Chap 4: déséquilibre de l'éco capitaliste Flashcards
repérer les déséquilibres et que manifestent-ils
mvt de prix (inflation/déflation)
mouvement de l’emploi (sous-emploi= chômage)
crise financière (bancaire / marché)
“une rupture de l’équilibre offre/demande” J.ATTALI 1976
crise de production
surproduction: déflationniste
sous production: inflationniste
cause des déséquilibres
endogènes (Kisme et ses excès)
exogène (chocs)
inflation jusqu’en 1914
alternance inflation (vue comme bonne) et déflation (-)
ref sur l’inflation
P.BEZBAKH Inflation et désinflation
inflation pour régulationnsite
car régulation fordiste / monopoliste après 45: amène prix à augmenter car etps deviennent price makers
âge de l’inflation
après 1945 “âge de l’inflation” J.RUEFF
70: stagflation: inflation et chômage donne du crédit à M.FRIEDMAN et NEC
90: inflation très basse “Grande modération” : crainte stagnation séculaire et déflation (//crise 30’s)
inflation en dessous de 2% jusqu’en 2020: hausse inflation avec covid (fermeture de régions X)
2021: retour de l’inflation : conj ou structurelle ? régulation pénurie (cf éco socialistes qui produisaient pas assez) ou régulation monopoliste ?
inflation et raréfaction des ressources
climateflation
fossilflation
greenflation
inflation dec 2024
1,3% sur un an selon INSEE
controler les prix
idée de I.WEBER bcp d’éco l’avaient critiquée P.KRUGMAN retourne sa veste en disant qu’elle n’avait pas tord
“sallers inflation” alimentée par l’augmentation des bénéfices des etps
inflation def
processus de hausse du NGP, cumulatif et auto-entretenu (P.BEZBAKH) : auto-entretien: effet de premier tour: choc et second tour : lié aux anticipations, hausse prix ou négociations pour hausse de salaires)
ou indice des prix à la conso
shkrinflation
effet qualité
contenance du produit évolue
calcul selon postes de conso
des pondérations pour le calcul, coefficient budgétaires, stabilité des prix calculé pour un ménage moyen même si n’existe pas vrm réellement
variation des prix des conso
hausse dep contraintes et pré-engagées, baisse en audiovisuel et informatique, hausse prix du tabac (fixé hors marché), baisse alimentation (loi d’Engel 1857)
indice prix à la conso son histoire et son intérêt
1914: mesurer le pv d’achat des ouvriers
1970: mesure dans les agrégats de compta nat
80/90: critères de Maastricht
intérêt éminemment politique
autres indices
INSEE: Indice d’inflation sous-jacente (ISJ): evince les prix administrés + énergies (prix volatils)
Eurostat: indice des prix à la consommation harmonisé (IPCH): ne prend que ce qui reste à charge au conso
déflation
baisse de l’indice des prix: lors d’une dépression éco: baisse production et montée du chômage = phase baissière du cycle kondratiev (cf 1930 ou “Grande dépression” de 1873-1896
déflation sur l’0 du 19eme s
car GP donc baisse des prix donc déflation et croissance compatibles
déflation baisse la D ?
P.ARTUS: baisse prix stimule la D donc baisse T% d’i réel (t% nominal- inflation) donc + d’endettement puis baisse de la D
hyperinflation
P.CAGAN (monétariste) : inflation excède 50% sur 30 jours consécutifs
exemple d’hyperinflation
cas de l’All en 1923: la plus connue mais pas la plus importante : dette publique réduite à néant et c’est l’austérité qui a amené Hitler au pv pas l’inflation
caractéristiques de l’hyperinflation
chercher une nouvelle monnaie plus stable (loi de Gresham) ou A.ORLEAN “destruction de la monnaie”
dominance budgétaire
++ déficit et dette inflige la po mon à être laxiste afin d’éviter de pousser les pays dans la crise de solvabilité
inflation au Venezuela
due à un choc de l’offre et non de la création monétaire (//monétaristes)
la création monétaire est postérieure pour répondre aux prix à la hausse
stagflation
croissance éco faible, chômage + et taux d’inflation poursuit sa croissance
les néologismes quant à l’inflation
shortageflation = régulation pénurique (sous prod)
greedflation // sallers flation augmentation benef etps
shrinkflation: contenance
climate flation / fossilflation / greenflation
sous-estimation de l’inflation ?
biais de substitution (si prix relatifs changent: pour conserver son utilité => substitutions biens dans le panier)
biais avec la prise en compte de nv biens trop tardive
chg des réseaux de distribution
effet qualité : difficile à estimer mais surestime la hausse des prix
rapport Boskin
inflation surestimée de 1,1% aux USA en 1996 => croissance manquante
la croissance manquante
Le pouvoir de la destruction créatrice P.AGHION croissance manquante dans la destruction créatrice difficile de mesurer l’effet qualité
solution de calcul
des prix hédoniques
passage à l’euro
impression d’inflation car hausse prix des dép répétées en réalité pas de gros mvt d’inflation
indice de la CGT
indice du coût de la vie pour mieux refléter la réalité de la charge financière des ménages
prise en compte du logement
loyers et charges: IPC
achat en logement: considéré comme un actif (hausse patrimoine)
alternative à l’IPC et pq
durant la grande modération : hausse prix des actifs et immobiliers
indice prix du PIB (conso inter: prix à la prod pour CV et sous traitants), prix des actifs (immobiliers, financiers)
prémices de la TQM
J.BODIN au 16e : afflux d’or et d’argent avec la découverte des Amériques: augmentation du NGP
jusqu’aux années 20
théorie de la régulation concurrentielle: baisse prix du au fait de la concurrence, salaires flexibles à la baisse (pas bcp de négociations) et peu d’intervention sur les marché
+ contrainte de l’étalon or variation des prix selon qté monnaie métallique
années 20
crise déflationniste puis inflation (ex: All 23) puis prix ont tendance à stagner (surproduction = grande dépression)
stabilisation Poincaré 27-28: stabiliser le franc
début de l’inflation telle qu’on la connait aujourd’hui
WW1 selon T.PIKETTY: entrée de la France de l’ère de “l’inflation moderne”
entre deux guerres pour J.RUEFF 1963 L’âge de l’inflation
inflation 19 e puis 20
19e : sans inflation
20: avec inflation
inflation des 30 G
rampante de croissance : régulation monopoliste et D> O mais modérée car baisse prix des matières premières et GP
inflation 60
inflation structurelle fin 60 (68 2 marchés pour l’or)- 73 : baisse productivité du K, mes sociaux, maladie des coûts et éco d’endettement
inflation de 6,5% en France en 1969 rapport de l’OCDE 1970 “L’inflation: le problème actuel”
grande inflation
70: choc pétrolier x4 prix du baril entre 73 et 74 même si effet croissance limité
pic 74-7 5
et un 2eme choc: 79-91: stagflation
ceux qui luttent bcp contre la grande inflation
+++: Allemagne, Japon (ensuite phase de quasi-déflation constante), USA po de P.VOLKER 79-82 pour lutter contre l’inflation (double peine des pays M de pétrole en $: coût du baril + coût du dollar)
–: France, GB, Italie
la stagflation
