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PARTIELS S7 > Mme De Buttet > Flashcards

Mme De Buttet Flashcards

1
Q

Objectifs de l’EBP

A

Associer les connaissances théoriques et les connaissances cliniques
Maximiser l’efficacité du traitement proposé

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Q

Evidence Based Practice

A

Pratique fondée sur les preuves

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3
Q

Notre devoir est de

A

fournir les meilleurs soins possibles en ayant recours à des interventions dont l’efficacité a été prouvée par la recherche

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4
Q

EBP a pour origine

A

EBM (Evidence Based Médecine)

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5
Q

Le programme thérapeutique doit

A

Être cliniquement efficace : rapport bénéfice/risque doit être positif
Pouvoir être appliqué au patient
Être la meilleure option possible

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6
Q

Résumé de l’EBP - choix du traitement :

A
  • Expérience clinique (diagnostic, bénéfices, risques, coût)
  • Données probantes issues de la recherche scientifique
  • Situation du patient (préférences, valeurs, attentes)
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7
Q

Le clinicien fait le lien entre

A

La recherche, le patient et le contexte et l’expertise

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8
Q

Modélisation - Modèle en 5 étapes

A
  1. Transformer un besoin d’informations en question clinique : la plus précise possible
  2. Localiser les meilleures données possibles
  3. Évaluer les données. Cela repose sur la critique mais également il faut vérifier leur validité (pas de
    biais), leur impact et leur applicabilité (utilité dans un contexte particulier).
  4. Associer/combiner les différents éléments : données, compétence clinique et caractéristiques individuelles du patient
  5. S’auto-évaluer, c’est-à-dire évaluer l’efficacité de la décision clinique et l’efficience personnelle à
    exécuter les étapes précédentes.
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9
Q

Modélisation - Modèle en 7 étapes

A
  1. Formuler une question clinique
  2. Récolter des preuves externes : issues de la recherche auxquelles le clinicien doit se référer pour répondre à une interrogation clinique, diagnostic, traitement et accompagnement.
  3. Évaluer de manière critique les preuves externes
  4. Évaluer les preuves internes disponibles en pratique clinique
  5. Évaluer les preuves internes concernant les variables associées au patient, ses valeurs, ses préférences
  6. Prendre une décision en intégrant les preuves
  7. Evaluer les résultats de la décision
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10
Q

Preuves externes

A

Qui viennent de la littérature

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11
Q

Preuves internes

A

Qui viennent de notre pratique clinique

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12
Q

Modèle PICO

A

P : patient étudié, population, problème posé, pathologie
I : intervention envisagée
C : contrôle/comparaison
O : outcome (résultats/objectifs)

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13
Q

Modèle PESICO

A

P : patient
E : environnement
S : entourage (stakeholder = parties prenantes)
I : intervention
C : comparaison si possible à quelque chose de pertinent
O : objectif

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14
Q

Niveaux de preuve

A
  1. Revue de synthèse méthodique
  2. Etudes expérimentales/d’observation
  3. Revue non méthodique de littérature
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15
Q

Revue de synthèse méthodique

A

Littérature de synthèse, experts qui se sont rassemblés dans un domaine pour répondre à une question
Le plus haut niveau de confiance

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16
Q

Etudes expérimentales

A

Essais contrôlés randomisés

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17
Q

Etudes d’observation

A

Étude de cohorte et de cas témoin

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18
Q

Revue non méthodique de littérature

A

Études originales, série de cas ou présentation de cas unique, avis d’experts, notes de cours, ouvrages, rééducation orthophonique

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19
Q

Utilité clinique de l’EBP

A

Si on n’est pas certain d’une décision
Si on est peu ou pas familier avec un trouble
Si la remédiation ne fonctionne pas

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20
Q

Avantages de l’EBP

A
  • L’EBP améliore la confiance du professionnel dans la prise de décision
  • Les résultats de la recherche sont directement appliqués à la clinique
  • Elle place le clinicien au centre de l’intervention
  • Elle encourage la remise en question des pratiques cliniques individuelles
  • Elle participe à l’amélioration des connaissances, de l’enseignement et de la formation des professionnels
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21
Q

Obstacles de l’EBP

A
  1. Recherche de preuves scientifiques (anglais, temps consacré à la recherche, accès à la base de données)
  2. Évaluation de l’efficacité
  3. Attentes à l’égard du traitement (erreurs d’interprétations, impressions subjectives)
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22
Q

Effet Hawthorne

A

Le fait d’être intégré dans une recherche augmente la motivation

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23
Q

Effet Rosenthal ou Pygmalion

A

Les attentes du clinicien à l’égard de l’efficacité de son intervention jouent un rôle positif dans le traitement

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24
Q

Concept de ligne de base

A

On mesure de manière répétée les performances d’un patient avant, pendant et après le traitement sur une
tâche donnée (pour vérifier si le ttt est efficace ou non). La ligne de base est notre ligne de comparaison.

