chap 2: mondialisation financière Flashcards
périodes
1ere mondialisation financière (1860-1914): gold standard= étalon or
guerre de 30 ans: recul des échange et de l’inv
50-60= période de Bretton Woods
1971: système de changes flottants augmentation des mouvements de K
1980: 3D : désintermédiation, déréglementation, décloisonnement
globalisation financière obligée
M.AGLIETTA Globalisation financière: L’aventure obligée mésallocation du K (excès S nord et S en BF)
paradoxe des flux de K de Lucas 1990: pb de cycle de vie de l’épargne (pays du Nord: vieux censés S et sud en BF mais mésallocation du K; les flux de K restaient dans le Nord)
la monnaie roi un privilège
Un privilège exorbitant A.EICHENGREEN
aussi dans B.BÜRBAUMER Chine/Etats-Unis le capitalisme contre la mondialisation: contestation du privilège exorbitant du dollar alors même que leur part dans la prod mondiale ne cesse de diminuer
dollar= monnaie refuge
déception de la mondialisation financière // mondialisation malheureuse
I.BENSIDOUN Jézabel Couppey-Soubeyran: banques influencent de + en + les flux de K et question de ce que va devenir le dollar dans ce nouveau SMI
point de départ de la mondialisation financière
crise de la dette des PED 1982-1989 => “décennie perdues”
Choc pétrolier 1970: O internationale de K ++ (car pays X de pétrole ont récupéré des qté imp de dollar avec la hausse des prix du baril donc invt dans PED)
Mexique 1er pays a annoncer (aout 1982) qu’il ne peut plus assumer le remboursement des intérêts de sa dette étrangère car stratégie d’endettement risquée du fait des taux variables, allocation dans des projets qui ne stimulent pas la croissance
P.VOLKER 1979-1982 organise la hausse des taux d’i -> appréciation du dollar -> insoutenabilité de la dette
autres pays annoncent leur crise de la dette après le Mexique
puis PAS: libéralisation, baisse dep publiques, ouverture pour réduire la crise
c’est le plan Brady qui réduira le montant de la dette en annulant une partie de ces dettes
aujourd’hui dette des PED ?
au cours des 10 dernières années: PED augmentation dette > croissance
budget dette > budget éduc+ santé
et paradoxe de Lucas: flux de remboursement > nouveaux emprunts (donc flux du S vers le N)
sudden stop et hausse taux d’i pour les PED
J.GHOSH : arrêt brutaux d’afflux de K rendent vulnérables les PED
hausse T% d’i alourdit la dette des PED (dépréciation de leur monnaie et baisse des perspectives de croissance pour eux)
balance des paiements
est toujours équilibrée mais sous-compte peuvent être déséquilibré
“Global imbalances” solde courant= reflet des déséquilibres internes
entrée de K et dette
ne suppose pas forcément de la dette ex: IDE pas de dette
les comptes courants de tous les pays
pays déficitaire et excédentaire
“Global current account balances” : somme de tt compte courants de tous les pays
déficitaire: USA, France, UK
excédentaire; Chine, Japon, All, Pays du Golfe
distinction mesure de l’excédent ou déficit
balance des paiements (flux)
position ext (stock): en milliard ou % du PIB
différents flux du compte financier
CF ou BF ?
