croissance extractive : ne bénéficie pas à l’ensemble de la pop
calculer le taux de croissance du PIB, règle des 70
(Va-Vd)/Vd *100 règle des 70: 70/ taux de croissance = donne le nb d’année pour que le Niv de vie double
que remarque Angus MADDISON au XIXème s
phase d’entrée dans le Kisme 1820
avant phases interrompues de croissance et verrous agricole (cf loi de population de Malthus)
définition révolution industrielle + qui invente ce mot
qui parle de transition
c’est l’ensemble des révolutions techniques, économiques, sociales et culturelles qui ont permis le passage d’une éco agraire et artisanale à une éco dominée par l’industrie , néologisme d’Adolphe Blanqui
Jean-Pierre RIOUX parle de transition plus que de révolution(transition du stade incomplet pré capitaliste au stade où les caractéristiques du Kisme s’imposent)
différences phases de la croissance moderne
RI n°1: 1820-1870: croissance smithienne extensive
RI n°2: 1870-1970: croissance intensive Schumpéterienne (1870-1914latecomers s’industrialisent cf GERSCHENKRON Economic backwardness in Historical perspective 1962 : faire sauter les verrous institutionnels
14-50: STAGNATION “PÉRIODE INCLASSABLE” Maddison et F.Caron distingue 1914-24: baisse prod et hausse dette+ hyperinflation en ALL, 20’S années folles Roaring Twenties mais Grande dépression en 29 puis 37-50: conflit et reconstruction)
RI N°3: 1970-ajd:
ralentissement des pays “à la frontière technologique” et rattrapage des nvs pays industrialisés (phénomène de convergence) mais regain en 90 avec la nouvelle économie (NTIC+ K humain “éco de la connaissance”)
révolution industrielle pour Marx
critique les effets sur les ouvriers
paul Mantoux et la révolution industrielle
passage du putting out system (output) au factory system (controle input) et lieu de L et vie séparé
école des annales et révolutions industrielle
pas de révolution, juste accélération car évolutions des système de production fut progressive, Douglass North: depuis le néolithique et la def des droits de prop
qui remet en cause le terme de révolution industrielle
Partrick Verley révolution n’est pas qu’industrielle
les étapes de la croissance chez Rostow, date
1960 The Stages of Economic Growth, a non-communist manifesto
1: société trad: fonctions de prod limitées, ainsi que la connaissance scientifique limitée
2: gains de prod ds le secteur agraire, infrastructures et élites prennent des risques ) préalables à la RI
3: Takeoff: décollage avec hausse invt, leasing sector et institutions
4: maturité des sociétés : leading sector déclinent au profit d’autres et ouverture de l’éco, hausse des niveaux de vie, urbanisation
5: ère de conso de masse: tertiarisation, moyennisation ( Henri Mendras)
facteur d’offre de la RI : ex d’innovations leading sector
James Watt : machine à vapeur 1769
Richard ARKWRIGHT : métier à tisser 1768
cdf : 1827
-> grappe d’innovation selon Schumpeter: créent de nvlles innovations pour éviter le goulot d’étranglement (blocage de la prod car étape sous-dimensionnée du processus)
facteur de D dans la RI
Patrick Verley hausse niveau de vie et hausse débouchés -> “société de consommateur”
pour qui la révolution agricole et un préalable à la RI
Paul BAIROCH (ex: mvt des enclosures en GB: closent les parcelles de terre communales) esprit capitaliste dans les campagnes (Bloch)+ def droits de propriété, loi sur les brevet (1623) Statute of Monopolies
schumpeter sur le cdf
“Ajoutez autant de diligences que vous voulez vous n’obtiendrez jamais un cdf”
diligence: rapidité dans l’exécution d’une choses, sauts technologiques indispensables
pourquoi l’Angleterre était plus enclin à la RI
Culture de la croissance, J. MOKYR
institutions favorables : loi sur les brevets(1623) Statute of Monopolies , NAVIGATION ACT, mvt des enclosures
dotation factorielle imp de Charbon The Coal Question JEVONS 19ème s + effet rebond ou paradoxe de Jevons baisse du prix ou coût de l’énérgie + d’utilisation de l’énergie
