UA 14 Flashcards
En ce concerne la maladie de Ménière, quels sont les énoncés VRAIS parmi les suivants
a. Le pronostic de cette maladie n’est pas très bon, une surdité partielle ou totale survient généralement après plusieurs années
b. Une consommation excessive de sel peut accroître le risque de développer cette maladie
c. Les symptômes peuvent apparaître brusquement et ne toucher qu’une seule oreille à la fois
d. Les femmes sont plus à risque que les hommes de développer cette maladie
e. Il s’agit d’un trouble de l’oreille moyenne qui entraîne des vertiges, des étourdissements, une perte de l’audition fluctuante et des acouphènes
- Une consommation excessive de sel peut accroître le risque de développer cette maladie,
- Les symptômes peuvent apparaître brusquement et ne toucher qu’une seule oreille à la fois,
-Le pronostic de cette maladie n’est pas très bon, une surdité partielle ou totale survient généralement après plusieurs années
Identifiez, parmi les éléments suivants, lesquels sont représentatifs de l’acouphène subjectif
a. Les causes de cet acouphène peuvent être variées et multiples, on cite par exemple des traumatismes acoustiques, le vieillissement, des infections ou des lésions
b. Il peut être causé par une turbulence du flux sanguin
c. Représente le type d’acouphène le plus fréquent
d. Le bruit peut être si fort qu’il pourrait être perçu par un autre individu qui colle son oreille à celle du patient
e. Le bruit peut être assez dérangeant pour provoquer de l’insomnie et de l’irritabilité chez le patient qui en souffre
- Les causes de cet acouphène peuvent être variées et multiples, on cite par exemple des traumatismes acoustiques, le vieillissement, des infections ou des lésions
- Représente le type d’acouphène le plus fréquent
- Le bruit peut être assez dérangeant pour provoquer de l’insomnie et de l’irritabilité chez le patient qui en souffre
Identifiez les énoncés FAUX parmi les suivants concernant les structures de l’oreille:
a. L’étrier est un des trois petits osselets qui composent l’intérieur de l’oreille interne
b. Le tympan est la membrane qui délimite l’oreille externe de l’oreille moyenne
c. Le type de cérumen d’un individu peut être différent en fonction de la génétique de cette personne
d. Le vestibule comprend les canaux semi-circulaires et la cochlée
e. Le cérumen est une substance jaunâtre et cireuse naturellement produite par l’oreille moyenne qui s’écoule par le conduit auditif externe jusqu’au pavillon
- Les réponses correctes sont : L’étrier est un des trois petits osselets qui composent l’intérieur de l’oreille interne,
- Le vestibule comprend les canaux semi-circulaires et la cochlée,
- Le cérumen est une substance jaunâtre et cireuse naturellement produite par l’oreille moyenne qui s’écoule par le conduit auditif externe jusqu’au pavillon
L’accumulation de cérumen dans les oreilles est un problème fréquent même s’il n’est généralement pas grave. Quels sont les éléments VRAIS parmi les suivants ?
a. La mastication augmente la migration du cérumen vers l’extérieur de l’oreille
b. Bien que le cérumen joue un rôle important pour la lubrification du canal auditif externe, il est important de le retirer quotidiennement pour éviter l’accumulation dans le canal auditif
c. Tous les enfants devraient recevoir des produits émollients dans leur canal auditif externe en prévention de l’accumulation du cérumen
d. Le sexe masculin et le vieillissement sont des facteurs de risque pouvant entraîner une plus grande production de cérumen
e. Le cérumen joue un rôle extrêmement important pour la protection du canal auditif contre les agresseurs comme les bactéries, les insectes et les champignons
a et e
Identifiez, parmi les situations suivantes, toutes celles qui représentent des facteurs de risque pour une otite externe:
a. Âge avancé
b. Surplus de cérumen
c. Excès d’humidité et de chaleur dans l’oreille
d. Port d’appareil auditif
e. Manque de cérumen
- Manque de cérumen,
- Surplus de cérumen,
- Excès d’humidité et de chaleur dans l’oreille,
- Port d’appareil auditif
Vrai ou Faux?
