UE 8 Gamétogenèse Flashcards
La méiose est la suite de deux mitoses: une … puis une ….
Une mitose réductionnelle et la deuxième équationnelle
Combien de temps dure la prophase I ?
24 jours chez l’homme et jusqu’à 50 chez la femme
Étapes de la prophase
Leptotène, zygotène, pachytène, diplotène
Définition leptotène
Le stade leptotène est caractérisé par le début de la condensation des chromosomes (sous la forme de filaments nucléaires, fins, longs, enchevêtrés, mais dont les chromatides soeurs ne sont pas encore visibles).
Définition zygotène
Le stade zygotène est caractérisé par le synapsis (= l’appariement ) progressif des chromosomes homologues.
Définition pachytène
Le stade pachytène est caractérisé par l’existence de bivalents (= paires de chromosomes homologues réunis sur toute leur longueur par le complexe synaptonémal) ou tétrades.
Définition diplotène
Le stade diplotène est caractérisé par le début de la séparation des chromosomes homologues (désappariement ou désynapsis).
Le plan équatorial passe …
par l’ensemble des chiasmata de tous les bivalents
La prophase II est elle précédée d’un phase S ?
Non
Protéines du complexe synaptonemal
SYCP1 (élément central) et SYCP2, SYCP3 (éléments latéraux )
Rôle des cohésines
Solidarise les chromatides soeurs
À quel moment les cohésines sont elles dégradées ?
Anaphase II
Protéine responsable des CDB
SPO11
Le complexe synaptonémal est constitué par de l’ARN non traduit.
Faux
Le complexe synaptonémal connecte entre eux des chromosomes au cours de la prophase de la première
division méiotique.
Vrai
Le complexe synaptonémal se reconstitue au cours de la seconde division méiotique.
FAUX. Le crossing-over ne se fait que lors de la méiose I.
Le complexe synaptonémal est visible sur des coupes histologiques colorées par l‘hématoxyline et l’éosine.
FAUX. Il est trop petit… pour le voir, il faut opter pour le MET !
La seconde division de la méiose est caractérisée par l’appariement des chromosomes homologues.
FAUX. Ceci concerne la méiose I.
La seconde division de la méiose est caractérisée par un échange de fragments de chromatides.
FAUX. Ceci concerne la méiose I.
La seconde division de la méiose est caractérisée par une disjonction chromatidienne et une réduction de la moitié de la quantité d’ADN
par cellule.
Vrai
La seconde division de la méiose est caractérisée par la formation d’au moins un chiasma par paire de chromosomes homologues.
FAUX. Ceci concerne la méiose I
La région pseudo-autosomique des chromosomes X et Y représente environ la moitié de l’ADN du chromosome Y.
FAUX. Elle ne représente que 5% du chromosome Y… et non 50%.
Concernant la région pseudo-autosomique des chromosomes X et Y :
Il ne s’y forme jamais de chiasma au cours de la méiose.
FAUX. On peut y obtenir un chiasma.
La région pseudo-autosomique des chromosomes X et Y est située à l’extrémité des bras courts des gonosomes.
VRAI
La région pseudo-autosomique des chromosomes X et Y porte des gènes qui ne sont exprimés que chez le mâle.
VRAI
Les inversions chromosomiques aboutissent rarement à la constitution d’un phénotype anormal.
Vrai
Les inversions chromosomiques peuvent conduire à la production de gamètes porteurs de duplications de régions
chromosomiques.
Vrai
Les inversions chromosomiques sont associées à un risque élevé de descendance anormale.
Vrai
Les inversions chromosomiques sont associées à un risque élevé d’avortements spontanés.
Vrai
Au stade préleptotène se produit une réplication d’ADN qui permet le déroulement
des 2 divisions méiotiques.
Vrai
La protéine SYCP3 (SYnaptonemal-ComPlex 3) est présente dans l’élément central
du complexe synaptonémal.
FAUX. Elle fait partie des éléments latéraux.
Chez la femme, les chromosomes homologues sont complètement appariés au stade
pachytène.
Vrai
Des cassures double-brin de l’ADN se produisent au stade leptotène.
VRAI. Elles sont liées à l’expression de Spo11.
Les aneuploïdies homogènes sont généralement déterminées par un accident de
non-disjonction chromatidienne survenu chez l’embryon.
FAUX. Cela se fait durant la méiose.
Les individus porteurs d’un syndrome de Klinefelter ont un risque statistique de 50 %
d’engendrer un descendant anormal.
FAUX. Puisqu’ils sont stériles.
L’absence de synapsis entre les chromosomes X et Y peut conduire à la production
de spermatozoïdes dépourvus de gonosomes.
Vrai
La division cytoplasmique des spermatocytes est inégale.
FAUX. Elle n’est pas inégale mais incomplète chez l’homme
Les cellules germinales primordiales sont haploïdes.
FAUX. Elles sont diploïdes.
Les gonocytes sont les précurseurs des spermatogonies chez l’homme et ceux des
ovocytes l chez la femme.
Vrai
Dans l’espèce humaine, les gonocytes possèdent chacun 44 chromosomes, incluant
2 chromosomes sexuels.
FAUX. 46 chromosomes !
Un spermatocyte ll possède 23 chromosomes, chacun constitué d’une seule
chromatide.
FAUX. Le spermatocyte II est le produit de la première division méiotique – il a donc 23 chromosomes avec chacun 2 chromatides.
Le complexe synaptonémal est constitué par des protamines.
FAUX. Les protamines sont l’équivalent des histones chez le spermatozoïde.
Le complexe synaptonémal contient des histones.
FAUX. L’histone permet la condensation de l’ADN.
