115.2 Flashcards

1
Q

De quoi est en charge le PVO ?

A

Le poste de veille opérationnelle, station directrice tertiaire, est également un organe de coordination décentralisé au niveau d’un centre de secours, en charge :

► de l’exploitation locale du SIC
► du suivi de l’état de mise à jour des moyens en dotation au sein de sa base opérationnelle (intervention, exercice, sport, contrôle technique…)
► de l’engagement de ses moyens :
* réception et transmission des ODE à/aux engin(s) concerné(s) (acquittement, validation, sonnerie engin(s), impression ODE)
* gestion des moyens affectés temporairement
* clôture de l’opération afin de permettre la rédaction des rapports de sortie de secours par les chefs d’agrès, le chef de détachement ou le COS

► de la veille opérationnelle courante et particulière afin d’alimenter rigoureusement les mains courantes opérationnelles sur ADAGIO

► de la préparation de la réponse opérationnelle à des évènements particuliers :
* suivi et organisation d’un délestage à son niveau
* suivi des exercices
► du contrôle des actions entreprises par les PVO de ses CS (pour un PVO de Cie )
► création ou MAJ des PEI dispo/indispo

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2
Q

Qui arme le PVO ? qui est responsable du PVO ?

A

Sous les ordres du sergent ou du gradé de jour, il est armé quotidiennement par un stationnaire titulaire de la qualification SIC 2.
Le stationnaire est responsable du bon fonctionnement du PVO pendant toute la durée de sa garde notamment pour tout ce qui concerne l’ordre et la discipline.

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3
Q

Que doit faire le stationnaire à sa prise de service ?

A

En prenant son service, il doit :
► prendre en compte, vérifier et mettre à jour l’ensemble de la documentation réglementaire du PVO (rues barrées, PEI…)
► s’assurer du bon fonctionnement des installations qui le composent (ADAGIO, messagerie opérationnelle, sonneries de feu, pupitre de télécommunication, postes radio, temporisations…) et de la garantie de leur mode de fonctionnement dégradé
► vérifier le numéro d’ordre de ses moyens et s’assurer qu’aucune famille de MMA identique n’a le même numéro d’ordre
► vérifier l’état de mise à jour de ses moyens et de ses ressources
► prendre connaissance des consignes laissées par son prédécesseur

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4
Q

Pendant son service, le stationnaire doit :

A

► assurer le suivi de ses moyens et le contrôle de leur numéro d’ordre

► en permanence, assurer l’écoute radio sur la communication attribuée à son territoire de compétence et veiller son application ADAGIO OSS. Il rend compte au sergent ou gradé de jour de toute intervention particulière sur son secteur

► s’attacher à connaître les principales caractéristiques de son secteur administratif (limites, artères principales, risques, points particuliers, établissements répertoriés)

► sur ordre du CO, annuler la bascule de la ligne de feu

► assurer le suivi de la messagerie opérationnelle du PVO

► faire toujours preuve de la plus grande correction. En particulier, lors de communications téléphoniques, il se présente systématiquement, en respectant la contexture des exemples suivants :
* appel sur le réseau interne (RETENIS) : « caporal X, stationnaire du CS Y, j’écoute »
* appel sur la ligne de ville : « les pompiers, j’écoute »
* appel sur la ligne de feu, le cas échéant : « urgences pompiers, j’écoute »
* s’il s’agit d’une demande de secours, il se conforme au BSP 115.1 – Partie 1 – titre 3 - § 1.3

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5
Q

Comment sont organisées les veillées ?

A

À partir de minuit et jusqu’au réveil, pour les PVO du PC de CIS, des veillées doivent être organisées afin de maintenir un potentiel de vigilance. Elles consistent au remplacement du stationnaire en titre par un personnel a minima SIC 1, mais de préférence SIC 2.

La prise de veillée est inscrite sur le cahier « main courante opérationnelle », en précisant l’horaire de prise de fonction. En centre de secours, elle s’accompagne obligatoirement d’un compte rendu téléphonique au PVO de compagnie.

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6
Q

Que doit faire le stationnaire en quittant son service ?

A

Avant de quitter son service il doit :
► il fait signer les documents du service opérationnel au chef de garde descendant
► il informe également le stationnaire montant des évènements en cours et de l’état des engins du CS

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7
Q

Quel est le principe général du mode vigilance ?

A

Le mode vigilance permet au stationnaire d’un PVO, équipé de temporisations et hors PC de compagnie, de se reposer sans être remplacé de minuit jusqu’au réveil. Ce mode peut être supprimé sans préavis sur décision de commandement, sur ordre du CO, du CSO ou à la suite d’une défaillance technique du PVO (application des modes de fonctionnement dégradés) ou de consignes, temporaires ou permanentes, relevant de la sécurisation du site.