70: choc conjoncturel puis ralentissement structurel de l’éco
Lain McLeod 1965
80
baisse de l’inflation (division par 3 aux USA)
réduction des rythmes de croissance (salaires), hausse chômage (relation courbe de Phillips), hausse de l’O étrangère (pression concurrentielle contient la hausse des prix) , de cette baisse des prix les revendications salariales diminuent
grande modération
90-2000: inflation et fluctuation des T% de croissance basses (inflation autour de 2%: stabilité pour la banque mondiale)
déflation rampante
Japon: “japonisation” lorsque qu’une éco flirte avec la déflation
rappel TQM
MV=PT (hyp de monnaie exogène, et dichotomie) et P fixé au plein emploi des capacités de prod
1911: “Un volume supérieur de monnaie achetant le même volume de marchandises, il faut que les prix montent”
citation M.FRIEDMAN
“l’inflation est toujours et partout un phénomène monétaire en ce sens qu’elle est ne peut être généré par une augmentation de la quantité de Monnaie plus rapide que celle de la production” Inflation et systèmes monétaires 1968
le gouv est donc le responsable de l’inflation
faits contre la TQM + hyp
années 80: inflation en baisse alors qu’éco d’endettement
2010: quantitative easing (hausse création monétaire via le multiplicateur de crédit) pourtant risque de déflation (en revanche inflation financière), inflation due aux chocs d’O et de D
hyp: monnaie est plutôt endogène
la causalité inflation création monétaire
E.MONNET “la monnaie et l’inflation demeure pour l’instant une mesure de notre ignorance”
effet cantillon
distorsion des prix relatifs : introduction de + monnaie exerce une augmentation progressive et différenciée des prix (pas un multiplicateur de tous les prix comme chez monétaristes) : monnaie active
où se situe l’écart inflationniste sur le modèle à 45°
avant le point d’équilibre entre la courbe de demande et la bissectrice où OG=DG
gap entre PIB réel et potentiel
gap inflationniste (gap >0) éco en surégime: déplacement DG au delà de la croissance potentielle
gap récessioniste (sous-régime)
chute de l’O provoque l’inflation
crises frumentaires (récolte de blé), guerres
exemple d’hyperinflation
Zimbabwe commence en 2000
coûts dépendent des rapports de force sur les marchés
-décision des payse l’OPEP (pv de cartel // monopole) : baisse qté hausse prx
-monopole syndical
-professions réglementées: au T% de marge très imp
-domination des créanciers et actionnaires (hausse coût du K)
que suppose une inflation par les coûts
une monnaie endogène pour y répondre
hausse des coûts
coût salarial, interventions publiques (fiscalité, po tarifaire) : déplacement OG gauche, énergie
courbe de Phillips
1958
corrélation négative entre le taux de chômage et le taux de variation des salaires nominaux
réinterprétée par Lipsey // Solow et Samuelson qui établissent relation - entre taux de variation de niveau des prix et taux de chômage
inflation importée + ex
excédent de balance courante (entrée de devises ou création monétaire en changes fixes) donc accélère l’inflation et hausse prix M
dépréciation du taux de change (hausse prix M=> inflation importée)
dévaluation successives de la France au XXeme peut expliquer sa tendance plus inflationniste que l’All
double mouvement inflation et dévaluation
dévaluation nourrit l’inflation et l’inflation nourrit la dévaluation afin de garantir la loi du prix unique parité des pouvoirs d’achat G.CASSEL 1916
recap des diff interprétation de l’inflation par P.BEZBACK
par la monnaie
par la demande
par les coûts
rappel de la maladie des coûts + complément sur l’inflation
W.BAUMOL: croissance fait dvlp le secteur tertiaires aux GP lents (1966)
“inflation de productivité” S.C KOLM 1970: liée à cette maladie des coûts (hausse salaires et donc prix)
régulation monopoliste ou administrée
inflation devient interne et inhérente à un nv mode de régulation (enlever l’inflation serait lui enlever le cœur)
tendance de tous les agents à fixer leur prix comme s’ils étaient des monopoles (indice de Lerner p-c_m/p)
les effets de second tour
caractérise le processus d’inflation “auto- entretenu” :
lutte pour le partage de la VA
boucle prix salaires : hausse prix par anticipations d’inflation hausse négociations salaires puis hausse prix (prophéties auto-réalisatrice
et boucle prix-profit
dérive de la courbe de Phillips
avant 69 ok
après 69: pour un même niv de chômage un niv d’inflation bcp plus élevé (augmentation des marges des etps donc prix, et négociations +++ salaires (boucle prix-salaire)
un néo-classique n’étant pas monétariste
F.HAHN: 80’: on s’est persuadé avec les monétaristes que le stock de monnaie plus imp s’accompagne de prix plus élevés
prix pour M.WEBER
M.WEBER Economie et société, 1922: prix monétaires résultent de compromis et de conflit d’intérêt
inflation: salaire et GP
si salaire augmente plus vite que les GP: inflation
l’inflation est une bataille politique
Inflation, Qui perd? Qui Gagne? Pourquoi? Que faire?
2024 E.BERR S.BILLOT J.MARIE
“L’inflation est toujours et partout l’expression des rapports sociaux”
Isabelle WEBER
reprend le concept de “sellers inflation” d’A.LERNER
boucle prix profit: entreprises ont le pv d’augmenter leur prix
// “greedflation”
rapport d’I WEBER 2024 à la BCE
plaide pour une nouvelle gouv sur l’inflation, car la BCE lutte contre l’augmentation des salaires pour briser la spirale salaires-prix ce qui appauvrit des segments de la pop
faible inflation imputable au banquiers
“banquier central conservateur” K.ROGOFF (1985) propose de déléguer la po mon à un gouv de banque centrale (banquier central) car celui si s’oppose plus à l’inflation que le gouv
M.AGLIETTA ce qui explique la faible l’inflation de la grande modération
tensions du marché du L (++ chômage = – d’inflation / pas de boucle prix-salaire)
dvlp des marchés financiers (hausse prix des actifs)
globalisation internationalisation des CV (M peu chère et hausse concurrence fait baisser prix)
hausse de l’S mondiale (vieillissement)
globalisation et intensification numérique
tirent prix vers le bas “enchère inversée” avec hausse stratégies lox-cost et prestations de services comme Uber
courbe de Phillips avec la grande modération
s’est aplatie (inélasticité de l’inflation au chômage)
désyndicalisation
modération salariale brise la boucle prix salaire
le nv type de régulation selon P.BEZBACHK
“nouvelle régulation transnationale” baisse du pv de négociation des salariés, mondialisation, po rigueur externalisation et concurrence (manque firme de la monnaie)
back to the 60 ?
O.BLANCHARD: en 2016 les anticipations sont ancrées dans l’inflation basse du fait de la longue période de désinflation et confiance BC
les facteurs expliquant les pressions déflationnistes sont-ils reversibles
M.H DUPRAT efficacité du banquier central (perte de confiance?
mondialisation (reflux et relocalisation?)