invt de portefeuilles <10%, IDE >10%; autres invt (crédit)
compte du compte courant + solde du compte de K = CF ou BF
équation de la balance des paiement
X-M+ Yf+Tf +. ΔK+ ΔF+ ΔR= 0
cas du Japon
très exédentaire: réservoir à S pour le Rdm: accumulation d’actifs financiers/ accumulation d’avoir à l’étranger (IDE, invt de portefeuille, crédit)
balance des biens services déficitaire
mais compte courant excédentaire car revenus primaires excédentaires
miroir dans la balance des paiements
(deux lectures)
à un déficit de la balance courante: excédent du compte financier
par le haut: solde courant oblige le solde des K (BF se traduit par des apports étrangers en K)
par le bas: selon l’afflux de K pays deviennent en BF ou CF
M.PETTIS ET M.KEIN
Les guerres commerciales sont des guerres de classes
pays déficitaire car solde des autres pays excédentaire
argent tiré (pull) par ceux en BF qui veulent consommer
argent injecté (push) : ceux en CF qui veulent prêter car excédent S à ceux qui veulent sur-consommer
=> dette suppose un créancier
solde courant reflète
déséquilibre interne entre S et I
PIB+M = C+I+X+VS
X-M= PIB-(C+I+G+VS)
balance des paiements par l’absorption
Sidney Alexander, 1952
solde de la balance courante: solde balance B et S et absorption interne (D finale intérieure) = C+I+G+VS
si Y>A: alors X-M>0
si Y<A alors X+M <0
équation à connaître
X-M= (T-G)+ (S+CaF-I)
T-G: solde budgétaire
S+CaF-I: épargne nette pv
CaF= capacité d’autofinancement
après la séquence PERRUC
en CF: ménage
en BF, entreprise (invt)+ Etats
si au niveau national l’équilibre ne se fait pas => BF de la nation (n’est pas la dette publique des APU)
aujourd’hui critique de la dette est une critique de la dépense publique
cas de la france
déficit structurel depuis 2004 (ajd -28,1% du PIB en 2023)
déficit de la balance commerciale des biens et revenus secondaires (rémittences, APU car UE )
une des plus internationalisée
déficit sans pleurs
-secteur public neutre T-G=0 donc déficit vient de l’S privé (S+CaF-I) donc dette mais si invt productif soutenant la croissance permettra le remboursement de l’endettement futur=> équilibre inter-temporel
(cas de l’USA ou France)
déficit jumeaux+ cas des USA
secteur privé neutre S+Caf-I=0 donc BF des Etat
donc déficit jumeaux: déficit solde bugétaire+ déficit Balance courante
cas: en 1982: déficit de la balance des paiement car manque d’S et trop de conso
(selon M.PETTIS et M.KLEIN USA n’importe pas du K parce que faible S mais S peu car souvent absorber les K importés)
balance des paiements globale
X-M + Yf+ Tf+ ΔK+ ΔF = -ΔR
si déficit balance globale alors avoirs de réserves diminuent (noté +)
reserves de change: avoirs détenus par les banques centrales ou Etat en devise étrangère ou en or
quand la reserve de change joue t-elle un role
-contrepartie : “créance sur l’extérieur” de M3: financement monétaire de la balance courante quand la banque crée la contrepartie du dollar reçu une etps Xtrice
étapes de la balance des paiements
cf Rostow
Alex Cairncross 1957: “théorie des étapes de la balance des paiements”
Pays nouvellement emprunteurs: déficit BC + revenu => déficit Balance courante donc BF (PMA)
Pays emprunteurs évolués: exécedent BC (commerciale + services -) et revenus (-: dette, revenus, services) donc balance courante -
Pays nouvellement prêteur: excédent balance courante donc CF
Pays prêteurs évolués: balance commerciale déficitaire (services + biens -) excédent revenu (int) et balance courante excédentaire + donc CF (GB/FR avant 14 puis USA après WW2)
questionner le modèle d’Alec CAIRNCROSS
-PMA bloqués?