Avant d’aller se coucher, le stationnaire doit demander au sergent de jour du PC de compagnie l’autorisation de passer en mode vigilance puis, en cas d’accord en rendre aussitôt compte au CSO. À son réveil, le stationnaire rend compte au PC de compagnie de sa reprise de veille et récupère la pleine fonctionnalité des installations de son PVO.

Le stationnaire est réveillé par le stationnaire du PC de compagnie pour tout départ pour feu, toute demande de renfort, de moyen de renforcement ou spécial et pour toute intervention sortant du cadre de l’intervention courante sur le secteur de sa responsabilité.

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8
Q

Quels sont les différents types de messages ?

A

Il existe 8 types de messages :

► message de départ
► message de présentation
► message de demande de moyens
► message d’ambiance
► message de renseignements
► message de déplacement
► message de disponibilité
► message de rentrée

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9
Q

Que fait le stationnaire au PVO du PC de compagnie lorsqu’un PVO est en mode vigilance ?

A

Lorsqu’un des PVO de la compagnie est en mode vigilance, le stationnaire du PVO du PC de Cie doit contrôler la bonne prise en compte de l’état de réception de l’ordre de départ (ODE) par le ou les PVO concernés. Pour cela, il s’appuie sur les fonctionnalités de l’application de gestion des opérations (bouton « validation des ODE ») :

► couleur orange :
si l’ODE n’est pas validé par une partie des PVO destinataires de l’ODE en cas d’envois multiples

► couleur rouge :
si l’ODE n’est pas reçu ou validé par le ou tous les PVO destinataires de l’ODE. Il peut s’agir d’un problème d’ordre technique. Dans ce cas, les procédures de mode de fonctionnement dégradé doivent être appliquées MD 1)

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10
Q

Que fait le stationnaire PVO PC si un ODE n’est pas acquitté ?

A

Dans ces 2 cas, le stationnaire ou l’auxiliaire en PVO de PC de Cie doit :
► obligatoirement contacter dans la minute par téléphone fixe le PVO concerné de sa compagnie
► en cas d’échec :
* contacter son CSO pour qu’il joigne par radio le PVO concerné
* rendre compte à son sergent de jour et à l’officier de garde compagnie

En l’absence de réponse, le CSO TC ou le CO (en solution de repli) doit :

► modifier l’engagement des moyens de secours sur l’opération non reçue et valider (ajout ou modification de moyens)
► rendre compte au sous-officier statique
► tenter d’entrer de nouveau en contact avec le PVO « sourd » (téléphonie fixe ou mobile, radio…)
► si nécessaire réaliser un ordre de départ pour que l’OGC se rende sur le PVO « sourd », afin de disposer
rapidement d’un point de la situation

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11
Q

Que fait le stationnaire après avoir fait partir les secours en mode vigilance ?

A

Après avoir fait partir les secours et s’être assuré de la fermeture des portes de remises, le stationnaire n’est autorisé à quitter à nouveau sa veillée que s’il ne s’agit pas d’une intervention pour feu ou justifiant le déclenchement d’un plan spécial.
En cas d’intervention courante, les demandes de moyens (moyens de transport non médicalisés par exemple) et de services publics sont relayées par le stationnaire du PVO du PC de Cie , qui assure également les mises à jour à chaque changement d’état annoncé par radio par le chef d’agrès et réalise les actions utiles à la mise à jour automatisée de la MCO.
À son retour d’intervention et en l’absence du stationnaire, le chef d’agrès met à jour l’état de son engin et réalise son rapport.

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12
Q

Quels sont les différents postes fixes et mobiles ? Quel est leur rôle ?

A

Le suivi chronologique et l’archivage des messages d’une opération sont assurés par les postes fixes (PVO, CSO et CO) ou mobiles (PC TAC). Ces derniers doivent être en mesure à tout moment de faire le point de la situation à une autorité.

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13
Q

Comment est organisé le réseau radio de la Brigade ?

A

L’exploitation du réseau radio de la Brigade est assurée sur le principe d’un réseau dirigé organisé à partir de 3 niveaux de stations directrices (CO, CSO, PVO), qui en assurent la mise en œuvre et l’exploitation.

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14
Q

Quelle est l’importance du message radio ?

A

Le message fait partie intégrante de l’opération dont il est le reflet. Il est la signature professionnelle de celui qui le transmet et doit être considéré comme un savoir-faire. La chaîne de commandement opérationnel doit en conséquence veiller à la qualité des messages.

Les rédacteurs des différents messages doivent être sensibilisés sur le fait que la Brigade est de plus en plus confrontée à des plaintes contre les secours et à l’exigence de l’autorité de tutelle dans sa quête du renseignement.