révolution technologique (monopole/ effets épuisés)
rapport de force d’évaporable aux salariés (possible retournement surtout avec l’ICF de 1,62)
anticipation (peuvent changer)
inflation conclusion
+ courbe de Phillips
avait disparu depuis 80 mais ressurgit on l’a prise pour conjoncturelle (choc Covid/Ukraine)
mais deviendrait elle structurelle (retour aux années 70 avec stagflation possible ? )
courbe de Phillips est-elle obsolète ou regagnera en pertinence
// 70 selon A. TOOZE
non car banquiers centraux veulent empêcher la boucle salaire prix mais il y en a pas du fait d’une faible action sociale
R.BOYER sur les perspectives de l’inflation
ajd le signe avant-coureur d’une régulation pénurique: il faut une planification stratégique et gérer la demande (sobriété)
faits soulignant les mécanismes de WEBER
note du CEPII
les secteurs les moins concurrentiels répercutent 100% du choc énergétique dans leur prix de vente
J.RUEFF citation sur l’inflation
“Rien n’est plus dangereux que l’inflation, excepté la déflation”
Keynes sur l’inflation et la déflation
1923 “L’inflation est injuste et la déflation inopportune.Des deux la déflation est peut être la pire(…) parce qu’il est plus grave dans un monde appauvri de provoquer le chômage que de désappointer le rentier”
taxe inflationniste
M.FRIEDMAN : gouv peut utiliser l’inflation comme forme de taxation
T.PIKETTY sur l’inflation
impôt sur le K du pauvre (épargne bancaire s’érode avec l’inflation) tandis que les riches arrivent à la contourner en investissant en actions et dans l’immobilier
victimes de l’inflations
prêteurs, titulaires de revenus contractualisés (rentiers), contribuables, détenteurs de monnaie
euthanasie du rentier
avec la hausse de l’inflation: mort lente : valeur du K se déprécie au rythme de l’inflation
préconisations dans L’inflation
*L’inflation. Qui perd? Qui gagne? Pourquoi? Que faire? E.BERR S.BILLOT J.MARIE :
SMIC pas vrm indexé sur les prix (IPC pour 20% les plus pauvres et hors tabac), revenus patrimoines progressent + donc impact de l’inflation dépend de la structure des revenus: K/L
personnes au SMIC ont perdu mais - que les autres(smicardisation)
indexation des salaires reste décalée
inflation pour diminuer le chômage?
puis faits
M.FRIEDMAN Inflation et systèmes monétaires 1968
inflation ne diminue pas le chômage, seule l’inflation non anticipée peut le réduire (illusion monétaire)
années 70: inflation et chômage cohabitent
lutter contre l’inflation
po conjoncturelle de rigueur : “coup de Volker” (FED 78-87): pousse USA dans récession avec po rigueur contre l’inflation/ Plan Barre (76-78) :FR
po structurelle: cf I.WEBER: contrôle des prix / blocage des salaires (cf 83 Fr indexation des salaires automatique supprimée)
inflation un adjuvant à la croissance ?
si D>O
simplie les conflits de répartition
pq s’attendre à de l’inflation
régulation pénurique
mondialisation inflationniste (protectionnisme, relocalisation)
déficit budgétaire
corrélation entre croissance et inflation
M.BRUNO W.EASTERLY : “Inflation and Economic Growth” 1995: à partir d’un certain seuil d’inflation joue contre la croissance mais en deçà pas de corrélation
++ d’inflation (corrélation + croissance)
déflation (corrélation + croissance)
zone intermédiaire (0-40%) selon les auteurs pas de corrélation claire
inflation de crédit
Schumpeter Théorie de l’évolution économique, 1911
inflation liée à la destruction créatrice: entrepreneur d’abord débiteur donc création de nvs moyens de paiements (monnaie additionnelle) MAIS supplément de D or il n’y a pas plus d’offre c’est donc à l’entrepreneur qui va trouver de nouvelles combinaisons de facteurs pour les diriger vers de nvs usages: création supplémentaire de l’O
dans le 1er temps: inflation de crédit puis déflation avec introduction de nvs biens
inflation pour apaiser les conflits sociaux + vision de Inflation
Keynes: salariés victimes de l’illusion monétaire (même si fait baisser salaire réel le salaire nominal lui augmente)
Inflation : GP faible donc inflation est un outil pour les détenteurs des prop de K de faire baisser les salaires réels : si salariés étaient les gagnants en 1970 sont ajd les perdants
part salariale
w=Ps=W/P / Y/L
W/P= salaire réel
Y/L = productivité du L
augmente si hausse salaire > prix ou baisse GP
accroissement de la charge de la dette
ΔB=i.B-SP (B: charge de la dette, i= T% d’i, SP: solde budgétaire primaire: hors prise en compte des intérêts dus au titre de la dette publique
de quoi dépend le ratio de la dette publique/PIB
dépend de la dette publique de l’année précédente, du taux de croissance réel, du taux d’i nominal, taux d’inflation et le solde budgétaire primaire
inflation pour faire fondre la dette publique
exemple après WW2:
USA : dette en 1946 de plus de 100% du PIB en 75: 25% seulement car expansion de l’éco et inflation
FR: 1944 à 1952: baisse de 87% de la dette/PIB
proposition pour réduire la dette
K.ROGOFF (2011): une inflation de 4à 6% pour aider à réduire la dette (même si controversé)
un choc inflationniste
resserrement po monétaire, mesures, élasticité des recettes et des dépenses publiques (augmentation des recette (e=1) et des dépenses (0,5)
pb de présentation de la dette publique
maturité de la dette française et % en T% variable
Dette publique/PIB mais n’est pas remboursée sur l’année
maturité de 8 ans
et 11% de sa dette à T% variable et le reste à taux fixe donc hausse T% d’i au moment T n’influence un effet sur l’endettement renouvelé à l’instant T (roulement de dette)
crainte de la récession et de déflation
1993 (-1% PIB FR)
Déflation japonaise (98)
éclatement de la bulle internet (mars 2000)
crise des suprimes
crise pandémique (jusqu’en 2021 crainte de la déflation)
Chine ajd (D int faible)
exemples historiques de déflation
30’ GD: baisse de 7% de l’act USA
Japon après krach boursier et immobilier 91-99 déflation (=décennie perdu 98-2011)
japonisation
croissance effective<Chine, T% d’i faible et inflation négative (? de la chine)
cercle vicieux de la déflation
déflation donc modif des anticipations (reporter la D est rationnel) mais comp rationnel et collectivement destructeur (prix baissent encore plus), charge de la dette augmente donc désendettement des acteurs baisse D baisse prix
I.FISHER sur la dette
théorie de la déflation par la dette 1933:
liquidation des dettes :désendettement des acteurs conduit à une phase de déflation : vente de détresse, contraction monnaie de dépôt et diminution de la circulation de la monnaie (thésaurisation) baisse T% d’i réel, hausse charge dette et baisse profit et salaire e découle une baisse de la prod et des prix, de l’emploi( ref à la TQM mais effet réel sur l’éco)
une crainte excessive de la déflation
C.PLOSSER “Déflater les craintes déflationnistes”
à l’exception de la GD 30’ les périodes de déflation se sont accompagnée de croissance (plus que stagnation ou déclin) ex: 19eme s ou Japon: certes baisse de la prod mais la croissance faible est plutôt du fait de faible GP
déflation bonne mauvaise horrible
bonne: grande dépression (1873-1896), années folles, GP, croissance, gold standard, déplacement de OG droite, mondialisation
mauvaise: déplacement de DG gauche, celle qui touche les actifs
horrible: grande dépression 30
dépréciation des actifs ?
