Problem 3 Flashcards

1
Q

Quelles sont les caracteristiques des douleurs viscerales

A

lourde, imprécise (projetée sur les dermatomes des ganglions spinaux fournissant les fibres sensitives) et diffuse
rarement latéralisée, car l’innervation est bilatérale
insensible au chaud, froid, laceration
stimulee par etirement

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

Quels sont les organes ayant une innervation unilaterale

A

rein, uretère, ovaire et paroi.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

Quelles sont les caracteristiques des douleurs parietales

A

Douleurs pariétales :

  • Sensible à la pression, à la douleur, au chaud et au froid ainsi qu’à la lacération (comme la peau)
  • Innervation segmentaire -> Douleur bien localisée
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

Innervation et localisation de la douleur du diaphragme

A

face inférieure de la partie centrale du diaphragme : innervation par les nerfs phréniques -> douleur référée dans les dermatomes C3-C5, au-dessus de l’épaule)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

Quels sont les 3 mecanismes de la douleur référée

A
  1. Convergence d’afférences sensorielles viscérales et cutanées sur un même neurone spino-thalamique -> douleur ressentie sur la paroi
  2. Innervation par une même ¢ ganglionnaire de 2 structures différentes ; lors d’une souffrance viscérale, PAs antidromiques vers la peau, et libération de substance P -> paroi hyperalgésique
  3. Contractures musculaires : les afférences nociceptives viscérales contactent des interneurones qui contactent et activent des motoneurones innervant les muscles voisins -> contracture (et douleur du muscle ressentie par des nocicepteurs innervant le muscle).
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

Qu-est ce qui cause la migration de la douleur

A

implication péritonéale : d’abord, par le passage de douleur viscérale à douleur pariétale; ensuite, par déplacement de l’inflammation à l’intérieur du péritoine

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

Quels organes causent une douleur unilaterale alors que leur innervation et bi

A

Vésicule biliaire et angles coliques

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

Causes de la douleur viscerale

A

La douleur vient du péritoine viscéral entourant les organes, en cas de :
o Etirement/distension (occlusion, infection)
o Contracture (subocclusion, iléus paralytique)
o Inflammation (chronique, infectieuse ou chimique)
o Ischémie (thrombose artérielle)
o Cancer (invasion des nerfs)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

Causes de la douleur viscerale

A

La douleur vient du péritoine viscéral entourant les organes, en cas de :
o Etirement/distension (occlusion, infection)
o Contracture (subocclusion, iléus paralytique)
o Inflammation (chronique, infectieuse ou chimique)
o Ischémie (thrombose artérielle)
o Cancer (invasion des nerfs)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

Quels organes peuvent etre impliques dans une douleur epigastrique

A

Foregut (intestin antérieur) : estomac, duodénum proximal : a. coeliaque -> T6-T7 -> douleur épigastrique

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

Quels organes peuvent etre impliques dans une douleur periombilicale

A

Midgut (intestin moyen) : duodénum distal, grêle, cæcum,

appendice, côlon proximal (jusqu’à l’angle splénique) : a. mésentérique sup. -> T8-T11 -> douleur périombilicale

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

Quels organes peuvent etre impliques dans uen douleur sus-pubienne

A

Hindgut (intestin postérieur) : côlon distal, rectum : a.

mésentérique inf. -> T11-L1, S2-S4 -> douleur sus-pubienne

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

Quels sont les signes de gravite

A
  • Douleur puissante aiguë avec signes de péritonite : Perforation complète non-contenue ou ischémie
  • Signes d’infection : fièvre avec frissons (frisson solennel = possible bactériémie)
  • Signes de choc : L’hypotension peut être un signe de péritonite, car cause un exsudat important.
  • Présence de sang : hématémèse ; hématochézie (saignement en cours)
    Acronyme APICS
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

Diagnostics differentiels d’une douleur abdominale

A
  • digestif
  • urinaire
  • gynecologique
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

Comment on appelle la douleur a la defecation

A

tenesme

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

Quel est le diagnostic probable de couleur de selles grises-beigeatres

A

absence de pigmentation -> absence de bile -> obstruction biliaire ou insuffisance hépato-cellulaire

