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PARTIELS S7 > CM Leloup > Flashcards

CM Leloup Flashcards

1
Q

Une performance isolée n’a aucune valeur. Elle n’a de valeur que si l’on fait des

A

oppositions ou comparaisons

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Q

Dyslexie

A

Cause neurologique entraînant un déficit d’accès à la représentation et non un déficit de représentation

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3
Q

Comorbidité la plus fréquemment associée aux troubles développementaux du LE et du LO

A

TDA

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4
Q

Diagnostic différentiel

A

Récusation d’autres pathologies qui s’expriment par des symptômes similaires

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5
Q

Bilinguisme

A

Facteur de protection

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6
Q

Marqueurs de la dysphasie

A

Répétition de pseudo-mots
Rapidité d’accès en dénomination
Résistance au traitement

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7
Q

MDT liée aux

A

FE

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8
Q

Dysphasie - pronostic le moins bon

A

Dysphasie sémantico-pragmatique

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9
Q

Dissociation permet

A

Diagnostic différentiel

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10
Q

Dénomination vs. désignation. Le dysphasique phonologico-syntaxique aura une désignation plus préservée mais pas le dysphasique sémantico-pragmatique

A

Indicateur de dysfonctionnement de la MDT

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11
Q

Si c’est uniquement la mémoire verbale qui est déficitaire,

A

la performance de la répétition de chiffre à l’envers est plus altérée que l’empan envers visuel

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12
Q

Association de symptômes

A

Syndrome

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13
Q

Principe d’inertie cognitive

A

si quelque chose n’est pas activé (connexions neuronales), il n’y a pas d’activation en série

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14
Q

Plasticité neuronale

A

On active des réseaux à chaque apprentissage

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15
Q

Vicariance

A

C’est une forme de plasticité neuronale aussi, mais amenée par le fait qu’on ne peut pas utiliser « les circuits habituels ». Réorganisation pour compenser ou adapter un fonctionnement.

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16
Q

Cortex visuel

A

Aire de vicariance : cette zone à la base dédiée à la détection des formes, des représentations pictographiques qui permettent d’accéder au sens a été utilisée pour avoir accès à la représentation des lettres et des graphèmes nécessaires pour lire

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17
Q

Représentation des lettres et des graphèmes - où ?

A

Jonction temporo-occipitale

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18
Q

Représentation des phonèmes - où ?

A

Jonction temporo-pariétale

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19
Q

Cortex pré-frontral

A

FE

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20
Q

Processus sublexical

A

Conversion graphème-phonème

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21
Q

Processus lexical

A

Mémoire orthographique

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22
Q

Pour détecter une lettre capitale il faut pouvoir reconnaître deux signes

A

Le trait

Le demi-cercle

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23
Q

Détection d’une lettre capitale - modèle sériel deux voies de lecture

A

Mot écrit
Détecteur de traits caractéristiques
Détecteurs de lettres

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24
Q

La mémoire orthographique fonctionne comme tout système de mémoire

A

Encodage - stockage - récupération

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25
Q

Chez le dyslexique, ce qui est protégé et préservé

A

Partie sémantique

C’est la représentation des mots qui est instable

26
Q

Trois codages

A

Phonologique
Orthographique
Sémantique

27
Q

Dans le cerveau d’un dyslexique, ce sont surtout les zones en rapport avec les …. qui s’activent

A

FE

28
Q

Dyslexie : mise en évidence d’une déconnexion entre

A

Les zones corticales supportant les représentations phonologiques et la région de Broca chez les personnes dyslexiques.

Le faisceau arqué (voie dorsale) et le faisceau longitudinal inférieur (voie ventrale) sont corrélés respectivement aux déficits phonologiques et orthographiques. Ces résultats vont dans le sens d’un déficit d’accès aux représentations.