dommageable dans un monde financiarisé, ce fut le cas lors des dernières crises financières où il y a eu du ralentissement éco
=> ce qui bloque ajd la croissance est la baisse du prix des actifs plus que celle des B/S
PB: ajd non mesurée avec l’indice d’inflation et la BCE ne prend en compte que la variation des biens de conso pour po mon
que signifie la lutte de l’inflation des BCE
accepter le ralentissement du marché du L (chômage) et une croissance sous son potentiel
T% d’i augmente , baisse de la D/I, baisse de l’O, hausse chômage et baisse activité
crise de rentabilité du K
R.BOYER : crise de rentabilité du Kisme (crise structurelle)
GD 1873-1896: concentration grande firme
Grande inflation: retournement du rapport de force dans le partage de la valeur ajoutée
P.ARTUS sur la nécessité d’une po mon restrictive
si inflation vient d’un choc de D: po mon restrictive ok
mais si vient d’un choc d’O (pourrait aggraver le choc)
inflation interne et inflation externe
F.GEEROLF
inflation externe (choc extérieur, guerre, appréciation d’une devise)
inflation interne (bocle prix-salaire, désancrage des anticipations)
I.WEBER pour le parlement européen
Union doit réformer sa gouv sur l’inflation conçue pour lutter contre l’inflation du passé (appauvrit des segments de la pop) mais plus efficace pour lutter contre l’inflation actuelle
contrôle des prix
idée de J.K GALBRAITH pour les acteurs monopolistiques
I.WEBER dans secteurs connaissant des pénuries et ceux réalisant des surprofits
t% de chômage ajd
7,4% EN FRANCE ajd
chômage naturel
et chômage courant
chômage naturel= chômage frictionnel + chômage structurel
chômage courant= chômage naturel + cyclique
chômage dans le modèle à 45°
IS-LM
et si introduction d’un salaire minimum
chômage pour les néo-classiques
volontaire = chômeurs ne veulent pas L au prix d’équilibre du marché (ex: “Big quit” après le covid USA )
chômage a un rôle disciplinaire
M.KALECKI : évite que le rapport de force pour le partage de la VA soit en faveur des salariés
politiciens sur le chômage
F.MITTERAND 1993 “Contre le chômage, on a tout essayé” des méthodes trad, peut-être penser de nvlles po
E.MACRON vœux pour 2024 “Nous devrons tout faire pour atteindre notre ambition de plein-emploi”
T% de chômage conjoncturel et structurel
conjoncturel lié à un choc d’O/D : pour y répondre po conjoncturelle
structurel (effectif-conjoncturel) : frictionnel ou T% de chômage de plein emploi, chômage naturel, taux de chômage n’accélérant pas l’inflation => dépend des rigidités du marché du L donc l faut rendre plus souple le marché du L
sous-emploi
a toujours existé puis inventé (catégorie statistique) puis institutionnalisé (assurance-chômage, agence de l’emploi)
pop totale
pop active = travailleurs en emploi + chômeurs vs pop inactive
processus touchant la pop active
salarisation (87% de la pop travaillant)
feminisation (montée des femmes 60 même si ont toujours travaillées)
qualification (hausse)
tertiarisation
polarisation
précarisation (ubérisation)
pop active ajd
15-65 ans: 30 000 milions de Fr
T% d’activité et taux d’emploi
T% d’activité : nb d’actif/pop active
T+ d’emploi: actif/15-65 ans: 68,4%
depuis la strat de Lisbonne repère est le T% d’emploi plus que le chômage
T% de salariés aux USA
93% vs france 87%
(L ind plus présent en fr)
1ère def du chômage
sous-utilisation des capacités de L dans un éco dans laquelle un rapport salarial de marché s’est imposé (société capitaliste)
le chômage a tjrs existé
Y.ZOBERMAN *Une histoire du chômage. De l’Antiquité à nos jours”
naissance du chômage
R.SALAIS L’invention du chômage
C.TOPALOV Naissance dy chômeur 1880-1910
avec l’extension du Kisme= L devient l’objet d’un échange marchant (cf K.POLANYI privatisation de la terre du L et de la monnaie marque passage au marché généralisé)
quelle période naissance du chômage
19ème avec recul des formes de prod précapitalistes (ex:limite L des enfants rapport Villermé 1840), crises cycliques et mécanisation (destruction d’emploi), dispositifs d’indemnisation des travailleurs privés d’emploi (GB “dole” 1911, USA “social security Act” 1935, France UNEDIC en 1958)
renvendication salariales
1880: revendications ouvrières demandant une assurance contre le chômage
chômage et industrie
W.BEVERIDGE Unemployment: a Problem of Industry 1909
Marshall (1903): arbitrage loisirs et L reconnu socialement (rémunéré): accepter de L contre en contrepartie un revenu pur accéder à la conso
la question sociale et ses évolutions
R.CASTEL les métamorphoses de la question sociale?
paupérisme au 19ème s => chômage au XXème s
chômage lors du 20 eme
premier recensement incluant la question du chômage en 1896, plutôt faible jusqu’en 1930 hausse avec la GD 30
(mesure sous-estimée car on ne licenciait pas agriculteurs, L féminin, chiffre fournis par les syndicats)
chômage
au sens du BIT (bureau international du travail): personne en âge de travailler (>15 ans qui répond à 2 critères de situation: sans emploi (pas travaillé même 1h durant la période de réf), dispo dans les 15 jours
un critère de comportemement: chercher activiement à un L
au sens de France L: demandeurs d’emploi inscrits un mois donné à France L catégorie 1 (celle sans emploi au cours du moi B : <78h, C: >78h
chômage des pays de l’OCDE
avec critères du BIT on peut comparer
+ Espagne
- Japon
écart entre données BIT et France L
celle du BIT< France L, gouv prend ceux du BIT
offre de L contrainte
chômage + halo+ sous)emploi : estimé à 16%
halo du chômage
J.FREYSSINET
frontières entre chômage et emploi (sous-emploi): durée du L = 1h de L= emploi ?
nature de l’emploi: décision ou contrainte (temps partiel) : 1/3 des travailleurs partiels contraints
frontière chômage et inactivité: mesurer la recherche active d’emploi ? ou non disponibilité
M.CEZARD Le chômage et sn halo : regroupe les personnes qui n’ont pas d’emploi mais souhaitent travailler sans être considérées comme chômeuses par le BIT
travailleurs découragés + mesure de l’OCDE
personnes inactives pour lesquelles le coût de recherche trop imp pour les perspectives faibles comp rationnel ne pas chercher
OCDE: T% de sous utilisation de la main d’œuvre = chômage + travailleurs découragés + travailleurs en sous emploi / pop active
T% de flexion
baisse du nombre de chômeurs/nombre d’emploi crées * 100
en créant des emploi possible que les L découragés reviennent sur le marché du L donc hausse du T% de chômage
chômeurs déguisés
ne sont plus considérés comme chômeurs: réduction des catégories
après seconde guerre mondiale chômage fr
+ zone euro
1957: pt le plus faible
peu pendant 30 G
puis à partir des années 1990 : 7 à 10%
zone euro: 5,9%
vulnérabilité au chômage
entre pays/ régions (infra nationale)
entre CSP: T% de chômage des employés et ouvriers + imp
qualification: T% de chômage des non qualifiés plus imp
âge
sexe: parité homme femme mais femmes - employables
organe: T% de chômage plus imp chez les immigrés leur descendances ou les supposés immigrés
retour sur l’âge
certes les jeunes plus au chômage CAR T% de chômage= chômeur/ pop active or bcp sont en étude donc surreprésentation de ceux non qualifiés plus vulnérables aux chômages et occupent plus souvent des formes particulières d’emploi
et les seniors : 40% des 54-64 ans en emploi
âge rigidifie les positions : jeunes + vulnérables au chômage mais + employables (inv pour les séniors)
durée du chômage
R.SALAIS “la file d’attente inversée” ceux qui sont au chômage depuis le - longtemps sont plus enclins à retrouver un emploi rapidement
chômage de longue durée(> 1 ans), très longue durée (>2 ans) 25% des chômeurs
chômage récurrent
alternance L et emploi peut être comme du chômage (limite des conditions du BIT 1H de travail = non chômeur)
l’employabilité
représente la capacité d’un salarié à obtenir ou à conserver un emploi, selon les caractéristiques individuelles, discrimination statistiques, facteurs conjoncturels
concept de plein emploi
cf préambule de la constitution de 1946 “chacun a le devoir de travailler et le droit d’obtenir un emploi”
loi du 18 décembre 2023 pour le plein-emploi (création de france L) + obj de plein-emploi avec un T% de chômage autour de 5% d’ici 2027
plein emploi pour W.BEVERIDGE
Full employment in a free society, 1944 plein emploi: toutes les personnes souhaitent travailler disposent d’un emploi même si toujours un chômage frictionnel (environ 3%) il faut donc que le nb d’emploi soit supérieur au nb de chômeurs et à des salaires décents
Strat de Lisbonne
strat de l’emploi : obj de plein emploi mais pas mesurée grâce au T% de chômage mais plutôt par l’augmentation du T% d’emploi (obj de 75% pour les 20-64 ans
T% d’emploi= travailleurs/15-64 ans) obj de maximisation de la qté de travailleurs => croissance extensive et productivité ?