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
17
Q

Quel est le diagnostic probable pour selles Jaune-gris/beigeasse, pâteuses, adhérentes, abondantes, flottantes

A

stéatorrhée (>7g de graisses dans les selles/j) -> malabsorption des graisses -> problème pancréatique (manque de lipases)/biliaire (manque de sels biliaires)/intestinal (manque d’absorption)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
18
Q

D’ou vient le probleme si les selles sont mêlées à du sang rouge (mélangées)

A

lésion recto-sigmoïdienne

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
19
Q

D’ou vient le probleme si les selles sont coiffees de sang

A

lésion anale (hémorroïdes : cause la plus fréquente de sang dans les selles)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
20
Q

D’ou vient le probleme si les selles sont rougs avec des caillots

A

(= hématochézie = émission de sang par l’anus) : hémorragie aiguë en cours, haute ou basse

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
21
Q

Quels sont les symptomes d’une occlusion en general

A
o Ballonnements, douleurs coliques, arrêt des selles et des gaz
o Vomissements (alimentaires, biliaires, puis fécaloïdes -> seule voie de sortie disponible)
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
22
Q

Quels sont les symptomes d’une occlusion haute

A

au-dessus de l’angle duodéno-jéjunal (de Treitz) (-> oesophage, estomac, pylore, duodénum) :
o Vomissements prédominants, biliaires et/ou alimentaires (selon hauteur de l’occlusion, pré- ou post-ampoule de Vater) et arrivant rapidement
o Une selle est encore possible (vidange du segment en aval de l’occlusion)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
23
Q

Quels sont les symptomes d’une occlusion basse

A

au-dessous de l’angle D-J (grêle, côlon, rectum, canal anal)
o Ballonnement majeur, arrêt complet des gaz et des selles
o Vomissements tardifs, moins prédominants (voire absents si occlusion post-valve iléo-cæcale), généralement fécaloïdes.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
24
Q

Quelles sont les caracteristiques de la douleur de l’appendicite

A

Douleur d’abord diffuse en périombilical (douleur viscérale par activation des nocicepteurs muqueux par produits de l’inflammation), puis se latéralisant en FID par implication péritonéale (séreuse touchée par l’inflammation), avec douleur au point de McBurney.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
25
Q

Quels sont les signes a l’examen clinique d’une appendicite

A

o Signe de McBurney
o Signe de Rovsing : douleur dans FID lors de la palpation de la FIG par déplacement de l’air -> étirement à D
o Signe du psoas : douleur à la flexion active contre résistance de la hanche D, par dérangement d’une appendice rétro-cæcale appuyée sur l’ilio-psoas
o Signe de l’obturateur : douleur à la rotation passive de la hanche D, par inflammation adjacente au m. obturateur interne

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
26
Q

ttt de l’appendicite

A

chirurgie

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
27
Q

Qu’est ce qu’une diverticulite

A

micro- ou macro-perforation d’un diverticule ; ceux-ci sont le plus fréquemment dans le côlon sigmoïde (leur présence est appelée diverticulose, et vient d’une hyperpression luminale combinée à des facteurs individuels).

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
28
Q

Quelles sont les caracteristiques d’une douleur de diverticulite

A
  • En cas d’inflammation, physiopathologie similaire à celle de l’appendicite, et complications semblables :
    o Typiquement appelée « appendicite à gauche » (douleur en FIG dans >70% des cas, <1,5% en FID)
    o Toutefois douleur de durée plus longue et d’installation moins aiguë et forte, et volontiers périodique à grande échelle (épisodes semblables dans le passé)
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
29
Q

Physiopathologie de la maladie de Crohn

A

Iléite inflammatoire
- Maladie inflammatoire transmurale (peut toucher tout l’intestin mais plus souvent l’iléon distal) -> plus d’adhérence de bactéries à la paroi et réponse SI anormale -> infla chronique.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
30
Q

Quels sont les symptomes de la maladie de Crohn

A
  • Douleur diffuse périombilicale, ressentie par les nocicepteurs muqueux, en réponse à l’inflammation. Perte pondérale, diarrhées, état subfébrile, lésions anales récidivantes (fistule/ fissure), subiléus si atteinte iléale terminale
31
Q

Que peut-on voir au CT

A

épaississement de la paroi intestinale (par infiltration) et un infiltrat péri-intestinal.

