Psychiatrie Flashcards

1
Q

principe de tx TSA

A

 L’autisme n’est pas curable
 Le traitement est donc SYMPTOMATIQUE
 Faire attention aux comorbidités de l’autisme
 Le traitement pharmacologique n’est pas le traitement de première ligne

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2
Q

complications TSA (8)

A

 Hyperactivité, inattention, impulsivité
 Agressivité, automutilation
 Anxiété
 Comportements compulsifs et répétitifs
 Dépression
 Troubles du sommeil
 Épilepsie
 Obésité

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3
Q

MNP TSA

A

 Éliminer toutes les autres causes potentielles (trouble de l’audition, etc)
 Exercice
 Diète équilibrée

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4
Q

options de tx agressivité

A

antipsychotiques

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5
Q

antipsychotiques de 1ère génération en tx agressivité

A

 Halopéridol surtout
 Doses étudiées de 0,5 à 4 mg/jour
 Titration vers le haut
 Doses habituelles efficaces : 1-2 mg/jour
 Effets indésirables courants
 Chlorpromazine et fluphénazine aussi étudiés
 Peuvent être utilisés pour contrôler une crise

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6
Q

risperidone en tx agressivité TSA

A

 Le plus étudié en pédiatrie
 Doses étudiées de 0,5 à 3,5 mg/jour
 Titration vers le haut
 Doses habituelles efficaces : 1-2 mg/jour
 Taux de réponse : 50 75 %
 La rispéridone s’est montré plus efficace que l’halopéridol dans une étude
 Effet dose dépendant
 APPROUVÉE CHEZ LES AUTISTES DE 5 À 16 ANS (USA)

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7
Q

aripiprazole en tx agressivité TSA

A

 Agoniste partiel D2 et 5 HT1A
 Supporté par 2 grandes études rassemblant près de 300 patients de moins de 18 ans
 Doses étudiées variant de 2,5 à 15 mg/jour
 Doses efficaces entre 5 et 15 mg/jour en entretien
 APPROUVÉ PAR LA FDA CHEZ LES AUTISTES DE 6 À 17 ANS

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8
Q

E2 antipsychotiques (5)

A
  • sédation
  • gain de poids
  • risque CV
  • hyperprolactinémie
  • effets extrapyramidaux
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9
Q

gain pondéral avec les antipsychotiques

A

associé aux atypiques
 Rispéridone : 5,7 kg en 6 mois
 Olanzapine : 3,4 kg en 8 semaines
 Aripiprazole : 1,3 kg en 8 semaines
 Lurasidone : 1,2 kg en 6 semaines (si
 Ziprasidone : neutre

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10
Q

effets extrapyramidaux avec les antypsychotiques

A

 Plus de risque avec les antipsychotiques de première génération
 Surtout dyskinésies de retrait (ad 40 %)
 Dyskinésies tardives chez 4 % (risque annuel < 0,5 %)
 Rarement irréversibles, mais à prendre en considération chez jeune enfant…
 Antipsychotiques atypiques sont associés à moins de dyskinésies, mais le risque est bien réel
 Les enfants ont plus souvent des symptômes faciaux

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11
Q

risque CV des antipsychotiques

A

 Allongement du QT rapporté
 De l’ordre de 10 ms
 Ziprasidone : plus près de 20 ms
 Lurasidone aurait le moins d’impact sur QT

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12
Q

métabolisme halopéridol

A

Halopéridol : CYP 3A4, inhibe 2D6

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13
Q

métabolisme risperidone

A

Rispéridone : CYP 2D6

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14
Q

métabolisme olanzapine

A

1A2

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15
Q

métabolisme ziprasidone

A

3A4

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16
Q

métabolisme aripiprazole

A

mineur du 3A4 et 2D6

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17
Q

bénéfices des antipsychotiques atypiques en TSA

A
  • réduction de l’agressivité
     Réduction des comportements répétitifs
     Réduction de l’hyperactivité et de l’inattention
     Réduction l’irritabilité
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18
Q

autre que les antipsychotiques, quels peuvent être les tx de l’agressivité en TSA

