Rachis 2 Flashcards
Pap
Process articulaire post
Pap sa
Planes : arthrodies
Sauf lombaire : trochoïde peu amplitude de rotation
Pap incline cervical
Vers l’arrièr
Pap incliner thoracique
Presque plan frontal : facilité l’es inclinaison
Pap lombaire incliner
Presque plan sagittal facilité F E
Pap articulation.
synoviale avec une capsule articulaire et au niveau de celle-ci, on trouve des récessus (ou des culs-de-sac) qui vont permettre un peu de liberté de mouvement.
Arthron illustre
Illustration : Le manche de la pince c’est les 2 processus épineux et la pince c’est l’articulation inter-corporéale :
Extension = serrer la pince 🡪 ouvre les espaces entre les corps vertébraux
Flexion comprime l’avant de la pince et écarte les processus épineux
Capsule synoviale arthron partout sauf
sauf au niveau de la charnière cranio-cervicale C0-C1)
Capsule arthron
capsules synoviales postérieures qui donnent des récessus (antéro supérieur et postéro-inférieur) avec une liberté de bâillement au niveau des facettes articulaires.
Quand il y a un « blocage », ce sont ces facettes articulaires que nous allons essayer de rendre à nouveau mobiles lors des mobilisations vertébrales.
Disque intervertébraux def
Anneau fibreux (fibrocartilage) + noyau pulpeux (sa structure est riche en protéoglycane qui donne un caractère hydrophile, il nourrit le disque)
Structure en lien avec DIV
Les cartilages des spondyles / des plateaux vertébraux des vertèbres sus et sous-jacentes
Les ligaments longitudinaux postérieur et antérieur
Les muscles qui s’insèrent au niveau des disques entre L1 et L5 (ce n’est pas l’insertion que l’on retient le plus souvent mais elle existe).
Exemple : le grand psoas.
DIV type articulation
Amphiarthrose (Selon Gray)
Diarthrose (Selon Shapiro)
Symphyse (Selon Dufour)
Complexe et polyaxiale ø avis prof
Innervation DIV
Sinus vertébral de luschka
Remonte ou descend de 4-5 niveaux
DIV h moyenne
Au niveau cervical : 3 mm
Au niveau thoracique : 5 mm
Au niveau lombaire : 9 à 17 mm
DIV épaisseur
Cervical : ant > post = lordose
Thoracique même e
Lombaire ant > post : lordose
Courbure rachidienne due au DIV en forme de coins
Hauteur cumulée des DIV
15 à 20% de la hauteur total de la colonne
Facteur influençant la hauteur de la colonne : âge (réduit en vieillissant), génétique, heure de la journée (colonne plus grande le matin au réveil car les disques ont réabsorbés du liquide), activité physique (course à pied réduit la hauteur à courts termes), pathologies.
Facteur influence hauteur colonne
Âge
Génétique
Heure de la journée : matin»_space;>
Activité physique
Patho
Fonctions DIV
Absorption des contraintes mécaniques : en compression et en torsion (les fibres ont une obliquité inversée, c’est un frein à la rotation)
La mobilité rachidienne (dépend du jeu que l’on a entre les articulations interspondylaires en avant et les articulations postérieures) + Crée un espace entre les corps vertébraux et donc augmente la mobilité (explique que quand on vieillit on a moins de mobilité car la hauteur des disques diminue)
Protection de la moelle épinière et des racines nerveuses : peut ne pas paraître logique étant donné les pathologies tels que les hernies ou le syndrome de la queue de cheval, mais il ne faut oublier qu’elles sont rares.