32
Q

Quelles sont les 4 etiologies d’une occlusion

A

o Etranglement d’hernie : il faut investiguer les orifices herniaires et rechercher une hernie ombilicale, inguinale, crurale
o Adhésions : brides post-chirurgicales, t.q. post-appendicectomie
o Volvulus : twisting du tube, qui finit par s’occlure (malrotation)
o Intussusception ou invagination : une partie du tube avance dans la partie en aval (comme un télescope qui se plie), parfois observé en cas de maladie coeliaque

33
Q

Quelle est la physiopathologie d’une peritonite

A
  • Physiopathologie : en cas de présence de bactéries ou de produits de l’inflammation :
    o Réponse péritonéale par ↗ débit sanguin, ↗ perméabilité et formation d’un exsudat fibrino-purulent -> peut mener à la formation d’une adhérence entre le péritoine et l’omentum -> contient l’inflammation et bouche une perforation
    o Réponse du TD par arrêt des mouvements (paralysie localisée ou généralisée)
34
Q

Causes d’une peritonite primaire

A
  • Primaire (ou spontanée) : infection péritonéale sans inoculum direct évidente -> causée le plus souvent par pneumocoque ou SGA disséminé par voie hématogène
35
Q

Causes d’une peritonite secondaire

A
  • Secondaire : résulte d’une perforation, une infection et/ou la gangrène d’un organe intraabdominal. La perforation du TD mène au déversement de contenus chimio-agressifs (acidité gastrique, enzymes pancréatiques, sucs biliaires) et/ou infectieux (flore intestinale)
36
Q

Quelle est la physiopathologie de la choleslithiase

A

calcul reste bloqué au niveau du col vésiculaire -> accumulation de bile -> hyperpression intravésiculaire -> distension -> douleur (sans véritable inflammation de la paroi vésculaire).

37
Q

Quelles sont les symptomes de la choleslithiase

A

Durée de < 6h, pas de fièvre, N/V, anorexie, irradiation en ceinture ou épaule D

38
Q

Quelle est la physiopathologie de la cholecystite

A

obstruction permanente du canal cystique -> inflammation : dégradation du mucus qui couvre la paroi de la vésicule -> atteinte de la paroi par les sels biliaires (dégradent les membranes cellulaires) -> inflammation et douleur

39
Q

Quelles sont les symptomes de la cholecystite

A

Douleur > 6h, N/V, anorexie, fièvre, Murphy +, irradiation épaule ou omoplate D

40
Q

Quelle est la physiopathologie de la cholangite

A

calcul bloqué au-delà de la vésicule biliaire (calcul biliaire ou cancer de la tête du pancréas) -> la bile reflue dans le foie -> présence d’ictère.
o Mène souvent à une surinfection bactérienne -> accompagnée de fièvre

41
Q

Quelle triade est implique dans la cholangite

A

Triade de Charcot : fièvre, douleur et ictère

42
Q

Quels sont les symptomes de la cholangite

A

Présentation : n’est pas une vraie colique : il n’y a pas de disparition de la douleur (seulement des pics sur un fond de douleur sourde épigastrique, souvent latéralisée à D (HC D)). Les pics sont dus à la contraction de la vésicule, poussant le calcul contre le col ; surviennent typiquement 1-3 heures après les repas, surtout en cas de repas riche en lipides.

43
Q

Quelles sont les signes d’une cholestase

A

ictère/jaunisse, prurit (sels biliaires dans le sang -> dégradent la graisse autour des nerfs -> prurit), xanthème, carences en vitamines liposolubles (ADEK et B12), ↗ gamma-GT/ phosphatases alcaline, hyperbilirubinémie (conjugué > non-conjugué

44
Q

Causes de la pancreatite aigue

A

lithiase de l’ampoule de Vater dans 40-60% des cas; sinon, le plus souvent par intoxication alcoolique (chronique ou aiguë).