Le complexe synaptonémal se forme durant la prophase de la première division méiotique.
Vrai
Le complexe synaptonémal permet l’appariement des chromatides soeurs.
FAUX. Il n’apparie pas les chromatides soeurs mais les chromosomes homologues.
Les phases de la méiose observées chez le foetus de sexe féminin sont : A- la prophase I. B- la métaphase I. C- la télophase I. D- la métaphase II. E- Autre réponse.
Réponse A
B- FAUX. Les gamètes restent bloqués en prophase I au stade dictyé.
C- FAUX. Les gamètes restent bloqués en prophase I au stade dictyé.
D- FAUX. Les gamètes restent bloqués en prophase I au stade dictyé.
La méiose féminine débute à partir de la puberté.
FAUX. Elle commence dès l’enfance.
La méiose féminine subit un blocage en prophase I.
Vrai
La méiose féminine s’achève au moment de la fécondation.
Vrai
La méiose féminine permet l’obtention de 2 gamètes fonctionnels, si on ne tient pas compte de la dégénérescence cellulaire
FAUX. Il n’y a qu’un seul gamète fonctionnel.
Les non-disjonctions chromosomiques au cours de la spermatogenèse sont corrélées au vieillissement des spermatozoïdes.
Faux
Les non-disjonctions chromosomiques au cours de la spermatogenèse sont à l’origine d’aneuploïdies.
VRAI. Le gamète qui récupère les deux chromosomes est triploïde et l’autre est
aneuploïde.
Les non-disjonctions chromosomiques au cours de la spermatogenèse aboutissent, lors de la méiose I, à la production quotidienne de 50% de spermatozoïdes déséquilibrés.
FAUX. Absolument pas. 50% de gamètes erronés supposerait un gros problème au
niveau de la reproduction… et de la pérennité de l’espèce humaine !
Les non-disjonctions chromosomiques au cours de la spermatogenèse peuvent concerner les gonosomes X et Y.
Vrai
Lors de la méiose, une seule réplication du génome suivie de quatre divisions permet
à une cellule diploïde de produire des gamètes haploïdes.
FAUX. La seule réplication est suivie de deux (et non de quatre) divisions.
La recombinaison méiotique, qui a lieu en prophase I, contribue à générer de la diversité génétique.
Vrai
Le crossing-over conduit à la formation de liens physiques entre les chromosomes
homologues qui sont indispensables à leur ségrégation correcte.
VRAI. Ces liens sont les chiasmata et ce sont eux qui sont alignés sur le plan équatorial durant la première division méiotique.
Le crossing-over inégal est un accident méiotique qui fait suite au synapsis de 2
autosomes non-homologues.
FAUX. Il s’agit de chromosomes homologues mal alignés.
Les évènements de recombinaison méiotique nécessitent des cassures double-brin de l’ADN qui sont introduites par une endonucléase après la réplication.
Vrai
Le nombre de gamètes différents résultant de l’échange réciproque de fragments
entre les chromosomes homologues est égal à 223.
FAUX. La valeur 223 correspond au nombre de gamètes possibles obtenus par
brassage inter-chromosomique. Cette valeur est juste majorée par le brassage intra- chromosomique.
Les chromosomes qui entrent en méiose sont constitués de deux chromatides soeurs
dont la cohésion est maintenue tout au long de la première division méiotique.
VRAI. La séparation des chromatides ne se fait que durant la division équationnelle.
Durant la deuxième division méiotique, il est important que chaque paire de
chromosomes homologues soit connectée par au moins un chiasma.
FAUX. La deuxième division méiotique est un équivalent de mitose, il n’y a donc pas
de chiasmata.
Au stade leptotène dans l’espèce humaine chacun des 44 autosomes est déjà dupliqué en 2 chromatides soeurs.
VRAI. Au stade leptotène, la réplication de l’ADN a déjà eu lieu donc les
chromosomes présentent tous deux chromatides – chaque chromatide est une molécule d’ADN.
Au stade leptotène dans l’espèce humaine les gonosomes Y et X comportent chacun 2 molécules d’ADN.
Vrai
Au stade leptotène dans l’espèce humaine la protéine SYCP1 (Synaptonemal Complex Protein 1) catalyse l’invasion d’un brin
d’ADN homologue intact.
FAUX. La protéine SYCP1 permet le synapsis.
Au stade leptotène dans l’espèce humaine le synapsis des chromosomes homologues est initié au début de ce stade.
FAUX. Le synapsis commence durant le zygotène.
Concernant la méiose chez un homme porteur d’une inversion péricentrique du chromosome 9 Elle est rendue possible grâce à la formation d’une boucle d’appariement entre le
chromosome 9 porteur de l’inversion et son homologue.
Vrai
Concernant la méiose chez un homme porteur d’une inversion péricentrique du chromosome 9 Elle aboutit à la production de spermatozoïdes qui sont toujours anormaux.
FAUX. Les spermatozoïdes ne sont pas anormaux nécessairement. Cela dépendra
de l’endroit où se fera le crossing-over.
Concernant la méiose chez un homme porteur d’une inversion péricentrique du chromosome 9 :
Elle aboutit à la production de gamètes normaux, de gamètes porteurs de l’inversion
et de gamètes porteurs de segments manquants et/ou dupliqués le long du
chromosome 9.
VRAI. On aura un peu de tout, il faut juste espérer que le bon spermatozoïde féconde
l’ovocyte.
Concernant la méiose chez un homme porteur d’une inversion péricentrique du chromosome 9 :
Elle aboutit, après fécondation, à une triploïde caractérisée par la présence de 3
représentants du chromosome 9 dans le caryotype.
