Problem 14 Flashcards

1
Q

Symptomes de depression

A

Une anxiété non spécifique, des attaques de panique, des phobies et/ounquelques symptômes dépressifs
• l’insomnie (troubles de l’endormissement, réveils nocturnes, réveil précoce), le sommeil non réparateur;
• la fatigue;
• les maux de tête et d’autres syndromes douloureux;
• les problèmes gastro-intestinaux;
• les changements de poids;
• l’irritabilité;
• la tristesse;
• le manque d’entrain et l’anhédonie;
• chez les personnes âgées: l’agitation, la confusion, la pseudo-démence;
• chez les enfants: l’irritabilité, la diminution des performances scolaires, le retrait social.

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2
Q

Diagnostic de la depression

A

-apres avoir exclu une depression lie a une affections somatique
-examen physique complet avec evaluation neurologique doit etre fait
-prise de sang (cas en cas)
-evaluation du risque de suicide
-

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3
Q

Diagnostics differentiels d’un episode depressif

A
  • autres troubles psychiatriques: trouble bipolaire, trouble de l’alimentation, schizo, anxiete…
  • troubles neurologiques: demence, parkinson, huntington, SEP, epilepsie, traumatisme cranien
  • troubles CV: infarctus, AVC
  • troubles endocriniens: addison, cushing, hyper/hypothyroidie, PMS, syndrome lie a la menopause, prolactinome, hyperparathyroidie, diabete, hypopituitarisme
  • troubles metaboliques: hypoglycemie, hypercalcemie, porphyrie
  • troubles inflammatoires: lupus, affections rhumatismales
  • infections: syphilis, lyme, VIH, encephalopathie, hepatite
  • troubles du sommeil: apnee
  • tumeurs: cerveau, pancreas, rein
  • hypovitaminoses: B12, acide folique
  • troubles hematologiques: anemie
  • medicaments: anti-hypertenseurs, anti-psychotiques, meds hormones sexuelles, sedatifs, myorelaxants, anticancereux, steroides, antihistaminiques
  • abus de substance: alcool, opiodes, benzodiazepines, cannabis, cocaine, analgesiques, amphetamines
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4
Q

Elements specifiques a rechercher a l’anamnese

A

Les éléments spécifiques de la dépression à rechercher
explicitement sont: les antécédents personnels et familiaux de troubles de l’humeur (épisodes dépressifs et hypomanes/maniaques) et de conduites suicidaires (tentative de suicide et/ou suicide), les traitements antérieurs (nature, efficacité, psychothérapies, hospitalisations) et les dépendances ou abus de substances psychoactives. Dans l’anamnèse récente, la situation et le fonctionnement devraient être évalués dans les domaines interpersonnel, familial, professionnel et social. D’éventuels facteurs déclenchants (événements de vie, changements professionnels, conflits, etc.) sont à rechercher également.

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5
Q

Evaluer le status psyciatrique

A

apparence, la psychomotricité, le langage,
la mimique, l’orientation et le fonctionnement cognitif du patient. Une échelle d’hétéro-évaluation comme le Montgomery Asberg depression rating scale (MADRS) peut être utilisée comme fil rouge, puisqu’elle permet d’aborder systématiquement les symptômes les plus importants d’une dépression, à savoir la tristesse apparente, la tristesse exprimée, la tension/anxiété intérieure, le sommeil, l’appétit, les difficultés de concentration, l’entrain, la perte d’intérêt/incapacité de ressentir, les pensées pessimistes et les idées suicidaires.
Afin d’exclure ou de documenter des comorbidités psychiatriques, des questions de dépistage sont d’une grande utilité, notamment celles du MINI (Mini international neuropsychiatric interview).

