Questions complémentaires 3 Flashcards
À la spirométrie d’une femme de 55 ans, fumeuse, quels critères permettront d’établir le diagnostic de MPOC ?
Une spirométrie postbronchodilatateur démontrant une obstruction des voies aériennes non complètement réversible avec un rapport VEMS / CVF < 70% est nécessaire au diagnostic d’une MPOC.
En cas de décompensation aigüe d’une insuffisance surrénalienne primaire, quels seront les modifications aux résultats de laboratoire (sérologie)?
ACTH
Augmenté(e)
En cas de décompensation aigüe d’une insuffisance surrénalienne primaire, quels seront les modifications aux résultats de laboratoire (sérologie)?
Aldostérone
Diminué(e)
En cas de décompensation aigüe d’une insuffisance surrénalienne primaire, quels seront les modifications aux résultats de laboratoire (sérologie)?
Cortisol
Diminué(e)
En cas de décompensation aigüe d’une insuffisance surrénalienne primaire, quels seront les modifications aux résultats de laboratoire (sérologie)?
Créatinine, urée
Augmenté(e)
En cas de décompensation aigüe d’une insuffisance surrénalienne primaire, quels seront les modifications aux résultats de laboratoire (sérologie)?
pH
Diminué(e)
En cas de décompensation aigüe d’une insuffisance surrénalienne primaire, quels seront les modifications aux résultats de laboratoire (sérologie)?
Potassium
Augmenté(e)
En cas de décompensation aigüe d’une insuffisance surrénalienne primaire, quels seront les modifications aux résultats de laboratoire (sérologie)?
Sodium
Diminué(e)
Insuffisance surrénalienne primaire - Cortisol sérique
diminué
Insuffisance surrénalienne primaire - DHEA sérique
diminué
Insuffisance surrénalienne primaire - ACTH sérique
augmentée
Insuffisance surrénalienne primaire - Test de provocation à l’ACTH
pas d’élévation normale du cortisol sérique
Insuffisance surrénalienne primaire - anticorps anti-surrénaliens (anti 21α-hydroxylase)
positif si maladie d’Addison
Quels tests confirmeront le diagnostic d’une insuffisance surrénalienne primaire?
- Le dosage élevé de l’ACTH
- l’absence d’élévation du cortisol sérique en réponse au test de provocation à l’ACTH
Insuffisance surrénalienne primaire - Conséquences d’un déficit en minéralocorticoïdes
Qu’est-ce qui compte pour 95 % de l’activité minéralocorticoïde?
aldostérone
Insuffisance surrénalienne primaire - Conséquences d’un déficit en minéralocorticoïdes
L’aldostérone exerce son action au niveau de quoi?
du tubule collecteur rénal où elle favorise la réabsorption tubulaire du Na+ en échange de l’excrétion d’ions K+ et H+
Insuffisance surrénalienne primaire - Conséquences d’un déficit en minéralocorticoïdes
si déficience en aldostérone, il y a quoi? (3)
- Hyponatrémie
- Hyperkaliémie
- Acidose métabolique
Insuffisance surrénalienne primaire - Conséquences d’un déficit en minéralocorticoïdes - si déficience en aldostérone -> hyponatrémie - mécanisme
diminution du Na+ sérique par natriurèse inappropriée et donc diminution du volume circulant efficace
Insuffisance surrénalienne primaire - Conséquences d’un déficit en minéralocorticoïdes - si déficience en aldostérone -> l’hyponatrémie provient également de quoi?
l’augmentation de l’ADH stimulée par la diminution du volume circulant efficace, ce qui amène une diminution d’excrétion d’eau libre
Insuffisance surrénalienne primaire - Conséquences d’un déficit en minéralocorticoïdes - si déficience en aldostérone -> hyperkaliémie - mécanisme
rétention de K+
Insuffisance surrénalienne primaire - Conséquences d’un déficit en minéralocorticoïdes - si déficience en aldostérone -> l’hyperkaliémie provient également de quoi?