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25
Q

Ligne de base - 2 apprentissages

A
  1. Apprentissage d’une stratégie pour automatiser des mécanismes
  2. Apprentissage d’un item spécifique
26
Q

Apprentissage d’une stratégie pour automatiser des mécanismes

A

Si on travaille une stratégie, on fait 3 listes :
• Une liste travaillée en rééducation (liste A)
• Une liste non travaillée en rééducation (liste B) : appariée, c’est-à-dire qu’elle porte sur la même stratégie que la liste A et a un niveau de difficulté similaire
• Une liste (C) sans rapport avec la stratégie et les performances sont déficitaires (on utilise une autre stratégie déficitaire chez le patient). Sorte de liste contrôle pour voir les progrès du patient.
=> avant traitement : performances déficitaires sur les 3 listes logiquement
=> après traitement, les performances devraient être meilleures sur les listes A et B, si effet de généralisation, mais pas sur la C : cela permet de mettre en évidence la spécificité du traitement.

27
Q

Apprentissage d’un item spécifique

A
  • Si on travaille un item spécifique, alors on fait 2 listes seulement :
  • liste travaillée (liste A)
  • liste non travaillée (liste B)
  • => après entraînement : les performances sur la liste A doivent être meilleures que celles de la liste B = pas de généralisation attendue car on travaille sur un item spécifique.
  • Si généralisation : c’est lié à un effet placebo, un entraînement antérieur ou la stratégie
28
Q

Objectif partenariat avec les parents

A

Maximiser l’efficacité du traitement en augmentant l’intensité et favoriser le transfert des acquis en vie quotidienne
Proposer des entraînements à la maison

29
Q

Auto-évaluation

A
  • Pour vérifier la pertinence des choix des entraînements si absence progression, de régularité, en cas de résistance et d’augmentation des oppositions comportementales
  • Pour le choix des références théoriques
  • Pour l’ajustement thérapeutique du patient en fonction des facteurs de risque et de protection
30
Q

Objectifs EBP

A

réduire l’incertitude face à toute décision clinique, offre un cadre, permet de se tenir au courant des progrès de la science

31
Q

L’EBP permet de réfléchir à

A
  • une épistémologie professionnelle
  • une éthique
  • une méthodologie professionnelle
32
Q

Courants de pensée

A
  • classique
  • psychothérapeutique
  • cognitif
33
Q

Sémiophonie

A

Méthode audio-phonatoire, destinée aux personnes atteintes d’un trouble du développement langagier, faisant appel à un appareil appelé « lexiphone », qui agit sur la boucle audio-phonatoire du patient par l’intermédiaire d’un micro-casque.

34
Q

L’intervention thérapeutique c’est

A
  • la remédiation
  • l’éducation thérapeutique
  • les aménagements scolaires
35
Q

Méthodologie de la PEC

A

Individualiser
Focaliser
Personnaliser
Répéter

36
Q

L’éducation thérapeutique - 2 questions

A

1) Comment s’appelle le thérapeute ?

2) Quel trouble j’ai ?

37
Q

Circuit de renforcement : Plus on est conscient de ce que l’on a

A

plus les circuits dopaminergiques fonctionnent

i.e. mémoire et attention sont renforcées

38
Q

Troubles du langage écrit

Objectifs principaux

A

1 - Développer les compétences nécessaires à l’apprentissage du LE.
2 – Développer les compétences pouvant être utilisées comme stratégie d’adaptation et réfléchir en termes de processus altérés et non du dysfonctionnement.

39
Q

Compétences cognitives et linguistiques nécessaires à l’apprentissage du LE

A
  • Mémoire à court terme verbale
  • Conscience phonologique
  • Dénomination Rapide Automatisée (DRA)
40
Q

Objectif partenariat avec les parents

A

Maximiser l’efficacité du traitement en augmentant l’intensité et favoriser le transfert des acquis en vie quotidienne

41
Q

Terminologie de Van Zomeren et Brouwer sur l’attention

A
  • Alerte ou état d’éveil : mobilisation minimale pour recevoir une info
  • Attention soutenue : permet d’orienter intentionnellement son intérêt et de le maintenir pendant un laps de temps.
  • Attention focalisée ou attention sélective : permet de trier les infos disponibles afin de ne traiter que celles qui sont pertinentes dans l’activité en cours et de bloquer les réponses aux stimuli inadéquats.
  • Attention divisée : partage de l’attention entre 2 sources ou plus i.e. détecter des infos dans chacune des sources distinctes.
42
Q