Une grande divergence, Pomeranz :chine et Gb au début du XVIII avaient même niveau de dvlp mais ensuite différenciation car Chine dans l’incapacité de mobiliser ses ressources en charbon
la 2nd RI
1870-1910: latecomers s’industrialisent GERSCHENKRON recherche de substituts pour pallier aux handicaps pouvant se transformer en force
vieil ordre libéral-> période sans conflit majeur et “ relativement”prospère car “Longue dépression”
1913-1950: stagnation et domination américaine car nvlle organisation du L : Taylorisme et fordisme : prod et conso de masse “croissance fordiste” selon Robert Boyer et Michel AGLIETTA
et remise en cause du marché autorégulateur, Kisme se dote d’institutions nécessaires à sa survie Karl POLANYI La grande transformation1944
1950-1973: croissance rapide
“âge d’or” Maddison pv d’achat du revenu moyen triple en FR
“miracle économique” Paul Samuelson(3 miracles: rapidité de la reconstruction, régions les plus ravagées par la guerre ont l’essor éco le plus important et croissance rapide pendant 25 ans )
TCAM de 5% en FR
néologisme de Jean Fourastié : Les trente glorieuses ou la révolution invisible de 1946 à 1975 (les gens ne s’en rendent pas compte)
éco de rattrapage de l’éco leader : but faire repousser la frontière ou y arriver + ouverture internationale: Bretton Woods 44: FMI Banque mondiale Gatt 47 + Kisme administré avec l’état banquier
la 3ème RI:
Maddison parle d’ordre “néo-libéral” : ralentissement productivité mais forte croissance des NPI; fin du paradigme keynésien au profit du paradigme monétariste, chômage de masse, ouverture internationale (financière et commerciale) et retour des inégalités (courbe de l’éléphant -Milanovic)
stagflation avec le choc pétrolier lutte contre l’inflation “Grande modération”
paradoxe de Solow et regain de croissance dans les années 90
“On peut voir les ordinateurs partout sauf dans les statistiques de productivité” et regain de croissance en 90 “Dix Glorieuses” avec la “nvlle économie” Daniel COHEN retour gains de pdctivité, croissance des pays émergents, NTIC, effondrement URSS: victoire éco de marché
depuis 2008
crise majeur est d’autres petites pointent l’instabilité du Kisme : indicateur de Schiller PER “Grande récession”
possibilité d’une phase croissance spectaculaire de croissance comme les 30 GLORIEUSES?
Stagnation séculaire Hansen:
vision de la demande: SUMMERS: crises successives font chuter la D
vison de l’offre: ROBERT GORDON évolution de la pdvité aux vents contraires
def de la stagnation séculaire: situation combinant taux d’intérêt nul, inflation proche de zéro, et sous-emploi.
pour Aghion TIC peuvent permettrent des innovations + insiste sur le pv de la destruction créatrice
croissance plus tardive de la fr par rapport à la GB car
protoindustrialisation: Mendels : paysans qui en plus de l’activité agricole réalisait une partie de la prod indus
colbertilisme: manufacture royale
pour qui il n’y a pas eu de Take off en France
Rostow: pas de Take off, pas de RA préalables progrès agricoles ont accompagnés l’industrie pas de forte croissance démo et moins d’initiatives pv et moins d’initiatives étatiques que la GB selon J.C.ASSELAIN
J.CLAPHAM: transfo progressive de l’agriculture vers l’industrie mais lente évolution des méthodes d’organisation indus
de la WW1 aux 70 en fr
entre deux guerres
entre deux guerres: déséquilibres conjoncturel mais pas de spécificités fr
30 glorieuses: miracle économique croissance fordiste cf école de la régulation( Robert BOYER et Michel AGLIETTA) éco de rattrapage, état providence et finance administrée
des déséquilibres plus prononcés en France mesurés par
le carré magique de Kaldor:
taux de croissance
taux d’emploi
stabilité des prix
équilibre extérieur (déséquilibre de la BC car spé du Sud avec les coûts du Nord)
la france de 74 à 83: France dans la crise
++ chômage car avec – PGF, saturation de la D biens standardisés rejet du Taylorisme et tertiarisation (faiblesse structurelle des gains de prod)