La présence de tubes trans-tympaniques représente une contre-indication majeure à l’utilisation de TOUS les produits otiques de vente libre?
vrai
rôle du film lacrymal
hydrater oeil et paupière, oxygéner et nourrir la surface oculaire, protéger contre débris, MO, médium de réfraction entre l’air et la cornée
couches du film lacrymal
- muqueuse (interne)
- aqueuse (intermédiaire)
- lipidique (externe)
muqueuse du film lacrymal
- Mince, permet adhésion et répartition du film (surfactant).
- Mucines produites par cell. épithéliales conjonctive (caliciformes) et cornée.
couche aqueuse du film lacrymal
- La plus épaisse, permet lubrification, protection et nutrition de la surface oculaire.
- Produit par glande lacrymales principale et accessoires.
- Contient protéines, glucose, électrolytes, Ig, facteurs de croissance, cytokines, etc.
couche lipidique du film lacrymal
- Mince, prévient évaporation, maintient intégrité du film lacrymal, crée tension de surface (interagit avec mucines).
- Produite par glandes Meibomius.
définition sécheresse oculaire
Affection multifactorielle de la surface oculaire caractérisée par une perte d’homéostasie du film lacrymal, accompagnée de sx oculaires (irritation, inconfort), dans laquelle l’instabilité du film lacrymal, l’hyperosmolarité, l’inflammation, les dommages à la surface oculaire et des anomalies neurosensorielles jouent un rôle étiologique.
cercle vicieux de la sécheresse
◦ Déficience lacrymale ou couche aqueuse (manque de larmes)
◦ Évaporation accélérée des larmes par instabilité du film lacrymal (souvent en cause).
◦ Inflammation
facteurs de risque sécheresse oculaire (14)
◦ Âge,
- sexe féminin,
- port lentilles,
- chirurgies oculaires (LASIK, cataracte),
- maladies auto-immunes,
- prise d’hormones ou variations hormonales,
- médicaments,
- Db,
- irradiation,
- hépatite C,
- déficience vit. A,
- sédentarité,
- syndrome métabolique,
- anxiété/dépression
qu’est-ce qui arrive lorsque le volume et la qualité des larmes est diminué
Volume et qualité des larmes diminués = hyperosmolarité = cascade inflammatoire.
déficience lacrymale
➢ Causes fréquentes : ménopause, âge, médicaments.
➢ Peut résulter d’une glande lacrymale lésée ou dysfonctionnelle (ex: rejet d’un greffon, VIH, radiothérapie locale, trauma, etc.)
➢ Fait partie du syndrome de Sjögren et du lupus érythémateux disséminé. Ad 20% des patients PAR.
➢ Le plus souvent associé à évaporation augmentée donc mixte (déficience aqueuse seule rare).
qu’est-ce qu’une insuffisance de la couche lipidique en surface de la couche aqueuse des larmes fait
Mauvaise qualité du film lipidique ou diminution quantitative des sécrétions lipidiques = évaporation larmes augmentée.
causes d’une insuffisance de la couche lipidique du film lacrymal
- Le plus souvent dysfonction glandes meibomiennes.
➢ Blépharite séborrhéique : dégrade couche lipidique
➢ Associé à blépharite, rosacée, dermatite séborrhéique ou atopique. - Isotrétinoïne : peut causer dysfonction meibomienne et même causer perte irréversible de glandes.
causes évaporations larmes
- Insuffisance de la couche lipidique en surface de la couche aqueuse des larmes
- Baisse du clignement des yeux
- Déficience vit. A : affecte couche muqueuse du film
- Troubles de la forme de la cornée/des paupières
qu’est-ce qui fait baisser le clignement des yeux et rôle du clignement
- Clignement permet répartition du film lacrymal et renouvellement de la couche lipidique.