Diminue DIV
sédentarité, fumeur (attention à cette notion car est un facteur de confusion, notion de classe socio-économique…), obésité (même chose que fumeur attention), génétique
Expérience coureur et h DIV
En comparant 2 IRM avant d’aller courir et après, on observe une diminution de la hauteur et du volume des disques = effet à court terme
Si l’on refait cette expérience sur du long terme un coureur aura plutôt tendance à avoir une colonne qui s’allonge (disques « grandissent ») = l’activité physique est positive
H DIV diminue avec l’âge
va se dégénérer (comme des « rides » sur le visage mais à l’intérieur du corps, c’est physiologique) /Pas de corrélation avec la douleur
Anneaux fibreux 2 zones
Zone périphérique fibreuse
Interne fibre cartilagineuse
Zone périphérique fibreuse
Regroupée en lamelle concentrique, c’est par celles-ci que les disques s’insèrent sur les spondyles vertébraux. Elles sont principalement constituées de fibres de collagène de type 1. L’orientation des fibres de chaque lamelle va être différente (les fibres sont de plus en plus obliques à l’intérieur), cela permet d’avoir des fibres fonctionnelles dans n’importe quel mouvement.
Zone interne fibre cartilagineuse
S’insère sur les cartilages des plateaux vertébraux. Il y a une constitution similaire aux tendons et aux ligaments. La zone est constituée principalement de collagène de type 1 et 2.
Noyau Au niveau cervical :
25% du volume du DIV, constitué de fibrocartilage, concentration importante en collagène = noyau fibreux (exception donc au niveau cervical). Discontinuité au niveau de la périphérie du disque donc si c’était un noyau pulpeux cela « fuirai ».
-processus unciformes au niveau des vertèbres cervicales qui permettent d’éviter la fuite du noyau
Au niveau C0 (occiput) et C1 il n’y a pas de DIV, au niveau C1 et C2 pas de DIV non plus
Noyau Au niveau thoracique :
les DIV ont un amincissement postéro-latéral au niveau des articulations costo-corporéales (hernies discales thoraciques rarissime par rapport aux cervicales et lombaires) ce qui permet la cyphose thoracique
Noyau lombaire
50% du volume du DIV
Sécrétion noyau
le noyau pulpeux sécrète des protéoglycanes = haute pression osmotique (donne le caractère très hydrophile (un disque est un peu comme une éponge)). Sécrète également du collagène
Traction DIV :
Décompression
Diminue la pression mais eau rentre
Contrainte en compression :
la pression va augmenter dans le disque, l’eau va sortir, perte de hauteur et gain en largeur. L’eau va sortir
Extension DIV
extension (du corps vertébral supérieur par rapport au corps vertébral inférieur) : le DIV va être chassé vers l’avant ce qui met en tension les fibres antérieures de l’anneau du disque
Flexion DIV
flexion (du corps vertébral supérieur par rapport au corps vertébral inférieur) : le DIV va être chassé vers l’arrière ce qui met en tension les fibres postérieures de l’anneau du disque. C’est cette position qui peut créer des fissures sur l’anneau du disque, puis petit à petit le contenu du noyau migrera postérieurement jusqu’à une hernie voire d’exclusion de hernie. Une hernie peut être phagocytée, et donc « guérir » toute seule(c’est le cas de 2/3 des cas).
Inclinaison DIV
Inclinaison : à droite, le disque est chassé vers la gauche ce qui met en tension les fibres du côté gauche
Rotation DIV
mets en tension certaines lamelles de l’anneau du disque
Saut
Compression anormalement élever sur le disque
aura une contrainte en compression, une perte d’hydratation et une diminution de la hauteur du DIV. Mais juste après un effet rebond avec un disque plus volumineux que son état de base ce qui peut expliquer de potentielles atteintes des fibres de l’annulus (car dépasse la capacité d’étirement des fibres). Il faut un temps pour revenir à la normale.
