APP 4 Flashcards
- DÉCRIRE LES FONCTIONS PRINCIPALES DES DIFFÉRENTS LOBES
LOBE FRONTAL
Classification en fonction de la zone anatomique :
• Cortex moteur primaire : Mouvements des membres du corps controlatérale à l’hémisphère en question
• Cortex préfrontal : Fonction dans l’éveil et la motivation
o Une lésion à ce niveau peut causer de l’apathie, de l’inattention, etc.
- Cortex frontal orbital : Comportement social, contrôle des émotions
- Cortex postério-inférieur gauche (aire de Broca) : Fonction expressive du langage
- Cortex frontal dorsolatéral : Fonction pour la mémoire de travail
- DÉCRIRE LES FONCTIONS PRINCIPALES DES DIFFÉRENTS LOBES
LOBE FRONTAL
Les fonctions plus d’ordre cognitif/comportemental contrôlés par le lobe frontal peuvent être classés en 3 catégories :
Restreint: • Jugement • Prévoyance du futur • Persévérance • Contrôle des réponses sociales non appropriées • Concentration • Auto-contrôle
Initiative • Curiosité • Spontanéité • Motivation • Volonté • Créativité • Changement de perception cognitive • Flexibilité mentale • Personnalité
Ordre • Raisonnement abstrait • Mémoire de travail • Communication avec nuances • Planification • Introspection • Organisation • Séquencer les choses • Ordre temporel
- DÉCRIRE LES FONCTIONS PRINCIPALES DES DIFFÉRENTS LOBES
LOBE FRONTAL
Fonctions plus globales :
- Fonction motrice volontaire
- Expression du langage (Broca)
- Organisation intellectuelle
- Comportement (voir liste ci-dessus)
- Émotions (gyrus cingulaire antérieur, cortex obitofrontal postéromédial pour le système limbique)
- Jugement
- Auto-contrôle/inhibition des réponses inappropriées socialement
- Raisonnement abstrait
- Olfaction (aire olfactive orbitofrontale dans le lobe frontal ventral)
- DÉCRIRE LES FONCTIONS PRINCIPALES DES DIFFÉRENTS LOBES
LOBE PARIÉTAL
Classification en fonction de la zone anatomique :
• Cortex primaire somatosensoriel :
o Intégration de stimuli somesthésiques
o Reconnaissance des formes, des textures et des poids
• Région postérolatérale au gyrus postcentral :
o Génération du lien visio-spatial et intégration de ces perceptions avec les autres sensations pour créer une interprétation des trajectoires et des objets en mouvement
o Contrôle de la proprioception
• Lobe moyen pariétal (angulaire) de l’hémisphère dominant : o Calculs o Écriture o Orientation o Reconnaissance de ses doigts
• Lobe pariétal à l’hémisphère non-dominant :
o Intégration et conscience de la partie controlatérale à cet hémisphère
- DÉCRIRE LES FONCTIONS PRINCIPALES DES DIFFÉRENTS LOBES
LOBE OCCIPITAL
Vision
- DÉCRIRE LES FONCTIONS PRINCIPALES DES DIFFÉRENTS LOBES
LOBE TEMPORAL
- Audition (cortex auditif primaire): Reconnaissance et identification des stimuli
- Langage (aire de Wernicke) - compréhension
- Mémoire visuelle
- Mémoire factuelle
- Joue un rôle dans les émotions
- DÉCRIRE LES FONCTIONS PRINCIPALES DES DIFFÉRENTS LOBES
EN BREF…
Rôles des lobes :
- Frontal : Fonctions motrices, mémoire de travail, comportement social et contrôle des émotions/jugement, personnalité, planification, langage (Broca)
- Pariétal : Intégration des stimuli pour les sensations, fonction d’interprétation visio-spatiale, conscience des deux hémisphères du corps
- Occipital : Vision
- Temporal : Audition, langage (Wernicke), mémoire
- DÉCRIRE LES CORRÉLATS NEUROANATOMIQUES DE LA PERCEPTION VISUOSPATIALE
La perception visuospatiale : de quoi s’agit-il?
Il s’agit d’une composante du fonctionnement cognitif et elle fait référence à notre capacité à traiter et à interpréter les informations visuelles concernant la localisation des objets dans l’espace.
Il s’agit d’un aspect important du fonctionnement cognitif car il est responsable d’un large éventail d’activités de la vie quotidienne.
Par exemple, elle sous-tend notre capacité à nous déplacer dans un environnement et à nous orienter de manière appropriée. La perception visuospatiale est également impliquée dans notre capacité à atteindre avec précision des objets situés dans notre champ visuel et à déplacer notre regard vers différents points de l’espace.
