Chapitre 4 L'équilibre des agents et le fonctionnement du marché Flashcards
microéconomie selon L.Robbins
science qui étudie le comportement humain en tant que relation entre les fins et les moyens rares à usages alternatifs
def rareté et choix
tensions entre besoins et ressources pour les satisfaire
choix “ arbitrage entre des solutions alternatives” ROBBINS
qu’est ce que l’homo œconomicus
homme rationnel qui utilise les ressources dont il dispose de manière à en tirer la satisfaction la plus élevée possible
suppose une rationalité totale (substantive ou limitée distinction d’Herbert Simon
but du conso et def
graphique u et U_m
maximiser son utilité: satisfaction procurée par la conso d’un B ou d’une combinaison de bien (utilité objective ou subjective : “ophélimité” Pareto et utilité marginale: supplément de satisfaction via conso d’une unité supplémentaire d’un bien -> loi de gossen (1864) utilité marginale décroissante “Plus on mange, moins on a faim” Walras
def et représentation graphique courbe d’indifférence et carte d’indifférence
représente l’ensemble des combinaisons de deux biens X et Y qui procurent un même niveau d’utilité/de satisfaction
-carte d’indifférence -> Pareto
def du TMS
TMS de x à y mesure la quantité de Y que le conso est prêt à céder contre une unité supplémentaire de X, tout en conservant le même niveau de satisfaction
TMS= U_mx/U_mY
def et représentation graphique de la contrainte budgétaire
défini l’ensemble des choix possibles connaissant l’ensemble des conso+ prix
comment trouver l’équilibre du conso
rechercher la composition du panier de biens optimal permettant d’atteindre un niveau de satisfaction optimal sous la contrainte du budget et des prix
égalisation du TMS: Um_x/ U_my=P_x/P_y
et Um_x/P_x= Um_y/P_y
LOI D’EGALISATION des utilités marginales pondérées par les prix
courbe conso revenu passe par tous les paniers optimaux si variation du revenu
modification des prix relatifs du panier de biens: quels sont les deux effets
-effet substitution: modification de l’équilibre du conso modifiant la proportion de biens X et Y dans le panier sans modifier l’utilité maximum
-effet revenu: modifie le pv d’achat du conso
comment créer t-on la courbe de la demande
-création de la courbe individuelle de la D: carte d’indifférence , point optimaux selon différents niv de contrainte budgétaire et prolongement sur un nouveau repère
en agrégeant toutes courbe de D ind
qu’est ce que le taux d’intérêt et quels sont les effets d’une hausse de ce dernier
coût d’opportunité: ce à quoi l’on renonce si on choisi de consommer, effet substitution: + d’épargne - conso et effets revenu: valorisation de l’S donc hausse pv d’achat
théorie du cycle de vie: représentation graphique de la courbe du cycle de vie
Franco Modigliani 1954: lisser la conso au cours de la vie :
3 réaction face à un produit qui déçoit
Exit, voice and Loyalty (1970)
A.HIRSHMAN
différents types de bien: 6 + 1 concept
- biens normaux (corrélation nég prix et Demande)
- bien inférieur (hausse revenu, baisse demande)
- biens giffen ( hausse prix, hausse demande: 1ère nécessité)
-biens veblen ( hausse prix, hausse D: conso ostentatoire ou tt actif spéculatif) - biens différenciés (Lancaster) différenciation horizontale ou verticale, acquisition d’un Bien pour des caractéristiques précises
- biens d’expérience (STIGLER, BECKER U_m non décroissante)
-biais cognitifs, Ariely (tendance à s’écarter du comp rationnel: cigarette)
qui souhaite étendre l’homo œconomicus à ts les compartiments de la vie
Gary
BECKER (école de Chicago)
déterminants sociaux de la conso
- Bourdieu, La distinction
- Veblen Théorie de la classe des loisirs 1899
- HALBWACHS: diff entre ouvriers et salariés
- consommation engagée “consom’acteur” DUBUISSON-QUELLIER (2009)
but du producteur + equation profit
recette-coûts= prix.qté vendu - coûts
à CP on parle de rendements……. (def)
factoriels, car seul le facteur L est variable le facteur K lui est fixe
rendement factoriel sont décroissants: car productivité marginale décroissante : à partir d’un certain seuil d’utilisation du facteur variable la prod augmente mais moins vite que le facteur variable —> Turgot loi des rendements décroissants
fonction de prod à CP
qu’est ce que la productivité marginale et moyenne + graphique et relation entre les deux productivités
P=FP(K barre car fixe; L) relation mathématique mesurant la été de production en fonction de la quantité de facteurs
P=f(L)seul L est variable
P_ML= P/L
P_mL= delta P/ delta L accroissement de été produite lorsque qu’une unité supplémentaire de L est utilisée
PmL>PML alors PML augmente
PmL<PML alors PML diminue
les coûts en courte période
def couts totaux, moyens
représentation graphique et def des éco d’échelle
def coût marginaux
courbe avec coûts fixes, marginaux et moyens
coûts totaux= coût fixe+ coût variables
Coût moyens= CT/ qté prod = (CF+CV)/Q= CF_M+ CV_M
éco d’échelle: lorsque le coût unitaire diminue lorsque les quantités augmentent (amortissements des coûts fixes) mais effet de seuil avec déséconomie d’échelle: coûts organisationnels, bureaucratiques des grds etps
coûts marginaux: delta CT /delta Q
en LP on parle de rendements ……..
