16. dév conceptuel et catégoriel Flashcards
catégorisat°
process par lequel nous regroupons les objets en fonct° de leur ressemblance physiq ou fonctionnelle
déf concept
représentat° mentale à laquelle correspond habituellemt un mot (mais pas forcémt - ordinateur)
déf catégorie
ens hiérarchisé des objets qui tombent sous un ^m concept
déf nv de base - Eleanor Rosch
de cat sous-ordonnées à sur-ordonnées, une nous vient plus facilemt à l’esprit le nv de base - chien et pas canidé qui comprend renard
niveau auquel les objets présentent les ^m formes, ont les ^m fonct°, appellent les ^m actions pour l’hom
niveau où les ressemblances intra-catégorielles et les dissemblances inter-catégorielles sont les plus fortes
1é mots appris par l’enfant (oiseau avt pigeon)
déf
prototype
Eleanor Rosch
certains sont de meilleurs représentt que d’autres de la cat car possèdent + de caractères communs à tous (merle vs autruche)
objets peuvent être classés du ± typique = gradient de typicalité identiq pour les enfants et les adultes indpdmt culture et âge
objets typiq sont les 1é à ê intégrés ds les catégories par les enfants -> difficile pour les atypiq (cygne n’est pas un oiseau)
rôle nv base et sur-ordonné ds dév
Mandler et Bauer 1988
méthode de la manipulat° séquentielle = tendance à manipuler l’un à la suite de l’autre des objets de la ^m catégorie
- si nv de base (4 chiens et 4 voitures) = 12 mois
- si nv sur-ordonné (4 animaux et 4 véhicules) = 20 mois
kid semblent d’abord catégoriser les objets au niveau de base ms
- si nv de base ds ^m catégorie sur-ordonnée (chiens et chevaux) rien en deçà de 20 mois
- si nv de base ds catégories sur-ordonnée diff (chiens et voitures) marche dès 12 mois
cat au nv sur-ordonné précéde cat au nv de base, ce qui joue en réalité c’est la ressemblance manifeste
rôle de la similarité perceptive
Gelman et Coley 1990
très tôt enft ne s’appuient pas seulemt sur ressemblance perceptive pour catégoriser les objets
- à 2 ans réponse selon la similarité perceptive
- ms si on donne étiquette verbale (c’est un oiseau et lui vit-il ds un nid)
- -> 70% de bonnes réponses pour les objets typiq et atypiq
- à 3/4 ans bonne réponse sans étiquette
rôle du langage ds dév conceptuel
Markman 1989
contraintes innées guident l’organisat° conceptuelle et favorise l’apprentissage rapide de la langue par l’enft (10 mots par jour)
= organisat° taxonomiq + objet total + exclusion mutuelle
déf organisat° taxonomiq
un nouveau mot désigne un objet pas toute une scène
déf objet total
un mot désigne la totalité de l’objet et pas une de ses parties
déf exclusion mutuelle
un second terme appliqué à un objet conduit l’enfant à considérer qu’il désigne une de ses parties ou propriétés saillantes
ce qui conduit l’enft à considérer qu’un objet ne peut pas appartenir à 2 catégories
distinct° animés/inanimés
Massey et Gelman 1988
qu’est-ce qui peut gravir une colline
- 3 ans = 78% de décis° correctes
- 4 ans = 90% de décis° correctes
justificat° = présence de pieds, de pattes ^m si invisibles sur photos => théo biologiq naïves (pour marcher, il faut des jambes)
animaux et objets transformés
Keil 1995
raton laveur transformé en mouffette, idem cafetière en nid à oiseau
avt 7/9 ans acceptent l’idée que l’animal a été totalement transformé
relat° thématiq et relat° taxonomiq
Smiley et Brown 1979
on peut regrouper par ressemblance
ms â par thème (abeille miel -> ruche) ou taxonomie (vache cochon -> mammifères)
les relations thématiq se voient ds l’environnemt dc on pense que précède le reste
préf pour les relat° thématiq jusqu’à 10 ans ms en vrai dpd de la quest°
=> enft ne regroupent pas prioritairemt les objets selon des relat° thématiq
les catégories slot filler de Nelson
= catégories qui peuvent remplir la ^m case dans un script (desserts) => relat° de substituabilité et non de ressemblance
en effet 1é mots des enfants décrivent des scripts (le bain, le repas) => 1é concepts = structures d’événemt (thématiq)
la répétition rend les concepts de plus en plus généraux