FAUX. Il n’y a aucune raison d’avoir de triploïde… sauf peut-être des triploïdies
partielles.
La méiose chez la femme débute durant la vie intra-utérine.
VRAI. Les follicules primordiaux sont à leur maximum (en nombre) vers le 7e mois de
vie intra) utérine. Ils sont bloqués au stade ovocyte I (stade dyctié).
La méiose chez la femme: Au moment de la naissance, elle est bloquée en métaphase I dans tous les ovocytes.
FAUX. Ils sont bloqués au diplotène, donc en prophase I.
Concernant la méiose chez la femme :
La première division de la méiose ne s’achève que dans le follicule mûr, donnant 2
cellules de tailles inégales : l’ovocyte II et le premier globule polaire.
Vrai
Concernant la méiose chez la femme :
La fécondation entraîne la formation du deuxième globule polaire.
VRAI. Car c’est la fécondation qui permet de terminer la méiose.
On peut observer des complexes synaptonémaux :
Dans des ovocytes, au stade pachytène.
VRAI. On stade pachytène, le complexe synaptonémal est formé donc observable.
On peut observer des complexes synaptonémaux :
Dans des fibroblastes en culture qui se divisent.
FAUX. Des notions de base de biologie vous permettent de répondre : un fibroblaste
ne fait pas de méiose car c’est une cellule somatique. Or sans méiose, il n’y a pas de complexe synaptonémal.
On peut observer des complexes synaptonémaux :
Grâce à des techniques d’immunofluorescence mettant en oeuvre des anticorps dirigés
contre la tubuline beta.
FAUX. Dans AC anti-tubuline bêta marqueront les microtubules donc le fuseau
mitotique et pas le complexe synaptonémal.
On peut observer des complexes synaptonémaux :
Grâce au microscope électronique à transmission, dans des spermatocytes en
prophase I.
VRAI. En prophase I le complexe synaptonémal est en cours de formation (formé
entièrement au stade pachytène) donc il est observable au MET.
Au cours de la métaphase I de la méiose :
Les chromosomes homologues sont tous localisés sur un plan équatorial qui est
défini par les chiasmata.
VRAI. A l’inverse de la mitose ou le plan équatorial est définit par les centromères.
Au cours de la métaphase I de la méiose :
Les chromosomes homologues sont dépourvus de centromères.
FAUX. Il y a bien des centromères, ce ne sont juste pas eux qui définissent le plan
équatorial. N’oubliez pas que le centromère a un rôle indispensable dans la séparation des chromatide car il est reconnu par les microtubules kinétochoriens.
Au cours de la métaphase I de la méiose :
Des cohésines solidarisent les chromatides soeurs entre elles.
Vrai
Au cours de la métaphase I de la méiose :
Le synapsis des chromosomes homologues n’est pas encore complet.
FAUX. Il a déjà eu lieu durant le pachytène.
La région pseudo-autosomique 1 (PAR1) des chromosomes Y et X :
Correspond à la région des centromères.
FAUX. Elle se situe sur l’extrémité des bras courts.
La région pseudo-autosomique 1 (PAR1) des chromosomes Y et X :
Permet de fournir à chacun des 2 spermatocytes II, issus de la division d’un
spermatocyte I, une seule chromatide de l’Y ainsi qu’une seule chromatide de l’X.
FAUX. Au stade spermatocyte 2, la première division méiotique a déjà eu lieu, donc
les chromosomes sexuels sont déjà séparés.
La région pseudo-autosomique 1 (PAR1) des chromosomes Y et X :
Est le siège d’un crossing-over obligatoire dans les spermatocytes I.
VRAI. Car c’est à ce niveau que se fait le crossing-over.
La région pseudo-autosomique 1 (PAR1) des chromosomes Y et X :
N’existe que dans les cellules en méiose.
FAUX. c’est une région chromosomique qui existent dans toutes les cellules, mais
n’est utile que pour la méiose.
Le complexe synaptonémal Est complètement formé avant le début de la production des cassures double-brin de
l’ADN.
FAUX. Cela commence au leptotène et le CS n’est pas encore complètement formé
Le complexe synaptonémal Se dépolymérise au stade diplotène.
Vrai
Le complexe synaptonémal Est nécessaire à la recombinaison génique qui accompagne la prophase I de la
méiose.
Vrai
Le complexe synaptonémal Est bien visible au microscope électronique dans les spermatocytes II, entre les
boucles de chromatine contenant l’ADN des chromosomes homologues appariés.
FAUX. On vous parle de spermatocytes II qui lui a déjà finit la recombinaison
homologue.
La méiose est une succession de 2 mitoses réductionnelles qui ne sont précédées que d’une
seule réplication d’ADN.
FAUX. On parle de deux mitoses réductionnelles ce qui est faux, il y a une mitose
réductionnelle suivie d’une mitose équationnelle.
La durée totale de la méiose, chez l’homme est d’environ 24 heures.
FAUX. Rien que la prophase I dure 24 jours chez l’homme.
La durée totale de la méiose, chez l’homme, est d’environ 40 ans.
Vrai
Le crossing-over inégal est un accident méiotique qui fait suite à l’alignement de 2
chromosomes non-homologues.
FAUX. Il s’agit d’un mauvais alignement de deux chromosomes homologues
Les bivalents sont présents au stade zygotène.
FAUX. Au pachytène.
C’est seulement au cours de la deuxième division (méiose II) que les chromatides
soeurs se séparent.
VRAI. A la première division, ce sont les chromosomes homologues qui se séparent.
Dans l’ovocyte I, l’appariement des chromosomes sexuels concerne spécifiquement
leurs extrémités pseudo-autosomiques.