A

 Clonidine
— Pourrait être utilisé chez patients avec symptômes de TDAH
 Guanfacine
— Efficacité prouvée dans 2 ERC, mais effet < antipsychotiques
 Divalproex
— Stabilisateur de l’humeur
— Efficacité modeste
 Topiramate
— Seul ou en combinaison avec rispéridone

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19
Q

innocuité des rx de TDAH en TSA

A

Les autistes ont tendance à éprouver plus d’effets indésirables à leur traitement de TDAH
 Irritabilité
 Agressivité

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20
Q

comportements répétitifs en TSA

A

 Plus présents chez les patients atteints d’autisme plus sévère
 Les comportements répétitifs augmentent avec le stress et l’anxiété
 Servent souvent comme mécanisme pour se calmer
 Pharmacothérapie à envisager si automutilation ou caractère obsessif

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21
Q

ISRS en TSA pour comportements répétitifs

A

 Effet de faible amplitude ( s’il en est
 La plupart des études n’ont pas évalué le risque suicidaire et étaient de toute manière de trop faible puissance pour le détecter

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22
Q

options de tx pour les comportements répétitifs en TSA

A
  • aripiprazole
  • risperidone
  • acide valproïque
  • guanfacine (amélioration modeste)
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23
Q

causes troubles du sommeil (5)

A

 Apnée infantile du sommeil
 Syndrome des jambes sans repos
 Énurésie nocturne
 Médicaments
 Et tout ce qui peut nuire au sommeil de l’enfant…

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24
Q

principes de tx insomnie

A

 Les mesures non pharmacologiques d’abord
— Pour favoriser des résultats à long terme
— Particulièrement chez les plus jeunes
 Traitement pharmacologique en ajout
— Même si effet plus rapide
 Ajuster le traitement selon le type d’insomnie
— Problèmes d’endormissement
— Problèmes d’éveils nocturnes
 Pharmacothérapie la plus courte possible

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25
Q

comment rendre le sommeil des bébés sécuritaire

A

 Dodo sur le dos
 Lit ferme
 Sans coussins, peluches
 Même chambre que parents
 Allaitement
 Pas de tabagisme

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26
Q

hygiène du sommeil en âge préscolaire/scolaire

A

 Période de détente pré-dodo
 Éviter télévision
 Éviter écrans dans la chambre
 Établir des limites pour éviter de retarder heure du coucher (ex : nombre d’histoires)
 Toujours la routine…

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27
Q

hygiène du sommeil à l’adolescence

A

 Éviter boissons caféinées
 Éviter télévision
 Éviter écrans dans la chambre
 Lit réservé pour le sommeil
 Avoir un horaire régulier de sommeil (incluant fin de semaine…)

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28
Q

MNP sommeil pour les bébés

A

— Extinction non modifiée
 La méthode la plus efficace
 Difficilement soutenue par les parents
 Peut être « modifiée » avec présence parentale dans la première semaine d’endormissement
— Extinction graduelle
 Vérifications périodiques à intervalles fixes
 Demande intervention discrète

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29
Q

MNP sommeil pour les enfants de 2-3 ans

A

— « Bedtime fading »
 L’équivalent d’un « reset »
 Permettre le coucher plus tard, avec réveil matinal à heure fixe
 Modifier graduellement l’heure du coucher avec la fatigue qui s’installe
— Réveils planifiés
 Horaire des tendances de réveils nocturnes
 Réveil par les parents 15-20 minutes avant
 Agit seulement sur réveils nocturnes