de la diminution de la filtration glomérulaire par la diminution du volume circulant (insuffisance pré-rénale) et de l’acidose (le potassium intra-cellulaire passe dans l’espace extra-cellulaire, soit une hyperkaliémie par redistribution)
Insuffisance surrénalienne primaire - Conséquences d’un déficit en minéralocorticoïdes - si déficience en aldostérone -> acidose métabolique
rétention de H+
Insuffisance surrénalienne secondaire ou tertiaire
ACTH sérique
abaissée
Insuffisance surrénalienne secondaire ou tertiaire
Test de provocation à l’ACTH
normal
traitement de l’insuffisance surrénalienne primaire - durée
à long terme
Traitement de l’insuffisance surrénalienne primaire:
Traitement d’entretien à long terme composé de : (2)
- remplacement en glucocorticoïdes (ex. hydrocortisone)
- remplacement en minéralocorticoïdes (ex. fludrocortisone)
Traitement de l’insuffisance surrénalienne primaire :
Le patient devra augmenter la dose d’entretien de glucocorticoïdes en situation de quoi? sinon quoi?
stress aigu (ex. infection, chirurgie, maladie systémique aigüe), sinon risque de CHOC SURRÉNALIEN
Quelles sont les hormones sécrétées par les surrénales (de l’extérieur de la glande vers l’intérieur)?
- Minéralocorticoïdes (Aldostérone)
- Glucocorticoïde (Cortisol)
- Androgènes
- Adrénaline
Les surrénales se composent de quoi?
2 grandes régions
2 grandes régions des surrénales
- Le cortex (région externe)
- La médulla (région la plus interne)
Les surrénales se composent de 2 grandes régions - Le cortex (région externe) : ________ % de la glande
90%
Les surrénales se composent de 2 grandes régions - La médulla (région la plus interne) : ________ % de la glande
10%
Les surrénales se composent de 2 grandes régions - le cortex se divise en quoi?
se divise en 3 zones qui sont à partir de la zone la plus externe
Les surrénales se composent de 2 grandes régions - cortex et médulla - cortex se divise en 3 zones qui sont à partir de la zone la plus externe …
- Zone glomérulée
- Zone fasciculée
- Zone réticulée
Les surrénales se composent de 2 grandes régions - cortex et médulla - cortex se divise en 3 zones qui sont à partir de la zone la plus externe la zone glomérulée, la zone fasciculée et la zone réticulée
La zone glomérulée produit quoi?
Production des minéralocorticoïdes (aldostérone)
Les surrénales se composent de 2 grandes régions - cortex et médulla - cortex se divise en 3 zones qui sont à partir de la zone la plus externe la zone glomérulée, la zone fasciculée et la zone réticulée
La zone fasciculée produit quoi?
Production des glucocorticoïdes (cortisol) et androgènes
Les surrénales se composent de 2 grandes régions - cortex et médulla - cortex se divise en 3 zones qui sont à partir de la zone la plus externe la zone glomérulée, la zone fasciculée et la zone réticulée
La zone réticulée produit quoi?
Production des androgènes et glucocorticoïdes
Les surrénales se composent de 2 grandes régions - cortex et médulla - médulla produit quoi?
l’adrénaline et la noradrénaline
Un homme de 46 ans consulte dans un contexte de fatigue, faiblesse, anorexie et perte pondérale. Vous suspectez une insuffisance surrénalienne aigüe chez ce patient.
Nommer deux signes cliniques qui permettent de distinguer une insuffisance surrénalienne secondaire d’une atteinte primaire de la glande?
- Pas d’hypotension artérielle
- Pas d’hyperpigmentation
INSUFFISANCE SURRÉNALIENNE PRIMAIRE : Résulte de quoi?
destruction progressive des surrénales
INSUFFISANCE SURRÉNALIENNE PRIMAIRE - les manifestations cliniques s’installent quand?
Lorsque plus de 90 % des surrénales sont détruites
INSUFFISANCE SURRÉNALIENNE PRIMAIRE - 2 causes
- Maladie d’Addison : cause la plus fréquente.
