Cours 7 - Troubles attentionnels Flashcards

1
Q

Le point de départ de la dichotomie repose sur quoi ?

A

Le point de départ de cette dichotomie repose sur la capacité attentionnelle est limitée : on ne peut pas porter attention à TOUT.

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2
Q

Dichotomie entre quoi et quoi ?

A

Dichotomie entre processus contrôlés nécessitant des efforts et processus automatiques ne nécessitant aucun effort attentionnel

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3
Q

Selon Posner et Snyder, les principales caractéristiques d’un processus automatique sont quoi ?

A

Le manque d’intentionnalité,

le manque de conscience

le manque d’interférence avec d’autres processus simultanés.

XX
***qd étude, faudra combiner cette carte avec l’autre sur les caractéristiques des processus automatiques

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4
Q

Les processus automatiques sont…

A

Les processus automatiques sont :

  • plus rapides
  • plus difficiles à inhiber et
  • généralement soutenus par des systèmes cérébraux rigides qui sont en grande partie sous-corticaux.
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5
Q

Deux types d’activités: automatique et contrôlées (infos personnelles)

A

1) Activités automatiques peu exigentes en ressources. Pr comprendre attention, avoir tjrs en tête que les ressorces sont limitées. On ne peut pas prêter attention à tt. Slmt à une petite qté d’info. Scientifiques disent que 7+/- 2 unités d’informations. Comme ressources att lmitées -> soit tâches automatiques, soit tâches controlées.

2) Tâches controlées : ex ecrire une demande pr poste assistant de recherche. Ca demande attention/concentration. On pt pas ecrire et en mm temps barrer voyelles de texte. Système ne pt pas faire tt ca. Jpx faire 10 activités automatiques, mais parfois pas plus qu'une tâche contrôlée. Si je conduis voiture si jai de expérience, cv devenir quasi-automatique. Pas automatique, jpx pas en meme temps conduire et faire choses complexes genre ecrire. PAR contre, je peux conduire et discuter avec un ami. 

Capacités attentionnelles sont limitées. On a processus automatiques plus rapides mais tof à inhiber, et des processus controlés qui exigent bcp d’effort mental. On a ces edux extremes. Et face aux deux extemes, differents systemes attentionnels

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6
Q

3 types d’attention et leur def

A

Divisée = Faire 2 choses en mm temps

Selective = focus sur une chose et inhiber l’autre

Soutenu = maintenir niveau optimal pdnt un certain temps.

**Fonction attentionnelles de haut niveau. Ça implique structures cérébrales de haut niveau. Point de départ va être la formation réticulée au niveau du tronc cérébral

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7
Q

Les mécanismes attentionnels impliquent quels système ?

A

Système d’activation réticulaire (SAR)
—>l’éveil cortical.

Structures des systèmes sous-corticaux et limbiques (en particulier le gyrus cingulaire)
—> régulation de l’attention.

Système du lobe pariétal postérieur
—> attention consciente.

Les lobes frontaux
—> diriger les ressources attentionnelles.

***Une importance particulière est donnée à HD en tant que processeur attentionnel.

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8
Q

Mécanismes systèmes attentionnels : SAR

A

Formation réticulée va alerter cerveau/donner activation qd actvée. Va activer tt le cerveau, forme d’alerte generale. Qd formation rentre ds la somnolence, va être inhibiée jusqua arriver au sommeil. TRES BAS NIVEAU

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9
Q

Mécanismes systèmes attentionnels : Systèmes limbiques

A

u cœur du cerveau. Va internenir surtout ds processus motivationnels, émotionnels et mnesiques. Attention a aussi une composante motivationnelle. NIV PLUS ÉLEVÉ

Thalamus = lieu de passe des infos ascendantes et desecntes. DONC qd stimulations sensorielles (ex bruit, temperature…) cv ns eveiller. Stimulation mm du thalamus va activer en partie le système attentionnel.

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10
Q

Mécanismes systèmes attentionnels : Lobe pariétal

A

Va être impliqué ds sensations tactiles/espace corporelle. Interesse le extra-corporel, va intervenir ds attention spatiale. TT ce qui se passe ds espace va solliciter des compétéences qui existent au niveau du lobe pariétal

Lobe pariétal gauche = praxie
Lobe pariétal droite = processus attentionnels ds espace

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11
Q

Mécanismes systèmes attentionnels : Lobe frontal

A

Fonctions executives , plus haut niveaux de processus attentionnels. Attention divisée + attention selective et attention soutenue.

ATTENTION DIVISÉE : capaciter de diviser ressources attentionnelles entre 2 ou plusieurs taches. Demande capacité de gestion

ATTENTION SÉLECTIVE : focus attention sur un aspect. Selectivité sollicite + des processus d’inhibition que d’activation.

Plus on est cap d’ignorer les infos non-pertinente PLUS ON REUSSIT SELECTIVITÉ. Elle opère plus par inhibition que attention

ATTENTION SOUTENUE : Conserver un niveau optimal d’attention ds le temps.