- DÉCRIRE LES CORRÉLATS NEUROANATOMIQUES DE LA PERCEPTION VISUOSPATIALE
La perception visuospatiale : zones d’association du cortex visuel ?
Les zones d’association du cortex visuel sont séparées en deux voies principales et sont censées médier différents aspects de la cognition visuelle. Chez l’homme, la région pariéto-occipitale est censée traiter les informations de type visuospatial et de mouvement visuel. La région inférotemporale du cerveau, quant à elle, serait responsable de notre capacité à traiter les informations visuelles relatives à la forme et à la couleur des objets.
- DÉCRIRE LES CORRÉLATS NEUROANATOMIQUES DE LA PERCEPTION VISUOSPATIALE
Une fois que le stimulus visuel quitte les yeux, où est-il d’abord traité?
Une fois que le stimulus visuel quitte les yeux, il est d’abord traité par des points distincts du cerveau (appelés corps géniculés latéraux) sur le chemin des lobes occipitaux. Ensuite, ces informations quittent les lobes occipitaux par des voies de la substance blanche appelées “flux” vers d’autres parties du cerveau.
- DÉCRIRE LES CORRÉLATS NEUROANATOMIQUES DE LA PERCEPTION VISUOSPATIALE
Une fois que le stimulus visuel quitte les yeux, il est d’abord traité par des points distincts du cerveau (appelés corps géniculés latéraux) sur le chemin des lobes occipitaux. Ensuite, ces informations quittent les lobes occipitaux par des voies de la substance blanche appelées “flux” vers d’autres parties du cerveau.
Quels sont ces flux et leur fonction respective?
Le courant ventral (temporal) (également appelé “voie du quoi”) est impliqué dans l’identification et la reconnaissance visuelle et des objets.
Le flux dorsal (pariétale) (ou “voie du lieu”) est impliqué dans le traitement de la localisation spatiale de l’objet.
En d’autres termes, le cerveau cherche à savoir ce qu’il doit faire des informations visuelles qu’il a reçues, comment les utiliser pour reconnaître des personnes vues auparavant, tracer des itinéraires, reconnaître des symboles et des lettres, et bien d’autres interprétations. Ces flux passent par les lobes temporal et pariétal, ce qui explique que parfois, une intervention chirurgicale dans ces parties du cerveau peut également affecter le traitement visuel.
- DÉCRIRE LES CORRÉLATS NEUROANATOMIQUES DE LA PERCEPTION VISUOSPATIALE
Le courant dorsal en plus de détails?
Le courant dorsal guide vos actions et vous aide à reconnaître la position des objets dans l’espace. Également appelé “courant pariétal” (parce qu’il se dirige vers le lobe pariétal), “où” ou “comment”, cette voie s’étend du cortex visuel primaire (V1) dans le lobe occipital vers le lobe pariétal. Elle est interconnectée avec le courant ventral parallèle (le courant “quoi”) qui descend de V1 vers le lobe temporal.
Le courant dorsal est principalement impliqué dans la perception et l’interprétation des relations spatiales, l’image précise du corps et l’apprentissage de tâches impliquant la coordination du corps dans l’espace
- DÉCRIRE LES CORRÉLATS NEUROANATOMIQUES DE LA PERCEPTION VISUOSPATIALE
Les lésions ou les perturbations de ce courant dorsal peuvent entraîner des problèmes de traitement visuel, dont les suivants:
1) La simultanagnosie
2) Ataxie optique
3) Négligence hémisphérique
4) Akinétopsie, ou agnosie visuelle du mouvement
5) Apraxie
- DÉCRIRE LES CORRÉLATS NEUROANATOMIQUES DE LA PERCEPTION VISUOSPATIALE
Les lésions ou les perturbations de ce courant dorsal peuvent entraîner des problèmes de traitement visuel, dont les suivants:
1) La simultanagnosie
L’enfant ne peut voir qu’un seul objet sans pouvoir le percevoir comme une composante d’un ensemble de détails ou d’objets dans un contexte (par exemple, l’enfant peut décrire divers arbres et animaux dans une scène, mais ne reconnaît pas la scène comme une forêt)
- DÉCRIRE LES CORRÉLATS NEUROANATOMIQUES DE LA PERCEPTION VISUOSPATIALE
Les lésions ou les perturbations de ce courant dorsal peuvent entraîner des problèmes de traitement visuel, dont les suivants:
2) Ataxie optique
L’enfant ne peut pas utiliser les informations visuospatiales pour guider les mouvements des bras, de sorte que la portée n’est pas précise, qu’il dépasse un objet ou qu’il utilise un mouvement de balayage
- DÉCRIRE LES CORRÉLATS NEUROANATOMIQUES DE LA PERCEPTION VISUOSPATIALE
Les lésions ou les perturbations de ce courant dorsal peuvent entraîner des problèmes de traitement visuel, dont les suivants:
3) Négligence hémisphérique
L’enfant n’est pas conscient de l’espace qui existe dans son champ aveugle. Par exemple, il n’est pas conscient des choses qui se trouvent dans son champ de vision gauche et se concentre uniquement sur les objets situés dans son champ de vision droit. Il peut aussi sembler ne pas être conscient des choses qui se trouvent dans un champ de vision alors qu’il les perçoit dans l’autre. Par exemple, un enfant présentant cette négligence hémispatiale peut dessiner une horloge, puis l’étiqueter de 12, 1, 2, …, 6, mais s’arrêter et considérer que son dessin est terminé.