La qualité des messages, le respect de leur fréquence d’émission et la cohérence de leur contenu permettent d’éluder un grand nombre de difficultés immédiates et à venir.

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15
Q

Comment doivent être transmis les messages ?

A

Le message doit prioritairement être transmis par radio, afin d’être entendu et enregistré.
Cependant, en cas de difficultés de transmission, les messages peuvent exceptionnellement être transmis par d’autres moyens : téléphone, fax, Internet.

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16
Q

Peut-on modifier un message ?

A

Tout message de renseignements peut être modifié avant le message « opération terminée », dès lors que cette modification est enregistrée sur le réseau radio. Toutefois, cette option de confort est à utiliser avec parcimonie.

En effet, lorsqu’un contentieux existe entre la Brigade et un tiers, l’enregistrement des messages et les dossiers (rapport minute, main courante opérationnelle…) liés à cette opération peuvent être réquisitionnés.

En revanche, une modification ne peut plus être prise en compte après la clôture de l’opération.

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17
Q

Qu’est-ce qu’un status ?

A

Les STATUS sont des messages de données courts qui s’utilisent en lieu et place des messages de phonie.
Ils sont définis dans l’OBIDSIC.

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18
Q

Qu’implique le passage d’un status ?

A

En fonction des règles définies pour l’emploi des STATUS, ces messages sont suivis des actions idoines dans ADAGIO par les stations directrices compétentes (état de mise à jour du moyen, complément de la main courante opérationnelle…).

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19
Q

Comment le message de départ est-il transmis ?

A

Tout chef d’agrès d’un MMA équipé d’un poste de radio formalise son départ, dès qu’il débute son trajet. Ce départ est annoncé soit par STATUS, soit par STATUS et phonie

Le Stationnaire vérifie l’état de MAJ du/des MMA suite à l’utilisation des STATUS. Après un délai de 2 minutes, si le STATUS « PARTI » n’est pas passé, il doit impérativement procéder à la mise à jour via l’application ADAGIO-GD

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20
Q

Comment le message de présentation est-il transmis ?

A

Le message de présentation est obligatoire pour tout MMA équipé d’une radio, dès son arrivée sur les lieux. Il est transmis soit par STATUS, soit par STATUS et phonie lors d’un départ de plusieurs engins

Le Stationnaire :

► après un délai de 10 min, si le STATUS « SUR LES LIEUX » n’est pas passé, il contacte par phonie le(s) chef(s) d’agrès
► après réponse de ce(s) dernier(s), il note dans la main courante opérationnelle le GDH précis de cette présentation ou non présentation

La mise à jour dans ADAGIO GDO est proscrite (notifier la raison de la non présentation dans la main courante opérationnelle).

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21
Q

Délai pour le message de demande de moyens

A

Il est transmis en phonie et au plus vite dès lors que le COS estime que des moyens supplémentaires lui sont nécessaires.

Ce message a priorité sur tous les autres.

La première demande peut intervenir dès la présentation sur les lieux de l’intervention et de préférence dans les 5 premières minutes.

Généralement le 1er message de demande est une « demande sèche », tout comme les demandes consécutives à un changement défavorable de situation.

Dans certains cas, la demande est associée au message de renseignements.

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22
Q

A quoi est destinée la demande de moyens ?

A

Une demande de moyens est destinée à honorer un besoin opérationnel (en moyens ou en actions à entreprendre) pour répondre à une situation particulière.

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23
Q

Composition message demande de moyens ?

A

► l’adresse est mentionnée à la première demande de moyens. Elle peut l’être également dans la demande de moyens suivante s’il est nécessaire de définir une autre adresse d’accès des secours ou une zone de déploiement initial

► le groupe horaire : pour les demandes de dispositif de relève, de surveillance ou de déblai (délai deux heures minimum)

► le motif : uniquement pour les services publics et lors des demandes d’engins et/ou matériels spéciaux autres que pour feu

► les moyens médicalisés et les moyens de transport non médicalisés type AASC, VSAV… prennent respectivement les appellations : « équipes médicales » et « équipes SSUAP » (éventuellement à 2

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24
Q

En quoi consiste la transmission d’un message d’ambiance ?

A

Il est émis systématiquement en phonie sans procédure ni formalisme particulier.

Il consiste pour le COS, ou pour un de ses supérieurs dans la chaîne de commandement opérationnelle, à décrire succinctement la situation telle qu’elle est constatée, ainsi que son évolution probable : il est une réponse instantanée aux questions :

  • « de quoi s’agit-il ? »
  • « quels sont les risques avérés ? »
  • si possible « quels sont les évolutions envisageables ? »

Il est important de rester factuel

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25
Q

Dans quels cas est passé un message d’ambiance ?