29
Q

Cas clinique - 6 ans, peu intelligible mais élaboration d’un récit assez structuré

A

Il y a une variabilité entre le début et la fin de la vidéo. Au début, Margot contrôle et planifie beaucoup sa production. Elle fait des /p/ très marqués. Mais plus tard, quand elle s’emporte, la planification part en cacahuète (sic), on ne comprend plus rien.

C’est une dyspraxie verbale avec un déficit de planification.

30
Q

Pour la dysphasie, 3 types de classifications - Maillart et Schelstraete

A

✓ La dysphasie sémantico-pragmatique
✓ La dysphasie phonologico-syntaxique
✓ La dyspraxie verbale

31
Q

Marqueur le plus spécifique et persistant d’un trouble chez les enfants dyspraxiques phonologico-syntaxiques

A

Absence de capacité à faire un récit

32
Q

Le meilleur moyen de valider une hypothèse

A

Construire un exercice ciblé sur l’hypothèse et d’avoir un entrainement qui soit au plus près de cette hypothèse

33
Q

La dyspraxie verbale peut avoir deux causes

A
  • la programmation motrice : qui permet d’associer deux ou plusieurs gestes moteurs pour créer des programmes moteurs.
  • la planification motrice : qui contrôle l’exécution des gestes moteurs en tenant compte de diverses
    contraintes (intonation, accentuation, débit, coarticulation)
34
Q

Cas clinique - 5 ans, récit presque inintelligible, fluence d’animaux : 6 animaux, bloque sur le /pi/ de hippopotame

A

Atteinte de la programmation motrice

35
Q

Ce qui peut être altéré dans la dyspraxie verbale

A
  • Soit le module de planification motrice,

* Soit le module de programmation motrice et par ricochet les programmes moteurs.

36
Q

Cas clinique - Enfant de 4 ans qui jargonne, absence de trouble auditif, de surdité verbale, il ne comprend rien et il parle comme les « teletubbies »

A

Atteinte de la discrimination parole / non parole

37
Q

Que faire pour mettre en évidence discrimination parole/non parole ?

A
  • D’abord, on va faire des PEA qui montrent qu’il entend bien.
  • Ensuite, on teste avec un Loto sonore « à 3 balles ». Où là, les résultats sont moins bons. Il confond les bruits et les sons.
38
Q

PEC - discrimination parole/non parole

A

D’abord, les pictos

Ensuite, travail de la discrimination auditive sur le plan gnosique à partir de pictos

39
Q

Cas clinique - dysphasie phonologico-syntaxique

A

Il est dyssyntaxique parce qu’il a un manque du mot. Il met tellement de temps à retrouver ses mots qu’il fait des erreurs de syntaxe et qu’il commet des erreurs de contrôle flexionnel.

40
Q

Modèle Stackhouse et Wells - dysphasie phonologico-syntaxique

A

Reconnaissance phonologique
Discrimination phonétique
Représentation phonologique

41
Q

Entrainement - dysphasie phonologico-syntaxique

A

Fluente
Accès rapide
Système catégoriel

42
Q

Modèle Stackhouse et Wells - atteintes gnosiques

A

Traitements auditifs périphériques

Discrimination parole/non parole

43
Q

Déroulement d’une hypothèse d’intervention à partir du modèle de Beaugrand

A
  • Plainte du patient
  • Modalités d’intervention
  • Evaluations et lignes de base : on peut mesurer un gain
  • Interprétation des données : effet d’apprentissage, effet de généralisation…
  • Reformulation d’objectifs
44
Q

DYSPHASIE PHONOLOGIQUE SYNTAXIQUE

A

Altérations des représentations phonologiques, la reconnaissance phonologique, la discrimination phonétique et de fait la planification motrice.

45
Q

HYPOTHÈSE DE TALLAL

A

Hypothèse de Paula Tallal (origine des Etats Unis) initialement un enfant dysphasique est un enfant qui n’arrive pas à segmenter les mots dans le flux de la parole.
→ C’est une altération des traitements auditivo-verbaux de la transition temporelle du langage.
→ L’entrainement de Tallal est de faire de l’allongement temporel, de « faire écouter des choses et de tirer un maximum de choses ». Un trouble de la discrimination aura un effet sur l’encodage lexical et le fait que le stock lexical se remplisse. Il sera donc important de faire une alternance : 3 semaines sur 1° : perception puis après on fait du 2 : renforcement lexical.