- DÉCRIRE LES CORRÉLATS NEUROANATOMIQUES DE LA PERCEPTION VISUOSPATIALE
Les lésions ou les perturbations de ce courant dorsal peuvent entraîner des problèmes de traitement visuel, dont les suivants:
4) Akinétopsie, ou agnosie visuelle du mouvement
L’enfant est incapable de percevoir le mouvement.
- DÉCRIRE LES CORRÉLATS NEUROANATOMIQUES DE LA PERCEPTION VISUOSPATIALE
Les lésions ou les perturbations de ce courant dorsal peuvent entraîner des problèmes de traitement visuel, dont les suivants:
5) Apraxie
L’enfant est incapable d’initier un mouvement en l’absence de troubles musculaires
- DÉCRIRE LES CORRÉLATS NEUROANATOMIQUES DE LA PERCEPTION VISUOSPATIALE
Le courant ventral en plus de détails?
Le courant ventral est principalement impliqué dans la reconnaissance des objets et la représentation des formes. Également décrit comme le courant “quoi”, il est étroitement lié au lobe temporal médian (qui stocke les souvenirs à long terme), au système limbique (qui contrôle les émotions) et au courant dorsal (qui traite de la localisation des objets et du mouvement). Ainsi, le courant ventral ne se contente pas de fournir une description des éléments du monde visuel, il joue également un rôle crucial dans l’évaluation de la signification de ces éléments.
- DÉCRIRE LES CORRÉLATS NEUROANATOMIQUES DE LA PERCEPTION VISUOSPATIALE
Des lésions du cortex ventral peuvent entrainer quoi??
Les lésions du courant ventral peuvent entraîner une incapacité à reconnaître les visages ou à interpréter les expressions faciales. Les dysfonctionnements des flux dorsal et ventral sont rarement isolés. Ils sont généralement des composantes des deux.
- DÉCRIRE LES VOIES VISUELLES, DE LA RÉTINE AU CORTEX VISUEL
Rétine :
- La rétine est une membrane qui recouvre l’intérieur de l’œil et qui est responsable de capter l’information optique et la transformer en information électrique pour l’acheminer vers le cortex visuel.
- Elle est composée de 6 couches et comprend, entre autres, les photorécepteurs, qui vont capter la lumière et qui vont transmettre l’information aux cellules ganglionnaires par l’entremise des cellules bipolaires.
- Les cellules bipolaires et ganglionnaires sont modulées par des interneurones (cellules horizontales et amacrines), qui vont aider à raffiner le message (ex : en aidant à créer plus de contraste).
- DÉCRIRE LES VOIES VISUELLES, DE LA RÉTINE AU CORTEX VISUEL
Cheminement vers l’aire visuelle primaire
Quelle est la premiere etape?
Les axones des cellules ganglionnaires vont éventuellement sortir de l’œil via le disque optique (point aveugle de la rétine), afin de former le nerf optique. (C’est le même neurone jusqu’au prochain relais.)
- DÉCRIRE LES VOIES VISUELLES, DE LA RÉTINE AU CORTEX VISUEL
Cheminement vers l’aire visuelle primaire
Que se passe-t-il après la formation du nerf?
Le nerf optique, composé des axones de toutes les cellules ganglionnaires ipsilatérales (de l’œil du même côté), va ensuite se diviser. La partie nasale (médiale) des axones, qui représente le champ visuel ipsilatéral, va passer par le chiasma optique pour aller du côté controlatéral, tandis que la partie temporale (latérale) des axones, qui représente le champ visuel controlatéral, va rester du côté ipsilatéral.
- En d’autres mots :
a) Les parties gauches des yeux sont pour le champ visuel droit et ces fibres vont innerver le cortex visuel gauche (le cortex controlatéral du champ visuel).
b) À l’opposé, les parties droites des yeux sont pour le champ visuel gauche et ces fibres vont innerver le cortex visuel droit.
- DÉCRIRE LES VOIES VISUELLES, DE LA RÉTINE AU CORTEX VISUEL
Cheminement vers l’aire visuelle primaire
Que se passe-t-il après le croisement au chiasma optique?
