Muscle 2 Flashcards
La typologie d’un muscle dépend aussi de
son innervation motrice
en effet si on change l’innervation d’un muscle rapide par celle d’un muscle lent, ce muscle deviendra lent et inversement.
→L’ordre de recrutement des fibres musculaires suit
la loi de Henneman (1957).
La distribution des fibres musculaires évolue :
o Selon l’âge : le vieillissement,
En cas de pathologie : exemple du BPCO :
Distribution fibre musculaire évolue selon l’âge
durant le vieillissement, il y a une diminution de 25 à 50% du nombre de motoneurones et ce sont ceux de petite taille qui vont continuer d’innerver les fibres de type I (lentes)
La plasticité des fibres évolue selon
la théorie d’Howald.
BPCO
Diminution proportion fibre type 1
Aug fibre type II a et IIb
La courbe de angle/moment n’est jamais à 0 car
une tonicité basale d’environ 4N/m La courbe de angle/moment n’est jamais à 0 car une tonicité basale d’environ 4N/m
Il y a donc une résistance à tous les angles de la cheville même en passif grâce
à la tonicité basale et aux structures aponévrotiques et tendineuses.
La pente de la courbe tracée s’appelle
la raideur du muscle (appréciable avec les mains pour les kinés)
La raideur correspond
à la caractéristique du muscle lors de l’étirement, la résistance à l’allongement, la déformation élastique. On peut la définir aussi grâce à la perception de nos mains lorsque l’on mobilise un segment.
(ex : plus une pièce est raide, plus il faut un effort important pour obtenir une déflexion, pour la déformer)
La raideur varie
d’un patient à un autre (sexe, entraînement, âge, …), surtout lorsque l’on va de plus en plus vers l’amplitude maximale, cette variabilité peut être exprimée par un intervalle de confiance. La raideur varie d’un patient à un autre (sexe, entraînement, âge, …), surtout lorsque l’on va de plus en plus vers l’amplitude maximale, cette variabilité peut être exprimée par un intervalle de confiance.
Raideur langage courant
Qui n’est pas souple
Raideur bioméca
Hypo extensible
Manque d’amplitude
L’inverse de la courbe de la raideur est appelé
« conjuguante »
Dans cette expérience, les femmes ont une amplitude articulaire supérieur à celle des hommes. L’accroissement est
plus fort chez les garçons que chez les filles. Les filles sont donc plus souples que les garçons (90°/65°) et inversement les garçons sont plus raides que les filles d’après l’expérience.
Les garçons ont une moins bonne
perception de la sensation à l’étirement.
Qu’est ce qui résiste ? Puisque le patient est relâché, aucune contraction de sa part.
Il existe toujours une tonicité basale, toujours une activité grâce aux tendons et aux aponévroses. Le muscle est toujours tendu grâce aux quelques ponts d’actine/myosine qui reste accrochés. Ce système sert aussi de protection pour ne pas abimer les fibres musculaires.
Comportement passif courbe →
aspect régulier de la courbe qui montre la raideur mécanique (à ne pas confondre avec la raideur physiologique)
Le comportement mécanique est modifiable
sous différentes caractéristiques (garçon, fille)
≠courbes garçons et filles
Pas de différence entre les courbes maximales filles/garçons mais grosse
différence dans les angles extrêmes.
La 2eme courbe traduit un autre facteur qui est
l’âge, pour montrer que la raideur est plus importante. Quel que soit l’amplitude on a des muscles qui sont de plus en plus en résistifs car il y a une modification de l’appareil musculaire, on perd un peu de la partie fibro musculaire et on gagne beaucoup en tissu conjonctif et donc le muscle devient moins extensible et plus résistif.
Les étirements = d’allongement musculaire?
Les étirements ne sont pas forcément synonyme d’allongement musculaire. Nous ne sommes pas tous d’accord sur l’utilité des étirements : par exemple dans
certains sports, il peut être intéressant de faire un type d’étirement qui va permettre de diminuer la résistance musculaire et offrir plus d’aisance au mouvement et notamment plus de vitesse sur
M actif = modèle de la fibre isolée
Travaux de Gordon et col = 1966
Démonstration de la théorie des filament glissant = met en évidence les rôles des ponts actine myosine dans la génération de F
Courbe en cloche indicateur particulier
Car tjr un maximum
angle optimal de force
l’angle qui permet la configuration musculaire la plus propice pour atteindre son maximum de force ce qui est très intéressant au niveau clinique
la théorie de Huxley
Ce type de force s’explique par la configuration des sarcomères avec la théorie de Huxley (la configuration qui permet d’avoir un maximum de ponts actine myosine
Si on veut faciliter le mouvement, produire de la force courbe 2,
il faut diminuer la vitesse et si je veux augmenter la vitesse de mouvement, il faut diminuer la charge.
