Lecture Undersociality/ miscalibrated social cognition can inhibit social connection Flashcards
1) Nos attentes relativement aux autres peuvent être erronées de différentes façons. Décrivez les attentes que les gens ont généralement vis-à-vis : les conversations
- Sous-estiment le plaisir qu’eux-mêmes et partenaire vont éprouver par la suite (parler à inconnu)
- Choisiraient de discuter de conversations + superficielles avec qqun qu’elles ne connaissent pas (alors que conversations profondes produisent des réactions plus positives)
- Sous estiment le degré de connexion, appréciation et plaisir de la conversation
- Surestiment le niveau de gene
- Sous-estiment les résultats positifs d’une connexion par le biais de médias plus intimes
- Sous-estiment le plaisir qu’ils ont à avoir des conversations plus longues, s’attendant à ce que la qualité de la conversation diminue plus rapidement au fil du temps qu’elle ne le fait en réalité
Nos attentes relativement aux autres peuvent être erronées de différentes façons. Décrivez les attentes que les gens ont généralement vis-à-vis : notre appréciation à autrui
- Sous-estiment systématiquement la réaction positive de leurs destinataires
- L’amélioration des attentes de manière à ce que les gens anticipent une réponse plus positive augmente l’intérêt pour l’expression de l’appréciation
- surestiment gêne
Nos attentes relativement aux autres peuvent être erronées de différentes façons. Décrivez les attentes que les gens ont généralement vis-à-vis : les bonnes actions
- Sous-estiment le degré de positivité du destinataire
- Sous-estiment l’importance que le destinataire accorde à leur acte de gentillesse.
a) Concernant l’interprétation différentielle: (1) Quelles sont les différences entre la façon dont les gens interprètent leur propres actions et la façon dont ils interprètent les actions des autres?
Plus précisément, les gens sont plus enclins à interpréter leurs propres actions en termes de compétence - à quel point ils exécutent bien ou efficacement une action - mais ils sont plus enclins à interpréter les actions des autres en termes de chaleur - à quel point une autre personne semble amicale, gentille et digne de confiance [51,52].
a) Concernant l’interprétation différentielle: (2) À quoi sont attribuées ces différences?
Cela est logique d’un point de vue psychologique, étant donné que la pensée a tendance à être orientée vers un objectif, et que les gens se soucient donc davantage de l’efficacité avec laquelle ils atteignent leurs objectifs lorsqu’ils pensent à eux-mêmes. En revanche, lorsque l’on pense aux autres, l’objectif principal est de déterminer si l’on doit s’approcher de la personne ou l’éviter, ce qui explique que l’on s’intéresse aux signes de chaleur chez les autres et qu’on les apprécie [53]. Un enseignant qui présente un cours, par exemple, peut se concentrer sur l’efficacité avec laquelle il communique les points importants, et s’attendre par conséquent à ce que les impressions des élèves soient principalement basées sur cette compétence, alors que les impressions réelles des élèves peuvent être basées sur la gentillesse de l’enseignant.
a) Concernant l’interprétation différentielle: (3) Quel est l’impact sur les attentes?
cette différence d’interprétation du comportement social lui-même pourrait conduire les gens à sous-estimer systématiquement la réaction positive des autres parce que ceux qui accomplissent l’acte s’intéressent à un aspect différent du comportement que ceux qui en subissent l’impact
- Concernant l’incertitude quant à la réactivité d’une autre personne… : De manière générale, lorsqu’on pense à entrer en interactions avec autrui, les résultats qu’on anticipe sont-ils plutôt positifs, plutôt négatifs ou une combinaison des deux?
En principe, l’éventail des résultats possibles d’une tentative de contact avec une autre personne peut sembler large, les gens considérant non seulement les résultats positifs qui peuvent être probables, mais aussi les résultats négatifs qui peuvent être relativement improbables [55].