Les projections vont ensuite aller innerver plusieurs structures, dont le corps genouillé latéral, qui est une partie du thalamus, via la bandelette optique. Les neurones du corps genouillé latéral vont ensuite aller innerver la couche 4 du cortex visuel primaire, qui est situé dans le lobe occipital, en passant par les radiations optiques (qui sont dans la capsule interne, où il y a également les efférences de la voie pyramidale).
- Les radiations optiques passent au niveau des lobes pariétal et temporal. Une lésion de celles-ci au niveau du lobe pariétal va mener à une atteinte du champ visuel inférieur, alors qu’une lésion au niveau du lobe temporal va plutôt engendrer une atteinte du champ visuel supérieur.
- DÉCRIRE LES VOIES VISUELLES, DE LA RÉTINE AU CORTEX VISUEL
Cheminement vers l’aire visuelle primaire
En bref…
- Lumière » Photorécepteur » Cellules bipolaires » Cellules ganglionnaires » Nerf optique + chiasma optique et/ou bandelette optique » Corps genouillé latéral – Radiation optique » Cortex visuel primaire
- Le nerf optique possède des axones de l’œil ipsilatéral.
- Le chiasma optique possède des axones de croisement des deux yeux, représentant les champs visuels temporaux (et qui provient donc de la portion nasale du nerf optique de cet œil).
- À partir de la bandelette optique, la voie concerne l’information venant du champ visuel controlatéral capté par les deux yeux.
- Les déficits du champs visuels dépendent de la localisation des lésions au long de la voie visuelle et de l’ampleur de la lésion.
- COMPRENDRE LES FONCTIONS RESPECTIVES DE L’HÉMISPHÈRE MINEUR (NON DOMINANT) ET DE L’HÉMISPHÈRE DOMINANT
Qu’est ce que le principe de Latéralisation?
Un principe important qui peut aider à localiser les déficits sur le plan clinique est la tendance de certaines fonctions à être latéralisées dans un hémisphère, ce qui entraîne une spécialisation hémisphérique. Le cerveau humain apparaît assez symétrique anatomiquement entre les hémisphères, et de nombreuses fonctions dans le cerveau sont réparties symétriquement. Les régions homologues du cortex cérébral de chaque côté du cerveau sont reliées entre elles par de longues fibres d’association portées par le corps calleux. Pour des raisons inconnues, cependant, il existe des asymétries marquées dans plusieurs fonctions cérébrales. Il a été postulé que ces asymétries permettent de traiter certaines fonctions principalement dans un hémisphère, éliminant les retards causés par les longs délais des transmissions calleuses.
- COMPRENDRE LES FONCTIONS RESPECTIVES DE L’HÉMISPHÈRE MINEUR (NON DOMINANT) ET DE L’HÉMISPHÈRE DOMINANT
Quelle est l’asymétrie la plus évidente dans la fonction cérébrale entre les 2 hémisphéres et de quoi s’agit-il?
Aisance
L’asymétrie la plus évidente dans la fonction cérébrale est l’aisance. Environ 90% de la population est droitière. Le degré d’asymétrie dans la dextérité manuelle varie, mais la plupart des individus sont remarquablement maladroits dans l’exécution de tâches telles que l’écriture ou la fermeture des boutons avec la main non dominante. La neuroimagerie fonctionnelle et les résultats des lésions ont suggéré que, bien que chaque hémisphère contrôle les mouvements simples des membres contralatéraux, les tâches motrices complexes qualifiées pour les membres droit et gauche sont programmées principalement par l’hémisphère dominant, habituellement à gauche. Les lésions de l’hémisphère dominant sont donc plus fréquemment associées à l’apraxie, un trouble de la formulation de mouvements précis.
- COMPRENDRE LES FONCTIONS RESPECTIVES DE L’HÉMISPHÈRE MINEUR (NON DOMINANT) ET DE L’HÉMISPHÈRE DOMINANT
Le langage est un autre exemple bien connu de spécialisation hémisphérique.
Explique comment.
Dans la plupart des individus, la fonction de la parole dépend principalement de l’hémisphère gauche. L’hémisphère gauche domine le langage chez plus de 95% des droitiers et chez plus de 60 à 70% des gauchers. Ainsi, les lésions des régions linguistiques de l’hémisphère gauche provoquent habituellement un dysfonctionnement du langage, même chez les personnes gauchères. Cependant, de nombreux individus gauchers ont une représentation bilatérale importante de la langue, surtout s’il y a des antécédents familiaux de personnes gauchères ou d’ambidextrie. Ainsi, après une lésion de l’hémisphère gauche, on croit que les gauchers récupèrent le langage plus rapidement que les droitiers (bien que cela n’a pas encore été rigoureusement testé).