relation entre taux d’emploi et taux de chômage
généralement inverse SAUF si variation du taux d’activité
si variation du nb d’actif T% de chômage et d’emploi peuvent varier de concert dans le même sens
plein emploi suppose
de convenir quel type d’emploi, si multiplication des emplois partiels effectivement plus de qté d’emplois
temps partiel (choisi ou contraint ? cf All grosse pression sur le femmes pour L partiel)
baisse de la part des salariés à temps complet depuis 2000
emploi inadéquat + son estimation
situations qui diminuent les aptitudes et le bien-être des L: mauvaise utilisation des qualifications, revenus insuffisant, heures de L décalées (= principe de la s de loisirs suppose que certains soient en L pendant que d’autres sont en loisirs)
selon le collectif “autre chiffres du chômage” environ 35% de la pop active
chômage lié
au salariat donc si que des auto-entrepreneurs moins de chômeurs (ubérisation et prestataires de services)
entreprises créent l’emploi ?
F.LORDON “les entreprises ne créent pas l’emploi” c’est le carnet de commandes (variation de la D) qui détermine le niveau de l’emploi
chiffre de l’act aux USA pendant la GD
-7% de l’act
35% de chômage en 1933
début de la mesure rigoureuse du chômage
après la WW2 (critères du BIT 1982)
keynes le chômage : rappel considération classique
chapitre 3 TGEIM 1936
ce n’est pas la désutilité marginale du L= arbitrage L/loisirs qui détermine le chômage mais la propension à consommer et montant de l’invt qui détermine le volume de l’emploi
=> insuffisance de la demande effective : hausse de l’ S augmente le chômage car capacités de productions inemployées pour la prod de biens de conso)
séquence keynésienne sur son titre
c’est l’emploi est det par le taux d’i det par la monnaie
désutilité marginale du L
arbitrage L/loisirs
écart de production output gap
si écart positif (situation inflationniste avec peu de chômage)
si écart négatif: situation déflationniste avec bcp de chômage
inspiration keynésienne
après WW2 plus qu’à partir des années 60 plus que pendant les années 30
loi d’A.OKUN
1962: si taux de chômage >4% 3 points de variation du PNB engendre une variation d’1 point du taux de chômage
au dessous d’un seuil de croissance: chômage augmente
au dessus: chômage diminue
constante d’Okun (0,3)
avis du FMI sur la loi d’OKUN
en 2013. L.BALL FMI : c’est une des relations empiriques les plus stables de la microéconomie (on peut alors prévoir selon t% de croissance les taux de chômage
déterminant du chômage à CT
fluctuation de la demande effective
france et coeff d’OKUN
baisse du seuil de croissance au-dessus duquel l’économie française crée des emplois (1,3%) : pour un même taux de croissance démultiplication du nb d’emploi (hausse temps partiel)
taux de chômage, usa fr zone euro et contradiction
usa: 4,2%
France: 7,4%
EU: 5,9%
plus de création d’emploi en france que la moyenne de la zone euro et qu’aux usa pourtant plus de chômage ?
CAR diminution de la durée du travail => plus d’emploi pour même qté de L
1er modèle de croissance endogène
N.KALDOR loi de Kaldor Verdoorn : avec croissance GP augmentent => GP nécessitent moins d’emplois
PIB
emploi total x durée du L x productivité horaire du L
baisse temps de L: hausse nb d’emploi pour une même qté de L
T% de chômage augmente en décalé
variation de l’activité avant la variation de l’emploi
si récession : baisse de l’emploi temporaire (CDD, intérim, heures sup) puis chômage partiel puis licenciements => cycle de productivité
relation de fourastié
E=Y-P
reprise par Yannick l’horth : faiblesse des gains de productivité soutient l’emploi même si c’est préoccupant pour l’éco => éco française arrive à créer des emplois avec une croissance atone
création d’emploi et baisse du chômage ?
taux de flexion: nb de chômeurs/nb d’emplois crées *100
paradoxe: si variation de la pop active il est possible qu’avec création d’emploi hausse du chômage (réinsertion des chômeurs découragés sur le marché du L)
le chômage un résidu
entre la pop active et l’emploi
attaque de la po monétaire
The role of monetary policy 1968 M.FRIEDMAN
attaque la po mon de relance keynésienne car T% de chômage naturel: t% d’équilibre incompressible sur un marché rigide => po mon inefficace (sauf à CT “avec illusion monétaire”) il faut donc libéraliser
types de rigidités
réglementation, info imparfaite, chômage structurel (si transformation de l’appareil productif = mismatches de compétences)
courbe de Phillips
1958 lien entre variation des taux de salaires nominaux et chômage
P.SAMUELSON R.SOLOW la réinterprètent en 60: relation inverse entre taux de chômage et inflation (inflation par les coûts avec hausse des salaires)
U* est le NAIRU: le taux de chômage n’accélérant pas l’inflation
friedman sur la courbe de Phillips
augmente la courbe de Phillips (droite verticale car mécanismes de relance génère de l’inflation et de l’illusion monétaire mais après revient à son niveau naturel (inélastique à LT )
NAIRU
JAMES TOBIN : mesure du chômage d’équilibre qui n’accèlère pas l’inflation MAIS encore dép la norme d’inflation
=> si taux de chômage en dessous du NAIRU (inflation)
au dessus (déflation)
R. SOLOW sur le taux de chômage naturel
convention statistique (un niveau en dessous duquel pas besoin de po conjoncturelle) mais ne pas oublier la réalité des gens sans L
vain de det un taux de chômage structurel
E.MALINVAUD: vain de vouloir déterminer un taux de chômage structurel: théorie justifié mais en pratique pas un indicateur suffisant pour juger l’état d’une éco et po adéquates (po macro pas forcément suffisantes)
courbe de phillips pour les gouv
J.FORDER: n’apparaît que peu dans leurs discussions ne considèrent pas qu’il faille absolument stimuler la D pour faire baisser le chômage avec hausse de l’inflation
rapport pisani-ferry
2004: évaluait le taux de chômage frictionnel à 3,5%
J.GENEREUX
plein-emploi des FP ou pleine utilisation de la main d’oeuvre dispo
taux de chômage frictionnel utile car améliore l’adéquation entre emploi et aspirations des salariés et accroît donc la productivité
T% de 2 à 3% en Fr, 4-5% aux Usa car mobilité du L plus forte
chômage rigidités
chômage résulte des rigidités: entraves exogènes à la flexibilité des prix
si pas de rigidités = désutilité marginale du L (chômage volontaire)
variation de l’O et la D de L chez néoclassique
résulte d’un comportement d’ind maximisateur de son utilité ou son profit
variation D de L: si salaire varie
variation O de L: arbitrage conso/loisirs (un coût d’opportunité si salaire augmente)
variation du salaire
si w>w* est censé pourvoir baisser si marché du travail walrasien (“commissaire priseur) pour cvg vers l’équilibre (cf loi de say variation des prix) si impossible = rigidité
causes du chômages institutionnelles
A.C. PIGOU Unemployment1913 syndicat et salaire minimum
J.RUEFF: même idée, chômage résulte d’un défaut d’adaptation des salaires au NGP “L’assurance chômage, cause du chômage permanent” 1931
théorie du déséquilibre
R.CLOWER A.LEIJONHUFVUD E.MALINVAUD
hyp de prix fixes / non flexibles
si O>D: marché des biens et O>D L : chômage keynésien
si O<D>D L: chômage classique</D>
prix visqueux
nvs keynésiens (sticky prices)
// Keynes TG 1936: salaires exprimés en monnaie on tendance à être visqueux: mettent du temps à s’ajuster
prix fixes: : pas de commissaire priseur donc rationnement
prix visqueux: rigidités car marché imparfaits et asymétries d’infos
salaires négociés de manière discontinue