la france de 83 à 2020
croissance atone, mais regain en 90
la croissance premières analyses
Smith
JB Say
Ricardo, Malthus, Mill
Marx
Smith: accroissement de la “puissance prod” du L avec la division du L
JB Say: loi des débouchés
Ricardo(Des principes de l’économie politique et de l’impôt) perspective de l’état stationnaire cf loi des rendements décroissants Turgot, Malthus loi de population
John Stuart Mill état stationnaire +, croissance détruit l’env, pb de répartition ds les pays dvlp
Marx: contradictions du modèle Kiste avec crise de valorisation/ suraccumulation et réalisation/ surproduction
modèle de comptabilité de la croissance
Solow: expliquer le poids respectif des diff facteurs dans la croissance, 1956: A explique 80% de la croissance = résidu
fonction Cobb-douglas, pré-requis, expression
rendements d’échelles constants, et factoriels décroissants
Y=A.K^αL^(1-α). α: taux de rémunération du K: EBE, contribution K à la croissance
1-α= salaires, contribution L à la croissance
en dynamisant la relation: PIB=ΔA/A+ α.ΔK/K+ (1-α)ΔL/L
et ΔA/A-> part non expliquée de la croissance, Carré Dubois Malinvaud ajoutent des éléments qualitatifs à L et K pour faire chuter son poids à 50%
contribution du facteur L et K à la croissance
facteur L: croissance démographique, taux d’emploi,nb d’heures travaillées
facteur K: intensité capitalistique, PGF hausse gains de productivité
qui qualifie les gains de productivité et A de “mesure de notre ignorance”
M.Abramovitz
def gains de productivité + citation Paul Krugman
amélioration de l’efficacité des facteurs de production durant une période donnée générant un supplément de richesse créé dans le cadre de l’activité productive
variation du K/tête
PGF variation= expression comptable du PT
Paul Krugman “la productivité n’explique pas tout, mais ,à long terme, presque tout”
faits stylisés de la croissance éco moderne
représentation simplifiée d’un résultat empirique révélant une certaine régularité statistique
N.Kaldor: 1961: part des revenus du L et K constants
croissance de l’intensité capitalistique K/travailleur, rôle PGF, divergences gains de prod entre pays explique divergences niveau de vie, rapport stable en K mis en œuvre et la croissance réalisée
Paul Romer: taux de croissance non lié au revenu/hab, croissance pop augmente alors baisse revenu/tête, hausse croissance hausse CI, FP n’expliquent pas toute la croissance
définition de la croissance équilibrée
et croissance stable
elle est sur un “sentier de croissance équilibrée” si les variable macroéconomiques progressent à un rythme compatible pour assurer équilibre sur le marché (de B et S et L)
Keynes-> déséquilibrée
Say-> désajustements temporaires à CT mais LT ajustement loi des débouchés
carré magique de Kaldor si carré: croissance équilibrée
croissance stable: qui s’ajuste via mécanisme auto-régulateur
modèle de DOMAR
1947: croissance éco résulte de l’accumulation du K : nécessairement instable, avec hausse de l’invt (nécessaire à l’accumulation de K) variation offre (invt à LT) et D (invt à CT) mais ne progressent pas automatiquement au même rythme
Y=C+I=C+S donc si I=S alors équilibre sur marché B&S
s.Y=v.ΔY v: coefficient de K (K/VA) et sY= propension S
modèle de HARROD
1948: 3 taux pour atteindre la croissance équilibrée:
taux de croissance effectif= taux de croissance garanti= taux de croissance naturel
avec taux de croissance garanti si plein emploi keynésien S=I taux de croissance naturel= taux de croissance pop
-> “croissance sur le fil du rasoir” proba de l’évènement faible
modèle de Solow, faire courbe
économiste de la synthèse donne un modèle néoclassique en 56: FP substituables, rendements d’échelle constants et factoriels décroissant + Monnaie neutre
hausse s -> hausse invt -> hausse K/tête
“effet de dilution” dépréciation du K et croissance démographique diminution K/tête, S peut compenser jusqu’à croisement droite de remplacement et courbe s puis après diminution de k, jusqu’à seuil où K n’a plus d’effet sur la prod= rendements factoriels décroissant et perspective d’un état régulier -> solution PT