- COMPRENDRE LES FONCTIONS RESPECTIVES DE L’HÉMISPHÈRE MINEUR (NON DOMINANT) ET DE L’HÉMISPHÈRE DOMINANT
L’hémisphère non-dominant est spécialisé pour quelles types de fonctions?
- L’hémisphère non-dominant est spécialisé pour certaines fonctions non verbales et semble plus important pour les habiletés visuo-spatiales complexes, pour donner une signification émotionnelle aux événements et au langage, et pour la perception de la musique. Bien que les hémisphères soient chacun impliqués dans l’attention sur l’environnement contralatéral, seul l’hémisphère droit est impliqué de manière significative dans l’assistance aux deux côtés (voir plus loin).
- L’hémisphère non-dominant participe à l’intégration du langage (reconnaissance et production d’éléments affectifs associés au langage émotion exprimée lors du langage ou ton de voix).
- COMPRENDRE LES FONCTIONS RESPECTIVES DE L’HÉMISPHÈRE MINEUR (NON DOMINANT) ET DE L’HÉMISPHÈRE DOMINANT
De nombreuses activités importantes sont réalisées par des combinaisons de différentes compétences spécialisées des hémisphères. Ces fonctions des hémisphères dominants et non dominants sont médiées par quoi?
Ces fonctions des hémisphères dominants et non dominants sont médiées par des réseaux distribués impliquant des connexions fronto-pariétales, des connexions avec des structures de mémoire limbique et des connexions réciproques avec des noyaux sous-corticaux. Les lésions qui déconnectent ces réseaux, soit à l’intérieur d’un hémisphère, soit entre les hémisphères au niveau du corps calleux, peuvent provoquer des syndromes de déconnexion spécifiques.
- COMPRENDRE LES FONCTIONS RESPECTIVES DE L’HÉMISPHÈRE MINEUR (NON DOMINANT) ET DE L’HÉMISPHÈRE DOMINANT
Tableau: Fonctions de l’hémisphère dominant (habituellement le G)
- language
- formulation de mouvements moteurs complexes (praxis)
- arithmetique : sequential and analytical calculating skills
- musical ability: sequential and analytical skills in trained musicians
- sens of direction: following a set of written directions in sequence
- COMPRENDRE LES FONCTIONS RESPECTIVES DE L’HÉMISPHÈRE MINEUR (NON DOMINANT) ET DE L’HÉMISPHÈRE DOMINANT
Tableau: Fonctions de l’hémisphère non-dominant (habituellement le D)
Prosodie (emotions conveyed by tone of voice)
visual-spatial analysis and spatial attention
arithmetic: ability to estimate quantity and to correctly line up columns of numbers in the page
musical ability: in untrained musicians, and for complex musical pieces in trained musicians
sens of direction: finding one’s way by overall sense of spatial orientation
- COMPRENDRE LES FONCTIONS RESPECTIVES DE L’HÉMISPHÈRE MINEUR (NON DOMINANT) ET DE L’HÉMISPHÈRE DOMINANT
Connexions intrahémisphériques
En plus de la gauche contre la droite, les fonctions cérébrales sont également organisées le long de l’axe antérieur à postérieur. Comme dans la moelle épinière, où plus de régions postérieures sont sensorielles et les régions plus antérieures sont motrices, le cortex d’association pariétal et temporal postérieur est plus impliqué dans l’interprétation des données perceptives et l’attribution de sens à l’information sensorielle, tandis que le cortex frontal est plus important pour la planification, le contrôle et l’exécution des actions.
- COMPRENDRE LES FONCTIONS RESPECTIVES DE L’HÉMISPHÈRE MINEUR (NON DOMINANT) ET DE L’HÉMISPHÈRE DOMINANT
Aspects latéralisés de l’attention
- Le système de conscience comprend des réseaux cérébraux qui participent à la vigilance, à l’attention et à la conscience. Ainsi, l’attention (comme la vigilance et la conscience) dépend des noyaux thalamiques médian et intralaminaire, des systèmes neuromodulateurs à projection étendue dans le tronc cérébral supérieur, l’hypothalamus et le cerveau antérieur basal, le gyrus cingulaire, le cortex médial et latéral de l’association fronto-pariétale, et éventuellement d’autres structures, telles que les ganglions basaux et le cervelet.
- Bien que les deux hémisphères soient impliqués dans l’attention, il existe une asymétrie marquée dans l’importance relative des deux hémisphères, et l’hémisphère droit est plus important pour les mécanismes attentionnels chez la plupart des individus. Les lésions de l’hémisphère droit conduisent souvent à des déficits importants et prolongés dans l’attention sur le côté controlatéral, tandis que dans les lésions de l’hémisphère gauche, la négligence controlatérale est relativement faible ou indétectable. Dans les études portant sur des sujets normaux utilisant la neuroimagerie fonctionnelle ou les investigations électrophysiologiques, l’hémisphère gauche réagit aux stimuli du côté droit, tandis que l’hémisphère droit réagit aux stimuli gauche et droit, mais plus fortement aux stimuli à gauche.