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6
Q

Facteurs de risque pour un episode depressif

A
  • genre: femmes
  • formation: éducation de base > éducation supérieure
  • status marital: célibataire > marié
  • nombre de plaintes: plusieurs > unique
  • type de plaintes: non somatique > somatique
  • nombre de consultations annuelles: nombreuses > occasionnelles
  • antécédent dépressif: épisode dépressif dans l’année
  • traitement: prescription d’antidépresseur
  • événements de vie négatifs
  • présence d’un affect dépressif durant la vie
  • perte d’intérêt durant la vie
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7
Q

Diagnostic de la depression

A

Le dépistage d’un épisode dépressif est rapide. Il s’agit
de mettre en évidence au moins un des deux symptômes cardinaux de la dépression (tristesse et anhédonie) durant l’entretien ou en utilisant un auto-questionnaire (par exemple: PRIME-MD).

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8
Q

Scores pour la depression

A

-un auto-questionnaire (par exemple: PRIME-MD)
-questionnaire PHQ-9 pour la dépression
-questionnaire de bien-être de l’OMS pour la dépression
-score de dépression majeure en médecine de premier
recours

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9
Q

Score pour evaluation de la severite de la depression

A

-«Questionnaire court sur les symptômes de
la dépression (auto-évaluation)»
-MADRS (hetero-evaluation)
-L’«Inventaire de symptomatologie dépressive – évaluation par le clinicien (IDS-C30)»

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10
Q

Sous-categories diagnostiques de la depression

A

-épisode dépressif unipolaire avec symptômes psychotiques (idées délirantes et/ou hallucinations congruentes ou non congruentes à l’humeur)
-épisode dépressif unipolaire avec caractéristiques mélancoliques (absence de réactivité de l’humeur aux événements positifs, anhédonie marquée, perte de poids, tristesse plus marquée le matin, réveil matinal précoce)
-épisode dépressif unipolaire du post-partum (se déclarant, le plus souvent, dans les quatre semaines suivant l’accouchement)
-épisode dépressif unipolaire avec des caractéristiques
atypiques (réactivité de l’humeur aux événements positifs, prise de poids ou augmentation de l’appétit, hypersomnie, membres «en plomb», sensibilité au rejet)
-épisode dépressif unipolaire à caractère saisonnier (début régulier des épisodes à l’automne ou en hiver et disparition de la dépression au printemps: anergie, hypersomnie, hyperphagie avec recherche d’hydrates de carbone au premier plan et gain de poids). Le ttt est la luminothérapie.

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11
Q

Symptomes depressifs associes a d’autres troubles de l’humeur

A

-dysthymie: une humeur dépressive en présence d’au moins
deux autres symptômes (tableau 2) durant deux ans au
moins, avec une atteinte du fonctionnement social ou professionnel (sans atteindre le seuil d’une dépression majeure).
-Trouble de l’adaptation avec humeur dépressive: un facteur de stress identifiable est suivi de symptômes dépressifs d’intensité légère (sans atteindre le seuil d’une dépression majeure). Le syndrome se développe dans les trois mois après l’apparition du facteur de stress et dure en général moins de six mois. Le fonctionnement social ou professionnel est altéré.
-Deuil: un facteur de stress spécifique est identifiable, soit la mort d’une personne. Les symptômes ressemblent à une dépression majeure, mais le patient les considère comme adéquats. En principe, le diagnostic de dépression majeure n’est pas posé, sauf si les symptômes persistent au-delà de deux mois ou si la culpabilité n’est pas liée au défunt, si une préoccupation avec perte d’estime de soi, un ralentissement psychomoteur prononcé, une idéation
suicidaire et une diminution marquée et prolongée du fonctionnement sont présents.
-Episode dépressif dans le cadre d’un trouble bipolaire: dans la dépression bipolaire, on observe plus
fréquemment un sentiment de culpabilité pathologique,
une hypersomnie, une augmentation de l’appétit et un début du trouble plus précoce. Durant l’évaluation d’un patient souffrant de dépression, une anamnèse détaillée permet d’identifier des épisodes maniaques, hypomaniaques ou mixtes antérieurs, justifiant le diagnostic de trouble bipolaire. Jusqu’à 40% des patients avec un diagnostic de dépression unipolaire vont développer au cours de leur vie un épisode hypomane ou maniaque. Le diagnostic sera alors celui d’un trouble bipolaire. Le diagnostic correct est important, puisqu’un traitement antidépresseur en monothérapie d’une dépression bipolaire méconnue est associé à un risque élevé d’induction d’un virage hypomane ou maniaque, ou d’un épisode mixte. Un épisode dépressif bipolaire devrait être traité par un stabilisateur de l’humeur (lithium, acide valproïque, carbamazépine), certains antipsychotiques atypiques (quétiapine) ou leur combinaison, éventuellement avec un antidépresseur également. En cas de survenue d’un épisode hypomane après introduction d’un antidépresseur, il faut dans tous les cas interrompre
rapidement l’antidépresseur et orienter le patient chez un spécialiste.
-Episode mixte: ce tableau clinique fait également partie du spectre bipolaire. Il est caractérisé par la présence simultanée de symptômes dépressifs et maniaques et entraîne une altération marquée des fonctionnements social, professionnel et interpersonnel.