FAUX. Dans un ovocyte il y a deux chromosomes X qui s’apparient sur toute la
longueur.
En l’absence de recombinaison méiotique, la ségrégation des chromosomes est
altérée, ce qui peut conduire à la formation de gamètes au contenu chromosomique
anormal.
Vrai
L’axonème comporte 9 doublets de microtubules.
FAUX. D’après le cours de Mme BOEHM cette proposition est VRAIE. Mais M.
MPARK parle de 9 doublets périphériques et 1 doublet central, ce qui en fait 10 en tout
Les microtubules constituant l’axonème sont doublés extérieurement par des fibres
denses, de nature protéique.
Vrai
Des mitochondries entourent les fibres denses.
FAUX. Cela concerne la pièce intermédiaire.
Des kinésines permettent le glissement des microtubules les uns par rapport aux
autres.
FAUX. Ce sont des dynéines (pensez aux bras de dynéines vus au 1er semestre)
les spermatozoïdes sont issus de la division des spermatides rondes.
FAUX. Les spermatides ne se divisent pas… elles murissent !
La concentration des spermatozoïdes dans le liquide testiculaire augmente à la sortie du testicule.
Vrai
Les spermatozoïdes sont stockés dans la prostate.
FAUX. Ils sont stockés dans l’épididyme.
Les spermatozoïdes possèdent toutes les qualités requises pour féconder un ovocyte dès leur sortie de
l’épididyme.
FAUX : à la sortie de l’épididyme, un spz est mobile et fécondant… mais l’acquisition
de cette capacité de pouvoir en effet féconder un ovocyte II s’obtient dans le système génital de la femme !
La testostérone est indispensable à la spermatogenèse.
VRAI. Elle agit sur la spermiogénèse qui fait partie de la spermatogénèse !
La testostérone est nécessaire à la maturation épididymaire des spermatozoïdes.
VRAI. Ce phénomène est indirect : la FSH agit sur les cellules de Sertoli qui
répondent en synthétisant de l’ABP ; cette d’ABP s’associe à la testostérone et assure la maturation épididymaire des spz.
La testostérone agit en se fixant sur un récepteur présent dans le noyau des spermatogonies
souches.
FAUX. Ce récepteur AR se retrouve dans le noyau des cellules de Sertoli.
L’augmentation du taux sanguin de testostérone entraîne une diminution de la sécrétion de la LH
par l’hypothalamus.
FAUX. La LH n’est pas sécrétée par l’hypothalamus mais par l’hypophyse !
les cellules de Sertoli après la puberté sont des cellules post-mitotiques.
Vrai
Les cellules de Sertoli secrètent de l’inhibine.
Vrai
Les cellules de Sertoli secrètent du collagène de type IV.
Vrai
Les cellules de Sertoli secrètent un facteur endocrine nécessaire à l’auto-renouvellement de la lignée
germinale.
FAUX. La seule sécrétion endocrine des cellules sertoliennes est l’inhibine qui
passure le rétrocontrôle négatif sur la synthèse de FSH.
La spermatogénèse est un phénomène cyclique
Vrai
La spermatogénèse dure environ un mois chez l’homme.
FAUX. Elle dure 74 jours donc plus de deux mois.
À propos de la spermatogénèse: Sa durée est déterminée par les cellules de Sertoli.
FAUX. Les cellules de Sertoli ne s’occupent que de la spermiation.
Elle peut être accélérée par l’augmentation de la température ambiante.
FAUX. Une augmentation de la température ambiante serait plutôt un signe de
problèmes… le premier étant la stérilité.
De son lieu de production, dans un tube séminifère, le spermatozoïde traverse dans l’ordre un tube
droit, le rete testis, un canal efférent puis l’épididyme.
Vrai
Le spermatozoïde acquiert sa mobilité linéaire grâce à la sécrétion prostatique de testostérone.
FAUX. La testostérone est synthétisée par les cellules de Leydig.
Le diamètre de la tête du spermatozoïde est de 20 microns environ.
FAUX. Il est de 2 µm.
Les 9 fibres denses du spermatozoïde sont reliées entre elles par des molécules de dynéine.
FAUX. La dynéine relie les doublets périphériques.
la méiose chez le mâle humain est continue à partir de la puberté.
Vrai
La méiose débute dans le testicule foetal.
FAUX. Les gonocytes se multiplient par mitoses puis restent bloqués en phase G0
jusqu’à la naissance.
La méiose chez l’homme nécessite une synthèse de testostérone par les cellules de Sertoli.
FAUX. La testostérone est synthétisée par les cellules de Leydig.
La méiose chez l’homme peut se dérouler en l’absence de FSHR (le récepteur de la FSH).
VRAI. La FSH n’est pas indispensable à la spermatogénèse.
Les cellules de Sertoli du testicule adulte isolent les spermatogonies du sang grâce à leur système de jonctions serrées.
FAUX. Elles isolent les spermatocytes du sang circulant !
Les cellules de Sertoli du testicule adulte possèdent l’équipement enzymatique nécessaire à transformer la vitamine A en acide rétinoïque.
Vrai
Les cellules de Sertoli présentent des prolongements cellulaires qui entourent les spermatocytes.
Vrai
Les cellules de Sertoli se divisent activement en cas de perte de cellules germinales.
FAUX. Elles ont aussi une fonction phagocytaire qui digère les cellules germinales
mortes.
Les spermatozoïdes sont produits dans les tubes séminifères.
Vrai
Les spermatozoïdes sont concentrés dans les canaux efférents.
Vrai
Les spermatozoïdes acquièrent leur mobilité linéaire dans l’épididyme.