- Diminué significativement lors de l’utilisation d’écrans, la lecture et la conduite automobile (fatigue visuelle).
- Parkinson : symptôme dysautonomique
quels sont les troubles de la forme de la cornée/des paupières qui affectent l’évaporation des larmes et effet
Myopie ++
Exophtalmie
Paralysie qui empêche fermeture de l’oeil complète).
présentation sécheresse ucculaire
Condition chronique, avec sx constants ou épisodiques (selon déclencheurs) de sévérité variable.
Bilatéral, mais souvent asymétrique
symptômes sécheresse oculaire (7)
Symptômes souvent communs à d’autres conditions
◦ Irritation/sensation brûlure, inconfort
◦ Conjonctive rosée (possiblement rouge si inflammation ++)
◦ Sensation de grain de sable.
◦ Photophobie (divers degré).
Certains sx plus distinctifs
◦ Fatigue oculaire jusqu’à vision trouble, céphalées.
◦ Hyperlarmoiement paradoxal.
◦ Intensification des symptômes en cours de journée.
impact sur la qualité de vie sécheresse oculaire
Affecte qualité de vie (ad 60% patients) et AVQ/AVD, bien-être (ad anxiété, dépression).
Difficulté à regarder la télévision ou à travailler à l’ordinateur (vitesse de lecture corrèlerait avec sévérité de la maladie), à lire, à conduire (temps de réaction réduit).
Baisse efficacité au travail (38%)
Inconfort lors du port de lentilles
Hypersensibilité au froid
lien symptômes sécheresse oculaire et gravité
L’intensité des sx du patient ne corrèle pas toujours avec la gravité de la maladie ni le risque de complications !
-Parfois inconfort oculaire sans anomalie de la surface oculaire à l’examen
-Aussi possible dommages à la surface oculaire avec peu de symptômes
facteurs aggravants sécheresse oculaire
Effort visuel prolongé (longue lecture/conduite automobile, travail sur ordinateur, jeux vidéo, télévision, tablette, cellulaire, etc.)
Environnement sec ou poussiéreux
Vent, soleil, fumée de tabac, pollution
Chauffage, climatisation (environnements secs)
rx qui augmentent la sécheresse oculaire (5)
➢ Anticholinergiques
➢ Antihistaminiques
➢ Antidépresseurs tricycliques
➢ ISRS
➢ Agents de conservation dans les gouttes ophtalmiques
objectif de tx sécheresse oculaire
- Hydrater la surface oculaire, soulager sx/inconfort.
- Améliorer qualité de vie.
- Restaurer la fonction de l’appareil lacrymal :
— Stabiliser le film lacrymal et rétablir l’homéostasie de la surface oculaire.
— Briser le cercle vicieux de la maladie (contrôler conditions associées, diminuer inflammation) - Prévenir les complications cornéennes (abrasion cornée, ulcération/perforation, cicatrisation, perte de vision).
principes de tx sécheresse oculaire
- Le traitement peut être initié en se basant seulement sur les signes et symptômes.
- Approche idéalement multifactorielle (pas seulement remplacement de larmes) : hydratation ET anti-inflammatoire.
- Idéalement soulagement court terme et prise en charge long terme. Observance essentielle !
- Enseignement : ne se guérit pas mais se traite !
— Délai souvent de plusieurs mois avant de contrôler = normal - Approche individualisée selon bénéfices au patient, sévérité maladie, type de sécheresse, étiologie,
MNP sécheresse oculaire
Larmes hydratantes = base du traitement
Hygiène des paupières
◦ Compresses (chaudes si DGM + hygiène paupières, froides si inflammation ou sensation brûlure).
Humidificateur (40-50% humidité)
Bonne hydratation, alimentation riche Oméga-3
Cesser tabagisme
Éviter facteurs déclencheurs ou aggravants (fumée, vent, endroits secs ou poussiéreux, soleil, frottage, port prolongé de lentilles).