30
Q

MNP sommeil pour les enfants de 4 ans et plus

A

— « Bedtime pass »
 Droit limité (ex : 2 fois par semaine PRN) à une demande spéciale après le coucher (question, coucher dans la chambre des partents, etc.)
 Peut être concrétisé par un objet
 Rassure l’enfant
— Augmenter le temps au lit
 Logique, mais prouvé
 Chez adolescents, 1,5 h de plus au lit peut augmenter le sommeil de près d’une heure

31
Q

anti-H1 en insomnie

A

 Anti-H1 traversant la BHE
 Le diphenhydramine est l’agent le plus couramment utilisé (ceci n’est pas un endossement…)
 Raccourcit la période d’endormissement
 Effet controversé sur les éveils nocturnes
 Dose ped. : Diphenhydramine 0,5-1 mg/kg/dose PO HS

32
Q

E2 anti-H1

A

 Somnolence diurne
 Effets paradoxaux
 Peut empirer l’apnée obstructive du sommeil
 Tolérance

33
Q

effet mélatonine

A

Raccourcit la période d’endormissement
 Via altération du cycle circadien (effet chronobiotique
 Via effet hypnotique direct

34
Q

chez qui la mélatonine est la plus étudiée

A

Particulièrement étudié chez patients avec TSA ou TDAH
 Doses utilisées plus élevées (ad 10 mg, et parfois plus)
 Patients TSA semblent mieux répondre à la mélatonine que les autres patients

35
Q

temps pour avoir effet mélatonine

A

Effet rapide et soutenu
 Début en 1 semaine
 Efficacité perdure pendant plusieurs mois

36
Q

E2 mélatonine

A

GI, puberté précoce (théorique)

37
Q

place clonazépam en insomnie

A

 Le clonazépam a été le plus étudié en pédiatrie
- Clonazépam supprime le sommeil à ondes lentes
 Peut être utile pour terreurs nocturnes

38
Q

MNP syndrome des jambes sans repos

A

— Bonne hygiène de sommeil
— Évitement de substances à risque
 Caféine
 Alcool
 Nicotine
 ISRS, antidépresseurs tricycliques
 Métoclopramide
 Antihistaminiques
— Massages
— Application de chaleur/froid

39
Q

tx syndrome des jambes sans repos

A

Uniquement si mesures non pharmacologiques échouent
— Fer
 Le niveau de fer dans le SNC semble être lié au syndrome des jambes sans repos
 Si ferritine basse (< 50 ng mL ), on peut supplémenter
 Fer élémentaire 3 mg/kg/jour (max 60 mg) en une prise

40
Q

autre que le fer, que peut-on donner pour le syndrome des jambes sans repos

A

 Gabapentin
— Extrapolation d’études menées chez adultes
— Médicament connu en pédiatrie
 Agents dopaminergiques
— Levodopa carbidopa , pramipexole
— Données semblent montrer efficacité
— Pas de dose pédiatrique; commencer à la plus petite dose possible
 Clonidine
 Clonazépam

41
Q

principes de tx dépression

A

 Pour les cas de dépression légère à modérée
— Psychothérapie
— Observation active sur 1 mois
 Pour les cas plus graves
— Pharmacothérapie psychothérapie

42
Q

efficacité antidépresseurs et psychothérapie en dépression

A

juste la psychothérapie devrait être gardé pour les dépressions mineures, comme la pharmacothérapie est plus efficace

43
Q

fluoxetine en dépression

A

 Fluoxétine est approuvée par la FDA chez les ≥ 8 ans
 ISRS avec le plus de données sur son efficacité en pédiatrie
 Existence d’une solution orale commerciale
 Dose : 5-60 mg/j
 La dose minimale pour conclure à un échec dans l’étude TORDIA était de 40 mg/jour pendant 4 semaines

44
Q

escitalopram et citalopram en dépression

A

seulement chez les 12 ans et plus

45
Q

effet de l’âge pour les ISRS en dépression

A

 Les patients plus jeunes (< 12 ans ) semblent avoir tendance à moins bien répondre au traitement en général et à certains antidépresseurs en particulier
 Idéalement , chez un jeune
— Éviter paroxétine , escitalopram citalopram)
— Favoriser fluoxétine