-USA ajd pas en position de prêteur évolué
- P.ARTUS: Chine: devrait avoir un deficit extérieur et des entrées de K, cette anomalie révèle les pb structurels de la Chine (S excessive et trop peu de C*, baisse rentabilité du K)
comment parler des bénéfices de la M financières
nouvelles versions des gains à l’échange (plus pour les Biens mais les K)
tableau sur le niveau optimal du solde courant
équilibre très difficile
excédent:
-: S excessive, faiblesse de l’inv, intermédiation inefficace, l’excédent comme une auto-assurance face au risque de sudden stop
+: S car vieillissement démographique (cf M.AGLIETTA Globalisation financière: L’avanture obligée S dans vieux pays), croissance tirée par les X
déficit:
-: conso excessive, mauvais invt (peu porteurs de croissance), risque de sudden stop (retrait brutal de K)
+: invt rentables et productifs, “emprunteur en dernier ressort”= USA permet de soutenir la croissance en captant l’excès d’S mondial = saving glut
règle de P.ARTUS à propos du bon déficit
deficit de la balance courante < l’int public + BF des entreprises
M.PETTIS ET M.KLEIN sur la question des excédents et déficit
dans les dernières décennies, pays avec balance excédentaire plus créancier qu’actionnaires et ceux déficitaire: pays avancés qui empruntent pour projets futiles
financer un déficit courant (du + au - stable)
IDE (pas de risque de sudden stop mais pas de contrôle total)
emprunts long mais risque de taux de change
K à CT: hot money/ K flottant (portefeuille, crédit CT : ++ avant la crise asiatique 1997)
-utiliser ses avoirs de réserves
péché originel
«péché orginel» A.EICHENGREEN, R.HAUSMAN: Etats qui ne peuvent pas s’endetter dans leur propre devise donc risque de crise de change (ne pas avoir les réserves de changes suffisantes)
position extérieure
agrégat statistique (1993): fournit une indication du degré d’ouverture financière et soutenabilité de la dette ext
=> solde des avoirs et engagement à CT et LT à l’égard du reste du monde
les plus gros débiteurs et créditeurs
et cas de la Fr
débiteurs: USA, FR, UK
Créditeurs: Chine, All, Japon
France: IDE+, invt de portefeuille - (dette de l’Etat et obligation) : -28,1% du PIB en 2023
(ce que la france détient sur l’étranger - ce que l’étranger détient sur la France)
déficitaire depuis 2004
cas des USA
gagnent plus sur les actifs étrangers que les étrangers sur leur actif même si débiteurs
P.O GOURINCHAS H.REY: USA est devenue une entreprise K risque et dégagent une belle marge
SIX pack de l’UE
2011: respecter le pacte de stabilité (1997: 60% dette 3% déficit), solde du compte courant doit être entre -4% et 6% du PIB pour être soutenable, position extérieure <35%
paradoxe
paradoxe de Feldstein/ Horioka: si parfaite mobilité des K= plus de relation S et I au niveau national pourtant encore forte corrélation biais domestique cf A.SMITH: main invisible pousse les ind détenteurs de K à rester sur le terr national
indices pour mesurer l’intégration financière
égalisation des taux: critère Feldstein Horioka: + intégration, + T% d’i convergent= marché des K tend à être unique
indice Chinn-Ito: mesure l’importance des mesures de restriction
indice Lane/Milesi-Feretti: somme des avoirs et engagements de tous les pays / PIB mondial
taux de change
est le prix d’une monnaie par rapport à une autre lorsque celles-ci sont convertibles = devises
convertibilité des monnaies
inconvertible (certains PED, URSS)
convertibilité limitée (contrôle des changes: seulement pour B&S, IDE ces contrôles supprimé avec les 3D )
pleine convertibilité (pays dvlp ajd
les deux cotations pour T% de change
cotation au certain: 1 unité de monnaie nationale = X monnaie étrangère (si cotation ➚ monnaie s’apprécie)
cotation à l’incertain: 1 unité de monnaie étrangère= X de monnaie nationale
(si augmente monnaie nationale se déprécie)
taux de change
nominal bilatéral (d’une monnaie contre une autre) ou multilatéral
taux de change effectif: somme pondéré taux de change avec les différents partenaires commerciaux
taux de change fixe ou flottants/flexibles (fixés par le marché)