A

Il est passé dans les cas suivants :

► lorsqu’il s’agit d’alerter ou de rassurer rapidement le commandement sur une situation, de préférence dans les 10 min après s’être présenté, notamment après une appréciation « poursuivons reconnaissances » du COS
► en cas de situation ou d’évènement exceptionnel
* sur-accident
* attentat
* agression violente des secours
* impossibilité de passer un message classique dans les délais normaux
* nécessité d’informer rapidement le commandement et les autorités de tutelle d’un nouvel élément pouvant par exemple avoir des répercussions médiatiques

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26
Q

En quoi consiste le message de renseignement ?

A

Le message de renseignement présente la situation de l’intervention au moment de son émission. Il doit être court, bref, précis, sans verbiage et s’appuyer sur la MGO.

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27
Q

Quand est-ce qu’un message de renseignement doit-il être transmis ?

A

Il est obligatoirement transmis dans les cas suivants :

► pour toute intervention SSUAP arme blanche ou arme à feu.
► lorsque le motif de départ ou l’intervention concerne un feu, une explosion, une fuite de gaz ou présente un caractère NRBC
► lorsqu’un plan spécial est déclenché
► lorsque des moyens de renforcement ont été demandés (à l’exclusion des moyens de prompt secours), y compris des moyens médicalisés
► s’il y a présence d’une personnalité ou d’une haute autorité sur les lieux de l’intervention, qu’elle soit impliquée ou non
► lorsqu’il y a découverte d’une victime dont le décès est certain, y compris en présence de la police
► à partir de deux victimes sur l’intervention
► pour les CMA : 909 / 91718 / réquisition

Il est transmis par téléphone lorsqu’un détachement BSPP intervient hors du secteur Brigade, comme cela est prévudans le cadre des CIAM.

En cas de doute, le chef d’agrès conserve en dernier ressort toute latitude pour juger de l’opportunité de transmettre un message de renseignements.

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28
Q

A quelle fréquence les messages de renseignement doivent-ils être émis ?

A

Le 1er message est transmis au plus vite par le COS, idéalement dans les 15 min après la présentation du 1er engin sur les lieux de l’intervention. Ce délai peut être porté à 30 min si un message d’ambiance est transmis entre temps.

Pendant les phases actives, le délai entre 2 messages ne doit en principe pas dépasser 45 min. Cependant, après les phases actives, le délai peut être porté à 90 min.

Pour les interventions exceptionnelles en raison de leurs enjeux politico-médiatiques, la fréquence des messages pourra être augmentée afin de renseigner au plus vite les autorités de toute évolution de situation (victimes, difficultés, risques, menaces…).

Pour les interventions de longues durées, les messages seront passés lors de tout changement d’équipe de surveillance, de déblai ou au moment des rondes.

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29
Q

Contexture générale premier message de renseignement

A

► nature et importance
► adresse exacte (y compris l’étage)
► destination et nombre d’étages du bâtiment
► mesures prises ou en cours par les SP
► dénombrement terrain provisoire
► services publics et spécialisés et autorités
► incidence prévisible de l’évènement
► appréciation du COS sur l’évolution prévisible de la situation :
* si la situation présente un risque prévisible d’extension du sinistre et/ou de danger pour les personnes, il termine son message par l’appréciation : « poursuivons reconnaissances »
* sinon, il transmet l’appréciation « reconnaissances en cours » qui correspond également à une phase incontournable de la MGO

30
Q

Contexture autres messages de renseignement ?

A

Ils décrivent l’évolution de la situation et complètent les renseignements déjà transmis, notamment pour ce qui concerne :

► la description sommaire des locaux concernés (destination ou usage, dimensions, volume…)
► les moyens hydrauliques en manœuvre ou en attente=
► le nombre de sauvetages et/ou de mises en sécurité effectués et comment ils ont été réalisés
► les dénombrements terrain successifs
► les difficultés rencontrées et les dangers spéciaux qui subsistent
► les services publics (UMH, AASC, SDIS, SSLIA, ENEDIS, police, CRS…), ainsi que les autorités (préfets et élus) présentés à telle heure ou sur les lieux

31
Q

Message de déplacement

A

Lorsqu’un engin effectue un transport sanitaire, le chef d’agrès transmet un message par STATUS, dès lors qu’il se déplace vers l’hôpital et dès qu’il le quitte.

En mode dégradé, il le transmet en phonie.

32
Q

Message de disponibilité

A

Tout engin qui quitte le lieu d’une intervention et qui est en état opérationnel doit se rendre « disponible » sans délai dès lors qu’il se trouve sur son secteur d’intervention. À cet effet, le chef d’agrès transmet la disponibilité de son engin par STATUS.

En mode dégradé, il la transmet en phonie, « en l’air ».