**on a différents types d’attention. On pourra avoir Tattention soutenue sans attention divisée, etc… Sinon, évaluation incomplète de l’attention

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12
Q

Modèle d’attention de Posner : Il a proposé quoi ?

MAYBE DELETE

A

Michael Posner présente un modèle d’attention du point de vue de la psychologie cognitive et des neurosciences.

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13
Q

Posner : Attention peut-être définie par quelles fonctions ?

MAYBE DELETE

A

1) De s’orienter vers des événements, en particulier vers des emplacements dans l’espace visuel ;

2) D’atteindre et maintenir un état de vigilance ou d’alerte ;

3) D’orchestrer des actions volontaires

XXXX
Dit que l’attention passe par 3 fonctions principales :
1) Orienter
2) Atteindre et maintenir
3) Orchestrer les actions (si je veux changer mon focus, revenir à autre chose, etc.)

Idée orientation de l’attention revient à Pavlov (reflexe d’orientation, chien qui se tourne vers la porte quand elle s’ouvre). Réflexion d’orientation aide à découvrir tt ce qui est nouveau. Qd infos nouvelles se répètent, plus le reflexe d’orientation.

Maintenir attention = important!

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14
Q

Modèle de Posner : Chaque fonction attentionnelle est ?

MAYBE DELETE

A

Chaque fonction attentionnelle est, à son tour, soutenue par des réseaux neuronaux distincts de:
- orientation
- vigilance
- exécution.

De plus, ces réseaux neuronaux d’attention fonctionnent de manière interactive entre eux et avec d’autres régions corticales et sous-corticales.

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15
Q

Réseaux attentionnels de Posner : système d’orientation postérieur

Fonction + corrélants nerveux

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A

FONCTION #1 :
- Orienter vers un stimulus
- Désengager l’attention d’un stimulus

FONCTION #2 :
-Se diriger vers un stimulus
- Engager un nouveau stimulus

CORRÉLATS #1 :
- Temporo-pariétal
- Temporal supérieur
- Pariétal supérieur

CORRÉLATS #2 :
- Colliculus supérieurs
- Thalamus

XXXXXXX
Pr m’orienter, je dois me désengager de ce que j’étais orienté avant

**Pour le 2e: AU niveau du mésencephale, colli supérieur interviennent ds attention visuelle relfexe et colli interieur ds attention auditive reflexe

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16
Q

Réseaux attentionnels de Posner : système attentionnel antérieur ou exécutif

Fonction + corrélats nerveux

MAYBE DELETE

A

FONCTION
- Orchestrer les actions
volontaires

CORRÉLATS
- Gyrus cingulaire antérieur
- Cortex préfrontal latéral et orbitofrontal
- Ganglions de la base
- Thalamus

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17
Q

Réseaux attentionnels de Posner : système attentionnel de vigilance

Fonction + corrélas nerveux

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A

FONCTION :
Réaliser et maintenir l’état d’alerte

CORRELATS:
Fronto-pariétal droit

XXXX
Sollicité qd face à une tache monotone et où les sitm viennent de facon peu frequence . Ex je conduis pendant 500 km. Je dois maintenir niv de vigilnce pcq tache mootone. Vigilence sollicitée qd tache repetitive et tres peu de stimulation.

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18
Q

Conception de Mesulam : Il postule quoi ?

MAYBE DELETE

A

Un réseau neuronal impliquant les cortex pariétal, cingulaire, et frontal soutient l’attention spatiale portée au monde extrapersonnel.

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19
Q

Conception de Mesulam : les régions contribuent à quoi

MAYBE DELETE

A
  • Chacune de ces régions apporte une contribution différentielle à l’attention spatiale.

RÉGION PARIÉTALE : Génère une représentation spatiale interne (carte sensorielle) de l’environnement extrapersonnel.

CORTEX CINGULAIRE: Attribue et régule une signification motivationnelle et émotionnelle aux éléments extrapersonnels.

CORTEX FRONTAL: Module et coordonne les programmes moteurs pour
- l’exploration
- le balayage
- la fixation
- la manipulation (atteindre) des stimuli extrapersonnels.

L’attention spatiale nécessite l’intégrité de ces trois aires corticales, ainsi que leurs interconnexions entre elles et avec les régions sous-corticales du thalamus et du striatum

XXXX
Tous partent de la formation réticulée .

Et d’ici, 2 voies. Une pour cortex frontal, et une pr paritéla.e

Paritaé = sensoriel
Frontal = représentation motrice

XXX
Formation réticulée

Gyrus cingulaire

Cortex pariétal (sensoriel)

Frontal (motrice)

XXXX
Pr que reussise, il fuat intégrer tt les structure

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20
Q

Modèle de Mirsky : Administration de quoi ?

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A

Administration d’une batterie de tests neuropsychologiques considérés comme sensibles au fonctionnement attentionnel à des patients neuropsychiatriques adultes (puis enfants) et à des participants témoins en bonne santé

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21
Q

Modèle de Mirsky : Quels sont les 4 facteurs ?

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A

4 facteurs :

Focaliser-exécuter

Changer ou déplacer l’attention

Soutenir l’attention

Encoder l’attention

5e composante :
Stabiliser = cohérence de l’effort attentionnel.