Production de force en excentrique
Ce mode de contraction excentrique, en allongement, nous permet de développer encore plus de force qu’en isométrique et qu’en concentrique. Le muscle dans sa contraction négative, frénatrice, a des capacités de production de force supérieure par rapport à la production de force en isométrique.
Est-ce qu’un type de mouvement permet un gain de muscle + important qu’un autre ?
Oui, l’excentrique permet un gain de force sur l’ensemble de l’amplitude (de façon homogène).
L’isométrique (si on prend 80°, le gain de force aurait été autour de 80° et non pas sur les autres valeurs, c’est un gain isolé à l’angle de travail).
Donc finalement ce n’est pas tant le gain mais la répartition de ce gain qui compte.
Excentrique = homogène / concentrique = hétérogène
Les courbes mécaniques nous permettent de
mieux comprendre l’action du muscle lorsqu’il fatigué/pathologique/ ou lorsque l’on fait du renforcement musculaire.
Les courbes mécaniques nous permettent de mieux comprendre
l’action du muscle lorsqu’il fatigué/pathologique/ ou lorsque l’on fait du renforcement musculaire.
Ce n’est pas parce qu’un muscle est faible que c’est
un déficit de production de force.
t-ce que c’est réellement un déficit de l’appareil contractile ?
C’est à dire le sarcomère qui arrive plus suffisamment à se contracter ?
Où est-ce que au contraire le sarcomère arrive à se contracter, mais c’est en amont du sarcomère qui se passe quelque chose ?
C’est donc la question capitale lorsqu’on a un patient avec un déficit musculaire.
Pb neurologique si cest
Inhibition de production de force: essayer de la lzever
Facteur anatomiques
→ on ne pourra pas trop agir dessus
• Surface de section musculaire
• Architecture musculaire (on va pouvoir un peu jouer car elle est en lien
avec l’amplitude).
Des conditions de réalisation d’exercice
Angle articulaires = relation force longueur
Vitesse e mouvement
• Angles articulaires (relation force-longueur)
Si on veut donner une réussite à notre patient pour contracter son muscle,
il faut se mettre dans des conditions optimales.
Comme on l’a vu en actif, grâce à la relation force/longueur, la production de force s’exprime à un angle optimal. Donc on va placer notre patient à ses angles articulaires pour faciliter sa production de force.
• Vitesse de mouvement
Elle influence la capacité de production de force, si je veux être optimal
pour la production de force au début, on fera à vitesse 0 (nulle). Puis à vitesse positive ou vitesse négative (on commence en isométrique, puis concentrique).
Facteurs physiologiques
Cela sera en fonction du patient car on n’a pas tous les mêmes formes de myosine (3 formes de muscles : rapide, intermédiaire, lent).
Proprieté contractile des muscles.
Recrutement spatial et temporel
Niveau d’activation
Recrutement des muscles agoniste et antagoniste
Propriété contractile des muscles
Très dépendante des capacités du muscle. Un muscle peut évoluer
rapidement en muscle rapide peut devenir lent mais l’inverse est plus compliqué. La production de force dépend de cette typologie musculaire. On remarque aussi que la force musculaire diminue avec l’âge (mais quel que soit l’âge on peut gagner en force).
Exemple : une personne âgée qui a des difficultés à monter les escaliers, on va jouer sur cette typologie en essayant de réactiver ces cellules satellites qui vont produire les unités motrices qui vont s’orienter vers des unités motrices de muscle rapide (pour passer du lent au rapide).
Recrutement spatial et temporel
Spatial : dépend de la nature du muscle et du type d’exercice (exercice qui
peuvent solliciter 90% des fibres) et au contraire lors d’une pathologie beaucoup moins de fibres peuvent être sollicités. Il va donc falloir jouer là- dessus.
Temporel : sommation des potentiels d’action lors de pathologies neurologiques, il faudra adopter des techniques particulières. Exemple : lever d’inhibition
• Niveau d’activation
Utilisation de techniques particulières pour optimiser le niveau d’activation
du muscle.
Recrutement des muscles agonistes et antagonistes
Exemple : mesure quadriceps (faire attention que les ischios jambiers soit
relâchés et apprendre au patient à bien les relâchés).
Parfois les patients ont du mal à réguler cet aspect agoniste/antagoniste (lors de pathologies par exemple en cas de douleurs, compensation).
Sur quoi je peux jouer pour réaliser dans de bonnes conditions l’exercice musculaire ?
On peut jouer sur :
-surface de section (développer à force de la musculation)
-vitesse (choisir vitesse optimale pour être à l’aise)
Le facteur physiologique c’est surtout
le niveau d’activation pour avoir un recrutement spatial maximal. Prendre une précaution particulière (regarder que le patient exécute bien les mouvements surtout au niveau agoniste/antagoniste).