46
Q

Sémiophonie

A

Pour qu’un bébé arrive à développer les systèmes de reconnaissance et construction phonologique, il faut arriver à renforcer la phonologie.

Dans la sémiophonie, on va d’abord attirer l’attention de l’enfant sur la syllabe, sur le phonème dans la syllabe

47
Q

Goswami

A

Si on entraine de façon précise la prosodie chez des enfants DL, on améliore leurs capacités de traitement phonologique. Ce qui parait évident : le bébé traite d’abord la prosodie, les systèmes infra phonétiques du langage, il traite d’abord les variations prosodiques et non le phonème. On ne sait pas si ce traitement va vraiment modifier la façon dont l’enfant traite les informations mais on sait qu’il renforce l’attention auditivo verbale.

48
Q

RAPDYS

A

Entraîne la perception catégorielle.

49
Q

Comment on fait percevoir à un enfant la différence entre une voisée ou une non voisée ?

A

On peut faire sentir à l’enfant la vibration mais cela n’a pas de sens en coarticulation.

Le seul moyen : montrer sur le plan graphique que les lettres diffèrent et que possiblement elles s’entendent différemment/ne font pas le même bruit.
→ on va donc faire des paires minimales. On cherche des mots qui commencent d’une certaine façon.

50
Q

Théorie motrice de la parole de Lieberman

A

Lorsque l’on développe un système phonologique on l’auto développe avec une représentation articulatoire. Il y a une relation directe entre la reconnaissance phonologique et la programmation motrice.

51
Q

Modèle Stackhouse et Wells - Dysphasie sémantico pragmatique

A

Représentation phonologique

Représentation sémantique

52
Q

Modèle Stackhouse et Wells - Dyspraxie verbale

A

altération de programmation motrice + programme moteur + planification motrice + exécution motrice

53
Q

Modèle Stackhouse et Wells - Dysarthrie

A

Exécution motrice

54
Q

Marqueurs de la dysphasie phonologico-syntaxique

A

o Répétition de PSM ou de logatomes → altération phonologiques
o Déficit en épreuve de dénomination
o Déficit en épreuve de fluence
o Déficit en DRA
o mais performances préservées en désignation
o + le Manque du Mot qui est une caractéristique de ce trouble.
o Peuvent présenter des troubles du comportement/ de la pragmatique mais cela sera moins marqué qu’un enfant avec une dysphasie sémantico pragmatique

55
Q

Dissociation dysphasie phonologico-syntaxique/sémantico-pragmatique

A

Épreuve de désignation
Préservée chez PS
Altérée chez SP

56
Q

Marqueurs de la dysphasie sémantico-pragmatique

A

o performances HN en désignation
o conduites autistiques : profil de type autistique avec un trouble pragmatique/difficultés de compréhension sévère.
o Retard de développement : trouble moteurs (dyspraxie), trouble de la coordination

57
Q

Quel est le marqueur le plus sévère de dysphasie notamment phonologico syntaxique à l’âge adulte ?

A

C’est la difficulté à faire du récit et à raconter une histoire.

58
Q

Renforcement du lexique

A

1er niveau : fluence
2ème niveau : rapidité d’accès
3ème niveau : passer aux adjectifs, antonymes, synonymes, relations de synonymes

59
Q

On travaille un objectif, une ligne de base à la fois, sur

A

1 semaine/15 jours

60
Q

Métacognition

A

Conscience du trouble

61
Q

Hypothèse conscience du trouble + dans la communication

A

Dysphasie phonologico-syntaxique, plutôt que sémantico-pragmatique

PARTIELS S7 (16 decks)

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