Vrai
Les spermatozoïdes sont stockés dans la queue de l’épididyme.
Vrai
Quelle est la proposition fausse ? Parmi les facteurs capables de diminuer durablement la spermatogénèse, on trouve :
A- les antimitotiques.
B- l’alcoolisme.
C- l’exposition chronique à des températures élevées.
D- la rubéole.
E- Autre réponse.
Réponse D
D- FAUX. La rubéole n’a pas d’effet – par contre les oreillons peuvent affecter la
spermatogénèse.
les non-disjonctions chromosomiques au cours de la spermatogenèse sont corrélées au vieillissement des spermatozoïdes.
Faux
Les non-disjonctions chromosomiques au cours de la spermatogenèse sont à l’origine d’aneuploïdies.
VRAI. Le gamète qui récupère les deux chromosomes est triploïde et l’autre est
aneuploïde.
les non-disjonctions chromosomiques au cours de la spermatogenèse aboutissent, lors de la méiose I, à la production quotidienne de 50% de
spermatozoïdes déséquilibrés.
FAUX. Absolument pas. 50% de gamètes erronés supposerait un gros problème au
niveau de la reproduction… et de la pérennité de l’espèce humaine !
les non-disjonctions chromosomiques au cours de la spermatogenèse peuvent concerner les gonosomes X et Y.
Vrai
Parmi les molécules suivantes, quelles sont les 2 qui sont synthétisées par les cellules de Sertoli ? A. LHR, le récepteur de la LH. B. la testostérone. C. l’inhibine. D. l’ABP (Androgen Binding Protein). E. autre réponse.
Réponses C D
A. FAUX. Elles expriment le récepteur de la FSH.
B. FAUX. La testostérone est synthétisée par les cellules
la tunique propre des tubes séminifères comporte des cellules endocrines.
FAUX. Ce sont les cellules de Leydig qui sont dans le tissu conjonctif sous-jacent.
la tunique propre des tubes séminifères est séparée de l’épithélium séminifère par une membrane basale.
Vrai
la tunique propre des tubes séminifères comporte des cellules contractiles.
VRAI. Ce sont des cellules musculaires lisses.
la tunique propre des tubes séminifères comporte des cellules musculaires striées.
Faux
Le rete testis débouche, via les canaux efférents, dans l’épididyme.
Vrai
Les sécrétions des vésicules séminales permettent la nutrition des spermatozoïdes.
Vrai
L’acquisition du pouvoir fécondant des spermatozoïdes nécessite à la fois les
sécrétions épididymaires et celles des voies génitales féminines.
Vrai
La vésicule acrosomique se forme par fusion des citernes du réticulum
endoplasmique lisse.
FAUX. Elle est obtenue par fusion des lysosomes.
La spermatogénèse se déroule intégralement dans les tubes séminifères.
Vrai
La spermiogénèse s’effectue dans la lumière les tubes séminifères.
FAUX. Elle se fait aussi dans le tube séminifère.
Autour des tubes séminifères, on trouve le tissu interstitiel dans lequel sont localisées
des cellules qui assurent la production de l’inhibine.
FAUX. L’inhibine est synthétisée par les cellules de Sertoli qui se trouve sur
l’épithélium du tube séminifère. Les cellules interstitielles sont les cellules de Leydig.
Les tubes droits se rassemblent dans un réseau, le rete testis, dans lequel
débouchent tous les spermatozoïdes.
Vrai
Les cellules de Sertoli permettent le renouvellement des spermatogonies souches grâce à leur
sécrétion de GDNF (Glial cell Derived Neurotrophic Factor).
Vrai
Les cellules de Sertoli permettent la différenciation des spermatogonies grâce à leur production d’acide
rétinoïque.
Vrai
Les cellules de Sertoli assurent la nutrition des cellules méiotiques et post-méiotiques.
Vrai
Les cellules de Sertoli phagocytent les déchets de la spermiation.
Vrai
La maturation des spermatozoïdes débute dans le canal déférent sous l’action des androgènes.
FAUX. Elle débute dans l’épididyme.
La maturation des spermatozoïdes se traduit par l’acquisition de la mobilité.
VRAI. Dans l’épididyme, les spermatozoïdes acquièrent la mobilité directionnelle,
sous l’action de la testostérone.
La maturation des spermatozoïdes se traduit par l’allongement de la pièce intermédiaire du flagelle.
FAUX. Cela se fait durant la spermiogénèse.
La maturation des spermatozoïdes est achevée au moment de l’insémination.
FAUX. L’insémination exclu les rapport sexuels, il s’agit de quelque chose d’artificiel
où les spermatozoïdes sont déposés directement dans l’utérus.
La durée totale de la spermatogénèse est constante pour une espèce donnée.
VRAI. Elle est de 74 jours chez l’homme.
Dans une espèce donnée, la durée totale de la spermatogénèse est contrôlée
uniquement par l’activité des cellules de Sertoli.
FAUX. Elle dépend des hormones.
L’entrée en méiose s’effectue simultanément dans des groupes de cellules
germinales qui sont reliées par des ponts cytoplasmiques.
Vrai
La spermatogenèse progresse de la lumière des tubes séminifères vers leur
périphérie.
FAUX. Elle est centripète (de la périphérie vers le centre) et non centrifuge.
les spermatocytes au stade préleptotène sont issus de la division des spermatogonies B.
Vrai
les spermatocytes au stade préleptotène réalisent la réplication de l’ADN nécessaire aux deux divisions méiotiques.
Vrai
les spermatocytes au stade préleptotène apparaissent au contact de la membrane basale des tubes séminifères.
Vrai
les spermatocytes au stade préleptotène traversent les jonctions serrées inter-sertoliennes.