DIV amortisseur passif
Structure pré contrainte
Lentille bi convexe= coussin élastique qui absorbe la pression
Tension du noyau : forte pression hydraulique
Anneau périphérique : loge inextensible
Participe à la mise en tension dû noyau
Ligt continu
ligaments longitudinaux antérieur et postérieur (fibres longues et courtes qui s’arrêtent à chaque étage), et le ligament supra-épineux
Ligt discontinu
ligament interépineux, ligaments inter transversaire, ligament jaune (flavum en anglais) pair (un à droite un à gauche, variable voir parfois absent au niveau cervical)
Les ligaments orientés dans un plan frontal sont
très résistants et peu extensibles (ligaments longitudinaux postérieur et antérieur) (généralement plus épais)
Les ligaments orientés dans un plan sagittal sont
moins résistants mais plus extensibles (ligament interépineux) (généralement plus fins)
Les ligaments jaunes (flavum) sont intermédiaires,
moins résistants que les ligaments orientés dans un plan frontal et moins extensibles que les ligaments orientés dans un plan sagittal.
Le ligament longitudinal antérieur est
une large bande fibreuse au niveau de la partie antérieure et médiale des corps vertébraux
Le ligament longitudinal postérieur est situé
à la face postérieure des corps vertébraux et des disques. Donne des expansions jusqu’au foramen intervertébral.
Les ligaments intertransversaires sont
surtout en thoracique. Cela pourrait être une compensation en l’absence de muscles intertransversaires (remplacés par des ligaments).
Élément fibreux au niveau des organes
Ligt nucal
Fascia et mb enveloppe viscère
Aponévrose
Le ligament nucal : fibres dirigées
de bas en haut et d’avant en arrière
Fascia et membrane enveloppant viscère
Péritoine
Sac péricardique
Aponévrose
globalement tous les muscles sont plus ou moins entourés par une aponévrose ou fascia selon la localisation, qui sont des tissus fibreux quasiment inextensibles permettant de transmettre les contraintes et les forces
Fonctions éléments fibreux
Liaison
Isolation
Glissement
Plaquage
Liaisons e fibreux
entre différents segments anatomiques
Beaucoup de muscles s’insèrent sur le fascia thoraco-lombaire et vont donc exercer des contraintes sur le rachis
Isolation e fibreux
permet le cloisonnement pour éviter notamment que des infections se répandent
Glissement e fibreux
très peu de frottements entre les différentes structures (exemple : espace inter pleural) (sans ces structures, on aurait plus de tendinites ou d’infections)
Plaquage e fibreux
permet de donner un point d’appui fixe, assez stable pour de la musculature profonde, permet d’avoir plus de forces, plus d’économies énergétiques (exemple des vendanges où on doit être baisser longtemps et le fascia thoraco-lombaire joue un rôle important).
M insérer sur rachis
Les muscles érecteurs du rachis (ou spinaux): épineux du thorax (épi-épineux), le longissimus, l’ilio-costal
Le carré des lombes : insertions sur les transverses lombaires, sur la crête iliaque et la 12ème côte
Le psoas : insertions sur les corps vertébraux et les disques intervertébraux lombaires
Le diaphragme : insertions sur L1, L2, L3
Les obliques et transverses de l’abdomen
Le grand dorsal : insertion sur le fascia thoraco-lombaire
Le trapèze
M lien placement pelvien
Le piriforme (pelvi-trochantériens en général)
Les muscles glutéaux
Le muscle iliaque : insertions sur la fosse iliaque et le petit trochanter
Systeme axiale: fibre verticales
Gros muscles : droit de l’abdomen et le psoas
Portions de muscles larges : fibres verticales des abdominaux obliques
Association de faisceaux musculaires : érecteurs du rachis et le long de la tête et du cou
Flexion ou extension en général
Système oblique : fibre obliques
Muscles larges : les obliques interne et externe, les grands dorsaux, les trapèzes, les dentelés, les carrés des lombes (une partie de leurs fibres sont obliques)
Muscles complètements obliques : le dentelé postérieur et le rhomboïde
Petits faisceaux obliques : les érecteurs du rachis, les obliques de la tête, le splénius de la tête et du cou, le multifidus
Rotation et inclinaisons en général
Système transversal : fibre horizontale
Muscles larges : les transverses, les obliques, les trapèzes, les grands dorsaux
Petits faisceaux au niveau rachidien : les rotateurs, le transversaire épineux
Rotations en générale
Muscles larges
Ce sont des muscles aplatis, polyarticulaires, avec des fibres réparties dans plusieurs directions (ce qui explique que certains muscles apparaissent dans plusieurs systèmes de l’organisation systémique) (par exemple le carré des lombes qui a des fibres obliques dans un sens, obliques dans l’autre et d’autres fibres verticales 🡪 3 techniques d’étirement différentes). Ils intègrent de larges zones aponévrotiques.