- Dans des conditions normales, l’hémisphère droit assiste fortement au côté gauche et moins fortement au côté droit, tandis que l’hémisphère gauche est principalement à droite. Le résultat est un très faible biais net d’attention vers la gauche dans la plupart des individus (ce qui peut expliquer pourquoi de nombreuses langues sont écrites de gauche à droite).
- COMPRENDRE LES FONCTIONS RESPECTIVES DE L’HÉMISPHÈRE MINEUR (NON DOMINANT) ET DE L’HÉMISPHÈRE DOMINANT
Aspects latéralisés de l’attention
o Avec les lésions de l’hémisphère droit, …
o Avec les lésions de l’hémisphère droit, l’hémisphère gauche est toujours capable d’assister au côté droit, mais il y a un déficit profond dans l’attention à gauche. En outre, il y a un déficit plus léger de l’attention sur le côté droit (ipsilatéral à la lésion).
- COMPRENDRE LES FONCTIONS RESPECTIVES DE L’HÉMISPHÈRE MINEUR (NON DOMINANT) ET DE L’HÉMISPHÈRE DOMINANT
Aspects latéralisés de l’attention
o Avec les lésions de l’hémisphère gauche…
o Avec les lésions de l’hémisphère gauche, l’hémisphère droit est toujours capable d’assister au côté droit, de sorte que seulement de légers déficits droits ou pas de déficits de l’attention sont vus.
- COMPRENDRE LES FONCTIONS RESPECTIVES DE L’HÉMISPHÈRE MINEUR (NON DOMINANT) ET DE L’HÉMISPHÈRE DOMINANT
Aspects latéralisés de l’attention
o Enfin, avec les lésions bilatérales partielles, …
o Enfin, avec les lésions bilatérales partielles, il existe une certaine capacité résiduelle de l’hémisphère droit à s’occuper du côté gauche uniquement, ce qui entraîne un déficit marqué dans l’attention à la droite.
- COMPRENDRE LES FONCTIONS RESPECTIVES DE L’HÉMISPHÈRE MINEUR (NON DOMINANT) ET DE L’HÉMISPHÈRE DOMINANT
Analyse spatiale et intégration
- L’analyse spatiale dépend de l’intégration d’informations provenant de multiples modalités sensorielles. Cependant, comme la vision joue un rôle si important dans la perception humaine, le terme « analyse visuo-spatiale » est souvent utilisé. Comme les autres fonctions mentales, l’analyse visuo-spatiale est réalisée par un réseau distribué et dépend des régions bilatérales du cortex frontal et pariétal. Cependant, le cortex de l’association pariétale à la jonction des lobes pariétal, temporal et occipital est particulièrement important pour l’analyse spatiale, et l’hémisphère non dominant (habituellement à droite) est plus important que la gauche.
- L’information visuelle est analysée par deux courants de traitement de l’information d’ordre supérieur, un flux :
o « What ? » : Dans le cortex occipital ventral, temporal et préfrontal
o « Where ? » Dans le cortex occipital dorsal, pariétal et préfrontal.
• Le cortex de l’association pariétale à la jonction des lobes pariétal, temporal et occipital se trouve directement dans le flux dorsal, analysant l’emplacement et le mouvement des objets visuels dans l’espace. Le cortex pariétal postérieur est également situé de façon idéale pour intégrer d’autres sources d’information spatiale à partir des zones corticales adjacentes.
o L’analyse spatiale englobe donc à la fois l’environnement environnant et la position relative du corps de l’individu dans l’espace, en utilisant des informations visuelles, proprioceptives, vestibulaires, auditives et autres provenant de zones corticales adjacentes.
o Les troubles de l’analyse spatiale, tels que la déficience du jugement visuel-spatial ou des capacités de construction spatiale, sont plus fréquemment observés dans les lésions du cortex pariétal droit, mais ils peuvent également se produire avec des lésions sur d’autres régions.
- COMPRENDRE LES FONCTIONS RESPECTIVES DE L’HÉMISPHÈRE MINEUR (NON DOMINANT) ET DE L’HÉMISPHÈRE DOMINANT
Syndrome de négligence controlatérale
- Pour des patients porteurs de lésions unilatérales du lobe pariétal, ils présentent comme handicap principal des difficultés plus ou moins prononcées dans la perception des objets et des événements du côté controlatéral à la lésion (attention).