Le stationnaire du PVO territorialement compétent accuse réception de la disponibilité de l’engin et effectue la mise à jour correspondante.

33
Q

Qui est responsable de rentrée ?

A

Dès son retour au centre de secours, le chef d’agrès passe son moyen « rentré » par STATUS ou effectue sa mise à jour dans ADAGIO.

Le message de rentrée est rédigé sous la responsabilité du COS. Pour cela, il fait obligatoirement compléter la main courante opérationnelle ADAGIO par le stationnaire du PVO territorialement compétent avant de clôturer son opération.

En mode dégradé, ce message est rempli sur le cahier de départ des secours.

34
Q

Contexture message de rentrée

A

Il a la contexture suivante :

❶ utilisation des moyens et actions menées par les sapeurs-pompiers

❷ victimes :
► pour les victimes civiles, préciser : nom, prénom, âge, sexe, nationalité (pour les étrangers), catégorisation, vecteur de transport, destination hospitalière ou laissé sur place
► pour les victimes militaires et les forces de l’ordre, préciser : grade, nom, prénom, n° d’incorporation ou matricule, unité de rattachement, catégorisation, vecteur de transport, destination hospitalière ou laissé sur place
❸ moyens de secours privés utilisés : RIA, extincteur, seau d’eau, colonne sèche ou humide, hydrant, en précisant s’ils ont été mis en œuvre avant ou après l’arrivée des secours de la Brigade, bon samaritain présenté avant l’arrivée des secours
❹ matériels laissés sur place
❺ relèves et première ronde prévues (liste non exhaustive qui peut être complétée par la suite, jusqu’à la clôture de l’opération)
❻ cause supposée
❼ description des dégâts provoqués par les SP
❽ difficultés particulières rencontrées ou anomalies de situation (quelle qu’en soit la nature) ayant généré :
► un délai significatif de présentation à la victime et donc un décalage important avec l’heure de présentation à l’adresse (agression des secours lors de l’accès à la victime, accès fermée (porte blindée), cheminement complexe…)
► un délai significatif de présentation à l’adresse d’intervention (circulation dense…)
► l’inaccessibilité des moyens de secours à intervenir lors d’une opération (stationnement sauvage sur voie échelle, encombrement des puits d’accès…)
► une situation anormale (refus de l’IAO à signer la fiche bilan…)

Toute difficulté particulière rencontrée doit être suivie de la rédaction d’un signalement au service concerné.

Si refus de prise en charge d’une victime par un SAU :

► A : heure initiale d’arrivée au SAU et préciser lequel

► B : motif du refus de prise en charge en mentionnant la qualité et le nom de l’auteur du refus.

► C : nouveau SAU de destination le cas échéant.

► D : heure de départ du SAU où le patient a été admis.

► E : dégradation de l’état de la victime le cas échéant.

Renouveler les lignes B et C en cas de refus multiples.

❾ signalements auprès du bureau prévention et/ou des services publics.

Les renseignements transmis ne doivent être précédés que du numéro de la rubrique. Seules les rubriques apportant un renseignement sont transmises.

35
Q

Rubrique minimum message de rentrée rapport principal :

A

Le rédacteur du rapport principal exploite les rubriques du message pour la totalité des engins ayant participé à l’intervention. Le message comporte alors au minimum les rubriques : ❶, ❻ et ❼.

36
Q

Rubrique minimum message de rentrée rapport secondaire :

A

Dans les autres CS, les rédacteurs des rapports secondaires ne renseignent plus la MCO avec les rubriques ❶, ❷ et ❹. Ils s’assurent uniquement de la concordance entre leurs actions et le message de rentrée du rapport principal.

37
Q

Dans quels cas SINUS doit-il être mis en œuvre ?

A

Le système d’information numérique standardisé (SINUS) est mis en œuvre :

► dès le déclenchement d’un plan rouge, d’un plan rouge alpha ou d’un plan jaune
► systématiquement lorsque la notion d’attentat est confirmée
► sur décision du COS (dès la présence de 5 victimes)

38
Q

Cas particulier messages

A

L’ensemble des règles précisées précédemment régit le fonctionnement de la messagerie opérationnelle.

Toutefois, certaines interventions majeures en raison de leur environnement particulier (médiatique - politique - attentat - prise d’otages…) imposent une remontée d’information immédiate à l’EMO sans pour autant strictement suivre les règles énoncées supra.

Les COS ont donc la possibilité, en complément du cadre réglementaire, de contacter directement l’officier de garde CO pour décrire plus clairement une situation extrême et transmettre de façon informelle des informations qui facilitent la compréhension du contexte de l’intervention. Les éléments relatifs à la sécurisation de la zone d’intervention, à l’agression des secours ou à la présence d’autorités en font intégralement partie. L’utilisation du téléphone portable apparait comme le moyen le mieux adapté pour ce contact.