à LT, croissance ne dépend plus du taux d’S et s’explique par det exogènes:
taux de croissance démo et PT, selon Krugman et Wells: PT permet de déplacer la fonction de prod vers le haut pour atteindre un nouveau sentier de croissance équilibrée
PT neutre au sens de Hicks: PT fait augmenter le revenu sans modifier la répartition
transferts technologiques
industrie s’approprie des découvertes des recherches pour les commercialiser
limite de la convergence prédite par Solow et PT limite du modèle
non absolue mais conditionnelle : selon les éléments structurels d’un pays , PT non expliqué donc impossibilité de proposer des po de croissance J. Robinson “royaume de Solowie”
nouvelles théories de la croissance
années 80: endogénéiser PT “le PT est en quelque sorte un facteur magique qui a la propriété d’améliorer l’efficacité des deux autres” Jacques Généreux
modèle de Paul ROMER
1986: rôle du K physique pv : remet en cause hyp de rendements factoriels décroissants, K génère des connaissance “Learning by doing” ARROW+ effet Cluster Marshall
pas seulement accumulation du K mais impossible des R&D
modèle de Robert Lucas
1988: rôle du K humain: stock de connaissance, savoir-faire et compétences permettant aux individus d’augmenter leur productivité, ce qui est source de PT : notion de Schultz et Becker
si nature a des rendements décroissants le K humain croissant car connaissances s’accumulent ‘productivité marginale du K humain constante) invt en K humain génère des ext + (sous invt donc intervention Etat)
pas de convergence comme l’avait prédit Solow car déplacement du K physique aux pays en dvlp ce qui creuse les disparités
Robert BARRO
1990: rôle du K physique public
hausse dep publique générant des ext + sur l’efficacité du K pv
modèle néo-schumpéterien
P.Aghion et P.Howitt; croissance endogène fondée sur l’innovation : innovation + diffusion savoir portent la croissance, protection droits de prop indispensables via brevets (biens non rivaux: innovation), rôle du K technologique
état doit garantir destruction créatrice: protéger innovateurs + po de concurrence adaptée pour éviter de trop grosses barrières à l’entrée empêchant de potentielles innovations
comment la croissance devient alors pérenne
via les invt pour accumuler les différentes sources de K aux ext +, rendements factoriels constant et plus décroissant (solow), rendements d’échelle (croissants et plus constant)
def institution
“les institutions sont les règles du jeu dans la société, ou, plus précisément, les contraintes conçues par les hommes qui structurent l’interaction humaine” Douglass North 1990
formelles : derrières facteurs immédiats de la croissance, informelle: cadre général dans lequel ind interagissent
ex: Angleterre institutions favorables à la RI Joel MOKYR rupture croissance UK et EU
institutions inclusives ou extractives
ROBINSON et ACEMOGLU extractive: élites captent maj partie des rentes -> défavorable à la croissance
corrélation défiance et croissance
Cahuc Algan, La société de défiance : niv de confiance faible explique une performance éco faible
théorie de la régulation
70’s Robert BOYER et Michel Aglietta: croissance dépend des “arrangements institutionnels”; compromis institutionnalisés propres à chaque société issue pour partie de l’histoire et pour partie des rapports de force et du rôle des grp sociaux ex: régime de croissance fordiste, forme du rapport salarial, forme de la concurrence, forme de la Monnaie de l’état, de l’ouverture
similitudes théorie de la régulation et Aghion et ANTONIN
AGHION,Antonin:: convergence subordonnée à des conditions institutionnelles,
La chine de l’imitation à l’innovation les institutions nécessaires pour faire reculer la frontière technologie non présente en Chine, elle ne deviendra pas une éco d’innovation
“dépendance au sentier”
Paul DAVID: traj firmes dépendent de leur histoire particulière