- Le syndrome de négligence controlatérale se caractérise par l’incapacité de prêter attention à des objets et même à son propre corps, dans une certaine région de l’espace, en dépit d’une acuité visuelle, d’une sensibilité somatique et d’aptitudes motrices intactes.
- COMPRENDRE LES FONCTIONS RESPECTIVES DE L’HÉMISPHÈRE MINEUR (NON DOMINANT) ET DE L’HÉMISPHÈRE DOMINANT
Lésions causant une héminégligence gauche
- Les patients atteints de ces troubles n’arrivent ni à signaler les stimuli présentés du côté du corps opposé à la lésion cérébrale, ni à y répondre, ni même à s’orienter vers eux. Ils peuvent également présenter des difficultés à exécuter des tâches motrices complexes du côté négligé, par exemple pour s’habiller, aller prendre des objets, écrire, dessiner et à un degré moindre, s’orienter vers des sons. Ces déficits moteurs sont appelés « apraxies ».
- Le syndrome de négligence controlatérale est spécifiquement associé aux atteintes du lobe pariétal de l’hémisphère droit puisque l’hémisphère gauche prend essentiellement en charge la moitié droite. Les lésions du lobe pariétal gauche tendent à être compensées par l’hémisphère droit intact. En revanche, quand c’est le lobe pariétal droit qui est atteint, l’hémisphère gauche à une capacité faible voire nulle de compenser le déficit d’attention au côté gauche du corps.
- DÉCRIRE LES TROUBLES DU LANGAGE (APHASIES) ET LEURS CORRÉLATS NEUROANATOMIQUES : DÉFICIENCE DANS LA COMPRÉHENSION (WERNICKE) ET/OU DANS L’EXPRESSION (BROCA, FAISCEAU ARQUÉ)
Définir les termes « aphasie d’expression (de Broca) » et « aphasie de Wernicke ».
Difficulté de langage, avec, dans l’aphasie expressive (de Broca), défaut de production verbale (hésitation, manque du mot, ou plus sévèrement, impossibilité de parler), et dans l’aphasie réceptive (de Wernicke), défaut de compréhension du langage avec, généralement, préservation de la fluidité verbale.
L’aphasie, ou la dysphasie, est un déficit dans le traitement du langage causé par une dysfonction de l’hémisphère cérébral dominant. L’aphasie n’est PAS un déficit sensoriel ou moteur simple (ex : le patient n’arrive tout simplement pas à entendre ou à bouger ses lèvres/à articuler), ni d’attention ou psychiatrique.
- DÉCRIRE LES TROUBLES DU LANGAGE (APHASIES) ET LEURS CORRÉLATS NEUROANATOMIQUES : DÉFICIENCE DANS LA COMPRÉHENSION (WERNICKE) ET/OU DANS L’EXPRESSION (BROCA, FAISCEAU ARQUÉ)
Principes de la latéralisation et le langage
● Tendance, pour certaines fonctions corticales, à être latéralisée à l’hémisphère gauche ou droit, démontrant une spécialisation hémisphérique. Ainsi, les hémisphères cérébraux ont une certaine asymétrie qui, supposément, réduirait les délais par la transmission du corps calleux entre les deux hémisphères.
● En ce qui a trait à la fonction du langage, celle-ci prédomine généralement dans l’hémisphère dominant, qui est généralement l’hémisphère gauche et ce, pour plus de 95% des droitiers et pour 60-70% des gauchers.
o Ainsi, des lésions dans l’hémisphère gauche vont souvent atteindre la fonction du langage pour les gauchers également. Par contre, plusieurs gauchers montrent une représentation bilatérale du langage.
● L’hémisphère non-dominant est spécialisé pour certaines fonctions non-verbales.
o ex : Attribution de la valeur émotive (connotation) à des événements et au langage, perception musicale
- DÉCRIRE LES TROUBLES DU LANGAGE (APHASIES) ET LEURS CORRÉLATS NEUROANATOMIQUES : DÉFICIENCE DANS LA COMPRÉHENSION (WERNICKE) ET/OU DANS L’EXPRESSION (BROCA, FAISCEAU ARQUÉ)
Circuit du langage
● L’information auditive atteint le cortex auditif primaire, qui est situé dans le lobe temporal supérieur, au bord de la fissure sylvienne.
o Pour la lecture, l’information visuelle atteint le cortex visuel primaire, situé dans le lobe occipital.
● La première étape dans l’analyse du langage est ensuite effectuée par le cortex associatif adjacent, l’aire de Wernicke.
o Occupe les 2/3 postérieurs du gyrus temporal supérieur dans l’hémisphère dominant.
o Permet la compréhension des sons et des lettres en mots.
o L’aire de Wernicke est située dans le lobe temporal, qui est souvent associé à tout ce qui est relié à la reconnaissance de la perception et à l’aspect sémantique, le « quoi ». Qu’est-ce que j’entends ? Qu’est-ce que je lis ? C’est aussi dans le lobe temporal qu’il y aura des problèmes dans la reconnaissance des objets, des visages, etc. (ex : Quel est cet objet ? Qui est-ce ?)