S.FISHER J.TAYLOR : pas de flexibilité immédiate et pas pour l’ensemble à la même date donc visqueux
contrats implicites
C.AZARIADIS 1975: théorie des contrats implicites et la poignée de main invisible : production ne fluctue pas autant que salaires et emploi (salariés averses au risque donc contrat implicite : demande de faibles fluctuations de salaires)
info imparfaite sur le marché du L
asymétrie d’infos:
aléa moral (employeur doit s’assurer que le salarié fournira les efforts nécessaires
sélection adverse (employeur doit sélectionner le salarié le plus adapté)
salarie d’efficience
C.SHAPIRO J.STIGLIZ salaire réel au dessus du salaire d’équilibre car le salaire est un facteur de productivité (LEIBENSTEIN 1957) donc pour lutter contre la sélection adverse (A.WEISS 1980) hausse salaire pour attirer les bons candidats (modèle du tire au flanc)
insiders/outsiders
A.LINDBECK D.SNOWER 1988
insiders en place et en position de force et outsiders
dualisation du marché du L
P.DOERINGER M.PIORE : marché du L pas homogène: marché primaire (CDI) / secondaire (formes particulières d’emploi en hausse depuis 80 CDD, intérim)
modèle WS-PS
R.LAYARD
S.NICKELL
R.JACKMAN 1986
pouvoir de négociation des salariés (wage setting) et des firmes (price makers) : chômage équilibre le rapport de force
réduit le chômage avec baisse du pv de négociation des salariés ou des etps
théorie du job search
chômage de prospection (G.STIGLER) chômeur rationnel mais info imparfaite donc calcule un salaire de réservation et tant que le salarié ne trouve pas un emploi alors reste au chômage accentué avec indemnités
problème d’appariement
DMP (P.DIAMOND D.MORTENSEN C.PISSARIDES)
processus d’appariement renvoie au pb de l’adéquation O et D de L
courbe de Beveridge
relation inverse entre taux de chômage et taux d’emplois vacants
déplacement de la courbe si matching s’améliore va vers l’origine
fonction d’appariement
P.DIAMOND D.MORTENSEN C.PISSARIDES
chômage d’équilibre est croissant avec l’inadéquation: pb d’appariement de l’O et de la D de travail (infos imparfaite, mob géographique, formation, système public d’emploi défaillant = chômage d’inadéquation
NAIRU et taux de chômage
NAIRU: si T% de chômage > NAIRU: marge pour relance sans risquer une montée de l’inflation
Si T% de chômage < NAIRU : po de relance risque d’augmenter l’inflation
variation du NAIRU
en luttant contre le chômage on réduit le NAIRU (déplacement de la courbe de Phillips) cas depuis les années 80
effet d’hystérèse
E.PHELPS: csq d’un phénomène se maintiennent alors que son origine a disparu : pour le chômage T% de chômage conjoncturel élevé sur longue période peut augmenter le chômage structurel (perte de K humain, réduction ds invt, insiders)
po de CT à LT
peuvent agir J.L GAFFARD “tout est dans le court terme”
déversement
A.SAUVY La machine et le chômage 1980 : déversement sous l’effet des GP et de la déformation de la structure de la D
PT créateur, neutre et refouleur
crainte de la machine ex
théorie de la manivelle de sismondi
mouvement des luddites 1811 contre métier à tisser (R.ARKWRIGHT 1789)
“Avec un ordinateur et internet, un salarié plus efficace. Avec l’intelligence artificielle il devient obsolète” T.BLANDN
stock d’emploi
est un solde : perte d’emploi pas vrm de sens plutôt un solde <0
innovation et création d’emploi + relation de fourastié
innovation de produits (hausse D) crée de l’emploi
mais de procédés détruit l’emploi
Y=P+E
destruction créatrice et emploi
cf J.SCHUMPETER 1942 : destruction créatrice principal moteur de croissance mais aussi du chômage “le nouveau ne sort pas de l’ancien, mais à côté de l’ancien, lui fait concurrence jusqu’à lui nuire”
P.AGHION C.ANTONIN S.BUNEL Le pouvoir de la destruction créatrice effet de création d’emploi > destruction
P.CAHUC et A.ZYLBERBERG: Les ennemis de l’emploi chaque jour ouvré France perd 10 000 emplois mais en crée autant de plus ces nvs emplois sont + productifs donc finalement avantageux
chômage technologique
J.KEYNES
en imaginant le futur car nous trouverons des moyens d’économiser la main d’œuvre plus vite que trouver de nouvelles utilisations du L humain
La fin du Travail J.RIFKIN 1995 destruction des emplois par la tech donc il faut invt dans l’éco sociale et un tiers secteur
course avec tech
“Course entre l’instruction et la technologie” 1974 J.TINBERGEN
étude sur les possibles destructions d’emploi aux USA
étude de Frey et Osborne 2013: 47% des emplois aux USA menacés par l’éco numérique (maj intermédiaire) 10 ans après peut-être relativisé car ces emplois représentent toujours 45% de l’emploi américain
race against the machine
techno-optimistes pour impact tech sur croissance mais pas sur l’emploi
Race against the machine
E.BRYNHOLFSSON A.MCAFEE
plus de L
Un monde sans travail D.SUSSKIND: machines ne feront pas tous mais plus; restera du L mais risquera d’être hors de portée d’un nb croissant de personnes
paradoxe de Polanyi
repris par D.AUTOR
nous savons plus que nous pouvons dire (savoir tacite que la machine ne pourra jamais avoir)
étude OIT sur les destructions d’emploi
2023: position réaliste certes des risques avec l’IA mais pas une destruction totale du L concentré dans personnel de bureau
prix Nobel
Power and Progress 2023. D.ACEMOGLU S.JOHNSON: tech ajd pensée pour économiser le L humain mais doit être pensée autrement: pour augmenter la productivité marginale du L plutôt que l’automatiser “prendre le train de la productivité”
mondialisation
P.N GIRAUD “L’homme inutile” pour les emplois nomades dc soumis à la concu internationale
L.FONTAGNE La feuille de paie et le caddie PT mondialisation deux causes de l’emploi ajd
Concurrence de la Chine et choc chinois
sans la concurrence de la chine 560 000 emplois auraient été sauvegardés dans les années 2000 D.ACEMOGLU D.DORN D.AUTOR H.HANSON
immigration: def, historiquement, pourcentage
né étranger né à l’étranger et résidant en France, 10,7% ajd
raisonnement selon lequel les migrants augmente le chômage ou font baisser les salaires
raisonnement en équilibre partiel (seul marché du L)
choc d’offre + sur le marché du L (pression à la baisse sur les salaires pour l’absorber) ou si rigidités chômage
réalité d’arrivée de migrants sur le marché du L
joue sur la D
occupent des postes en tensions
études sur l’immigration
OCDE: +1% de la pop active avec l’immigration +1% sur le PIBn
D.CARD (N*): L’exode de Mariel 1980: immigrations de cubains sur Miami ok
J.HUNT rapatriés en france de 1962 (accords d’Evian mettant fin à la guerre d’Algérie) à 1968 : petite hausse du chômage et baisse salaire mais reste limité
insitutions sur le marché du L
rigidifient mais structure aussi le marché
insitutions interdépendantes
B.AMABLE on ne peut donc pas adopter une institution d’un autre pays si facilement
salaire minimum étude de ref
D.CARD (N* 2021): analyse de 1993 avec A.KRUEGER: expérience naturelle au New Jersey : hausse du salaire min tandis que Pennsylvanie non => finalement hausse légère stable de l’emploi au New Jersey
pas d’effet surtout si il est loin du salaire médian
groupe d’expert SMIC
préconisent de pas pas augmenter le SMIC (risque de smicardisation: tasser l’éventail des salaires)
=> stimulation d’emploi avec exonération des salaires proches du SMIC = déséquilibre les ressources de la protection sociale
autre facteur qui augmente le chômage
rôle des syndicats (A.C.PIGOU/ J.RUEFF) : forte syndicalisation capable de maintenir le prix au delà de son niveau d’équilibre
assurance chômage