Vrai
La testostérone est nécessaire à la maturation épididymaire des spermatozoïdes.
VRAI. Elle est aussi responsable de la spermatogénèse.
La testostérone agit sur les spermatogonies qui expriment le récepteur nucléaire de la
testostérone.
FAUX. Le récepteur aux androgènes (testostérone) est exprimé par les cellules de
Leydig.
La testostérone est nécessaire à la différenciation de cellules germinales présentes dans
l’épithélium séminifère du testicule de l’adulte.
VRAI. Cela fait partie de la spermatogénèse.
La testostérone exerce un rétrocontrôle négatif sur la sécrétion de LH.
VRAI. Autant que sur la GnRH.
La spermatogénèse se déroule intégralement dans les tubes séminifères.
Vrai
La spermatogénèse se réalise dans la lumière les tubes séminifères.
FAUX. Elle se fait dans l’épithélium séminifère.
Entre les tubes séminifères, on trouve le tissu interstitiel dans lequel sont localisées
des cellules qui assurent la production de l’inhibine.
FAUX. Les cellules synthétisant l’inhibine sont les cellules de Sertoli qui se retrouvent
dans le tube séminifère.
Les tubes droits se rassemblent dans un réseau, le rete testis, dans lequel
débouchent tous les spermatozoïdes.
Vrai
La zone pellucide est traversée par des expansions des cellules folliculeuses.
Vrai
Les cellules folliculeuses de la granulosa secrètent les glycoprotéines formant la zone
pellucide.
FAUX. La zone pellucide est aussi synthétisée par l’ovocyte.
L’ovocyte I est bloqué en métaphase dans le follicule mûr.
FAUX. L’ovocyte I est bloqué au stade diplotène !
La rupture folliculaire se produit sous l’effet du pic de sécrétion de la FSH.
FAUX. Il est dû à un pic de sécrétion de LH.
Au moment de l’ovulation, le diamètre de l’ovocyte est de 120 microns.
Vrai
Le diamètre du follicule mûr est voisin de 2 centimètres.
Vrai
Après l’émission du 1er globule polaire, l’ovocyte ne mesure plus que 80 microns de
diamètre.
Faux
Lors de la rupture folliculaire, la granulosa est envahie par des capillaires venant de la
thèque interne.
VRAI. Ceci commence déjà au stade follicule mûr.
les oestrogènes d’origine ovarienne sont sécrétés par la thèque interne.
FAUX. Ils sont sécrétés par les cellules de la granulosa !
les oestrogènes d’origine ovarienne sont synthétisés à partir des androgènes ovariens.
VRAI. Le précurseur est l’androstènedione.
les oestrogènes d’origine ovarienne sont synthétisés sous la dépendance de la FSH.
VRAI. La FSH active l’aromatase qui transforme l’androstènedione en oestradiol.
les oestrogènes d’origine ovarienne régulent le fonctionnement hypothalamique et hypophysaire.
Vrai
la zone pellucide est interposée entre l’ovocyte et les cellules somatiques du follicule primordial.
FAUX. La ZP est exprimé à partir du stade follicule secondaire.
la zone pellucide est synthétisée uniquement par les cellules folliculeuses.
FAUX. Elle est synthétisée par l’ovocyte.
la zone pellucide :
L’ovulation entraine sa rupture.
Faux
la zone pellucide est traversée par des prolongements des cellules folliculeuses qui prennent
contact avec l’ovocyte l.
VRAI. Ces contacts se font par des jonctions communicantes (gap = nexus).
le follicule ovarien au moment où apparaît son antrum contient un ovocyte l en phase S
FAUX. L’ovocyte I est en stade diplotène donc en prophase de méiose I.
Concernant le follicule ovarien au moment où apparaît son antrum :
Sa granulosa est dépourvue de capillaires sanguins.
VRAI. Les capillaires ont dans la thèque interne.
Concernant le follicule ovarien au moment où apparaît son antrum :
Sa thèque externe contient des myofibroblastes.
Vrai
Concernant le follicule ovarien au moment où apparaît son antrum :
Il s’est formé au début de la phase folliculaire à partir d’un follicule secondaire.
Vrai
Les gonocytes se multiplient jusqu’au 7è mois de la vie intra-utérine.
Vrai
Les gonocytes entrent en prophase de première division de la méiose à la naissance.
FAUX. Chez l’homme elles rentrent en phase G0 jusqu’à la naissance.
Les ovocytes l peuvent rester bloqués, au stade leptotène, durant 50 ans.
FAUX. Ils restent bloqués au stade diplotène.
Les ovocytes l sont produits suite à une division cytoplasmique inégale.
Faux
Dans le follicule mûr (ou follicule ovulatoire): Les cellules de la granulosa commencent à exprimer le récepteur de la LH.
Vrai
Dans le follicule mûr (ou follicule ovulatoire) :
L’antrum augmente rapidement de volume.
Vrai
Dans le follicule mûr (ou follicule ovulatoire) :
La contraction reflexe des myofibroblastes provoque la libération de l’ovocyte dans
l’antrum.
FAUX. Cette contraction provoque l’expulsion du follicule mûr dans le pavillon de la trompe
Dans le follicule mûr (ou follicule ovulatoire) :
L’ovocyte achève sa première division méiotique.
Vrai
le follicule antral contient une cavité remplie de fibrine.
Faux
le follicule antral contient un ovocyte bloqué en métaphase I.
FAUX. L’ovocyte I est bloqué au stade diplotène.
le follicule antral: sa croissance est dépendante de la progestérone.
Faux
le follicule antral :
sa croissance est dépendante de la FSH.