processus de destruction créatrice et institutions
néo-schumpéteriens : paradigme technologique: ensemble d’innovations radicales interdépendantes
Carlota PEREZ: institutions po et éco soumisent aussi au processus de destruction créatrice “révolution du système de croyance” selon crise ou expansion cf Karl POLANYI le Kisme se dote d’institutions nécessaires à sa survie
rôle de l’état dans la croissance
réhabilité avec les nulles théorie de la croissance afin de régler les défaillances de marché Robert BARRO: hausse dép public pour l’O pas pour soutenir la D (pas de relance chez les néo-classiques) mais il faut trouver un taux d’imposition optimal pour éviter effets pervers (éco de l’offre)
Charles Jones croissance et éducation aux USA
progression niv d’éducation explique 1/3 de la croissance et R&D 1/2 de ces dernières années
distinction invt d’éducation selon distance à la frontière
Agion et E.Cohen les + proche: accent enseignement sup + 3 ème cycle
les plus éloignés: enseignement primaire et secondaire
P. Aghion diagnostic Suède
Repenser l’état, 2011 baisse fiscalité sur revenu en suède a augmenté le nombre de dépôts de brevets
rôle de l’état dans l’innovation:
1
2
1: incitations (crédit incitatif, crédit impôt recherche, création de Cluster ou pôle de compétitivité J.P RAFFARIN 2004
2 : Prise en cherche de la R1D fondamentale de l’état (2021: R&D France: 2,21%) et Corée du Sud (4,8%)
ambiguïté entre protection de l’innovation et concurrence
-> protection de l’innovation (brevets et rentes de monopole)
-> concurrence adapté
exemples de politiques de croissance
201960 Plan Rueff Armand plan d’austérité
Stratégie de Lisbonne 2000 faire de l’EU l’éco de la connaissance la plus compétitive et dynamique du monde
2020 stratégie d’Europe: promouvant une croissance durable, intelligente et inclusive
loi Macron 2014
2020 Green Deal pacte vert pour l’Europe
Etat comme véritable entrepreneur
The Entrepreneurial State, 2013 Mariana MAZZUCATO
def de la stagnation séculaire
stagnation de la croissance et de la productivité sur longue période
années 40 Alvin Hansen conf Full recovery or stagnation (baisse démo, invt et hausse épargne, paisse PT et DG)
Vision offre stagnation séculaire
Robert Gordon
rendements décroissant de l’innovation: plateau technologie atteint
vents contraires qui réduisent la Croissance potentielle (démographie, éducation, inégalités, mondialisation, dette, énergie)
vision demande stagnation séculaire
Lary SUMMERS 2013 conf au FMI
S>I
mvt fly to quality
K de valeurs mobilières se déplacent vers des placements plus sûrs et liquide
4 hyp sur la grande panne de productivité
Brynjolfsson et Mcafee
1) apport surestimé des nvlles tech
rendements décroissants des idées et recherche “Are Ideas getting harder to find, Nicholas Bloom et Charles Jones 2020
2) apport sous-estimé
P.Aghion “croissance manquante” + Rapport BOSKIN : effets qualitatifs des TIC non comptabilisé
3) Mauvaise diffusion des technolgies
P.Aghion Le pouvoir de la destruction créatrice “winers takes all” GAFAM(capture de rente)
4) tps de latence: gains de prod mettent du temps à arriver ) institutions doivent s’y préparer = techno-ptimistes, cornucopiens
TCAM de 3 périodes
30 glorieuses: 5%
73-2003: 2,5%
2003-2023: 0,4%
livre de Brynkjolfsson et McAfee
Race against the Machine, 2011 progrès grâce à la technologie
ouvrage où est mentionné la destruction créatrice
Capitalisme, socialisme et démocratie 1942
innovation -> choc d’O +
rôle de l’etps, éco Kiste n’est “ jamais stationnaire et ne pourra jamais le devenir”
mvt cyclique du Kisme
Kondratiev, 50 ans
typologie des innovations selon Schumpeter
innovation = de produit, de procédé(méthodes de production, commercialisation) , nvs débouchés (nvs marché) , découverte de nouvelles matières premières, résulte en la créa
citation destruction créatrice
« le nouveau ne sort pas de l’ancien, mais à côté de l’ancien, lui fait concurrence jusqu’à le ruiner ».