● L’aire de Broca est un programme moteur qui active des séquences particulières de sons pour produire des mots et des phrases (est aussi impliquée dans l’écriture).
o C’est une aire associative dans les portions triangulaires et operculaires du gyrus frontal inférieur.
o L’aire de Broca est située dans le lobe frontal où il y a les aires motrices, donc elle est plutôt reliée à la production du langage.
● Communication entre l’aire de Broca et l’aire de Wernicke :
o Se fait par plusieurs connexions, mais la plus connue est le fascicule arqué (arcuate fasciculus), qui est une voie subcorticale faite de matière blanche.
- DÉCRIRE LES TROUBLES DU LANGAGE (APHASIES) ET LEURS CORRÉLATS NEUROANATOMIQUES : DÉFICIENCE DANS LA COMPRÉHENSION (WERNICKE) ET/OU DANS L’EXPRESSION (BROCA, FAISCEAU ARQUÉ)
● De plus, elles ont des connexions réciproques avec un large réseau d’aires corticales aussi impliquées dans le processus langagier.
o Aire de Broca : Régions du lobe frontal (cortex préfrontal, prémoteur, aire motrice supplémentaire)
▪ Aspects moteurs pour la formulation et la préparation des discours, ainsi que pour la syntaxe.
o Aire de Wernicke : Régions des gyrus supramarginal et angulaire du lobe pariétal et régions du lobe temporal
▪ Pour la compréhension du langage, le lexique, qui est important pour trouver un sens aux sons et à la lecture.
o Ces aires communiquent dans l’hémisphère non-dominant via le corps calleux.
▪ Pour la reconnaissance et la production d’éléments émotifs dans le langage.
- Une atteinte peut rendre difficile le jugement de l’intention du ton de voix ou la production d’un ton de voix approprié pour le contexte.
▪ Peut aussi servir à récupérer quelques fonctions lors de lésions à l’hémisphère dominant.
o Ces aires communiquent avec les structures sous-corticales : thalamus et noyaux gris centraux.
▪ Une lésion de ces structures dans l’hémisphère dominant peut entraîner une aphasie.
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Aphasie de Broca (aphasie d’expression)
● Aphasie non fluente
● Habituellement causée par une lésion affectant l’aire de Broca et des structures adjacentes dans le lobe frontal dominant du patient.
● La cause la plus commune est l’infarctus dans le territoire de la division supérieure de l’artère cérébrale moyenne.
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Aphasie de Broca (aphasie d’expression)
Caractéristiques :
● Diminution de la fluidité spontanée du discours
o Phrases de moins de 5 mots et avec plus de mots de contenu (ex : noms communs) que des mots de fonction (ex : prépositions, etc.).
● Perte de la prosodie
o Intonation du discours qui donne un sens à la structure de la phrase.
● Difficulté à nommer des gens et de objets (dysnomie)
● Déconnection avec l’aire de Wernicke
o La répétition est altérée.
▪ Je comprends ce que tu dis, mais je ne peux pas le répéter.
o Toutefois, l’aire de Wernicke est intacte. La compréhension orale et écrite est correcte, sauf pour les phrases contenant des structures dépendantes de la syntaxe (ex : phrases de forme passive).
▪ ex : Le lion a été tué par le tigre.
o Difficulté à dire des phrases contenant beaucoup de mots de fonction (ex : Pas de si, ni de mais).
● L’écriture et la lecture à voix haute et lente demande de l’effort et est sans grammaire.
Donc : Le discours demande de l’effort, est télégraphique (pauvre au niveau grammatical/syntaxique) et de ton monotone.
Autres caractéristiques :
● Dysarthrie (difficulté d’élocution) et hémiparésie droite affectant plus le visage et le bras que la jambe
● Les champs visuels sont normaux.
● Frustration et dépression (le patient est conscient de son handicap)
● Apraxie (parfois) : trouble de la réalisation de gestes concrets ou symboliques indépendant d’une atteinte des fonctions motrices et sensitives et de tout trouble de la compréhension
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Petite aphasie vs grosse aphasie de Broca :
● Grosse aphasie de Broca :
o Aphasie globale initiale qui évolue habituellement en aphasie de Broca.
o Causée par des lésions importantes.
o Affecte la plupart du lobe frontal dominant, en plus des structures sous-corticales.
● Petite aphasie de Broca :
o Aphasie de Broca qui évolue en dysnomie et en une diminution de la fluidité.