Rachis 4 Flashcards
mvt mineur et majeur
I et r ≠ selon rachis cervical et l’ombre
Rotation controlatérale au niveau lombaire
Très peu de rotation au niveau thoracique
Rotation homolatérale au niveau rachis cervical inférieur
Rotation controlatérale au niveau du rachis cervical supérieur
certains étages sont hypo mobiles, il faudra
développer des compensations/ des surcharges sur les autres étages. Cette sur sollicitation de certains segments peut entraîner des pathologies.
Mobilité plan sagittal
Grandissement tassement
Mobilité plan frontal
Ouverture fermeture
Mouvement monolithique
En verrouillage
= ø recruter un mvt exemple la rotation.
syndrome d’Ehlers-Danlos
HyperMobilite globale
Hypermobiltés qui peuvent être
locales (ex : dans une entorse) ou globales (ex : syndrome d’Ehlers-Danlos). Elles peuvent survenir lors d’un traumatisme ou d’une hypersollicitation traumatisante qui peut amener à un surmenage ou une instabilité (ex : les lanceurs de base ball ont souvent des déficits de rotation interne de l’épaule et une rotation externe surdéveloppée)
Hypomobilités :
raideurs qui peuvent survenir après un traumatisme (ex : fracture vertébrale avec cicatrisation trop importante), ou en cas d’immobilisation car les tissus s’adaptent (ex : lorsqu’on retire un plâtre après une fracture, on a du mal à retrouver une extension/ flexion complète au début). Cependant, une hypomobilité est souvent moins préjudiciable qu’une hypermobilité.
éviter de tout le temps mettre un coussin sous les genoux après opération car
possible flexum au niveau des genoux qui peut être gardé par les patients
Stabilité def
Aptitude à conserver ses courbures soit de référence soit adaptées à la posture, en consommant un minimum d’énergie.
M du corps pouvant être stabilisateur
Tous
Aucune position, même la moins contraignante, ne peut être conservée indéfiniment :
on a besoin d’en changer régulièrement = alternance positionnelle car les zones soumises aux appuis réclament une adaptation sous forme de changement de points d’appui. Ce n’est pas la position qui pose problème mais le manque de mouvement (« rest is rust » = le repos rouille, « motion is motions » = le mouvement lubrifie), les structures fatiguent d’être maintenues dans un même secteur articulaire et une même course articulaire. Au bout d’un moment, on commence à « gigoter » pour éviter une ischémie. Ainsi, les gens immobilisés trop longtemps dans une même position développent des escarres.
Position assis ou couché avec dossier
2 questions se posent : la qualité du support. Selon support, nécessité d’avoir besoin ou pas d’une action des muscles pour le maintien.
Mais à priori aucun problème car maintien passif par un support
Décubitus ou latérocubitus imposent l’alignement du rachis sur le support (🡪 moindre coût)
🡪 3 éléments à prendre en compte =
Souplesse du matériau de contact : doit pouvoir se déformer et garantir le confort
Rigidité du sport pour respecter les courbures
Reliefs du sujet afin de disperser la charge sur une surface plus importante afin de maintenir la position plus longtemps.
bonne manière de s’asseoir
Ø
Debout plan frontal
Pas de courbures (sauf pathologies)
Extrémités et éléments rapportés :
- Le bassin permet assise rachidienne avec une horizontalité qui peut être imparfaite en cas de non symétrie de la longueur des jambes ou asymétrie d’orientation des os coxaux
- La tête est en cause avec l’horizontalité du regard et utilisation de l’oreille interne (canaux semi-circulaires) pour maintenir l’équilibre
- Le thorax = possible déformations (en cas d’ablation de poumons par exemple) qui peut modifier la manière de se tenir avec apparitions de compensations
- La ceinture scapulaire et ses éventuelles asymétries ne sont pas forcément accompagnées par la colonne vertébrale (= indépendantes de la colonne vertébrale)