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12
Q

Prise en charge du patient deprime

A

Elle dépend de la sévérité du trouble.

  • Pour les dépressions d’intensité légère à moyenne, une approche psychothérapeutique et/ou la pharmacothérapie seront proposées.
  • Pour les états dépressifs d’intensité moyenne à sévère, l’association de la psychothérapie à la pharmacothérapie est préconisée.
  • Pour les cas très sévères, on envisagera l’électroconvulsivothérapie et pour les patients souffrant d’une dépression saisonnière, la luminothérapie avec ou sans psychothérapie/pharmacothérapie
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13
Q

Les 3 phases du ttt pharmacologique de la depression

A

3 phases

  1. ttt aigu: Le traitement aigu vise une rémission complète (absence de symptômes) avec restauration complète des fonctionnements personnel, relationnel et professionnel. L’amélioration symptomatique intervient seulement deux à quatre semaines après l’introduction d’un médicament antidépresseur. La guérison (rémission complète) est généralement obtenue au bout de trois à six mois.
  2. ttt de continuation ou d’entretien: a pour but de consolider l’état de santé et d’éviter une rechute d’un même épisode dépressif. Cette phase prolonge le traitement aigu et dure habituellement entre 6 et 9 mois, après l’obtention de la rémission complète. Attention: la posologie de l’antidépresseur doit être identique à celle qui a permis d’assurer la rémission complète de l’état dépressif aigu.
  3. ttt de maintien: vise à prévenir la survenue d’un nouvel épisode. Il est indiqué après deux, et certainement après trois épisodes dépressifs, surtout si la rémission n’a pas été complète ou si l’épisode a présenté une évolution chronique (plus de deux ans). Des patients avec trois épisodes ou plus devraient poursuivre leur traitement de maintien pendant plusieurs années, puisque l’effet prophylactique est encore présent après cinq ans.
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14
Q

Comment traiter une depression avec idees psychotiques

A

antidepresseur + anti-psychotiques ou electroconvulsivotherapie

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15
Q

Une psychotherapie seule peut etre indiquee ?

A

oui si episode depressif leger a moyen

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16
Q

Quelle est l’indication de base des ttt anti-depresseurs

A

Un épisode dépressif unipolaire d’intensité moyenne

ou sévère, accompagné d’une diminution significative du fonctionnement et/ou de la qualité de vie

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17
Q

Sur quoi agissent les anti-depresseurs en general

A

sur les monoamines (serotonine, dopamine, noradrenaline)

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18
Q

Pourquoi les tricycliques sont de moins en moins prescrits

A

profil EI moins favorable

toxicite lors d’un surdosage ou tentative de suicide est eleve

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19
Q

Quels sont les meds utilises en premiere ligne

A

Les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine (ISRS), les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (IRSN), les inhibiteurs de la recapture de la noradrénaline et de la dopamine (IRND) et la mirtazapine (NASSA)