46
Q

fluvoxamine en dépression

A

Pas d’étude sérieuse en dépression

47
Q

E2 ISRS (8)

A

 Effets anticholinergiques (surtout paroxétine
 Sédation / insomnie
 Effets extrapyramidaux (moins avec citalopram
 Étourdissements / hypotension orthostatique (mois avec citalopram
 Gain de poids (surtout paroxétine
 Troubles sexuels
 Craintes vs. suicide
 Allongement QT ( citalopram haute dose)

48
Q

quoi faire pour le suicide avec les ISRS

A

Bien conseiller les parents en les avisant de surveiller tout signe de pensées/comportements suicidaires
 Parler n’augmente pas le risque de suicide

49
Q

quand on devrait faire un suivi et surveiller quoi pour les ISRS en dépression

A

Suivi étroit dans le premier mois de traitement (q sem ), puis q 2 semaines x 2, puis à 3 mois (recommandations FDA)
 Symptômes dépressifs actuels
 Risque suicidaire
 Effets indésirables
 Adhésion
 Stresseurs (nouveaux ou continus)

50
Q

comment augmenter la dose d’ISRS en dépression

A

 Conserver la dose pendant 2-3 semaines avant de l’augmenter
 Si réponse partielle, continuer essai x 4-6 semaines au total
 Si réponse (baisse ≥ 50% du score de sévérité), conserver dose idem

  • Si pas de réponse / réponse partielle minime pendant 3 mois
     Nouvelle molécule
51
Q

venlafaxine en dépression

A
  • Efficace seulement chez les adolescents
     Cependant, l’étude TORDIA a montré qu’il était aussi efficace qu’un ISRS en seconde intention…
     Dose de départ : 12,5 mg/37,5 mg
     Dose d’entretien : 1-2 mg/kg/jour
     8-12 ans : 12,5-37,5 mg/jour
     13-17 ans : 25 75 mg/jour, parfois ad 225 mg/jour
     Suivi hypertensif à hautes doses
52
Q

ATC en dépression

A

 Pas plus efficaces que placebo, selon méta analyse
 Effets indésirables nombreux
 Risques en cas d’intoxication

53
Q

quand cesser tx dépression

A

Traitement d’entretien x 6-12 mois après fin des symptômes
 12 mois : Moins de rechutes ? (recommandé par GAD PC)
 Min. 1 an si ≥ 2 épisodes ou 1 épisode « sévère »

54
Q

risque syndrome de sevrage dépression

A
  • Risque de syndrome de sevrage si arrêt abrupt
     Début 1-4 jours après cessation
     Sx ad 3 semaines
     Particulièrement pour agents à courte demi vie (ex : paroxétine)
  • Sevrage graduel sur 2-3 semaines requis
     Sauf fluoxétine (très longue demi vie)
     Sevrage plus court associé à rechute plus rapide (adulte)
55
Q

causes médicamenteuses anxiété (8)

A
  • Bronchodilateurs ,
  • décongestionnants,
  • antihistaminiques,
  • corticostéroïdes,
  • stimulants,
  • antidépresseurs,
  • antipsychotique,
  • retrait de benzodiazépines
56
Q

principes de tx anxiété

A

 Comme les comportements échappatoires sont très gratifiants, ceux ci deviennent une habitude
 Le traitement demande de briser le cycle de comportements évasifs
 Réduire le renforcement associé à l’évitement
 Outiller l’enfant pour tolérer les stress
 Les traitement pharmacologiques diminuent le niveau de stress
 Permettent le réapprentissage de meilleures réponses au stress
 La psychoéducation est donc la base du traitement

57
Q

ISRS en anxiété

A

Agents les plus étudiés
 Surtout étudiés pour TOC
 Première ligne chez l’enfant comme chez l’adulte
 ISRS approuvés par la FDA
 Sertraline ((≥ 6 ans)
 Fluoxétine , duloxétine ((≥ 7 ans)
 Fluvoxamine ((≥ 8 ans)

58
Q

quels antidépresseurs peuvent être une alternative aux ISRS qui peuvent activer les symptômes chez les autistes

A

mirtazapine et buspirone
question d’examen !!!!