Muscles étroits
Ce sont des petits faisceaux souvent regroupés en polyarticulaire (exemple : rotateurs au niveau spinal, multifidus…)
M superficiel
On a des muscles longs et larges. Ce sont des muscles sous-cutanés, immédiatement en dessous de la première couche de fascia : grand dorsal, trapèze et rhomboïde par exemple
M couche moyenne
au niveau postérieur on a les érecteurs du rachis, recouverts par les dentelés postéro supérieurs et postéro inférieurs ce qui augmente la cohésion et l’efficacité des érecteurs
M profonds
Ils sont assez courts en général, ce sont des assemblages de plusieurs faisceaux avec une composition qui peut être variable. Cela forme un tissage musculaire autour du rachis, qui permet l’ajustement de la colonne au niveau local. Exemples : le long du cou, les piliers du diaphragme et le psoas
Selon Dolto,
avec ces 3 muscles et les érecteurs du rachis, on a les 4 colonnes du rachis. Leurs contractions simultanées donneraient une stabilité importante à la région rachidienne.
Les muscles larges permettent les mouvements
plus grossiers, et les muscles fins jouent plutôt un rôle de précision.
Les muscles gymnastiques (phasiques) :
fonctionnement précis et rapide mais aussi occasionnel. Ils ont un caractère volontaire, sont peu automatisés et sont énergétiquement coûteux. Ce sont des muscles assez grands appartenant au plan superficiel en général. (Muscles pour bouger)
Les muscles du maintien (toniques) :
fonctionnement dit « permanent ». Ils ont un caractère plus statique, automatisé. Ils ont tendance à se contracter de manière involontaire et sont énergétiquement peu coûteux. Ce sont surtout des muscles courts appartenant au plan profond. (Muscles pour stabiliser)
Les muscles blancs sont plutôt
des muscles phasiques, anaérobies, qui ne peuvent pas être contractés longtemps.
Les muscles rouges sont
plutôt des muscles toniques, aérobies, qui peuvent être contractés longtemps.
Notion de chaîne cinétique :
Tous les muscles dont on a parlé fonctionnent en chaîne cinétique avec des activités intriquées. On n’aura pas seulement l’action d’un muscle lors d’un mouvement mais de plusieurs.
Les érecteurs du rachis vont être actifs dans
tous les mouvements rachidiens, potentiellement aussi dans l’antéversion et la rétroversion du bassin. Grâce à l’électromyographie on a remarqué que ces érecteurs ont une activité plus importante au niveau de T6 (sommet de courbures de la cyphose thoracique) (ils vont empêcher la cyphose d’aller trop loin : notion de rempart convexitaire).
Rempart convexitaire
Érecteur du rachis en t6
Empêche la cyphose d’aller trop loin
Les muscles interscapulaires :
qui sont les rhomboïdes et trapèze moyens. Lorsqu’ils se contractent ensemble (activation bilatérale) on observe une extension du rachis qui sert de renfort pour les érecteurs du rachis.
Grand dorsal : rôle
de stabilisateur du rachis thoraco-lombaire (insertions sur le bassin et le rachis) (le grand dorsal est aussi appelé muscle du grimpeur)
Au niveau de l’épaule, il fait de l’adduction du bras, d’extension de l’épaule et de rotation interne de l’épaule.