Objectifs EBP

A

réduire l’incertitude face à toute décision clinique, offre un cadre, permet de se tenir au courant des progrès de la science

43
Q

L’EBP permet de réfléchir à

A
  • une épistémologie professionnelle
  • une éthique
  • une méthodologie professionnelle
44
Q

Courants de pensée

A
  • classique
  • psychothérapeutique
  • cognitif
45
Q

Sémiophonie

A

Méthode audio-phonatoire, destinée aux personnes atteintes d’un trouble du développement langagier, faisant appel à un appareil appelé « lexiphone », qui agit sur la boucle audio-phonatoire du patient par l’intermédiaire d’un micro-casque.

46
Q

L’intervention thérapeutique c’est

A
  • la remédiation
  • l’éducation thérapeutique
  • les aménagements scolaires
47
Q

Méthodologie de la PEC

A

Individualiser
Focaliser
Personnaliser
Répéter

48
Q

L’éducation thérapeutique - 2 questions

A

1) Comment s’appelle le thérapeute ?

2) Quel trouble j’ai ?

49
Q

Circuit de renforcement : Plus on est conscient de ce que l’on a

A

plus les circuits dopaminergiques fonctionnent

i.e. mémoire et attention sont renforcées

50
Q

Troubles du langage écrit

Objectifs principaux

A

1 - Développer les compétences nécessaires à l’apprentissage du LE.
2 - Développer les compétences pouvant être utilisées comme stratégie d’adaptation et réfléchir en termes de processus altérés et non du dysfonctionnement.

51
Q

Compétences cognitives et linguistiques nécessaires à l’apprentissage du LE

A
  • Mémoire à court terme verbale
  • Conscience phonologique
  • Dénomination Rapide Automatisée (DRA)
52
Q

Prise en charge des DYS

A

Remédiation
Aménagements
Facteurs
Emotionnels

53
Q

Terminologie de Van Zomeren et Brouwer sur l’attention

A
  • alerte ou état d’éveil : mobilisation minimale pour recevoir une info
    attention soutenue : permet d’orienter intentionnellement son intérêt et de le maintenir pendant un laps de temps. Attentionfocaliséeouattentionsélective:permetdetrierlesinfosdisponiblesafindenetraiterquecelles qui sont pertinentes dans l’activité en cours et de bloquer les réponses aux stimuli inadéquats. Attentiondivisée:partagedel’attentionentre2sourcesouplusi.e.détecterdesinfosdanschacunedes sources distinctes.
54
Q

Entraînement à la conscience phonologique et phonémique

A
  • Activité de fusion et de segmentation de phonème : les plus efficaces (suppression du phonème, discriminer le premier son d’un mot, compter le nombre de phonème, suppression du phonème final, discriminer le phonème final…)
  • Meilleure réponse avec mots qu’avec pseudo-mots
  • Comparaison et recherche de rimes, segmentation des mots en syllabes, repérage, identification et manipulation de sons avec supports visuels.
  • Conversion graphophonologique : utilisation de lettres mobiles pour soulager la tâche graphique.
    Progression : CV ou VC puis syllabes complexes CCV et CVC.
55
Q

PPS

A

Projet personnalisé de scolarisation
Pas de coordinateur
Fait intervenir la MDPH. Obligatoire pour obtenir une AVS.

56
Q

Rôle de l’orthophoniste dans le PPS

A

Participation active à la diffusion des informations ainsi que la mise en place des aménagements pédagogiques correspondants

57
Q

ESS

A

équipe de suivi de scolarisation qui se réunit dans le cadre d’un dossier MDPH, légalement obligatoire au moins une fois par an, organisée par l’enseignant référent

58
Q

Morphologie dérivationnelle

A

Sémantique

59
Q

Morphologie flexionnelle

A

Syntaxique

60
Q

Recherche et sélection des données

A
  • Savoir et savoir faire en recherche documentaire
  • Analyse critique de l’information :
    Indépendance des auteurs par rapport à l’utilisation d’une technique, d’une méthode
    Vérifier la bibliographie
    Critères méthodologiques
  • Bases de données et associations professionnelles
61
Q

L’entraînement en lecture répétée de mots ou lecture flash a pour objectif

A

Amélioration des performances en vitesse et en précision de reconnaissance des mots mais pas en compréhension

PARTIELS S7 (16 decks)

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