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20
Q

Quels sont les meds utilises ulterieurement

A

Les ATC et les inhibiteurs de la monoamine oxydase

IMAO

21
Q

Apres combien de temps peut observer l’effet du ttt

A

2-4 semaines au minimum

parfois 6-8

22
Q

Quand est-ce qu’on associe un antidepresseur a un anxiolytique

A

efficace en cas d’anxiété, d’excitation et d’insomnie

23
Q

Est ce que les anti-depresseurs induisent un etat de dependance

A

Non
Bien que les antidépresseurs n’induisent pas d’état
de dépendance, afin d’éviter un syndrome de sevrage
(rebond), ces médicaments devraient être arrêtés progressivement sur plusieurs semaines

24
Q

Qui metabolise les antidepresseurs

A

foie

25
Q

Qu-est ce que la resistance au ttt

A

elle est probable si le patient ne répond pas à au moins deux cycles de traitement par des antidépresseurs appartenant à des classes distinctes, à dosage maximal ou toléré selon le Compendium suisse des médicaments, pendant au moins 6-12
semaines. En présence de «dépression résistante ou réfractaire», il est recommandé d’adresser le patient à un spécialiste en psychiatrie et psychothérapie

26
Q

Quoi utiliser pour une strategie d’augmentation

A

lithium en premier choix

apres: antipsychotiques et hormones thyroidiennes

27
Q

Quelle combinaison de medicaments doit etre evitee et pourquoi

A

L’association d’antidépresseurs à un inhibiteur
irréversible de la MAO doit être évitée en raison de
complications potentiellement graves (syndrome sérotoninergique)

28
Q

EI des inhibiteurs selectifs de la recapture de la serotonine

A
  • gastro-intestinaux: nausées, diarrhées et rares vomissements. Ils surviennent généralement lors de
    l’introduction du traitement et disparaissent le plus
    souvent après une semaine;
  • système nerveux central: insomnie, nervosité
  • troubles sexuels (concernent environ un tiers des
    patients): baisse de la libido, anorgasmie, éjaculation
    retardée/impuissance;
  • syndrome de sevrage (sauf la fluoxétine qui a une
    demi-vie d’environ quatre jours);
  • syndrome sérotoninergique potentiellement létal
    (surtout en cas d’association avec des médicaments
    augmentant l’activité du système sérotoninergique
    comme les IMAO et les médicaments apparentés à
    l’imipramine).
    La paroxétine, la fluoxétine et la fluvoxamine ont un
    fort potentiel d’interactions médicamenteuses (inhibition) au niveau des cytochromes P450 hépatiques.
29
Q

CI des ATC

A

trouble du rythme, d’insuffisance cardiaque, d’adénome de la prostate, de glaucome à angle fermé et d’alcoolisme actif.

30
Q

EI des ATC

A
  • anticholinergiques: sécheresse buccale, vision floue,
    rétention urinaire, constipation
  • cardiovasculaires: hypotension orthostatique, troubles du rythme et de la conduction
  • système nerveux central: sédation, troubles du sommeil, myoclonies, tremblements, convulsions, troubles cognitifs
  • autres: prise de poids, impuissance.
31
Q

Syndrome metabolique comme EI

A

Une prise de poids sous antidépresseurs peut
augmenter le risque d’un syndrome métabolique.
Elle est surtout observée lors d’un traitement d’ATC,
d’IMAO (moins pour le moclobémide) et de mirtazapine. En cas de diabète, les ISRS et les ISRN sont préférables aux ATC.