Si épaule en point fixe, élévation du bassin donc inclinaison du rachis.
Essayer de penser aux changements qu’implique l’inversion de point fixe qui peut être utile en rééducation.
Lordose lombaire créer par
Fibre moyenne grand psoas
Action grand psoas sur rachis
Fibres moyennes donnent une lordose lombaire (surtout en décubitus dorsal)
Fibres hautes sont plutôt délordosantes (comme petit psoas) (assez compliqué de contracter une seule partie d’un muscle)
En électromyographie on constate que le grand psoas est un rotateur lombaire neutre (muscle a 2 feuillets, sur les processus transverses et sur les corps vertébraux avec les émergences nerveuses qui se font entre ces deux feuillets). On a donc des fibres antérieures qui seraient rotatrices homolatérales et les fibres postérieures qui seraient rotatrices controlatérales (rôle de stabilisateur)
Donne une stabilité lombaire (avec les érecteurs) : actif lorsqu’on se met debout, qu’on se penche en avant et quand on soulève quelque chose
Action grand psoas sur hanche
Stabilisateur de hanche surtout (fibres entourent le col fémoral)
Actions de rotation, d’adduction et d’abduction de hanches faibles et variables (pas de bras de leviers assez importants pour être puissant dans ces mouvements)
Plus ou moins actif au niveau du rachis
Grand psoas a 45-60°
Fléchisseur effectif de hanche
Grand psoas a 15-45°
Moins stab de la tete F
MAINTIENT action détecteur lombaire
Grand psoas 0-15°
Érecteur du rachis et stabl de la tete
Grand psoas action
fléchisseur de hanche (position de la hanche différente lors des crunch selon que nous voulons travailler les fléchisseurs de hanche (grand psoas) ou les abdominaux
-stabilisateur de la hanche et de la tête fémorale
Carré des lombes
Considéré comme un hauban latéral
Insertions sur crête iliaque, transverse lombaire et partie inférieure de la 12ème côte
Différentes fibres (3 étirements possibles pour ce muscle)
Elévateur de l’hémi bassin homolatéral
Abaisseur de l’hémithorax homolatéral
Inclinateur lombaire homolatéral
Selon certains auteurs il serait peut-être extenseur du rachis lombaire
Abdominaux
Muscles larges
Oblique externe (le plus superficiel)
Droit de l’abdomen et oblique interne
Transverse de l’abdomen (le plus profond)
S’orientent dans différentes directions : obliques, verticales et transversales
Interviennent dans la flexion, l’inclinaison et la rotation lombaire
Caissons thoracique et abdomino-pelvien
(fermé en bas par le plancher pelvien (on va réapprendre aux femmes en post-partum à le contracter en amont de soulever une charge lourde afin d’éviter les fuites)) séparé par le diaphragme (on parle de caisson hydropneumatique)
Les muscles accessoires de l’expiration seront recrutés
pour tout ce qui est lié à l’expulsion : miction, défécation, accouchement…
Muscle accessoire respiration
petit pectoral, le transverse du thorax, les muscles sub-costaux, les muscles intercostaux, dentelé antérieur.
Les muscles expiratoires secondaires :
les abdominaux qui compriment la cavité abdominale (utiles lors d’un effort de toux, ou d’une activité physique)
Les muscles accessoires de l’inspiration :
scalène, SCOM
muscle majeur respiration :
le diaphragme.
Rôle caisson Statique :
Maintien du rachis et des caissons avec un entrecroisement de fibres (obliques, transversales et verticales dans des sens différents comme chez les abdominaux). Formation d’un treillis qui va permettre de plaquer tous les muscles au niveau du rachis lombaire, les muscles vont donc se contracter et augmenter la pression abdominale.
Exemple de l’haltérophilie :
Rôle caisson dynamique
Aug pression inter abdo et volum pour la respi