VRAI. Le follicule antral exprime des récepteurs à la FSH – il est donc sensible à
cette hormone.
Le temps nécessaire pour qu’un follicule primordial se transforme en follicule antral
est, en moyenne, de 28 jours.
FAUX. Ceci peut prendre des années !
Les follicules ovariens présents chez le foetus sont, en majorité, des follicules
primordiaux.
Vrai
Le nombre d’ovocytes présent dans les deux ovaires est multiplié par un facteur de 7
entre le huitième moi de la vie in utéro et la naissance.
FAUX. Dès le 7e mois, ils ne se divisent plus.
Chez l’embryon, la fréquence des anomalies chromosomiques augmente avec l’âge
maternel.
Vrai
les hormones stéroïdes sont synthétisées à partir du cholestérol.
Vrai
l’inhibine est fabriquée par les cellules de la granulosa.
Vrai
les androgènes dérivent de la thèque externe.
FAUX. Ils dérivent de la thèque interne (androstènedione).
la progestérone agit en se liant à un récepteur à 7 domaines transmembranaires.
FAUX. C’est une hormone stéroïdienne – elle se fixe donc sur un récepteur nucléaire.
La LH est synthétisée par l’hypothalamus.
FAUX. Elle est synthétisée par l’hypophyse.
Le pic de sécrétion de la LH déclenche l’ovulation.
Vrai
La LH stimule directement la production d’ABP (androgen binding protein) par les
cellules de Sertoli.
FAUX. Ceci est assuré par la FSH.
La sécrétion de la LH peut être augmentée ou diminuée par le taux d’oestradiol circulant.
Vrai
Parmi les follicules ovariens sensibles à la FSH, on trouve : A. des follicules primordiaux. B. des follicules primaires. C. des follicules antraux. D. le follicule dominant. E. autre réponse.
Réponses C D
C. FAUX. Il fait partie de la folliculogénèse basale.
D. FAUX. Il fait partie de la folliculogénèse basale.
Le pic de LH précède d’environ 36 heures les évènements suivants :
A. la reprise de la méiose de l’ovocyte.
B. la reprise de la folliculogenèse à partir des follicules primordiaux.
C. la synthèse, par l’ovocyte, de la zone pellucide.
D. la rupture du follicule de De Graaf.
E. autre réponse.
Réponses A D
B. FAUX.
C. FAUX. Elle commence bien avant.
Concernant l’atrésie folliculaire dans l’ovaire :
durant la vie foetale et l’enfance, certains follicules ovariens vont croître, mais tous
ces follicules dégénèrent ensuite.
Vrai
Concernant l’atrésie folliculaire dans l’ovaire :
chez la femme, plus de 90 % des follicules ovariens dégénèrent.
Vrai
Concernant l’atrésie folliculaire dans l’ovaire :
l’atrésie folliculaire se réalise par apoptose des cellules de la granulosa.
Vrai
l’atrésie folliculaire est possible à tous les stades du développement du follicule
ovarien.
Vrai
l’inhibine est liposoluble.
FAUX. Seules les hormones stéroïdiennes sont liposolubles.
l’oestradiol active ses gènes cibles en se liant à un récepteur golgien.
FAUX. le récepteur de l’oestradiol est nucléaire.
les oestrogènes présents dans le sang sont majoritairement liés à des protéines de
transport.
VRAI. Comme tous les lipides car ils sont hydrophobes !
l’androgène majoritaire sécrété par les cellules de la thèque est la testostérone.
FAUX. C’est l’androstènedione.
La maturation ovocytaire chez la femme est caractérisée par L’augmentation de l’activité transcriptionnelle de l’ovocyte I.
VRAI. Activité transcriptionnelle assurant surtout la synthèse des ARNm codant pour
les protéines de la zone pellucide.
La maturation ovocytaire chez la femme est caractérisée par L’augmentation de taille de l’ovocyte II.
FAUX. C’est l’ovocyte I qui augmente en taille.
La maturation ovocytaire chez la femme est caractérisée par :
Une importante activité de synthèse d’ADN par ovocyte I.
FAUX. L’activité synthétique de l’ADN se résume à la réplication
La maturation ovocytaire chez la femme est caractérisée par :
La production, par les cellules de la granulosa, des glycoprotéines de la zone
pellucide.
FAUX. Les protéines de la ZP sont synthétisées par l’ovocyte I.
le follicule préantral contient un ovocyte I en prophase de la méiose, dont le diamètre est inférieur à 120
microns.
VRAI. 120 µm c’est la taille maximale… on est donc bien en-dessous car le cycle de
maturation n’est pas fini.
le follicule préantral exprime le récepteur des androgènes à la surface des cellules de la granulosa.
FAUX. Les cellules de la granulosa n’expriment que des récepteurs à la LH.
le follicule préantral: Son diamètre est de 20 millimètres.
FAUX. C’est le follicule mûr qui fait 2 cm (ou 20 mm).
le follicule préantral :
Sa granulosa prolifère sous l’action de la LH.
FAUX. Les cellules de la granulosa expriment les récepteurs de la LH uniquement au
stade « follicule de de Graaf ».
La sécrétion de GnRH par l’hypothalamus stimule la sécrétion de LH par l’hypophyse
antérieure.
Vrai
Les oestrogènes synthétisés par la granulosa exercent un rétrocontrôle d’abord positif
puis négatif sur la sécrétion de LH.
FAUX. Le rétrocontrôle est d’abord négatif puis positif.
FSH stimule la synthèse de l’aromatase par les cellules de la thèque interne.
FAUX. L’aromatase est synthétisée par les cellules de la granulosa.
L’inhibine B agit en freinant la sécrétion de FSH par les cellules gonadotropes.