Toute remontée d’information par téléphone au CSO en provenance du terrain doit être incrémentée dans la MCO.
Dans ce cas, un compte rendu doit être réalisé au CO par celui-ci.

39
Q

Qui peut modifier les règles d’engagement ?

A

En cas d’évènement prévisible ou fortuit pouvant avoir un impact défavorable sur la couverture opérationnelle, le Général commandant la BSPP ou son représentant (commandant opérationnel Brigade, colonel de garde ou officier de garde CO) peut déroger aux règles d’engagement définies dans le présent règlement, avec ou sans anticipation sur tout ou partie du secteur de compétence de la Brigade. Cette mesure conservatoire vise à préserver une couverture opérationnelle minimale. Certaines interventions peuvent être alors délestées et la couverture opérationnelle peut être dégradée.

40
Q

Quelles sont les adaptations de la couverture opérationnelle ?

A

Délestage

Le délestage est une décentralisation de la mise en œuvre de détachements pour faire face à un afflux massif des demandes de secours en rapport avec un évènement particulier (sociétal, météorologique technologique…). Il correspond à une déconcentration de la responsabilité de la gestion et de la mise en œuvre des moyens de secours associés à ce mode d’organisation opérationnelle. Pour autant, les liens de subsidiarité entre stations directrices restent effectifs. La procédure INU permet via le SI ADAGIO d’assurer la gestion des opérations délestées.

Adaptation

La dégradation est une minoration adaptée de certains détachements pour des motifs d’alerte ciblés.

Elle permet de garantir une couverture opérationnelle minimale lors de phénomènes contingents.

Le mode dégradé reste centralisé et est géré uniquement par le CO. Ce mode de fonctionnement se traduit par la réduction automatisée de détachements prédéfinis dans la grille de départ des secours ou par la réduction manuelle de détachements préconstitués.

41
Q

Couverture d’un secteur démuni d’engins

A

Si un ou plusieurs secteurs risquent de rester démunis d’engins de secours pendant un certain temps, le CSO ou le CO selon le cas, renforce les centres de secours de la zone intéressée, de façon à préserver la couverture en moyens de première intervention.

La désignation d’un engin se fait par le biais d’un ordre de départ qui précise le LSO de rattachement.

L’ordre de départ émane du CSO jusqu’à concurrence de la couverture d’un volume équivalent à un renfort incendie.

42
Q

Par qui est traitée une montée en garde au sein d’un groupement ?

A

L’ordre de départ est transmis par le CSO.

43
Q

Par qui est traitée une montée en garde inter-groupement ?

A

L’ordre de départ est transmis par le CO.

44
Q

Status avant une montée en garde

A

L’opérateur place le MMA « indisponible montée en garde», avant de rédiger l’ordre de départ. À la réception de l’ordre de départ, le stationnaire du PVO sonne son MMA, qui se rend sans délai au LSO désigné.

45
Q

Que fait le chef d’agrès une fois arrivée au CS bénéficiaire ?

A

À son arrivée au sein du PVO renforcé, le chef d’agrès rédige son rapport de sortie de secours simplifié après que son moyen ait été mis disponible.

46
Q

Que doit faire le CS bénéficiaire de la montée en garde ?

A

Le centre de secours bénéficiaire doit mettre à la disposition du chef d’agrès un jeu de plans parcellaires et, dans la mesure du possible, un sapeur-pompier ayant une bonne connaissance du secteur

47
Q

DÉPART DANS LE CADRE D’UNE PROCÉDURE : « DÉPART SUR ADRESSE INEXISTANTE »

A

Dans ce cas de figure une attention particulière est demandée à la lecture de l’adresse de l’intervention sur la fiche de l’ordre de départ.

Celle-ci est positionnée après le numéro d’intervention et le motif de 1 er départ

48
Q

Qui accorde les indisponibilités ?

RÈGLES SUR LES INDISPONIBILITÉS

Le présent titre a pour objet de fixer des règles visant à encadrer les indisponibilités d’engins.
Elles sont destinées à éviter un déséquilibre dans la couverture opérationnelle du secteur Brigade.

A

En règle générale, il reviendra au CSO d’accorder les indisponibilités en fonction de la situation opérationnelle et des directives Groupement et Brigade.

En revanche, la gestion de la couverture opérationnelle et l’application des principes fondamentaux précités imposent une coordination centralisée des indisponibilités. Cette mission est attribuée au bureau opérations préparation opérationnelle qui, avec l’appui actif du CO et des CSO, dispose d’une vision globale de l’ensemble de la couverture opérationnelle Brigade et des activités en cours.

