w4 Flashcards

1
Q

Quels sont les différents groupes d’intérêts ?

A

Les clients, Les collaborateurs, Les actionnaires, Les organisations de branche, Confédération/canton/commune, Opinion publique/médias/ONG, Concurrence, Fournisseurs

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2
Q

Quels sont des exemples de besoins/exigences pour chaque groupe d’intérêts ?

A
  • Clients: Produits adaptés aux besoins, qualité élevée, primes conformes au marché, qualité des prestations.
  • Collaborateurs: Rémunération conforme aux prestations, travail intéressant, perspectives professionnelles, sécurité.
  • Actionnaires: Placement des capitaux sûrs et rémunérateurs, rendement, droit de regard.
  • Organisations de branche: Respect des règles et des normes, bonne gouvernance.
  • Confédération/canton/commune: Conditions cadres, contribution financière.
  • Opinion publique/médias/ONG: Influence et modification de l’opinion sociale.
  • Concurrence: Règles à respecter, transparence, dynamique de concurrence.
  • Fournisseurs: Échanges, coopération.
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3
Q

Quels conflits d’intérêts pourriez-vous citer entre les groupes d’intérêts ?

A

Collaborateurs vs Actionnaires : Demande de salaires plus élevés par les collaborateurs, entraînant une diminution des bénéfices pour les actionnaires. Confédération vs Organisation de Branche : Nouvelle législation imposée par la Confédération pouvant entrer en conflit avec la défense des droits acquis par l’organisation de branche.

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4
Q

Citez les différents processus du Management de St. Gall et expliquez en quelques mots leurs objectifs.

A
  • Processus de management : Respect des normes et des règles de l’entreprise.
  • Processus commerciaux : Créer un avantage pour le client. Participation directe à la chaîne de création de valeur.
  • Processus de soutien : Soutien aux processus visant à fournir des prestations. Participation indirecte à la chaîne de création de valeur.
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5
Q

Qu’est-ce qui distingue les missions de la conduite d’entreprise au plus haut niveau des autres tâches de management de la compagnie ?

A
  • Décisions fondamentales : Définition des objectifs, gestion des ressources, élaboration de la stratégie à long terme.
  • Influence majeure : Impact sur le succès ou l’échec de l’entreprise.
  • Alignement des niveaux inférieurs : Coordination des objectifs supérieurs, directives, moyens, et règles.
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6
Q

Une entreprise peut-elle influencer activement les attentes des stakeholders ? Si oui, comment ? Si non, pourquoi ?

A

Non, une entreprise ne peut pas influencer activement les attentes des parties prenantes de manière directe. Cependant, elle peut répondre de manière satisfaisante en respectant les règles du secteur, en payant des salaires justes et en communiquant ouvertement avec les médias.

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7
Q

Les processus commerciaux d’une compagnie d’assurances peuvent être répartis entre activités primaires et secondaires. Énumérez les activités primaires des processus commerciaux d’une compagnie d’assurances. Qu’est-ce qui les distingue des activités secondaires ?

A

Activités primaires : Développement des produits, souscription, prise en charge/transformation du risque, gestion des actifs, gestion des sinistres, marketing. Distinction des activités secondaires : Les activités secondaires soutiennent les activités primaires tout au long de la chaîne de création de valeur.

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8
Q

Quels sont les effets positifs…
A) d’une gouvernance d’entreprise mise en œuvre de manière cohérente ?
B) d’un engagement éthique sérieux ?
C) d’une culture d’entreprise forte ?

A

A) Gouvernance d’entreprise cohérente : Climat de confiance, levée des doutes sur compétences, droits, rapports de force, et contrôle des activités.

B) Engagement éthique sérieux : Engagement strict vis-à-vis des stakeholders, grande crédibilité, impact bénéfique sur l’image.

C) Culture d’entreprise forte : Sentiment de cohésion et de stabilité, fierté d’appartenir à l’entreprise, impact positif sur l’image externe.

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9
Q

Comment rédiger une charte pour que son message soit reçu par ses lecteurs ? Citez deux critères formels et deux critères liés au contenu.

A

Critères formels : Charte concise, langage clair et intelligible. Critères liés au contenu : Contenu crédible et concret, réaliste et tourné vers l’avenir.

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10
Q

Citez les deux concepts stratégiques les plus connus et expliquez-les par deux exemples ?

A

Stratégie de croissance : Pénétration du marché, développement du marché, développement de produits, diversification. Stratégie concurrentielle (selon E. Porter) : Domination par les coûts, différenciation, niche.

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11
Q

Expliquez en deux/trois phrases maximum ce qu’est une stratégie.

A

Grandes orientations, priorités, plans d’action, affectation des ressources, objectifs valables.

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12
Q

Pourquoi l’analyse sectorielle est-elle importante ?