Vrai
Parmi les évènements suivants, quels sont les 2 qui sont effectivement déclenchés par le pic de sécrétion de LH au cours du cycle ovarien ?
A. L’apparition de l’ovocyte II.
B. L’expulsion du deuxième globule polaire.
C. La reprise de la méiose de l’ovocyte I.
D. L’apparition de l’antrum.
E. Autre réponse.
Réponses A C
A. VRAI.
B. FAUX. L’expulsion du deuxième globule polaire se fait uniquement s’il y a fécondation
car c’est elle qui débloque la deuxième division méiotique.
C. VRAI.
D. FAUX. L’antrum apparaît beaucoup plus tôt durant la phase folliculaire du cycle.
La liaison spécifique de chacune des 2 gonadotrophines à son récepteur est
déterminée par la sous-unité alpha.
FAUX. C’est la sous-unité bêta qui donne la spécificité biologique, la sous-unité alpha
étant commune à toutes les gonadotrophines.
Suite à la liaison à leurs récepteurs spécifiques, les gonadotrophines stimulent la voie
intracellulaire impliquant les protéines G.
VRAI. Elles sont reconnues par des récepteurs à 7 domaines transmembranaires
couplés à une protéine G.
Chacune des gonadotrophines est synthétisée par un type cellulaire différent au
niveau de l’hypophyse.
FAUX. Elles sont toutes synthétisées par la cellule gonadotrope.
Le système hypothalamo-hypophysaire est la cible du rétrocontrôle positif de
l’oestradiol qui précède la décharge ovulante de LH.
Vrai
Sont diploïdes : A. Les ovocytes II. B. Les spermatides. C. Les ovocytes I. D. Les cellules de Sertoli. E. Autre réponse.
Réponses C D
A. FAUX. Un ovocyte II a déjà fait la division réductionnelle, il est donc haploïde.
B. FAUX. Une spermatide a fini la méiose, elle est donc haploïde.
C. VRAI. On ovocyte I n’a pas encore fait la division réductionnelle, il est donc bien
diploïde.
D. VRAI. La cellule de Sertoli est une cellule somatique pt-mitotique (en G0).
Environ 1 million de follicules primaires sont présents au moment de la naissance.
FAUX. La réserve d’ovocytes est de 1 à 2 millions à la naissance.
Au centre du follicule secondaire, on trouve un ovocyte I.
Vrai
Le follicule ovulatoire contient le second globule polaire.
FAUX. Il est obtenu après la fécondation.
Des follicules primordiaux sont présents dès la vie foetale.
Vrai
Le nombre d’ovocytes est maximal au moment de la naissance.
FAUX. Il y en a 1 million à al naissance et 7 million vers 7 mois de vie foetale !
La réserve de follicules ovariens décroit avec l’âge en raison de phénomènes
d’apoptose intéressant les cellules de la granulosa et les ovocytes.
Vrai
Au cours de la vie d’une femme, l’atrésie folliculaire concerne la moitié des follicules
initialement formés dans l’ovaire foetal.
FAUX. Plus de 99% des follicules en croissance !
Le nombre de follicules ovariens est voisin de 10.000 au moment de la puberté.
FAUX. 400.000 à la puberté.
La croissance des follicules primordiaux jusqu’au stade pré-antral :
Débute plusieurs mois avant l’ovulation.
VRAI. 3 à 4 mois avant l’ovulation.
La croissance des follicules primordiaux jusqu’au stade pré-antral :
Existe déjà durant l’enfance.
FAUX. Ce sont les premiers à se former au cours de la vie mais leur croissance commence à la puberté.
La croissance des follicules primordiaux jusqu’au stade pré-antral :
Est strictement contrôlée par les cycles ovariens.
FAUX. le folliculogenèse primordiale est indépendante des hormones.
La croissance des follicules primordiaux jusqu’au stade pré-antral :
Peut se dérouler en l’absence de FSH.
VRAI. La FSH agit au niveau du follicule antral.
l’ovocyte humain se bloque en fin de prophase méiotique durant la vie foetale.
Vrai
l’ovocyte humain reprend sa méiose dans un follicule ovulatoire sous l’effet de la décharge ovulante
de FSH.
FAUX. décharge ovulante de LH.
l’ovocyte humain se bloque en métaphase de première division méiotique au moment de l’ovulation.
FAUX. Il se bloque en métaphase II jusqu’à la fécondation.
L’achèvement de la méiose de l’ovocyte est permis grâce au phénomène d’activation
de l’ovocyte, après fusion des gamètes.
Vrai
Le phénomène de sélection folliculaire :
Concerne un groupe de follicules primordiaux.
Vrai
Le phénomène de sélection folliculaire :
Concerne le follicule ovulatoire.
FAUX. Le follicule ovulatoire est déjà sélectionné !
Le phénomène de sélection folliculaire :
Est déclenché par le pic de LH.
FAUX. le pic de LH est à l’origine de l’ovulation.
Le phénomène de sélection folliculaire :
S’accompagne, dans le même intervalle de temps, de l’atrésie de plusieurs follicules
antraux.
Faux
Des neurones hypothalamiques stimulent, par leur sécrétion de GnRH, des cellules
glandaires de l’hypophyse.
Vrai
L’oestradiol peut exercer un rétrocontrôle positif sur la sécrétion de GnRH.
VRAI. Cela se fait entre J12 et J14.
La FSH stimule directement les cellules de Sertoli.
VRAI. les cellules de Sertoli présentent le récepteur à la FSH.
La FSH inhibe la sécrétion de GnRH.
FAUX. Il n’y a pas d’inhibition directe.