La répartition du système d’attention dans tout le cerveau est très répandue. En conséquence, le système attentionnel est très vulnérable aux perturbations en cas de lésion cérébrale.

XXXXXXXXXXXX
A pris plusieurs tests, grande batterie de tests et les a admin à large pop et fait une analyse factorielle

Synthetiser les données. Voir les facteurs sous-jacents qui se cachent. A pris très grand nb de tests, les as admin, fait analyse et partir de ca, aboutit à une solution à 4 facteurs.

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22
Q

Modèle de Mirsky : focaliser-exécuter

détails

MAYBE DELETE

A

Implique une attention sélective et une production perceptivo-motrice rapide

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23
Q

Modèle de Mirsky : soutenir l’attention

détails

MAYBE DELETE

A

Concerne la fonction d’alerte et de vigilance.

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24
Q

Modèle de Mirsky : encoder l’attention

détails

MAYBE DELETE

A

Encoder l’attention spécifie la capacité à maintenir brièvement des informations en mémoire (c’est-à- dire «en ligne&raquo_space;) tout en effectuant d’autres calculs ou actions connexes.

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25
Q

Modèle de Mirsky : changer ou adapter l’attention

détails

MAYBE DELETE

A

Décrit la capacité de déplacer l’attention de manière flexible et adaptative.

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26
Q

Modele de Mirksy : Chez adulte quoi qui mesure / par facteur

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A

FACTEUR 1 : Focaliser/exécuter
- Code WAIS-R
- Stroop
- Barrage lettres
- TMT A et B

FACTEUR 2 : Changer/shift
- WCST

FACTEUR 3 /5 : Maintenir stabiliser
- CPT

FACTEUR 4 : Encoder
- Empan chiffres
- Arithmétique WAIS-R

XXXX
Shifting = capacité de cahnger de code/regle/fonctionnement . Ex donner alternativemeet le plus de mots qui commencent par a et appartenant à la catégorie animaux. Au debut donner des lettres, puis shift à animaux, puis revenir….

Live = recherches sur donnée psychometriques et analsyes stats. Tt ca = validé sur des patients pr voir si facteurs relativement indep

Fait la mm chose tests chez enfants

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27
Q

Modele de Mirksy : Chez enfants quoi qui mesure / facteur

MAYBE DELETE

A

FACTEUR 1 : Focaliser/Encoder
- Code WISC-R
- Barrage chiffres

FACTEUR 2 : Changer/shift
- WCST

FACTEUR 3 /5 : Maintenir/stabiliser
- CPT

FACTEUR 4 : Encoder
- Empan chiffres
- Arithmétique WISC-R

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28
Q

Modele de Mirksy : substrats neuronaux mesurés / facteur

MAYBE DELETE

A

FACTEUR 1
- Focalisation : Cortex pariétal inferieur et temporal supérieur
- Exécution : Cortex pariétal inferieur Corps strié

FACTEUR 2
- Cortex préfrontal

FACTEUR 3 /5
- Structures antérieures du mésencéphale et du tronc cérébral

FACTEUR 4
- Hippocampe et amygdale

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29
Q

Structures sous-corticales influençant l’attention : SRA fait quoi ?

À VOIR SI DELETE EN FONCTION DE RÉPONSE DU PROF

A

Le système réticulaire activateur (SRA) régule le niveau d’activation ou d’éveil cortical-une première étape nécessaire dans le traitement attentionnel.

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30
Q

Structures sous-corticales influençant l’attention :Entrées sensorielles chargent quoi ?

À VOIR SI DELETE EN FONCTION DE RÉPONSE DU PROF

A

D’une manière générale, les entrées sensorielles chargent le SAR.

Cependant, le manque d’apport sensoriel ne rend pas nécessairement somnolent.

En fait, même avec un apport sensoriel constant, il peut y avoir une accoutumance.

Cependant, le SAR joue également un rôle dans la réponse anticipative.

Les lésions du SAR peuvent entraîner une diminution de la vigilance ou un coma.

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31
Q

Structures sous-corticales influençant l’attention :Pour l’attention visuelle sélective, qu’est-ce qui joue un rôle de soutient

À VOIR SI DELETE EN FONCTION DE RÉPONSE DU PROF

A

Thalamus

Noyaux gris centraux

Colliculi supérieurs et inférieurs jouent un rôle de soutien

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32
Q

Structures sous-corticales influençant l’attention : Thalamus fait quoi ?

À VOIR SI DELETE EN FONCTION DE RÉPONSE DU PROF

A

Le thalamus reçoit l’activation de la formation réticulaire et projette cette excitation vers le cortex.

Le thalamus sert à sélectionner et à relayer les informations des régions sous-corticalés vers le cortex et inversement.

Grâce à sa fonction de gate, il est en mesure d’influencer la sélectivité de l’attention

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33
Q

Structures sous-corticales influençant l’attention :Colliculus supérieur/inférieur font quoi ?