A
  • Analyse PESTEL : Facteurs externes influençant le secteur (politique, économique, socioculturel, technologique, environnemental, légal).
  • Analyse des Cinq Forces de Porter : Évaluation de la concurrence et des forces du marché.
  • Analyse SWOT : Identification des forces, faiblesses, opportunités et menaces.
  • Analyse de la Concurrence et de la Demande : Comprendre les acteurs, les parts de marché, et les tendances du marché.
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13
Q

Que montre l’analyse de la chaîne de création de valeur ?

A

Activités déroulées, efficience économique, efficacité client/marché, potentiel d’amélioration, coordination, externalisation.

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14
Q

Que montre l’analyse de portefeuille ?

A

Critères stratégiques, avantages concurrentiels, attractivité des marchés, évaluation de croissance, centres d’activité stratégiques.

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15
Q

Différences entre stratégie commerciale et stratégie d’entreprise ?

A

Stratégie commerciale :
- Exploitation maximale du marché,
- création d’avantages concurrentiels,
- orientation externe.
-
Stratégie d’entreprise :
- Accroissement durable de la valeur,
- compétences clés,
- synergies,
- effets démultiplicateurs,
- stratégies de croissance,
- coopération,
- orientation interne.

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16
Q

Que signifie que les centres d’activités stratégiques (CAS) sont « des entreprises dans l’entreprise » ?

A

CAS :
- Combinaison produit/marché autosuffisante,
- segments de clientèle et situations de concurrence spécifiques,
- stratégie concordante.
-
Contribution : CAS apportent une contribution indépendante aux résultats de l’entreprise.

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17
Q

Combien de temps une stratégie est-elle valable ?

A

Durée de validité : Une stratégie peut rester valable pendant de nombreuses années. Revue : Elle peut perdre rapidement de son actualité et devoir être revue selon l’évolution du secteur.

18
Q

Pourquoi les canaux alternatifs accroissent la pression sur le service externe et quelles sont les conditions techniques à respecter pour se développer dans ses canaux de vente ?

A
  • Standardisation des produits : Simplifie la comparaison et augmente la concurrence.
  • Clients sensibles au prix : Augmentation de la pression pour offrir des prix compétitifs.
  • Technologie de l’information : Nécessité d’infrastructures techniques pour gérer les canaux alternatifs.
  • Produits complémentaires : Importance de proposer des offres complémentaires pour se différencier.
  • Interruption de la chaîne de création de valeur : Impact potentiel sur la fluidité et l’efficacité des ventes.
19
Q

Concernant les produits complémentaires, quelles sont les stratégies pouvant être appliquées au niveau des produits et de l’infrastructure de l’entreprise ?

A
  1. Interruption de la chaîne de création de valeur : Réalignement des processus pour optimiser la création de valeur.
  2. Industrialisation des produits d’assurances : Augmentation de l’efficacité et de la standardisation des produits.
  3. Réseaux sociaux : Utilisation pour promouvoir et renforcer l’interaction avec les clients.
  4. Industrialisation verticale : Intégration de différentes étapes de production pour réduire les coûts et améliorer le contrôle de la qualité.
20
Q

Qu’entend-on par la chaîne de création de valeur ?

A
  • Définition : Ensemble des activités de l’entreprise conçues, créées, exécutées, vendues ou soutenues par un service.
  • But : Analyser et organiser les activités de l’entreprise afin d’organiser les processus pour offrir un avantage compétitif.
21
Q

Comment est constituée la chaîne de création de valeur ?

A
  1. Activités primaires :
    - Réassurance,
    - Développement des produits,
    - Souscription ou exécution du contrat,
    - Prise en charge du risque et transformation du risque,
    - Gestion des actifs,
    - Gestion des sinistres,
    - Marketing,
    - Distribution, conseil et suivi de la clientèle.
  2. Activités secondaires :
    - Gestion du portefeuille,
    - Technologie de l’information,
    - Conduite de l’entreprise,
    - Controlling,
    - Gestion du personnel,
    - Finance et comptabilité.
22
Q

En quoi consiste une planification top-down/bottom-up dans la planification de l’entreprise ?

A
  • Alignement des priorités stratégiques : Intégration des stratégies de l’entreprise avec les domaines fonctionnels.
  • Combinaison d’approches : Approches top-down (de la direction vers la base) et bottom-up (de la base vers la direction).
  • Plans opérationnels : Mise en œuvre des stratégies à travers les plans d’actions.
23
Q

Comment la distribution s’intègre-t-elle dans l’organisation de l’entreprise ?

A
  1. Subordination au marketing : En général, la vente est subordonnée au marketing.
  2. Domaine distinct dans les assurances : Dans le secteur des assurances, la vente est souvent considérée comme un domaine autonome, de niveau égal ou supérieur au marketing.
24
Q

Selon vous, cela vaut-il la peine de récupérer des clients perdus ? Justifiez votre réponse en trois phrases au moins.