d’échelles: mesurent la variation de quantité produite en réponse à la variation de la quantité de FP mobilisés K et L, K et L sont substituables en LP
isoquante def et représentation + TMS_t
représentation graphique de l’ensemble des combinaisons des deux inputs permettant d’atteindre un même niveau de production
TMS technique : T% auquel on peut substituer L au facteur K sans modifier le volume de la prod TMS= delta K/ delta L
“contrainte budgétaire” du prod, et recherche de l’équilibre du producteur
droite d’isocoûts d’équation k= -(P_L/P_k)L + C/ P_k
car C = P_LL + P_k*K
TMS_t= P_mL/P_mK= P_L/ P_K et donc P_mL/P_L= P_mK/P_K
courbe de coûts moyens en LP à représenter
voir porte document
rendements d’échelles
fonction Cobb Douglas F(λK,λL)= λ^h.F(K;L)
si h >1 : rendements croissants output croît plus vite que inputs
si h = 1 constant
h > 1 = décroissant output croît moins vote que inputs, déséconomies d’échelles
recherche du point où le profit est max
R_m= C_m : seuil de rentabilité, point mort) règle de maximisation du profit car si R_m > C_m profit_m >0: unité supplémentaire à produire
si R_m< C_m: profit_m <0 : stopper la prod
et profit_m: R_m-C_m
R_m= variation R_T/ variation R_Q
seuil de rentabilité et fermeture
à LT
quand C_m= R_m point mort, qté minimale pour ê rentable, en dessous d’un certain point l’etps ne peut même plus couvrir des couts variables moyens -> seuil de fermeture
à LT: profit devient nul en CCP, intérêt pour les etps à obtenir de plus grosses part de marché pour passer de Price takers à Price mares
producteur veut acccroître son profit avis de SCHUMPETER, GALBRAITH, Baumol, WEBER
Schumpeter: profit n’est pas motivation 1ère de l’entrepreneurs : volonté de “former un nv royaume” transformer le monde
Galbraith: question du pv du patron de la GE
Burmol: manager a une fonction diff de l’actionnaire ( pouvoir/ dividendes)
Max Weber L’éthique protestante et l’esprit du capitalisme
DEP 80’s: K actionnarial gouvernance”shareholder”
déplacement …. la courbe d’offre ou de demande de deux manière
déplacement DE la courbe : modification de l’env
déplacement sur la courbe: variation du prix entraîne la variation de la qté offerte ou demandée
def élasticité
élasticité prix
revenu
croisé
expression de l’élasticité prix (demande et offre)
l’élasticité mesure la variation d’une grandeur provoquée par la variation d’une autre grandeur
prix: variation D car variation Prix d’un bien
revenu: variation D en raison de la variation du revenu
croisé: réaction demande B_1 face à la variation du Prix B_2
e_d/p= (ΔD/D)/(ΔP/P)
e_o/p= (ΔO/O)/(ΔP/P)
loi sur l’élasticité
loi de King 1696: marchés de produits agricoles sur-réagissent face à l’offre ou demande : rigidité D de produits agricole: une petite variation de l’O peut engendrer une très forte variation du prix
corrélation entre élasticité et prix
politiques publiques peuvent marcher si
corrélation - : plus l’offre ou la demande est élastique - variation du prix sera importante
po pu + ou - efficaces selon l’élasticité (ex: tabac)
citation de
W.Nordhaus sur le marché
“Un marché est un mécanisme par lequel des acheteurs et des vendeurs interagissent pour déterminer le prix et la quantité d’un bien ou d’un service”
les 5 hyp du marché de CPP
Concurrence pure:
- atomicité
-homogénéité
-fluidité (libre circulation sur le marché)
Concurrence parfaite
-mobilité parfaite des FP (K et L substituables, déplacement d’un marché à l’autre)
-transparence
équilibre du marché
1890 MARSHALL: équilibre partiel : équilibre du marché indépendant des autres
équilibre total Walras: commissaire priseur : centralise O et D + recherche du prix (signal) via le tâtonnement Walrasien
optimum de Pareto -> situation Pareto optimale avec une bonne allocations des ressources mais n’est pas socialement juste
def surplus du conso et du producteur
surplus total
Jules Dupuit : surplus de consommateur: écart entre prix maximum que le conso est prêt à payer (dispo marginale à payer) et le prix marché