49
Q

Quelle est la mission du CO concernant la couverture opérationnelle ?

A

Le centre opérationnel a pour mission de garantir une couverture opérationnelle optimale sur l’ensemble du secteur Brigade.
À ce titre, lorsque les évènements l’exigent et qu’un CSO n’a pas pris les mesures correctives adéquates, l’officier de garde CO peut à tout moment ordonner à un CSO de remettre en service tout ou partie des MMA indisponibles.

50
Q

Quels sont les libellés généraux ?

A

► disponible
► indisponible modification / création d’engin
► indisponible premier départ
► rentré (disponible au CS)
► en instance de départ
► parti
► sur les lieux (se présente)
► indisponible transit
► indisponible remise en condition matériel/personnel – désarmement
► indisponible montée en garde
► présentation spontanée
► indisponible autre départ
► indisponible omnibus
► indisponible délestage (reconnaissance / intervention en cours / intervention en attente)

51
Q

Quels sont les libellés liés à la préparation opérationnelle

A

► indisponible instruction – sport
► indisponible EPO
► indisponible SIPO

52
Q

Quels sont les libellés liés aux contraintes techniques et RH

A

► indisponible raison mécanique hors LSO
► indisponible raison mécanique au LSO
► indisponible raison mécanique NTI1
► indisponible raison mécanique NTI2

53
Q

RÈGLES D’INDISPONIBILITÉS

A

En règle générale, dès lors que le pourcentage de la couverture opérationnelle par catégorie d’engins majeurs (EP,MEA, VLR, VSAV) du groupement passe sous le seuil de 50 %, le CSO doit prendre les mesures pour remettre en service au plus vite tout ou partie des engins de la catégorie concernée, puis demander si nécessaire l’appui du CO (montée en garde, dégradation…).

54
Q

QUID indisponibilités à la manœuvre de la garde

A

► les VSAV bénéficient d’un créneau d’indisponibilité journalier obligatoire de 30 min
► les EP bénéficient d’un créneau d’indisponibilité journalier obligatoire de 60 min
► en règle générale, les autres engins ne bénéficient pas de créneaux d’indisponibilité. Toutefois, lorsque les conditions de préparation opérationnelle l’exigent (sécurité, établissements longs, séances d’instruction spécifiques et complémentaires…), le BOPO peut autoriser l’attribution de créneaux d’indisponibilités supplémentaires
► chaque groupement doit repartir judicieusement l’ensemble des créneaux d’indisponibilité pour chaque centre de secours en portant une attention particulière aux secteurs limitrophes avec un autre GIS afin de maintenir une couverture opérationnelle équilibrée sur l’ensemble de la Brigade

55
Q

QUID indisponibilités liées aux exercices

A

► les exercices de niveau Brigade et groupement sont planifiés et suivis par BOPO/PREPAOPS
► pour tous les exercices, le CSO (exercice de niveau compagnie et groupement) ou le BOPO (exercice de niveau Brigade) crée un ordre de départ

56
Q

QUID indisponibilités liées aux activités physiques

A

► seul l’entraînement piscine (piscine du secteur) peut justifier d’une indisponibilité 1er départ

57
Q

Quand l’écoute radio est-elle obligatoire ?

A

L’écoute radio est obligatoire lorsque l’engin de 1re intervention est en dehors de sa base opérationnelle et qu’il est susceptible d’être contacté. Elle est effectuée a minima par un personnel dédié présent en permanence dans l’engin (ou dans l’un des engins lorsqu’ils sont groupés pour une activité) et apte à prendre un appel.

58
Q

Quels sont les délais de départ des secours ?

A

Les délais de départ des secours sur intervention doivent tendre à :

► lorsque l’engin est « disponible », qu’il soit dans son LSO ou en écoute radio, l’équipage doit être en mesure de décaler en moins de 3 min le jour et 4 min la nuit
► lorsque l’engin est « indisponible premier départ », qu’il soit dans son LSO ou en écoute radio (piscine, instruction…) l’équipage doit être en mesure de décaler en moins de 6 min

59
Q

Durée indisponibilité remise en condition Matériel/personnel – Désarmement

A

En règle générale, l’indisponibilité liée à l’armement ou au réarmement d’un engin ne doit pas dépasser l’heure

60
Q

Qui établit la liste de service ? quand est-elle affichée et arrêtée ?

A

Établie quotidiennement par l’adjudant de compagnie ou par le chef de centre de secours selon le cas, la liste de services définit numériquement, nominativement et par fonction, la composition de la garde d’incendie et de secours, ainsi que les différents services du jour. Elle est arrêtée et affichée au moins 48 heures à l’avance.