COMBINAISON DES DEUX JE PENSE ?? ATTENDRE LA RÉPONSE DE MARIKA - oui:)
- Concernant l’incertitude quant à la réactivité d’une autre personne… : Dans la réalité, les résultats de nos interactions sont-ils plus souvent positifs, négatifs ou les deux? Expliquez pourquoi?
En pratique, l’éventail réel des résultats peut être considérablement réduit et plus positif, car les interactions sont interdépendantes et guidées par la réciprocité
En principe, le fait de sourire à une autre personne sur le trottoir peut entraîner une grande variété de réactions ; en pratique, la plupart des gens sourient en retour
- Concernant l’incertitude quant à la réactivité d’une autre personne… : Quel est l’impact sur les attentes?
- Sous estime les résultats positifs de l’interaction sociale
- Sous-estimer la volonté des autres à répondre s’ils essayaient d’entamer une conversation (entraine réticence à essayer d’en entamer une)
- Sous-estimer intérêt es autres à discuter de sujets pls profonds
(Surtout quand cest des personnes inconnues)
XXXXXXX
Après tout, les gens ont tendance à expliquer et à prédire le comportement d’une autre personne en se concentrant relativement plus sur les traits et caractéristiques individuels de l’autre personne que sur le contexte social qui l’entoure, une tendance qui peut conduire les gens à sous-estimer le pouvoir de leur propre influence en tant qu’agent social sur le comportement d’une autre personne [59,62,63,93]. Les gens peuvent sous-estimer les résultats positifs de l’interaction sociale dans la mesure où ils n’apprécient pas le fait que le comportement social suscite généralement la réciprocité
Si une incertitude excessive quant à la réactivité d’une autre personne crée des attentes mal calibrées, alors les gens devraient être particulièrement mal calibrés lorsque l’incertitude quant à la réactivité d’une autre personne est particulièrement grande, comme lors d’interactions avec des étrangers par rapport à des personnes plus familières.
XXXXX
- Sous estime les résultats positifs de l’interaction sociale
- Sous-estimer la volonté des autres à répondre s’ils essayaient d’entamer une conversation (entraine réticence à essayer d’en entamer une)
- Sous-estimer intérêt es autres à discuter de sujets pls profonds
(Surtout quand cest des personnes inconnues)
Concernant l’apprentissage asymétrique de l’approche par rapport à l’évitement… : 1) Pourquoi les personnes qui ont des attentes négatives relativement aux autres sont plus à risque d’avoir des attentes erronées comparativement aux personnes qui ont des attentes positives?
Le problème est que les gens n’apprennent de leur expérience que lorsqu’ils ont une expérience dont ils peuvent tirer des enseignements. Certaines croyances empêchent les gens de vivre les expériences qui leur permettraient de calibrer ces croyances. Quelqu’un qui s’attend à ce que parler à des étrangers soit généralement agréable sera plus enclin à parler effectivement à des étrangers et donc à calibrer ses attentes, alors que quelqu’un qui s’attend à ce que parler à des étrangers soit désagréable sera plus enclin à éviter les conversations et pourrait ne jamais découvrir que ses attentes pourraient être quelque peu erronées.
Concernant l’apprentissage asymétrique de l’approche par rapport à l’évitement… : 2) Quand une personne a l’occasion de discuter avec une autre personne, que se passe-t-il concernant ses attentes envers cette dernière?
plusieurs expériences démontrent que les attentes des gens concernant les conversations futures deviennent plus positives après avoir eu une conversation
Concernant l’apprentissage asymétrique de l’approche par rapport à l’évitement… : 3) Comment se nomme la thérapie basée sur ces données et pour quel type de problématique cette thérapie est-elle utilisée?
Cela pourrait expliquer pourquoi la thérapie d’exposition, dans laquelle les personnes s’engagent dans des interactions sociales avec d’autres, est l’un des traitements les plus efficaces pour le trouble d’anxiété sociale [72,73].