À VOIR SI DELETE EN FONCTION DE RÉPONSE DU PROF

A

SUPÉRIEUR
Joue un rôle dans le mouvement réflexif des yeux et de la tête lors de l’orientation vers des stimuli visuels

INFÉRIEUR
Impliqué dans l’orientation vers des stimuli auditifs.

34
Q

Attention selon van Zomoren et Bouwer : ils ont proposé quoi ?

A

Van Zomeren et Brouwer (1994) ont proposé de regrouper les différentes fonctions attentionnelles autour de deux axes : l’intensité et la sélectivité.

35
Q

Attention selon van Zomoren et Bouwer : Axe intensité

A

L’alerte tonique et phasique

La vigilance

L’attention soutenue

36
Q

Attention selon van Zomoren et Bouwer : Axe sélectivité

A

La focalisation et la flexibilité

La capacité de traitement :
— Empan attentionnel
— Attention divisée

37
Q

Attention selon van Zomoren et Bouwer (intensité) : Qu’est-ce que l’alerte tonique et phasique

A

Alerte tonique
—-> l’état d’éveil, niveau d’activation corticale du sujet

Alerte phasique
—-> la réceptivité et la réactivité en présence de stimuli avertisseurs

XXXXX
- Tonique = niveau stable (ecq mon cerveau est activé)

- Phasique = quand le système est stimulé et doit répondre. Cmt va répondre quand il est sollicité
38
Q

Attention selon Van Zomoren et Brouwer : comment on mesure l’alerte tonique VS phasique ?

A

COMMENT ON MESURE ALTERNE TONIQUE :
- EEG pour le mesurer (voir si cerveau éveilé en general, sans envoyer de stimulation).

COMMENT ON MESURE ALTERTE PHASIQUE
**Cmt on va répondre quand on est stimulés, réactivité quand on sollicite l’attention

  • On utilise des tâches de temps de réaction.
    ○ Temps réaction simple:

Voila souris, à chaque fois que triangle, appuyer sur bouton. Aucune décision sauf repondre au stimulus.

	○ Stimulus avertisseur: 

On va appuyer qd voir triangle, mais avant triangule, y’aura point d’interrog pr ns preparer a ca. On pt jouer sur stim avertisseur soit en ayant des intervalles constantes ou variables. Jpx faire des intervalles constantes (apres apparition de SA de 50 sec, tjrs stim cible. MAIS aussi prolonger ou diminuer temps entre avertisseur et stiulus. Demande bcp plus d’alerte qd y’a variabilité.

—> Qd intervalle entre stim avertisseur et cible est variable, ca demande + alerte.

On mesure alerte avec taches de TR simples ou aovir deux conditions :

On mesure alerte avec taches de TR simples ou on peut deux conditions :
1. Alertes constantes
2. Tâches où on varie
Dans les deux cas, on mesure réactivité à apparition de stimulus. On se demande ecq cerveau alerte ou non. Et si alerte, ecq cap de répondre à présence de stim. + on réussit taches avec stim avertiseur à intervalle variable, + cerveau frais et alerte pr traiter les info

39
Q

Attention selon van Zomoren et Bouwer (intensité) : Qu’est-ce que la vigilance ?

A

État de préparation à détecter et réagir à certains changements discrets apparaissant à des intervalles de temps variables au sein de l’environnement

XXXX
cq cap de detecter changements ds environnement et quand infos sont repetitives et peu fréquentes.
CERTAINES job, ex conduite voitures soir, demande bcp de vigilence, pcq tache monotome. Vigilence = capacité à detecter stim mm s’ils sont peu fréquents.

40
Q

Attention selon van Zomoren et Bouwer (intensité) : Qu’est-ce que l’attention soutenue ?

A

Maintenir un niveau d’efficience
-adéquat et stable

au cours d’une activité d’une certaine durée

sollicitant un contrôle attentionnel continu

41
Q

Attention selon van Zomoren et Bouwer (sélectivité) : Qu’est-ce que la focalisation et la flexibilité ?

A

Focalisation : La capacité de centrer notre attention sur un stimulus, la sélection

Flexibilité : La capacité de changer de cible et de mode de réponse

XXXX
Focal = cap de se concentrer sur qqchose. Ca demande des capacités de cntrole

Flexibilité = changer de mode de reponse. Ex qd je frappe 1 fis, tapper 2, et contraire. Et apre, on change de regle, qd une fois, on tappe pas, et qd 2 fois, pas tapper. Et on regarder ds quelle mesure gens sont cap de changer de regles.

Chez patients avec problemes de flexi : ils vont perseverer. Tjrs reagir par rapport à la premiere regle. On va le voir de facon tres claire chez grand nb de patients.

42
Q

Attention selon van Zomoren et Bouwer (sélectivité) : Qu’est-ce que l’empan attentionnel ?

A

Limites de la charge attentionnelle

XXX
Quoi la limite de ressources attentionnelles. On suppose que 7 +/- 2 les gens peuvent se focaliser dessus. Les sujets normaux vont répéter entre 5 et 9 sans erreur.

43
Q

Attention selon van Zomoren et Bouwer (sélectivité) : Qu’est-ce que l’attention divisée ?