fixation du taux de change schéma + pourquoi demander une monnaie étrangère
se fixe sur le marché des changes entre deux monnaies
acheter des B/S étrangers, IDE, acheter des obligations
taux de change nominal vs réel
nominal en valeur
réel dépend de l’évolution des termes de l’échange
TCR= e_r= e_n* P/P*
e_n taux de change nominal au certain
P: indice prix M
P* indice prix X
la compétitivité mesurée par le taux de change
avec taux de change réel on peut mesurer la compétitivité prix
pays peuvent:
désinflation compétitive (baisse de P par rapport à P* => gagne en compétitivité prix)
dévaluation, dépréciation des T% de change: baisse de e_n freine M mais donc intrants + cher (énergie) -> inflation importée
retour sur l’ex de Ricardo avec T% de change
B.LASSUDRIE DUCHENE: si Angleterre pas d’avantage si baisse T% de change alors baisse prix drap anglais < prix drap portugais
loi du prix unique
en CPP
Gustav Cassel (1916): taux de change devraient à LT garantir la PPA (garantir mon pv d’achat en convertissant la monnaie)
cf l’indice Big Mac: The economist
les deux PPA
PPA absolue: prix des biens exprimés dans une monnaie finissent par s’égaliser
PPA relative: taux de variation du taux de change doit compenser le différentiel d’inflation entre pays et ses partenaires commerciaux
monnaie est dé/sur évaluée
écart entre T% de change en PPA et nominaux
cas du Japon
Yen longtemps surévalué Etps japonaises se sont massivement déplacés car hausse T% de change => perte de compétitivité prix
effet Balassa-SAMUELSON
1964: tendance à l’appréciation du taux de change au fil du développement (car hausse des prix des biens car maladie des coûts donc inflation et appréciation du taux de change )
effet de la balance courante
si excédent (X>M): vente de devises contre monnaie nationale donc D monnaie > O monnaie donc appréciation des taux de change
si déficit (X<M): vend monnaie contre devises D monnaie <0 monnaie : dépréciation des taux de change
(va tendenciellement dans ce sens: cas de l’USA)
paradoxe aujourd’hui
inflation + forte aux USA que dans l’UE et déficit courant aux USA et excédent UE pourtant dépréciation de l’euro par rapport au dollar
sur le marché des changes évolution
jusqu’à 80’: transactions courantes dominent sur le marché des changes puis marché des changes sert davantage à la finance (flux financiers) : J.COUPPEY SOUBEYRAN marché des changes miroir d’une finance internationalisée
=> plus l’éco se dvlp plus les opérations de changes liées à l’act financière (IDE, dividendes)
parité des taux d’intérêt
Keynes: au niveau mondial T% d’i ou rendement K devrait s’égaliser donc différence entre taux d’i égalisé par les taux de change
taux d’i $= taux d’i €+ taux de change
système de change flottant
1971 remplace le taux de change fixe de Bretton Woods
modèle de sur-réaction
R. DORNBUSH 1976: à l’annonce d’un choc monétaire (variation T% d’i) marché financiers réagissent plus vite que marché de biens donc décalage sphère réelle et financière
et appréciation ou dépreciation T% de change
dynamique spéculaire
André Orléan cf image du concours de beauté Keynes: anticipation sur le comportement des autres et comportements mimétiques et prophéties auto-réalisatrices sur marché des changes => bulles de changes
comment expliquer l’appréciation du dollar avec l’élection de TRUMP
TRUMP veut protectionnisme (donc on s’attend à une hausse des prix importés donc inflation, taux d’i devrait augmenter donc hausse renta du K donc dollar devrait s’apprécier
prédiction des taux de change
impossible à CT (ne dépend pas uniquement de l’état de la balance commerciale J.SAPIR= incertitudes = paris au carré ) car spéculation et paris influencent les taux de change
taux de change d’équilibre de ref
J.WILLIAMSON 1983: garantit l’équilibre interne d’une éco (croissance po donc pas d’inflation) et équilibre externe (niveau de déficit soutenable) => analyse qui a présidé lors de accords du Louvre de 1987 pour tenter d’équilibrer les T% de change
marché des changes un marché financier ?