Cligner des yeux plus souvent, prendre pauses lors d’activités demandant concentration (au moins 5min/h).
tx pharmaco sécheresse oculaire
- Topique (1e ligne)
➢ Corticostéroïdes
➢ Immunomodulateurs (cyclosporine ou lifitégrast)
➢ Tx adéquat de la blépharite si présente - Systémiques (2e ligne)
➢ Sécrétagogues
➢ Antibiotique PO (si rosacée ophtalmique)
➢ Suppléments d’oméga-3
quand référer sécheresse oculaire
Si symptômes chroniques et incommodants, ou non soulagés par les larmes et MNP : consulter pour obtenir un diagnostic et une prise en charge globale de la maladie.
Tout symptôme d’alarme
Si pas amélioré après 72h début cortico.
Maladie auto-immune connue
Maladie oculaire connue
Chirurgie récente
effet viscosifiants gouttes
✓ ( + [ ] ↑ , + viscosité ↑ = durée action ↑, efficacité ↑)
✓ Combinaison d’agents augmente durée d’action.
✓ Les produits visqueux peuvent brouiller la vue ET causer un inconfort si un excès de solution sèche sur les paupières (ex. gels/onguents; mieux HS).
Soulagent l’inconfort oculaire.
mécanisme d’action viscosifiants gouttes oculaires
Protègent, lubrifient, diminuent friction, augmentent temps contact du film lacrymal sur surface oculaire, propriétés muco-adhésives.
- Polymères hydrosolubles; souvent dérivés cellulose
viscosifiant à chercher
Hyaluronate sodique : ingrédient à rechercher
* Le + efficace, effet rafraîchissant
* Substance viscoélastique
* Seul ou combiné à d’autres viscosifiants
avantages viscosifiants
▪ Améliore stabilité film lacrymal
▪ Réduit évaporation larmes
▪ Améliore osmolarité
▪ Réduit inflammation et dommages à la surface oculaire
▪ Améliore santé cellules goblet, épithéliales et glandes meibomiennes
gouttes lipidiques
Restaure couche lipidique, stabilise film lacrymal, ↓ évaporation.
▪ Triglycérides, phospholipides, huile minérale, huile ricin
▪ Onguents lubrifiants contiennent huile minérale.
▪ Sous recommandation médecin/optométriste (présence de la mite Demodex doit être d’abord exclue).
gels oculaires
contiennent carbomer, un viscosifiant qui se liquéfie au contact de l’oeil.
◦ Utilisation jour et nuit, durée d’action plus longue que gouttes (temps de contact augmenté
gel-goutte oculaire
consistance à mi-chemin entre goutte et gel. Bonne solution «compromis»; intéressant si inobservance.
onguents oculaires
Utilisés surtout pour la nuit
◦ Intéressant si pt se lève symptomatique ++ AM
◦ Durée d’action la + longue
◦ Huile minérale, gelée pétrole, lanoline (lanoline = moins bon choix car allergisant, plus irritant et peut ralentir la cicatrisation cornéenne).
- EI : vision brouillée, agglutination cils, croûtes
onguents oculaires avec vit A
Sous recommandation optométriste/médecin.
quel agent de conservation il ne faut absolument pas avoir dans des gouttes oculaire
➢ Le chlorure de Benzalkonium → Irritant (max 4x/j).
➢ Il faut tenir compte des autres gouttes mises quotidiennement (ex: glaucome).
➢ À éviter complètement si sécheresse/inflammation. Détergent toxique pour la surface oculaire.
➢ Cercle vicieux : ingrédient toxique + sécheresse = moins dilué = ↑ toxicité = ↑ sx sécheresse = ↑ application gouttes
principes d’utilisation des larmes
«Gold standard» : goutte à base d’hyaluronate sans agent de conservation.
Débuter avec larmes à faible viscosité (sx légers)
Larmes le jour (QID ad q1h) + onguent/gel la nuit
Éviter chlorure de benzalkonium (préservatif)
Si dysfonction Meibomienne : suite à évaluation opto/médecin, considérer larmes lipidiques.