A

Capacité de partager des ressources attentionnelles limitées entre des taches simultanées multiples

XXXX
Partagée attention sur 2 choses en mm temps. Demander pers faire 2 choses, chiffres à repeter mais en mm temps, chercher annulaire telephonique… Doit trouver un certain nombre ds periode limitée. Capacité de diviser ressources sur 2 taches. Tâches controlées, les 2 demandent des ressources !!! Gen, situation où chaque tache = exigente en ressources et on vt voir ds quelle mesure on pt les gerer.

Generalement, si qqun a empan de 7, pr tester division de ressources, on lui donne tâche un peu plus facile que 7.. Mettons 6.

Donner qqchose de - exigent en parallele avc tache de recherche. Localiser endroits ds carte.

Test of everyday attention : personne doit chercher dans une carte en parallele avc d’autres ressources… ou chercher adresses ds annuel en parallele.

44
Q

Évaluation de l’attention : L’attention constitue quoi + est requise quand ?

A

L’attention constitue une fonction de base impliquée dans toute performance intellectuelle ou comportementale au sein de la vie quotidienne.

L’attention est requise quel que soit le type d’activité cognitive dans
laquelle nous sommes engagés.

—-> est-il possible d’isoler les phénomènes attentionnels ?

XXXX
Dis que attention pure on ne pt pas l’eval, elle s’eval via d’autres processus

Éval attention = indispensable peu importe patho face à ns…. On doit tjrs s’assurer que pers a des capacités attentionnels et que T sont indep ou dep des dificits attentionnels. Faut s’assurer que pers aient compétences atten intacters pr eval le reste.

Ex qqun = etat de confusion mentale, pas de sens de eval ses composantes mentales.

Ca retse un defi, pcq doit passer par autre test

45
Q

Von Zomeren et Brouwer
Alerte tonique :

  • Description
  • Altération
  • Outils d’évaluation
A

DESCRIPTION
- L’état d’éveil
- Niveau d’activation corticale

ALTÉRATION
- Obnubilation de la conscience,
- Désorientation spatio-temporelle
- Lenteur diffuse

OUTILS D’ÉVAL
- EEG
- Épreuves de TR
simples

46
Q

Von Zomeren et Brouwer
Alerte PHASIQUE :

  • Description
  • Altération
  • Outils d’évaluation
A

DESCRIPTION
La réceptivité et la réactivité face à un stimulus avertisseur

ALTÉRATION
Lenteur ou incapacité de contrôler/inhiber une réponse motrice pour réagir sélectivement à la cible

OUTILS D’ÉVAL
TR avec différents intervalles du signal avertisseur

47
Q

Von Zomeren et Brouwer
Vigilance :

  • Description
  • Altération
  • Outils d’évaluation
A

DESCRIPTION
Maintenir un niveau d’efficience attentionnelle suffisant dans des tâches monotones et de longue durée au cours desquelles le nombre de stimuli auxquels il a à réagir est peu élevé

ALTÉRATION
-Fatigue
- Somnolence
- Incapacité à détecter des stimuli peu fréquents
- Omissions et fausses alertes

OUTILS D’ÉVAL
- Tâches de vigilance de la TAP
- Taux de détections correctes et du nombre d’omissions ou fausses alarmes

48
Q

Von Zomeren et Brouwer
Attention soutenue :

  • Description
  • Altération
  • Outils d’évaluation
A

DESCRIPTION
Maintenir un niveau d’efficience adéquat et stable au cours du temps

ALTÉRATION
L’incapacité de mobiliser les ressources attentionnelles nécessaires à la réalisation de la tâche :
- Fluctuation ou dégradation quantitative et qualitative de la performance
- Surcharge du système
- Relâchement transitoire
- Interruption de l’activité en cours

OUTILS D’ÉVAL
- PASAT
- Tâche d’attention soutenue de la TAP

49
Q

Von Zomeren et Brouwer
Focalisation :

  • Description
  • Altération
  • Outils d’évaluation
A

DESCRIPTION
L’activation de processus de centration sur l’objet de l’attention et l’inhibition active d’éléments distracteurs

ALTÉRATION
-Distractibilité
- Attention “aimantée “par divers événements non pertinents
- Sensibilité accrue à l’interférence

OUTILS D’ÉVAL
Stroop
Épreuves de barrages

50
Q

Von Zomeren et Brouwer
Flexibilité :

  • Description
  • Altération
  • Outils d’évaluation
A

DESCRIPTION
Déplacement et réorienter le focus de son attention ainsi que la souplesse avec laquelle il exerce ce contrôle

ALTÉRATION
Persévérations, rigidité des réponses

OUTILS D’ÉVAL
TMT B
Fluence alternée

51
Q

Von Zomeren et Brouwer
Empan attentionnel :

  • Description
  • Altération
  • Outils d’évaluation
A

DESCRIPTION
Capacité limitée des ressources attentionnelles disponibles :
- Nombre d’informations que le sujet est capable de capter, maintenir et traiter simultanément durant un court laps de temps

ALTÉRATION
- Réduction des ressources attentionnelles
- Échec du contrôle attentionnel voire perte de différents automatismes

OUTILS D’ÉVAL
- Empan de chiffres
- Block Tapping Test

52
Q

Von Zomeren et Brouwer
Attention divisée :

  • Description
  • Altération
  • Outils d’évaluation
A

DESCRIPTION
Gérer les ressources attentionnelles limitées dans la réalisation de plusieurs tâches simultanées.