non entre le marché de la monnaie et financier on ne prête pas mais on échange des devises
marché fictif dont l’essentiel des opérateurs BSR, appelé Forex (FOreign Exchange) dominé par la City de Londres (a gardé son expertise financière historique) 7 500 milliards de $ échangés quotidiennement permet de financer le CI, marché de gré à gré (entre cambistes)
notamment avec trading haute fréquence
position de change
situation financière par rapport à ses créances, dettes, avoirs en devise
position fermée (PDH=0)
position ouverte: courte PDH<0 spéculation à la baisse
position ouverte longue: PDH >0 spéculation à la hausse
opération de couverture
se protéger contre les risques de baisse ou hausse des cours de devises: protéger les créances et les dettes commerciales et financières ex: marché des swaps
spéculer sur une monnaie
acheter une monnaie dans l’espoir de la revendre plus cher, ou vendre une monnaie dans l’espoir de la racheter moins cher
régime de change
ensemble des règles qui déterminent l’intervention des autorités monétaires sur le marché des changes et donc le comportement du taux de change
=> po de change (fixe : + contraignant ou flottant)
balance globale et régime de change
fixe:
BG excédentaire: accroissement des réserves
BG déficitaire: diminution des réserves
équilibrée: pas de variation des réserves
flexible:
BG excédentaire: appréciation de la devise nationale
BG déficitaire: dépréciation de la devise nationale
BG equilibrée : pas de variation du taux de change
contraintes pesant sur le choix du régime de change
-institutionnelles (Bretton Woods, SME)
-Politique (ex:pression pour laisser flotter le yuan sur la Chine par les partenaires com 2000
-économique (GB en 1992: crise de change)
deux régimes de change
fixe: monnaie émise par la BC adossée à des réserves de change
flottement pur : autorités renoncent à intervenir sur le marché des changes pour assurer la parité (les dvlp)
même si régimes de change intermédiaire: autorité monétaire interviennent sur le marché des changes pour maintenir le taux de change d’une monnaie par rapport à une monnaie de référence
dollarisation/euroïsation
pays qui abandonne l’usage de sa propre monnaie (perdant de la valeur) pour adopter une nouvelle monnaie
union monétaire:
régime de change fixe dans lequel un grp de pays adoptent une monnaie unique et les pays renoncent à leur autorité monétaire (ex:UE)
peur du flottement
“fear of floating” CALVO REINHART : peur de l’appréciation de leur monnaie (perd en compétitivité, crise de change ) ou dépréciation (charge de la dette augmente)
passage au flottement pur
pas vrm après accords de la Jamaïque (1976) mais abandon du régime fixe fixé par Bretton Woods (44 actif en 58)
régime de change fixe + / -
+: discipline monétaire donc forte crédibilité et peu d’incertitudes, rigueur sur l’inflation, sécurise les échanges de K/B/S
-: contrainte forte sur la po monétaire: si choc asymétrique sur les éco (pas également touchées): pb, asymétrie entre les monnaie et ajustements, facilite la spéculation (car taux fixe), tendance à l’appréciation du taux de change réel
régime de change flottant +/-
+: marché dit la vérité= T% de change vrai donc mécanisme ajusteur, ajustement déséquilibres de la BC (dépréciation engendre hausse des importations), spéculation incertaine, po monétaire libérée, détention de réserves de change inutile
-: spéculation ne disparaît pas, taux de change à surveiller et se calquer sur po monétaire du $, tentation d’admnistrer les taux de change
lien industrie et taux de change
GNIMASSOUM: fixité des taux de change accentué le désavantage comparatif du secteur manufacturier -> peut conduire à une désindustrialisation précoce cf D.RODRIK
M.FRIEDMAN
en faveur d’un régime de change flottant pour laisser la vérité s’exprimer librement, hausse de la demande d’une monnaie en change fixe conduit ) l’inflation ou désinflation
pour les libéraux: écarts des balances courantes ajd se justifie car flottement encore impur car tout le monde pas de taux de change flottant
triangle d’incompatibilité
“The impossible trinity” 1961: R.MUNDELL: ne peut y avoir: po monétaire ind, taux de change fixe et un marché financer ouvert
-change fixe + mobilité des K: union monétaire (ex:UE)
-mobilité des capitaux + PM indépendante: change flottants (USA depuis 1971)
-fixité des changes+ PM indépendante => autarcie (chine avant 80)
conclusion sur régime de change optimal
J.FRANKEL 99: pas un régime de change qui est optimal pour tous les pays et toutes les périodes
politique de change
action délibérée du gouvernement / BC pour influencer (ou déterminer le taux de change)
défensive ou offensive avec taux de change
défensive: en change fixe: lutter contre les attaques spéculatives, limiter l’appréciation des taux de change, corriger les pertes de compétitivité
offensive: se donner un avantage compétitif= guerre cambiaire= guerre des changes ou lutte contre l’inflation.
instruments d’intervention
contrôle de change
modification de parité (dévaluation, réévaluation)
intervention des BC sur marché des changes ou manipulation des T% d’i