A
  • Coût moindre : Récupérer des anciens clients est généralement moins coûteux que d’en acquérir de nouveaux.
  • Analyse des pertes : Une analyse approfondie des raisons de la perte de ces clients peut révéler des opportunités d’amélioration.
  • Mesures individuelles : Les clients peuvent souvent être récupérés par des actions ciblées et personnalisées.
25
Q

Quelles sont les conséquences des multicanaux ?

A
  • Décision stratégique nécessaire.
  • Concurrence entre les canaux et choix de canaux.
  • Règles et dispositions claires entre les canaux.
  • Technologie est le moteur de cette évolution.
  • Information et formation des collaborateurs.
  • Adaptation des processus/standardisation.
26
Q

Pourquoi remettre en cause certains canaux ?

A

Performances insuffisantes. Coûts élevés. Qualité mauvaise du service. Réclamations. Impossibilité de trouver des partenaires. Adaptation du produit. Conditions de rémunération/marges.

27
Q

Quels sont les avantages pour les assureurs avec les canaux de distribution ?

A
  • Optimisation des processus informatiques.
  • Accessibilité plus intense.
  • Communication et formation.
  • Intensification du potentiel.
  • Propositions d’autres produits.
  • Prestations plus larges et plus étendues.
28
Q

Quels sont les éléments clés pour garder les clients dans les canaux de distribution ?

A
  • Notoriété de la marque / Branding,
  • Offres multicanaux,
  • Produits novateurs,
  • Produits bon marché.
29
Q

Que signifie l’opérationnalisation des objectifs ?

A

La concrétisation des objectifs (vérifiabilité et mesurabilité) est appelée « opérationnalisation ».

30
Q

Comment opérationnaliser les objectifs ?

A

L’opérationnalisation s’effectue :
- base des cinq questions (quoi, combien, à qui, quand, où)

ou
- SMART (spécifiques, mesurables, ambitieux, réalistes, définis dans le temps).

31
Q

Citez deux prestations complémentaires classiques des compagnies d’assurances souvent fournies par l’intermédiaire d’entreprises partenaires.

A
  • Prestations dans le domaine des techniques de sécurité (protection contre l’incendie, les effractions),
  • Services bancaires.
32
Q

Qu’entend-on par « CRM collaborative » ?

A
  • Coordination des tâches,
  • collaboration entités (marketing, distribution, service à la clientèle),
  • accompagnement intégré des clients.
33
Q

Quelles sont les raisons qui poussent un assureur à investir dans le domaine de la prévention ? Citez-en trois.

A
  • Diversification difficile à imiter,
  • différenciation avec marges supérieures,
  • réduction des sinistres.
34
Q

Quelles mesures de prévention peut-on mettre en place pour des assurés qui ne se sentent pas malades et ne sont pas malades ?

A

Objectif : L’assuré ne se sent pas malade et n’est pas malade.
Exemple : Mode de vie sain
- Abonnement gratuit à un club de gymnastique,
- campagnes de prévention,
- réduction de prime pour la pratique régulière d’un sport.

35
Q

Quelles actions ou campagnes peuvent être proposées pour des assurés présentant des notions de maladie telles que l’hypertension ou le diabète de type II ?

A

Objectif : Présence de notions de maladie
(ex : hypertension, diabète de type II).
Exemple :
- Campagnes de sensibilisation,
- cours de fitness à tarif réduit,
- promotion d’une alimentation saine.

36
Q

Comment peut-on réduire les séquelles ou prévenir les rechutes après une maladie déclarée comme le cancer ?

A

Objectif : Réduction des séquelles ou rechutes après une maladie (ex : cancer).
Exemple :
- Méthodes thérapeutiques alternatives,
- conseils en alimentation pour prévenir des rechutes.

37
Q

Quelles stratégies peuvent être mises en place pour des patients qui se sentent malades sans qu’une maladie soit déclarée ?

A

Objectif : Se sentir malade sans maladie déclarée.
Exemple :
- Prise en charge des frais pour méthodes thérapeutiques douces,
- prévention de la surmédication.

38
Q

Que signifie la formule CORR dans le traitement des objections ?

A

La formule CORR aide à surmonter les objections :
C = Apporter toute sa Compréhension,
O = Transformer l’Objection en question,
R = Répéter l’objection sous forme de question.

39
Q

Quels sont les trois instruments principaux qui influencent la politique de risques de l’entreprise d’assurance ?

A

Les trois instruments principaux sont :
- La gestion des risques,
- La politique de souscription,
- La politique de placement.

40
Q

Quel est le processus de gestion des risques ?

A

Le processus de gestion des risques comprend les étapes suivantes :
- Identifier les risques,
- Évaluer les risques,
- Maîtriser les risques,
- Contrôler les risques.