ALTÉRATION
- Échec dans l’exécution simultanée de tâches multiples
- Interférences réciproques inter-tâches

OUTILS D’ÉVAL
Subtest “Attention divisée “de la batterie TAP

53
Q

Von Zomeren et Brouwer : L’examen des troubles attentionnels…

A

L’examen des troubles attentionnels doit toujours être resitué parmi l’ensemble des déficits que présente un patient :

Analyser les performances à différentes tâches d’attention à la lumière des répercussions éventuelles de déficits associés :
-troubles visuels
-problèmes mnésiques
-difficultés de langage
-dépression
-anxiété, etc.

54
Q

Troubles qui montrent un dysfonctionnement attentionnel

A

TDAH

Troubles neurologiques
—-> Sclérose en plaques
—-> Maladie d’Alzheimer
—-> Maladie de Parkinson

Traumatismes crâniens

Troubles épileptiques

Troubles métaboliques
—-> Encéphalopathie hypoglycémique
—–> Hyperthyroïdie

Troubles psychiatriques
—-> Dépression
—–>Manie
—-> Schizophrénie

AVC de l’hémisphère droit : négligence unilatérale

55
Q

Négligence unilatérale correspond à quoi ?

A

Selon Heilman (1979, 1993), la négligence unilatérale (NU) correspond à
« l’incapacité de rendre compte de, de répondre à ou de s’orienter vers des stimuli nouveaux ou signifiants présentés du côté opposé à la lésion cérébrale, sans que ce trouble puisse être attribué à un déficit sensoriel ou moteur. »

XXX
Troubles qui se manifestent par orientation totale de attention vers la droite generalement

56
Q

Quel % de gens ont négligence ?

A

Environ 20 à 30 % des patients atteints de lésion vasculaire de HD souffriraient de négligence unilatérale.

XXX
Trouble très fréquent suite à lésion droite

57
Q

Autres termes used pour décrire NU

A
  • Négligence spatiale
  • Négligence visuo spatiale
  • Héminégligen
  • Hémi inattention
  • Imperception
  • agnosie spatiale unilatérale
58
Q

Brain et Paterson ont permis quoi par rapport à la NU ?

A

Brain (1941) et Paterson & Zangwill (1944 ; 1945) ont permis d’individualiser la négligence unilatérale comme un syndrome à part entière.

Environ 1/3 des patients souffrant d’accident vasculaire cérébral HD manifestent une NU  la négligence est alors souvent évidente.

59
Q

NU : Le patient présente souvent quoi ?

A

Le patient présente une déviation permanente de la tête et du regard vers la droite.

Il ignore les sollicitations venant du côté gauche :
—> Lors des repas, les sujets peuvent renverser des plats situés sur leur gauche ou oublier de manger les aliments situés sur la gauche de leur assiette.

—-> Ils omettent de lire la page gauche de leur livre, ou de détecter des détails situés à gauche sur des dessins ou des photographies. Le trouble touche aussi l’écriture, le dessin et les jeux.

—-> Une tendance à tourner systématiquement vers la droite alors qu’il faudrait aller à gauche.

—–> Négligence personnelle lors de l’habillage, rasage, maquillage etc.

XXXX
Que ca soit compo d’exploration sensorielle, ou comportement moteur

Pour toutes les orientations, obsession avec coté droit et heminegligence du côté gauche.

Point focal = trouble de l’attention. C’est pas trouble sensoriel. Attention orienté vers côté ipsi-lésionnel

60
Q

Exemples de comportements de négligence spatiale suite à un accident vasculaire cérébrale HD

***PAS APPRIS PAR COEUR CE QUI ÉTAIT DIT ICI

A

Exemple d’orientation spontanée des yeux et de la tête de patients présentant une négligence spatiale suite à un accident vasculaire cérébral hemisphérique droit alors qu’ils ne faisaient rien », c’est-à-dire simplement assis et attendant. L’œil dans la tête et la tête sont orientés toniquement vers le côté ipsilésionnel droit. (D’après Fruhmann-Berger et Karnath, 2005).

La déviation œil dans la tête est même évidente sur les examens cliniques du cerveau effectués à l’admission, où il est simplement demandé au participant de rester immobile. (Becker et Karnath, 2010).

Chemin de numérisation (rouge) d’un patient, présentant une négligence spatiale tout en décrivant verbalement le contenu d’un dessin au trait (noir). Le petit garçon de gauche n’est ni exploré visuellement ni mentionné yerbålement; l’essentiel de l’histoire produite n’était pas évoqué (Karnath, 1994).