surplus du producteur: écart entre prix min auquel le pro est prêt à vendre et prix du marché
surplus total =gain à l’échange total
en cas de prix plancher> p_e -> perte sèche du surplus du conso
prix plafond<p_e: surplus du prod transféré vers conso : pénurie ou rationnement
vertus et intérêt CCP
prix les plus bas pour la qté la plus haute -> efficience allocative
modele de ref pour étudier la structure du marché + imaginer po législation même si n’est pas réel
défaillances de marché déf
situations où la poursuite des intérêts privés ne converge pas vers ceux de la collectivité, allocation inefficace des ressources
typologie des différents biens
biens rival : conso du bien par A empêche à B de le consommer
biens excluables: possibilité d’exclure un ind de sa conso par l’instauration du prix
R et E : biens privés/ privatifs
R et non E: biens communs (ressources halieutiques)
non R et E: biens de clubs / à péage
non R et non E : biens public/ collectif
tragédie des communs
Hardin GARRETT : tendance à négliger ce qui est commun + comportement de freeride “passager clandestin” Mancur Olson 1965 La logique de l’action collective
comment gérer ces biens communs qui sont voués à disparaître car surconsommés
et qui produits biens collectifs
- Elinor OSTROM gestion de ces bien par des associations d’usager, des communautés d’intérêt locales = processus de délibération démocratique et principe de subsidiarité
- Réglementation : quotas de pêches, mouvement des enclosures en Angleterre au XVI et XVIII
jamais produit par des agents privés:
C.KINDLEBERGER “Biens accessibles à tout les Etats qui n’ont pas nécessairement intérêt à les produire”
car non rentables même si il y a une utilité certaine du bien intervention de l’état est nécessaire ( Adam Smith: éducation primaire, fonctions régaliennes, infrastructures dans le livre V )
def externalité
effet de l’action d’un agent sur un autre sans compensation monétaire
gain externe: ext + et coût externe: ext -
Gain social= G pv + G ext
Coût social= C pv + c ext
mais l’individu ne supportent pas toute les conséquences de leurs actions
Alfred MARSHALL: effet cluster: stp innovante donne des idées à d’autres
J.Meade 1952: ext + abeilles: arboriculteurs et apiculteur
internaliser les ext - ?
par le marché ou l’état ?
marché : théorème de COASE Ronald COASE The Problem of social cost 1960: si droits de prop bien déf + coût de transactions nul -> on peut internaliser les ext-
état:
réglementation: normes (interdiction des chlorufluocarbures CFC destructeurs de la couche d’ozone)
fiscalité: taxation sur le principe pollueur payeur : nv signal de prix taxe pigouvienne PIGOU (éco GB) 1920 The economics of welfare ou subvention (promouvoir bons comportements)
définition du monopole naturel
situation où un producteur unique s’impose sur le marché en produisant à lui seul les qté demandées (éco d’échelle et rendements indéfiniment décroissants) cas des entreprises de réseau où il y a de fortes barrières à l’entrée pour de possibles concurrents
Leon Walras L’état et les chemins de fer 1875
rappel sur les asymétries d’information
sélection adverse: risque ex ante : avant signature du contrat: risque de ne pas sélectionner un produit ou une personne ayant les caractéristiques désirées car existence d’asymétries d’informations
George AKERLOF The market of lemons 70
Stiglitz : banquier et l’emprunteur (opé de screening nécessaires)
l’aléa moral : ex post
risque qu’un des partenaires à l’échange adopte un comportement opportuniste en s’appuyant sur l’existence des asymétries d’informations
théorie des incitations
90’s LAFFONT TIROLE: incitations aux bons comportements (ex: bonus malus, part variable du salaire) plutôt que des contrôles
optimum dit de 2nd rang
LANCASTER et LIPSEY peut être atteint grâce à l’intervention de l’état
regarder le graphique sur l’instauration d’une taxe et ses conséquences sur le prod et le conso