- Adrénoleucodystrophie : 2e cause en fréquence
Définition de maladie d’Addison
Atrophie idiopathique par une destruction auto-immune
Maladie d’Addison parfois associée à quoi?
à une atteinte polyglandulaire (thyroïde, ovaires, pancréas)
INSUFFISANCE SURRÉNALIENNE PRIMAIRE - Autres causes
- hyperplasie congénitale des surrénales
- résistance à l’ACTH
- infections
- hémorragie
- métastases
- …
INSUFFISANCE SURRÉNALIENNE PRIMAIRE - Manifestations cliniques (6)
- fatigue
- faiblesse
- douleur abdominale
- anorexie
- nausées
- vomissements
INSUFFISANCE SURRÉNALIENNE PRIMAIRE - Manifestations cliniques si déficit minéralocorticoïdes (3)
- hypotension
- perte pondérale
- goût exagéré pour le sel
INSUFFISANCE SURRÉNALIENNE PRIMAIRE - Manifestations cliniques si déficit androgènes (2)
- diminution pilosité
- diminution libido
INSUFFISANCE SURRÉNALIENNE PRIMAIRE - Manifestations cliniques si déficit glucocorticoïdes (2)
- hypoglycémie
- hyperpigmentation
INSUFFISANCE SURRÉNALIENNE SECONDAIRE - définition
les surrénales sont saines, mais il y a un problème hypophysaire (diminution ACTH)
La cause la plus fréquente d’insuffisance surrénalienne secondaire
arrêt rapide d’une corticothérapie chronique
INSUFFISANCE SURRÉNALIENNE TERTIAIRE - définition
les surrénales sont saines, mais il y a un problème hypothalamique (diminution CRH)
En présence d’insuffisance surrénalienne secondaire ou tertiaire, contrairement à l’insuffisance surrénalienne primaire, qu’est-ce qu’il n’y a pas?
- pas de déficit en minéralocorticoïdes
- pas d’hyperpigmentation
En présence d’insuffisance surrénalienne secondaire ou tertiaire, contrairement à l’insuffisance surrénalienne primaire, il n’y a pas de déficit en minéralocorticoïdes pourquoi?
la production de minéralocorticoïdes est compensée par l’axe rénine-angiotensine
En présence d’insuffisance surrénalienne secondaire ou tertiaire, contrairement à l’insuffisance surrénalienne primaire, il n’y a pas de déficit en minéralocorticoïdes donc pas de quoi?
pas d’hypotension ni de trouble électrolytique
En présence d’insuffisance surrénalienne secondaire ou tertiaire, contrairement à l’insuffisance surrénalienne primaire, il n’y a pas d’hyperpigmentation - décrire le mécanisme
en réponse à une insuffisance surrénalienne primaire, l’hypophyse produit une quantité excessive d’________. Le précurseur de l’ACTH est la ________ (POMC). De cette molécule est aussi dérivée l’hormone ________ hormone (MSH). Donc en produisant plus d’ACTH à partir de la POMC, de grandes quantités de ________ sont également produites. La MSH va stimuler les ________ de la peau et ainsi produire une hyperpigmentation.
en réponse à une insuffisance surrénalienne primaire, l’hypophyse produit une quantité excessive d’ACTH. Le précurseur de l’ACTH est la proopiomélanocortine (POMC). De cette molécule est aussi dérivée l’hormone melanocyte-stimulating hormone (MSH). Donc en produisant plus d’ACTH à partir de la POMC, de grandes quantités de MSH sont également produites. La MSH va stimuler les mélanocytes de la peau et ainsi produire une hyperpigmentation.
À la clinique de médecine de famille, un homme consulte afin d’avoir de l’information sur le cancer colorectal.
Quels seraient les éléments du questionnaire de ce patient qui inciteraient à investiguer (drapeaux rouges) ?