1931 “L’assurance chômage, cause du chômage permanent” J.RUEFF: ind préfèrent la dole (1911 UK) plutôt que travailler : désutilité marginale du L
Emmanuel Macron et l’assurance chômage
durcir les règles de l’assurance chômage (2019: réduction de l’accès: 4 à 6mois de cotisations pour y prétendre 2024 8 mois)
assurance-chômage contra-cyclique: plus généreuse en bas de cycle éco moins en haut de cycle
I.MARINESCU
D.SKANDALS
coin socio fiscal
cotisations sociales: si hausse pour employeur hausse coût du L (désincite la D)
et désincite l’O de L car ne prennent pas en compte que c’est un salaire différé
augmentation de la valeur de l’homme
A.BRENDEN : on a augmenté la valeur de l’homme donc les employeurs sont incités à innover pour l’utiliser de manière la plus productive
baisse de la protection sociale est -elle bien
acceptent n’importe quel emploi (partiel, mal rémunéré, mauvaises conditions de L) donc in fine moins bien pour la croissance
exemple de compression salariale
All 2003 déflation compétitive
marché du L pas comme les autres
fonctionne avec ++ d’intervention publique
- asymétries entre dotations en FP (certains ont du K et d’autres n’ont que leur force de L)
L est donc un marché avec une conflictualité intrinsèque ce qui amène l’Etat à agir
loi le chapelier
1791 interdisait association de personnes de même métier
M.AGLIETTA
classiques considèrent comme marché du L comme un marché comme les autres marché (O forcément absorbée par la D? )
salaire pas le prix du L mais location des capacités de L mises à dispo des employeurs car L pas un bien marchand
D de L déterminée par l’anticipation de la rentabilité des entreprises, chômage involontaire csq d’une D agrée insuffisante
crises
avant 1945: crises récurrentes mais cycliques (petites du cycle Juglar venant purger régulièrement)
Grande crise : 1 petite qui tourne mal ou structurelle
crise dans le cycle Kondratiev
pas forcément tt partie baissière car c’est le ralentissement
3 grandes crises structurelles
1er GD
GD 30
Grande inflation
crises endogènes ou exogène
endogène produites par le système fondamentalement instable ou résulte de chocs diverses
cycle exogène ou purement endogène
G.HABERLER Prosperity and depression 1937: purement endogène ou purement exogène impossible mais reconnaît l’instabilité inhérente du système éco
Polycrise
A.TOOZE
récession et dépressions
récessions: + 2 trimestres de baisse de l’act INSEE: crise régulière vite absorbées par la reprise de l’act
dépression: au lieu de sortir du marasme l’éco Kiste reste déprimée et cherche une nouvelle manière de rentabilité
prémisses du cycle
avec E.SLUTSKY: engendrer des cycles avec les données des prix de gros et chocs aléatoires
cheval à bascule
K.WICKSELL : impulsion et propagation “cheval à bascule”: frappé avec un baton(=crise) déclenche le mvt mais mvt sera déterminé par la forme du cheval et non celle du bâton
innovations exogènes oui endogene
exogènes: F.HIRSH
endogène: Schumpeter
cycles éco sur la politique?
M.KALECKI: une classe au pv favorable au L ou au K
public choice (W.NORDHAUS 1975) : homo politicus est un homo œconomicus au pv: maximise sa popularité pour ê réélu (à l’arrivée rigueur puis en fin de mandat relance)
cycles à l’équilibre
R.LUCAS cycle est un phénomène agrégé se traduisant par des variations récurrentes et persistante de l’act éco dans son ensemble
=> manifeste les comportements d’optimisation des agents confrontés à un choc
choc monétaire est lié à une po mon non anticipée qui prend par surprise les agents
cycle réel
C.PLOSSER J.LONG “Real Business Cycles” 1983: cycles réel traduisent la réponse optimale des agents (anticipations rationnelles) à des chocs réels (pas forcément monétaire)
E.PRESCOTT : “fluctuations économiques sont les réponses optimales au taux de croissance aléatoire du PT”: choc d’O modifie l’act
faits contre cette analyse
1930 ne devrait pas être appelé “grande dépression” mais “grande vacances” (M.MUSSA 1980)
on ne peut expliquer les chocs que du côté de l’O
cycle réel disent que + dep gouv entraînent de l’eviction car dép pv remplacée par dep publique mais si trappe à liquidité (excès S) donc gouv peuvent augmenter sans effet d’éviction, rigidités des salaires et lien clair entre taux d’i et récession (cf USA “coup de Volker” 1981-82
typologie du Kisme
P.DOCKÈS Le capitalisme et ses rythmes
Âge du commerce (1680-1880), âge de l’usine (1880-1980) , âge de la finance
augmentation de la production Kistique
âge de l’usine (1880-1980) hausse des détours de production
“On réussit mieux en produisant les biens d’usage qu’en les produisant directement” 1889, allongement du processus productif donc décalage O et D car D anticipée sur un horizon très long donc risque d’erreur +
ap 1945 cycle mort
puis après 80 cycle financier dominant
poele à charbon
A.AFTALION
les fluctuations de prix viennent de l’allongement capitaliste du processus de production : avant de produire les biens de conso longue série de K
poêle à charbon: on investit pour stimuler la prod mais il y a déjà eu de l’I on finit par surchauffer l’éco
=> Kime est inapte à satisfaire immédiatement et rapidement les besoins donc svt surproduction
formulation de l’accélérateur
J.CLARK 1917 : invt suréagit à une petite variation de la demande
I=v.ΔY v= K/Y
oscillateur
P.SAMUELSON(1939) :
combine effet multiplicateur et accélérateur
ΔY= k.ΔI (k=1/(1-c)) c :
I=vΔY (Y : demande)
variation de l’I provoque une hausse du revenu qui lui même augmente une hausse de l’I => fluctuations auto-entretenues
oscillateur non linéaire (J.HICKS) butoirs rendent les relations non linéaires
grandes innovations
General Purpose Technology
ex: machine à vapeur, CdF, électricité, révolution numérique
cycle de répartition
R.Goodwin (1957): cycle exprime le rapport K/L (rapport central du kisme)
si hausse des profits: hausse invt: hausse capacité de production baisse du chômage hausse du salaire réel donc baisse profit ralentissement inv croissance chômage puis baisse W/P, hausse profit => boucle
rappel rémunération des FP selon classiques
selon productivité marginale des facteurs
C.JUGLAR origine du cycle
crédit: pratique du crédit amène aux crises commerciales
instabilité du crédit
R.HAWTREY : variation de la masse monétaire fait le cycle “inhérente instabilité du crédit” : si excès de monnaie = surendettement: monnaie scripturale > encaisses métallique donc risque de perde de confiance BC réduisent crédit (masse monétaire se contracte puis récession)
monnaie endogène
J.TOBIN “le crédit est le talon d’Achille du Kisme” : monnaie endogène
K.WICKSELL et le taux d’i
1898:
taux d’i naturel (celui qui équilibre l’S et l’invt sur le marché des fond prêtables) mais n’existe pas réellement : pb est que les banquent posent un taux d’i monétaire diff du taux d’i naturel donc déséquilibres résultant de cette diff
crédit
permet la dissociation de l’acte S et d’I
P.B RUFFINI
monnaie pour Hayek
active: variation du volume de monnaie entraîne tjrs “une falsification du système de prix et donc ne mauvaise direction de la production” F.HAYEK Monetary theory and the trade cycle 1933
effet accordéon
effet “concertina” N.KALDOR
augmentation des stades de prod en expansion puis rétraction de l’accordéon en récession
ex: si hausse du crédit: producteurs produisent plus “surcapitalisation” donc hausse biens de prod alors que pas de demande de biens de conso alors que sans crédit
déflation par la dette
I.FISHER 1933: désendettement des acteurs provoque la déflation.