Elle est le référentiel du sergent de jour, qui doit connaître en permanence la situation du personnel et des engins de son CS. Toute modification ne peut y être portée que par le rédacteur ou par le sergent de jour.

61
Q

Que doit figurer sur le cahier de main courante ?

A

Doivent y figurer :

► la date complète, inscrite à chaque changement de journée
► les messages à caractère opérationnel, émis et reçus (les messages à caractère non opérationnel, s’il est décidé de les conserver au PVO, doivent l’être dans un document distinct)
► les indisponibilités et remises en service d’engins, de matériels ou de réseaux opérationnels
► les prises de service successives de l’OGC, du chef de garde, du sergent de jour et du stationnaire, qu’ils soient à leur compte ou en remplacement
► les changements de garde non programmés
► les modes de fonctionnement dégradés et les défaillances des systèmes
► les contacts avec les stations directrices associées

La main courante est visée par le stationnaire en titre, le sergent de jour et le chef de garde descendants avant qu’ils ne quittent leur garde.

62
Q

Spécificité CARNET DE MESSAGES ET DE RENSEIGNEMENTS

A

BOPE 8
En principe, en dehors de l’activation d’un poste de commandement, les messages sont transmis directement par le COS.

Toutefois, leur retranscription est parfois nécessaire, en particulier lorsque :

► il s’agit d’un feu ou d’une explosion
► l’opération nécessite des messages de renseignements successifs
► la configuration des lieux impose la retransmission par une tierce personne
► une relève entre commandants des opérations de secours est prévisible

Enfin, au verso, ce document permet de recueillir tous les éléments nécessaires à la rédaction du rapport, selon les indications du chef d’agrès.

63
Q

Qu’est-ce que le plan triptyque ?

A

Le plan triptyque est un document destiné à aider les premiers intervenants dans un ÉTARÉ à en appréhender les difficultés.

Élaboré pour tout ÉTARÉ 3, il est cependant soumis à l’approbation d’une commission pour les autres niveaux.

La désignation des CS 1, 2 et 3 est réalisée par le MRSA d’ADAGIO.

64
Q

La répartition est d’un exemplaire dans :

A

► EP 1 du CSTC
► EP 2 ou VLR CDG du CSTC
► PVO du CSTC
► EP 1 des CS 1, 2 et 3
► EP 2 ou VLR CDG des CS 1, 2 et 3

65
Q

Les documents dans tous les engins en service dans les centres de secours

A

► un plan 300 communes
► bons IMP/ST 25 : prise en charge provisoire de matériel
► bons IMP/30 bis : mouvement de matériel

66
Q

Les documents dans tous les engins de première intervention SSUAP

A

► les documents de l’écritoire « fiche bilan »
► BOPE 30 : fiche médicale de l’avant – LOT SINUS
► BOPE 31 : cahier de liste intermédiaire – LOT SINUS

67
Q

Les documents dans tous les engins-pompe

A

► les plans parcellaires + secteurs limitrophes
► le répertoire des indisponibilités des PEI et des rues barrées
► les documents de l’écritoire « fiche bilan »
► les documents de la « sacoche opérationnelle EP »

68
Q

Les documents opérationnels de l’écritoire fiche bilan

A

► BOPE 7 : déclaration de refus de soins ou de transport
► BOPE 23 : information patient « ambulance privée »
► BOPE 24 : imprimé d’autorisation d’accès dans les ambassades
► BOPE 25 : fiche de suivi des intervenants en zone de remise en condition
► BOPE 26 : fiche bilan
► BOPE 27 : fiche de cas de non contact à la coordination médicale
► BOPE 28 : fiche accouchement
► BOPE 28 BIS : attestation d’accouchement
► BOPE 29 : cahier arrêt cardiaque
► BOPE 29 BIS : fiche d’utilisation d’un DAE civil
► BOPE 32 : planche d’aide à la communication
► BOPE 33 : attestation d’intervention par un équipage BSPP
► BOPE 34 : le traumatisme crânien léger de l’adulte
► BOPE 34 BIS : le traumatisme crânien léger pédiatrique

69
Q

Les documents de la sacoche opérationnelle EP

A

► BOPE 8 : carnet de message et de renseignements
► BOPE 12 : imprimé de fin d’intervention SNCF-RATP
► BOPE 12 BIS : imprimé de fin d’intervention BSPP-GRDF
► BOPE 13 : imprimé de demande de rapport d’intervention
► BOPE 23 : information patient « ambulance privée »
► BOPE 24 : imprimé d’autorisation d’accès dans les ambassades

70
Q

Quels sont les documents du service incendie ?

A

Liste de service
Cahier de départ des secours
Listing voies et etare du secteur
Fiche de départ des secours
Cahier de main courante
Carnet de message et de renseignement
Plan triptyque
Autres documents à bord des engins