Port de lentilles : vérifier si compatible
chez qui il faut absolument privilégier les larmes sans agents de conservation
Privilégier formules sans préservatifs, surtout si :
◦ Sécheresse modérée/sévère
◦ Utilisation de larmes ou autres gouttes > 4 fois/jour
◦ Glaucome
◦ Utilisation chronique de gouttes ophtalmiques
◦ Post-op
si intolérance au larmes, quoi faire
◦ Changer de produit – agent conservation différent
◦ Considérer formule sans préservatif = idéal
si larmes inefficace pour sécheresse oculaire
◦ Changer de produit (viscosifiant différent-avec hyaluronate sodique idéalement)
◦ Choisir produit avec concentration plus élevée de viscosifiants (gel-goutte, gel, onguent)
◦ Augmenter fréquence d’application
Attention sans préservatif si usage > 4 fois/jour!
◦ Référer pour évaluation et diagnostic.
stabilité goutte hydrasense
Stables 12 mois après l’ouverture
stabilité générale larmes artificielles en goutte
4 semaines
stabilité générale larmes artificielles en onguent
3 mois
cortico en sécheresse oculaire
➢ Tx courte durée pour soulagement rapide des symptômes/réduire inflammation : 2 à 4 sem (max 3 mois).
➢ Effet ad plusieurs semaines post-tx selon études.
➢ Délai d’action rapide: amélioration significative en quelques jours (contribue à confirmer le diagnostic/présence inflammation)
lotéprednol sécheresse oculaire
moins d’EI (hausse PIO, cataractes).
➢ Indication off-label pour sécheresse oculaire, disponibles en gouttes, gel et onguent. Meilleur choix si usage long terme (ex. cas sévères) avec suivi ++.
comment sevrer cortico topiques en sécheresse oculaire quand débute tx immunomodulateur
➢ Cyclosporine 0,05% : idéalement sevrage sur 12 semaines
➢ Cyclosporine nano-micellaire 0,09% ou lifitégrast : idéalement sevrage sur 4 semaines
effet cortico topiques en sécheresse oculaire
➢ Efficace et sécuritaire si bien utilisé
➢ Soulage en attendant effet immunomodulateur ET ↓ brûlure
***Contribue à «donner confiance» au pt sur le tx (↑ adhésion)
➢ Usage < 1 mois = complications rares; presque toujours reliées à un mauvais usage et/ou un suivi inadéquat
suivi si met gouttes de cortico
➢ Risque cataractes, surinfections.
➢ Risque ↑ PIO
Suivi PIO recomandé : 3 semaines + 6-8 semaines.
Ad 1 an même avec lotéprednol chez «steroid responders» (25% des patients)
Si hausse IOP >10 mmHg ou > 30 mmHg : sevrer.
Si glaucome aucune hausse PIO tolérée.
Hypotenseur topique peut être ajouté en cas de tx chronique avec cortico – prophylaxie ou tx.
effet cyclosporine en sécheresse oculaire
- Soulage les Sx subjectifs + signes objectifs
➢ Immunomodulateur/anti-inflammatoire.
➢ ↑ larmes (agit sur 3 couches du film) ET effet anti-inflammatoire = complet
restasis (cyclosporine 0,05%)
- émulsion
- pour la sécheresse modérée à sévère
- 1 gtte q12h reg
- délai d’action : 3 mois
- couvert RAMQ avec code
- générique disponible, mais véhicule différent et ça brûle vrm plus à l’application
cequa (cycloporine 0,09%)
- Solution nano-micellaire (↑ temps contact = ↑ biod.)
- pour la sécheresse modérée à sévère
- 1 gtte q12h reg
- délai d’action : 1 mois
- Non couvert RAMQ
- pas de générique
E2 goutte cyclosporine local
Brûlure instillation (ad 20%) et picotement
pour le cequa : céphalées aussi
E2 cyclosporine en goutte syst
Peu d’absorption systémique; pas d’interaction