1932: dans grands booms et dépressions: surendettement en phase expansive et déflation avec accroissement de la charge de la dette durant la dépression
“maladie de la dette” et “maladie de l’indice des prix” responsables des crises
plus on rembourse et plus on doit
I.FISHER: en remboursant on alimente la déflation qui elle même alimente la charge de la dette
accélérateur financier
B.BERNANKE M.GERTLER S.GILCHRIST 1999: : dynamiques sur marchés de crédit jouent un rôle central dans les fluctuations conj: si hausse emprunts hausse des achats d’actifs donc hausse de leur prix leur prix est anticipée à la hausse donc hausse valeur collatéraux réduisant les asymétries d’info qui augmentent la capacité d’emprunt et nourrissent la crise
spread ou écart de crédit
augmente durant les récessions:
différence t% d’i entre une obligation avec celui d’une obligation de référence considérée comme moins risquée
idée de la sous-conso
Business without a Buyer 1927 W.FOSTER W.CATCHINGS
Keynes bq ne fait pas la théorie du cycle
éco monétaire: anticipations sur l’avenir déterminant le niv de l’act
anticipations déterminant le montant de l’invt, la propension à thésauriser et po monétaire
taux d’i détermine la composition de l’S
efficacité marginale du K: taux de profit anticipé sur l’investissement
M.WOLF après la faillite de Lehman Brothers
“Minsky avait raison”
Minsky + 3 stades de la finance
Stabiliser une économie instable 1986 H.MINSKY: tt situation stable est transitoire donc expansion se transforme en boom amenant à la crise => paradoxe de la tranquillité (procyclicité de la finance)
Hedge finance puis speculative finance puis Ponzi finance la + risquée (montage financier dans lequel les participants sont rémunérés par les souscripteurs ultérieurs)
moment minsky
P.McCulley: moment en suspend où la bascule va se produire
conclusion sur le type de crise pour Minsky
endogène car résulte de l’instabilité financière
citation sur les crises financières
2004 R.BOYER “Il n’y a pas de capitalisme sans crises financières”
Finance peut être une source de croissance mais aussi de risque ex: gestion des risques ((produits dérivés pour se protéger de risque mais risque: prise de risque excessive)
crises financières ou monétaire
monétaire (tout sauf la monnaie légale)
financière (rien d’autre que la monnaie légale)
définition de la crise financière
touche les intermédiaires financiers et les marchés
B.EICHENGREEN ; perturbation des marchés financiers généralement associée à la baisse des prix des actifs et l’insolvabilité des débiteurs et des intermédiaires financiers
historique de crises
1857: 1ère crise financière international
1907: Panique des banquiers
1929: Grande dépression
1987: Black Monday : krach financier: 1ère crise du Kisme financiarisé pourtant après 3 années de croissance
marché des actifs financiers n’est pas un marché classique
pas de loi de l’O et la demande (hausse D avec hausse prix)
- crédit lié au prix des actifs (accélérateur financier B.BERNANKE M.GERTLER S.GLICHRIST 1999)
-effet délétères de la finance à réglementer
bulle
= inflation financière
J.STIGLITZ : “si la raison pour laquelle le prix est élevé ajd a pour cause unique le fait les invt pensent que le prix de vente sera élevé demain (…) on se trouve face à une bulle”
qu’est ce qui favorise les bulles
faiblesse des rendements des actifs sans risque
facilite à utiliser l’effet de levier
optimisme des perspective éco
incertitude sur la valeur fondamentale des actifs
mimétisme
Schiller
crise financière résulte des comportements mimétiques
indice de Shiller: PER ratio
hypothèse d’efficience des marchés financiers
E.FAMA 1965: n’implique pas qu’il n’y ait pas de crise mais pas de crise endogène qui résulterait d’une dégradation progressive du syst éco
cycle financier
prend une ampleur plus imp que celle du cycle d’act (M.AGLIETTA :interaction cycle financier et macro-économique dépend des structures financières
mesurer la dérive du crédit
ratio crédit/PIB
bulle indice de Shiller PER >25
mécanisme à l’œuvre pour krach
innovation technique ou financière
nouvelle anticipations accélérateur financier avec crédit
hausse prix des actifs
mimétisme rationnel
fragilité krach
intervention publique
reprise de la confiance
exemple de spéculation et krach
pendant la Railway Mania (1846) : société en commandite par actions
1929: nouvelle forme de spéculation, SA, financement d’actions par endettement
2007: shadow banking system, titrisation
dialectique réglementaire
E.KANE
ex: crise de 2008 survient pendant la mise en place des accords de Bâle II
def shadow banking
ensemble d’institutions financières qui joue le rôle d’intermédiation de crédit hors du système bancaire et qui échappe donc à la réglementation
les grandes crises
«Les grandes dépressions», «grandes crises» «morphogenèse» DOCKÈS ROSIER => permettent la métamorphose du Kisme pour assurer sa survie
M.AGLIETTA sur le temps de modif de la structure
peut ê plus long que la nouvelle période stable engendrée
renouvellement de l’intérêt des éco pour l’analyse éco
cf La structure des révolutions scientifiques T.KUHN : science a un paradigme mais lorsque se multiplient les anomalies : révolution scientifique et chg de paradigme
J.ROBINSON: économistes trjs en retard d’une crise
chronologie des crises
crise frumentaire 1815-1817: remise en cause de la loi des débouchés la crise est possible (Malthus, Sismondi)
18 e: aléas agricoles + insuffisance alimentaire avec démo (T.MALTHUS)
19e s 1: JUGLAR: crises commerciales et de surproduction
19e s 2: crise industrielle de surproduction (MARX)
GD 30: naissance de la lecture macro: crise de la production de masse sans conso de masse
après WW2: naissance des po contracycliques “mort du cycle”
puis nouvelle lecture: grandes crises du Kisme (th régulation)
crise de la sortie de crise
Duménil Levy 1ère grande dépression prépare la GEM mais des manques donc GD 30: crise de la sortie de crise
similitudes des crises
financières oui
productive non car dépend de la structure productive
types de crise
choc exogènes
petites crises (crises Dans la régulation: corriger les déséquilibres récurrents de l’accumulation )
grandes crises : de la régulation
grande inflation
est une grd crise; donne du crédit à M.FRIEDMAN F.HAYEK : épuisement du régime de régulation fordiste et prépare l’âge de la finance
crises financières
1994 Mexique
1997 crise asiatique
2000 bulle internet
2007-2008 subprimes
2010-2012: crise des dettes publiques européennes