Trajets de balayage (œil et tête combinés) d’un groupe de 12 patients presentant une négligence spatiale pendant la recherche visuelle active (lignes noires) ainsi qu’au repos (lignes grises). Les patients montrent un biais de leur comportement actif et passif vers le côté ipsilésionnel droit (Fruhmann-Berger et al., 2008).

XXXX
Patient presque émenté du regard.

Superposition de mouvement visuel/exploration d’une image.

12 patients, pas attention vers côté gauche

61
Q

NU peut s’accompagner de quelles manifestations ? (liste)

A

Extinction

Allochirie

Alloesthésie

Anosognosie

Anosodiaphorie

62
Q

Manifestations NU : Extinction

A

Incapacité à détecter un stimulus controlatéral à la lésion cérébrale lorsque celui-ci est présenté simultanément à un stimulus ipsilateral, alors que ce stimulus est détecté lorsqu’il est présenté isolément.

XXXX
- Si on présente deux objets identiques, comme si va eteindre ce que gauche et focus sur droite
- Si stim différents, pt voir les deux, si de mm nature, va faire extinction

63
Q

Manifestations NU : Allochirie

A

Lorsque l’on touche un patient du côté gauche, le sujet prétend avoir été touché à un endroit grossièrement symétrique du côté droit.

XXX
Focus sur attention sensorielles

64
Q

Manifestations NU : Alloesthésie

A

Un patient sollicité pour faire un mouvement avec son hémi corps contra lésionnel exécute le mouvement avec son membre ipsi-lésionnel, ou encore tourne la tête vers le côté droit alors que l’on s’adressé à lui du côté gauche.

XXX
Si on touche patient gauche, va réagir comme si droite

65
Q

Manifestations NU : Anosognosie

A

Absence de conscience ou le déni des troubles.

XXX
Fait d’être inconscient de sa maladie

66
Q

Manifestations NU : Anosodiaphorie

A

Indifférence à l’égard des troubles.

XXX
Aspect plutôt émotionnel qui rentre en jeu

67
Q

NU : Localisation et % selon les auteurs

VÉRIFIER SI LES % SERONT À APPRENDRE FINALEMENT

A

Hecaen (1972), vérification anatomique chirurgicale ou postmortem d’AVC –> NU dans 56 cas sur 179 lésions droites (31%) et seulement un cas sur 286 lésions gauches.

Halligan (1989), NU dans 48% des lésions HD et dans 15% des lésions HG.

Pedersen et al. (1997), L’incidence de la NU est de 42 % en cas de lésion HD et 8 % HG

XXX
Environ 1/3 des lesions droites donnent hemi

Lesions droites = les + prépondérantes

68
Q

Quels sont les sites lésionnels de NU ?

A

Carrefour temporo-pariéto-occipital et rôle du lobe pariétal dans sa portion inféro-postérieure. (A39-40 de HD)

Cortex temporal supérieur droit

Cortex frontal dorsolatéral reconnue dès 1972 par Castaigne.

Responsabilité de lésions sous-corticales pures à l’origine de NU. Ces lésions profondes entrainent une désafférentation corticale et seraient responsables de plus de 20 % des syndromes de NU

XXX

Désaccord sur les pourcentages, accord sur le cté droit de lesion. Site lesionnel = surtout carrefour, mais aussi les autres mentionnés plus bas

69
Q

Théories attentionnelles : La NU est considérée comme quoi ?

A

La NU est considérée comme la conséquence d’une inattention sélective à l’hémichamp spatial controlatéral à la lésion cérébrale.

Le comportement d’héminégligence serait lié à un défaut de l’orientation de l’attention vers l’information spatiale.

70
Q

Théories attentionnelles NU : deux modèles + différence entre les deux

A

Modèle de Heilman

Modèle vectoriel de Kinsbourne

XXX
Seule différence avec les deux modèle c’est que statut de HD est plus considéré chez Heilman que chez Kinsbourne.

71
Q

Théories attentionnelles NU : Modèle de Heilman

A

(HD) aurait la capacité à orienter l’attention à la fois vers la gauche et vers la droite, alors que l’hémisphère gauche (HG) ne serait responsable que de l’attention vers la droite.

La négligence serait donc due à un défaut d’activation de l’HD que l’HG ne pourrait compenser. (HD>HG).

XXX
Heilman : Dit que HD est spécialisé ds attentionen general (plus que gauche) Attention va porter aussi bien sur hemichamp ipsi que controlat (droit et gauche)

HG a pouvoir attentionnel slmt sur hemichamp droit.

Qd lesion droite, on va perdre ces deux vecteurs importants. HG sera libéré et va remporter sur HD. Attention sera orienteée à droite sur plan sensoriel et moteur.

72
Q

Théories attentionnelles NU : Modèle vectoriel de Kinsbourne

A

Ce modèle se fonde sur l’existence d’un gradient attentionnel spatial.

Chaque hémisphère générant un vecteur attentionnel horizontal dirigé vers l’espace controlatéral ainsi qu’une inhibition mutuelle réciproque.

En cas de lésion droite l’équilibre de la balance interhémisphérique est rompu libérant ainsi un gradient attentionnel vers l’espace ipsilésionnel. (HG>HD).