32
Q

Syndrome serotoninergique comme EI

A

Les ISRS et les autres antidépresseurs non tricycliques ont très peu d’effets secondaires graves en dehors de réactions allergiques. Cependant, le syndrome sérotoninergique, surtout observé lors de comédications avec des médicaments agissant sur le
système sérotoninergique, est potentiellement mortel. Les symptômes sont:
• agitation
• sudation profuse
• diarrhées
• fièvre
• hyperréflexie
• ataxie
• changements de l’état mental (confusion, hypomanie)
• myoclonies
• frissons
• tremor
Un syndrome sérotoninergique sévère nécessite
un traitement en urgence. Dans les autres situations,
la médication incriminée doit être immédiatement

33
Q

Syndrome serotoninergique comme EI

A
Les ISRS et les autres antidépresseurs non tricycliques ont très peu d’effets secondaires graves en dehors de réactions allergiques. Cependant, le syndrome sérotoninergique, surtout observé lors de comédications avec des médicaments agissant sur le
système sérotoninergique, est potentiellement mortel. Les symptômes sont: 
•	 agitation
•	 sudation profuse
•	 diarrhées
•	 fièvre
•	 hyperréflexie
•	 ataxie
•	 changements de l’état mental (confusion, hypomanie)
•	 myoclonies
•	 frissons
•	 tremor
34
Q

Si patiente en perinatale avec depressin legere

A

psychotherapie

35
Q

Si patiente en perinatale ou post partum avec depression severe

A

ttt

mais paroxetine a eviter (malformations)

36
Q

A quoi faire attention pour ttt d’une personne agee

A

adapter la dose

effets anti-cholinergiques des ATC ont un effet cognitif

37
Q

Indications pour l’electroconvulsivotherapie

A
  • idéation suicidaire aiguë;
  • dépression psychotique;
  • dépression résistante;
  • catatonie;
  • réponse favorable antérieure;
  • intolérance médicamenteuse répétée;
  • état physique rapidement détérioré;
  • durant la grossesse;
  • souhait du patient.
38
Q

EI de l’electroconvulsivotherapie

A

nausées, céphalées, blessures orales et dentaires, myalgies ainsi que des troubles cognitifs (surtout troubles de la mémoire).

39
Q

Quelles sont les urgences psychiatriques

A

le risque suicidaire élevé, la psychose du postpartum, une crise hypertensive ou un syndrome sérotonergique, un priapisme (lors d’un traitement par la trazodone

40
Q

Quelles sont les indications pour une hospitalisation

A

• risque suicidaire élevé;
• risque d’hétéro-agression (surtout sur l’enfant lors de dépression post-natale);
• négligence personnelle significative (malnutrition, perte
de poids);
• dépression d’intensité sévère;
• trouble avec symptômes psychotiques sévères congruents
à l’humeur (par exemple: délire de ruine) ou non congruents
(par exemple: délire de persécution);
• absence ou rupture de tout support social;
• dépression résistant aux traitements;
• nécessité de prise en charge de comorbidités (problèmes physiques, autres troubles psychiatriques, sevrage).

41
Q

Exemples de ISRS

A

citalopram, escitalopram, fluoxétine, fluvoxamine, paroxétine et sertraline

42
Q

Exemple d’antidépresseur noradrénergique et spécifiquement sérotoninergique

A

mirtazapine

43
Q

Exemples d’inhibiteurs sélectifs de la recapture de sérotonine-noradrénaline

A

duloxétine et venlafaxine

44
Q

Exemple d’inhibiteur sélectif de la recapture de noradrénaline

A

réboxétine

45
Q

Exemple d’inhibiteur réversible de la MAO-A

A

moclobémide

46
Q

Exemple d’inhibiteur sélectif de la recapture de noradrénaline-dopamine

A

bupropion

47
Q

Exemple d’agoniste du rc de la melatonine 1 et 2 et antagoniste de la 5-HT-2C

A

agomélatine

48
Q

Que faire si echec de ttt

A
  • passer a un antidepresseur d’une autre classe
  • association de 2 de classes differentes
  • augmentation d’un antidepresseur (avec le lithium)