Immunisation Flashcards
quels sont les vaccins vivants atténués (6)
- Grippe (intranasal)
- Oreillons
- Rotavirus
- Rougeole
- Rubéole
- Varicelle
compositions vaccins
Antigènes
Liquide de suspension
Agents de stabilisation
— Éviter l’adhérence des antigènes
Adjuvants
— Augmenter l’immunogénicité
Agents de conservation/antibiotiques
— Éviter la contamination des fioles multi doses
Résidus de fabrication
déterminants de la réponse vaccinale
Type de vaccin (vivant/inactivé, conjugué/polysaccharidique)
Dose d’antigène utilisée
Adjuvants et protéines porteuses
Voie d’administration (voie IM est plus immunogène que SC)
Posologie
Âge
Problèmes médicaux (immunodépression, malnutrition, obésité)
réponse primaire aux vaccins inactivés
- Période de latence
- Intensité faible
- Durée courte
- IgM surtout
réponse secondaire des vaccins inactivés
- Réponse rapide
- Intensité forte
- Durée longue
- IgG surtout
réponse immunitaire vaccins vivants atténués
Diffusion dans le réseau vasculaire
Réplication atténuée
Stimulation de multiples foyers de l’organisme (= corps doit faire une réponse immédiate à plusieurs endroits)
réponse immunitaire vaccins inactivés
Activation de la réponse immunitaire au site d’injection
Site d’administration bien vascularisé requis (c’est pourquoi on les donne tous en IM et non SC comme c’est plus immunogène
immunité de groupe
Situation ou la vaccination d’une proportion de la population protège la population non vaccinée
Régie par la règle 1 1/R 0
— Où R 0 est le nombre de cas secondaires découlant d’un premier cas dans une population susceptible
Si résultat > taux vaccination : Infection progresse
Si résultat < taux de vaccination : Immunité collective
Efficacité d’une politique d’immunisation Haemophilus influenzae type b
Chez les <5 ans, le nombre d’infections invasives (CAN) a diminué de 97% depuis l’arrivée du vaccin
maladie dans le DCaT-HB-VPI-Hib
- diphtérie
- coqueluche
- tétanos
- poliomyélite
- H.influenzae type b
- hépatite B
différence entre DCaT et dcaT
DCaT
— Réservé aux patients 0-3 ans
dcaT
—Concentrations moindres d’anatoxine diphtérique et d’antigène coquelucheux
— Pour patients ≥ 4 ans
— Réduit les réactions locales sans affecter l’efficacité
chez qui donner une dose supplémentaire d’H.influenzae type B
Dose supplémentaire à prévoir à l’âge de 6 mois pour populations à risque
Prématurés 32 semaines) ou ayant un très faible poids à la naissance (< 1500 g)
Présentant un état d’immunodépression
Présentant une asplénie anatomique ou fonctionnelle
Ayant un implant cochléaire
différence calendrier vaccinal pour l’hépatite B
Calendriers et/ou doses particulières pour populations à risque
Nouveaux nés de mères AgHBs positif ou inconnu
— Vaccination contre hépatite B à 0, 1, 6 mois
Personnes dont la réponse vaccinale peut être inadéquate
— Dialyse, maladie hépatique, immunosuppression, VIH
— Doses plus élevées
phénomène d’Arthus
Réaction locale majeure avec douleur, enflure et induration, avec oedème
— Enflure massive au site d’injection
— Dans les 2-12 heures après l’injection
— Probablement dû à une vascularite (pas allergique)
Principalement relié aux rappels rapprochés de l’anatoxine tétanique
Gestion
— Acétaminophène , compresses froides, élévation membre
Résolution : < 1 semaine
ce n’est pas une réaction allergique !!!!!
que continent le vaccin RRO-Var
- rougeole
- rubéole
- oreillons
- varicelle
à partir de quand le vaccin RRO peut être utilisé
À partir de 1 an, si on le donne avant, ce n’est pas efficace, donc on doit reprendre la dose si donné avant 1 an
que se passe-t-il si on reçoit seulement 1 dose de varicelle
Pic d’incidence de varicelle retardé dans la population générale
Augmentation du risque de développement de varicelle avec le temps chez les vaccinés
Sévérité de la varicelle post vaccination augmente avec le temps
DONC : Ajout d’une 2e dose
vaccination post-exposition varicelle
Pour toute personne réceptive âgée de 12 mois ou plus
Dans les 5 jours après un contact de varicelle
Efficacité de 90 % et plus
Même dose qu’en pré exposition
Efficace à cause d’une période d’incubation longue
convulsions fébriles et RRo-Var
Le RRO Var a été associé à une augmentation des convulsions fébriles
Excédent de cas : environ 1/2500 enfants
Chez enfants 1-3 ans
— Convulsions fébriles surtout entre 12 et 30 mois
Surtout lors de la 1ère dose
Pas observé lors d’une 2e dose
précautions RRO-Var
Vaccin vivant
Pas de salicylates dans les 6 semaines après la vaccination
— Risque théorique
— Aucun cas de syndrome de Reye rapporté avec le vaccin à ce jour
interactions avec les vaccins vivants
2 vaccins vivants injectables
— Donner le même jour ou min. 4 semaines après
Antiviraux
— Arrêter 24 h pré vaccin et reprendre 2 semaines après (si c’est possible)
Test cutané à la tuberculine
— Faire avant, avec ou ≥ 4 semaines après le vaccin
Immunoglobulines et produits sanguins (rougeole et varicelle)
— Plusieurs mois de délai
précautions pneumovax-23
Vaccin polysaccharidique
Très peu immunogène chez < 2 ans (donc on donne jamais de vaccin polysaccharidique chez les moins de 2 ans)
Pas de revaccination d’emblée
aug réactions locales si revaccination
Vaccins conjugués vs polysaccharidiques
De façon générale, les protéines sont les immunogènes les plus puissants. En outre plus la masse moléculaire est élevée, plus l’antigène est immunogène.
Certains vaccins de petit poids moléculaire sont ainsi conjugués à une protéine afin de les rendre plus immunogènes.
- vaccins conjugués font des IgG
- vaccins polysaccharidiques font des IgM
calendrier vaccinal spécial pour le pneumocoque
Ajout d’une dose au cours de la première année de vie (cible = 6 mois)
Prématurés (< 32 semaines) ou ayant un très faible poids à la naissance (< 1500 g)
Communautés autochtones du Nunavik et des Terres-Cries-de-la-Baie-James
Risque élevé ou très élevé d’infection invasive au pneumocoque