45
Q

Quelle est la physiopathologie de la pancreatite

A

reflux d’enzymes pancréatiques dans le parenchyme, qui sont activées par les dégâts cellulaires (relâchement de lysozymes) causés par la compression vasculaire due à l’hyperpression intracanalaire.

46
Q

Quelles sont les caracteristiques de la douleur de la pancreatite et signes cliniques

A

Douleur d’installation subaiguë (10-20 minutes) à l’épigastre, irradiant dans le dos (transfixiante), constante pendant plusieurs jours ; accompagnée de nausée et vomissements dans >90% des cas. Position en « chien de fusil » (un peu en position foetale mais moins comprimé).
- Anomalie des tests pancréatiques (surtout niveaux sanguins de lipase et amylase, en 24-72h);
o Répercussions systémiques dues aux enzymes pancréatiques refluant dans le sang : nécrose diffuse des lipides, hémolyse, CIVD
- Peut ê oedémateuse (80%, 0,5% de mortalité) ou nécrosante (20%, 12% de mortalité)

47
Q

Definition de l’adenite mesenterique

A

Inflammation des ggl lymphatiques mésentériques, surtout chez enfant et jeune adulte

48
Q

Quelles sont les etiologies d’une adenite mesenterique

A
  • Etiologie : virale dans 80% des cas (EBV), bactérienne (yersinia, TBC mésentérique) ou parasitaire (toxoplasmose, lambliase). Rarement : tumeur/ inflammation chronique (Crohn, RCUH, …)
49
Q

Quels sont les symptomes d’une adenite mesenterique

A

douleurs abdominales diffuses/fosses iliaques, vomissements, troubles du transit, état subfébrile -> ressemble à gastro-entérite/ appendicite ou sigmoïdite
o IVRS, syndrome grippal et adénopathie cervicales possiblement associée
- Résolution en général spontanée -> TTT symptomatique

50
Q

Polyurie

A

Abondante/Augmentation volume

51
Q

Oligurie

A

Diminution volume

52
Q

Pollakurie

A

Fréquemment en petit volumes (V total normal)

53
Q

Algurie

A

douleur/brûlure à la miction

54
Q

Incontinence urinaire

A

effort/stress, urgence, regorgement, fonctionnelle

55
Q

Que veut dire colique nephretique

A

douleurs violentes et paroxystiques, rythmées par le péristaltisme uretéral. Localisées dans le flanc et la fosse lombaire, irradiant vers les organes génitaux et la jambe. Les douleurs peuvent changer de localisation avec le mouvement du calcul dans l’uretère.

56
Q

Est-ce qu’il y a de l’hematurie si calcul renal

A
  • On observe généralement une hématurie macroscopique, due à la lésion des parois uretérales, mais parfois microscopique. Sans hématurie, lithiase improbable
57
Q

Comment diagnostiquer un calcul renal

A

Gold-standard : CT, mais aussi bien décelable aux US+RX (toutefois, chez 50% des patients, US+RX ne sont pas concluants, et passent quand même au CT)

58
Q

Comment se presente le patient en cas de calculs renaux

A
  • Le patient est généralement en agitation, de par l’absence de position antalgique.
59
Q

Quelles sont les causes de la douleur pour calculs renaux

A

augmentation de la pression dans les calices (début d’hydronéphrose) et/ou par étirement de la capsule rénale

60
Q

Comment traiter la douleur pour calculs renaux

A

AINS efficaces dans l’antalgie ; on les donne i.v

61
Q

Cycle <21j

A

polyménorrhée

62
Q

Cycle >35j

A

oligoménorrhée

63
Q

Diagnostics differentiels en gyneco

A
  • Grossesse extra-utérine (GEU, ou grossesse ectopique)
  • Salpingite/pyosalpinx (pus dans les trompes -> conséquence d’une salpingite) / PID
  • Pathologies ovariennes (kystes, torsion)
64
Q

Comment se presente la patiente avec une grossesse extra-uterine

A
  • Anomalies du cycle menstruel (retard ou arrêt des règles), saignement vaginal (en dehors du cycle normal) avec douleurs abdominales, typiquement 6-8 semaines après les dernières règles, mais parfois plus tard. Possible état de choc.
  • Test de grossesse (hCG urinaire) positif et US confirment le DX.
65
Q

Cause la plus frequente de PID

A

nflammation ascendante de l’utérus et des trompes, souvent causée par gonocoques.

