Muscle 3 Flashcards
Plus l’épaisseur du muscle est importante, plus
la force l’est aussi.
Plus l’épaisseur du muscle est importante, plus le muscle est capable de se contracter. Donc, plus il y a des sarcomères qui se superposent, plus le muscle est capable d’avoir de la force musculaire.
Surface de section musculaire
Épaisseur du muscle
entraînement musculaire pour hypertrophie
Nombre de rep = dvlp de la fibre musculaire et myogenese = ++ de fibre = épaississement
Gain de force correspond
Augmentation de la section musculaire
Qui possède une surface de section plus grande
Fibre penne
= > produit + de force
Section anatomique ≠ physiologique
Section anatomique : on coupe perpendiculairement
- Section physiologique : on coupe perpendiculairement à l’axe de la fibre (aire de
section beaucoup plus grande)
La section physiologique est la plus utilisée.
Force générée est proportionnellle a
à la surface de section physiologique du muscle ≠ section anatomique (dépend du nombre de sarcomère en parallèle)
Architecture musculaire
La force est dépendante de la pennation du muscle.
Bi / ulti > uni
Si vous regardez la résistante de la force, c’est 2 fois la force multipliée par le cosinus. Le cosinus est quelque chose qui est réducteur mais comme on a 2 fois chaque côté, les 2 compensent largement la réduction du cosinus. La résultante va dépendre de son cosinus donc un muscle bipenné va être plus fort qu’un unipenné.
Il y a donc une classification des forces.
la résistante de la force,
c’est 2 fois la force multipliée par le cosinus.
Angles articulaires
L’angle articulaire modifie les capacités de force. On a alors une relation force – longueur. Pour une masse assez lourde, l’angle du bras sera à 90°. Pour un cycliste, l’angle du genou va varier en fonction de la hauteur de la selle.
Il faut jouer sur l’angle articulaire pour la réalisation des exercices de rééducation afin de permettre au patient de retrouver la (quasi) plénitude de son articulation.
Vitesse des mouvements
La vitesse est optimale lorsque l’on contracte et que la vitesse est positive. On a alors une relation force – vitesse.
Plus la vitesse du mouvement est élevée, moins le muscle produit de la force.
§ Propriétés contractiles des muscles (fibres lentes et fibres rapides)
Le développement de la force dépend de la proportion de fibres rapides dans les muscles. Un muscle a une composition variée et inégale en termes de fibres.
Pour une rééducation efficace, il faut regarder la nature du muscle pour effectuer les bonnes consignes en renforcement musculaire :
- Travail du muscle sur base de renforcement musculaire avec un nombre de répétitions important = côté énergétique du muscle = fibres lentes = transfert de compétences.
Si le patient a besoin de monter les escaliers (une pente, etc.) = exigence musculaire plus haute = fibres rapides = exercices plus intenses mais moins de répétitions.
Recrutement spatial et temporel
Si on veut optimiser la performance, il faut potentialiser le mouvement -> sommation des potentiels d’action. Plus il y a de force, plus il y a de fibres. Cela signifie que, plus l’intensité de la contraction est importante, plus il y a de fibres rapides.
Il faut adapter les exercices pour répondre aux besoins du patient.
Exemple : endurance ≠ montée d’escalier
Recrutement spatial (2ème courbe)àon va d’avantage utiliser les fibres lentes. Plus les sauts sont hauts, plus on va compléter par des fibres intermédiaires.
Niveau d’action
En abscisse du schéma = durée
Plus on s’entraîne et plus on atteint des hauts niveaux d’activation et inversement.
On peut se rendre compte que la force maximale volontaire ne correspond pas à la force maximale du muscle.
2ème courbe = au niveau volontaire, on ne peut pas recruter l’ensemble des forces.
Le niveau d’action permet de voir les capacités neuromusculaires.
Le muscle est l’outil le plus plastique, le plus transformable, c’est-à-dire qu’on peut développer n’importe quel type de fibres musculaires. Il n’y a pas de limite dans le développement musculaire.
On remarque aussi que, dans un mouvement excentrique, il y a plus d’activation de la force.
Recrutement des muscles agonistes et antagonistes
Le moment maximal exercé au niveau d’une articulation est la somme algébrique des moments exercés par les différents muscles de l’articulation.