59
Q

IRSN en anxiété

A

— Venlafaxine
 Efficacité moins facile à départager du placebo
 Profil EI semblable à ISRS
— Duloxétine
 NNT 5,3 en trouble anxieux généralisé
— Vortioxétine
 1 ÉRC (n=616) négatif

60
Q

ATC en anxiété

A

 Imipramine et clomipramine (surtout)
 Clomipramine approuvée par la FDA chez ≥ 10 ans
 Étudié en TOC
 Clomipramine diminue les symptômes de 22 à 47 %
 Nombreux EI

61
Q

Bupropion , mirtazapine , clonidine , lithium en anxiété

A

Aucun RCT dans la population pédiatrique générale
 Peuvent être considérés en thérapie d’appoint

62
Q

benzo en anxiété

A

Études contre placebo n’ont pas observé de bénéfices en entretien
 EI nombreux, tolérance
 Augmentation du risque de fractures !
 Utilisation clinique historique extensive
 Peut être envisagé comme agent adjuvant
 Particulièrement si insomnie ou attaque panique aiguë
 Limiter le plus possible leur utilisation

63
Q

ajustement tx anxiété

A

 Titration q 4 semaines
 Après 12 semaines de thérapie à dose maximale
 Changer d’agent
 Après 12 autres semaines
 Réévaluer adhésion, comorbidités et abus de substances
 Changer pour autre ISRS/IRSN ou ajouter un autre médicament

64
Q

facteurs de risque anorexie (6)

A

 Histoire de diète
 Pression sociale
 Sports et arts mettant l’emphase sur la minceur
 Possible relation avec l’abus sexuel en enfance et la boulimie
 Histoire familiale au premier degré
 Troubles familiaux

65
Q

complications anorexie (9)

A

 Atrophie du myocarde
 Bradycardie
 Hypotension
 Arythmies
 Problèmes péripartum
 Ostéoporose (1/3 !)
 Gastroparésie
 Constipation
 Diminution de la filtration rénale

66
Q

principes de tx anorexie

A

 3 grands axes
— Réalimentation
— Traitement psychologique
— Traitement des complications
 Dans cet ordre, dans les cas graves !
 Réalimentation
— Via gavages et se fait lentement, afin d’éviter le syndrome de réalimentation

67
Q

ISRS en anorexie

A

 Très rare efficacité dans quelques études, autant dans gain de poids que psychologique
 Pas d’effet observé sur les rechutes

68
Q

antipsychotiques atypiques en anorexie

A

 Surtout olanzapine
 Très petits ÉRC sur olanzapine et rispéridone
 Cas et études ouvertes majoritairement
 Effet prolongé (s’il en est un…)
- aripiprazole pourrait aussi être essayé

69
Q

Cyproheptadine en anorexie

A

Peut être petit effet chez cas non purgatifs

70
Q

bupropion en anorexie

A

Bupropion est contre indiqué à cause d’un risque plus élevé de convulsions

71
Q

quels sont les médicaments d’abus (5)

A

 Opiacés : Morphine, oxycodone
 Stimulants : Méthylphénidate, amphétamines
- Benzodiazépines
- Kétamine,
- dextrométhorphan

72
Q

comment traiter les surdoses

A
  • La naloxone intranasale ou injectable peut être donnée aux enfants/adolescents
     Dose idem adulte (4 mg intranasal, 0,4 mg IM)
     Peut être répétée, comme pour les adultes
     Fenêtre thérapeutique large
  • on donne la même poso que chez les adultes !!!!