66
Q

Qu-est ce qu’on peut observer a l’examen au speculum pour PID

A

On peut généralement observer une décharge cervicale à l’examen au spéculum.

67
Q

Presentation de la salpingite

A
  • Salpingite (infection des trompes) -> douleurs en FIG/FID, EF, pollakiurie, dysurie, dysparéunie, leucorrhée/métrorragie
  • Ecoulements vaginaux (leucorrhée), douleurs lors du TV
68
Q

Examens complementaires a faire en ambulatoire

A
  • test de grossesse

- sediment urinaire

69
Q

Examens complementaires a faire a l’hopital

A
  1. Prise de sang
  2. Tests urinaires
  3. Imagerie
70
Q

Quoi regarder dans une prise de sang

A

Ht, leucocytes + répartition
CRP
Chimie simple (Na, K)
fonction rénale (urée, créatinine
Fonction hépatique : ASAT, ALAT, GGT, PA, bilirubine
Tests pancréatiques : amylasémie et lipasémie

71
Q

Que rechercher dans les examens complementaires urinaires

A
  • Culture
  • Sédiment urinaire (protéines, GB, GR, bactéries, cylindres), bandelette urinaire (glucose, pH, nitrites, Hb, corps cétoniques)
  • TG (pour savoir si on peut faire un CT et pour exclure une GEU) -> très important car la GEU peut entraîner la mort de la PTe par choc hémorragique
72
Q

Quels types d’imagerie peut-on faire

A

o Abdomen sans préparation : peut montrer des images de :
▪ Niveaux grêles (anse sentinelle : aéro-grêlie de la FID -> peut signer un état inflammatoire de la FID)
▪ Distension grêle ou colique
▪ Pneumopéritoine (air dans les coupoles diaphragmatiques -> si les coupoles sont visibles)
▪ Calculs radio-opaques (biliaires ou urinaires)

o Injection rectale de barytum : supporte le Dx d’appendicite en cas de non-visualisation de l’appendice (ne se remplit pas de contraste car obstruée).
- US abdominale : bon examen de première intention (surtout chez la jeune femme) -> le premier à faire
- Scanner low dose injecté : examen de choix pour les douleurs en FID sauf si CI (grossesse, IR et allergie si contraste) -> à faire après l’US si pas de Dx ou doute, ou même en première intention si prise en charge chirurgicale prévue :
o Scanner low dose : irradiation équivalente à ASP. On utilise un produit de contraste oral ou rectal
o Si le CT low-dose ne permet pas de Dx -> CT injecté (contraste IV, oral et rectal)
o Très Se et Sp -> permet d’exclure beaucoup de DDx de douleur abdo :
▪ Appendicite
▪ Annexite
▪ Diverticulite
▪ Iléite terminale
- IRM : si le CT est contre-indiqué (ex : grossesse).

73
Q

Avantages et desavantages de l’echo

A

o Avantages de l’US : rapide, pas d’irradiation, bon marché, bonne Se si sujet mince
o Désavantages : opérateur-dépendant, Se médiocre -> si négatif, n’exclue rien, peu contributif chez le PT obèse ou aérocolie/-grêlie

74
Q

Que faire pour preparer le patient avant une appenicectomie

A
  • Couverture antibiotique contre la flore intestinale, de manière à traiter une éventuelle perforation: choix entre céfuroxime, amoxicilline, lévofloxacine-métronidazole (couverture anaérobes).
    o Si présence de contamination péritonéale, continuation de l’AB-ttt jusqu’à ce que patient afébrile, GB normaux et fonction GI reprise
    o Si pas de contamination, arrêt 24h post-op.