XXX
Chacun des H a un pouvoir attentionnel. Une fois que lesion droite, y’a rupture de la balance et HG va l’emporter.

73
Q

NU : Trois types de théories

A

Attentionnelles
—> Kingsbourne : Désiquilibre de la balance interhémisphérique

–> Heilman : Rivalité interhémisphérique

Représentationnelles
–> Défaut de représentation mentale

Intentionnelles
-> Conception prémotrice de l’attention spatiale

74
Q

NU : Théories représentationnelles

A

Pour Bisiach (1978, 1979), l’espace réel ou imaginé est représenté de façon analogique et symétrique dans chacun des 2 hémisphères.

Une lésion unilatérale détruit alors la représentation de l’espace controlatéral.

Ici, il ne s’agit plus de trouble attentionnel mais de représentation perceptive controlatérale dégradée.

Test d’évocation mentale de la place de la cathédrale de Milan.

XXX
Dit que pas problème attentionnel, mais representationnel.

Il va dire aux patients imagine t’es à Milan derrière toi catédrale. Va ask qcequil y a a droite. Patient va decrire qcequi droite, et qd on lui gauche, va dire comme s’il y a rien.

Pr lui , problème = au niveau des representations mentake que y’a problème. Pr ca que ne prete plus attention.

75
Q

NU : Théories intentionnelles

RIP GARDER POUR LA FIN

A

La théorie « prémotrice » soutenue par Rizzolatti et al. (1990) se situe à l’interface des conceptions représentationnelles et attentionnelles du comportement d’héminégligence.

S’appuyant sur les résultats des cortectomies sélectives chez le singe (aires 6 et 8 frontales, lobule pariétal inférieur), cette théorie postule une conception unitaire en rejetant l’hypothèse de la séparation fonctionnelle des mécanismes attentionnels de ceux de l’incitation motrice. Il s’agit donc d’une conception de l’attention dirigée subordonnée à l’exécution d’un programme moteur. La nature de la réponse motrice détermine la qualité des mécanismes perceptifs.

Ainsi, le rôle focalisateur de l’étape prémotrice des actions dirigées dans l’espace est essentiel à l’activation des structures corticales au sein desquelles l’espace est « représenté ». L’attention spatiale serait donc la conséquence et non la cause de l’action dirigée, d’où l’importance des structures activatrices du tronc cérébral (éveil, alerte…) et des centres déviationnels (orientation conjuguée des yeux, de la tête et du corps).

XXXXX
Modèle pas très connu.

La motricité elle-même n’est pas dépendante de la sensibilité. Elle peut être à l’origine meme de l’acte sensoriels. Nous on a appris que origine sensorielle, traitement, etc. lui dit NON.

L’acte moteur lui-même = lui qui guide l’acte sensoriel. Ex mes mouvements visuels qui vont m’orienter, info ne vient pas vers moi juste comme ca.

Pr lui, deficit = étape prémotrice de diriger attention à droite ou à gauche. Concerne déficit au niveau de l’intention de l’action, et non pas attention elle-mm. Intention d’orienter son attention vers qqchose. Inclut cette notion.

Va considérer que acte sensoriel = dirigié par action. S’orienter vers qqchose = defaut intention.

76
Q

Évaluation de la NU :

  • n’obéit pas à …
  • les tests doivent…
A

1) La NU n’obéit pas à une règle du « tout ou rien » ; elle peut varier en fonction du
-type de stimulus
-l’état attentionnel
-la fatigue
- l’état émotionnel du malade.
——> ne pas se limiter à un test, utiliser une batterie de tests + une
analyse qualitative des performances

2) Les tests doivent être présentés en situation médiane, l’examinateur face au patient ; ce dernier doit être de préférence assis confortablement, en évitant une inclinaison du tronc.

XXX
Parfois patient fatigué, s’intéresse pas aux gens… On se demande pas ecq il y a hémineg

77
Q

Évaluation de la NU : 3 points/étapes

A
  1. Observer le comportement spontané
  2. Tests papier-crayon
  3. Tests plus spécifiques

***voir les images

78
Q

Évaluation de la NU : Observer le comportement spontané

A

La présentation générale (habit, soins personnels), orientation du regard, asymétrie au lit, au fauteuil et en déplacement.

79
Q

Évaluation de la NU : Test papier-crayon

A
  • Les tests de barrage
  • Le dessin
  • L’écriture
    La lecture

**Épreuves informatisées:
la batterie attentionnelle de Zimmermann

80
Q

Évaluation de la NU : Tests spécifique

A

Évaluer la négligence personnelle
—-> l’asymétrie de l’utilisation du peigne, du rasoir ou de l’oubli d’une branche des lunettes.

Évaluer la composante perceptive
—–> épreuves visuo-spatiales, test de dénomination et désignation d’objets.

Évaluer la composante motrice :
——> épreuves (dessin, écriture…) impliquent une participation motrice.

Evaluer la composante “représentationnelle” :
—–> décrire ce qui se situait à leur gauche dans un espace donné.