- Antécédents familiaux de cancer colorectal
- Antécédents familiaux de polypose adénomateuse familiale
- Antécédents personnels de maladie inflammatoire intestinale
- Antécédents personnels de polypes colorectaux
- Ballonnements chroniques
- Constipation chronique
- Constipation nouvelle
- Flatulences incommodantes
- Histoire de gastro-entérite infectieuse en bas âge
- Mucus dans les selles
- Perte de poids involontaire
- Rectorragies
- Antécédents familiaux de cancer colorectal
- Antécédents familiaux de polypose adénomateuse familiale
- Antécédents personnels de maladie inflammatoire intestinale
- Antécédents personnels de polypes colorectaux
- Constipation nouvelle
- Perte de poids involontaire
- Rectorragies
facteur de risque le plus commun du cancer colorectal
l’âge
Près de 95 % des cas de cancer colorectal apparaissent après l’âge de …
50 ans
Vrai ou faux?
À partir de 50 ans, toutes les personnes ont donc un certain risque d’avoir un cancer colorectal.
Vrai
À partir de 50 ans, toutes les personnes ont donc un certain risque d’avoir un cancer colorectal. On appelle ce risque …
« risque moyen »
Quel que soit leur âge, certaines personnes ont un risque plus élevé que d’autres d’avoir un cancer colorectal. Cela pourrait être notamment le cas des personnes (5)
- qui ont déjà eu un cancer colorectal
- dont le père, la mère, le frère, la sœur ou l’enfant a eu un cancer colorectal
- qui ont déjà eu des polypes colorectaux
- qui ont certaines maladies des intestins comme la colite ulcéreuse ou la maladie de Crohn
- qui ont certaines maladies héréditaires comme la polypose adénomateuse familiale
Le dépistage du cancer colorectal vise à quoi?
détecter le cancer à un stade peu avancé, avant que les signes et symptômes de la maladie apparaissent
Le dépistage du cancer colorectal vise à détecter le cancer à un stade peu avancé, avant que les signes et symptômes de la maladie apparaissent. Les chances de succès du traitement sont alors X
meilleures
Le dépistage du cancer colorectal s’adresse surtout à qui?
aux personnes à risque moyen
En effet, il est recommandé aux personnes de ________ à ________ ans à risque ________ (sans symptômes et sans autre facteur de risque) de passer un test de dépistage du cancer colorectal tous les ________ ans.
En effet, il est recommandé aux personnes de 50 à 74 ans à risque moyen (sans symptômes et sans autre facteur de risque) de passer un test de dépistage du cancer colorectal tous les 2 ans
dépistage du cancer colorectal - Si le résultat de le test immunologique (RSOSi) est positif (4 % des cas), qu’est-ce qu’il se passe?
une coloscopie sera alors prescrite
Éviter d’ordonner une coloscopie chez qui?
les patients de moins de 50 ans souffrant de constipation en l’absence d’antécédents familiaux de cancer du côlon ou de signes avertisseurs
Vrai ou faux?
Beaucoup de personnes souffrent de constipation. Une revue exhaustive des données révèle qu’il ne s’agit pas d’un symptôme précis permettant de diagnostiquer une maladie organique.
Vrai
Chez le patient de moins de 50 ans n’ayant pas d’antécédents familiaux de cancer du côlon et ne présentant pas de signes avertisseurs (anémie, perte de poids), le risque de cancer colorectal est très …
faible
Chez le patient de moins de 50 ans n’ayant pas d’antécédents familiaux de cancer du côlon et ne présentant pas de signes avertisseurs (anémie, perte de poids), les risques associés à la colonoscopie sont comment?
l’emportent habituellement sur les bienfaits de l’examen
Évitez les tests de dépistage du cancer colorectal chez qui?
les patients asymptomatiques qui ont une espérance de vie de moins de dix ans et qui n’ont pas d’antécédents familiaux ou personnels de néoplasie du côlon et du rectum.
L’objectif des tests de dépistage du cancer colorectal, comme le test immunochimique fécal (TIF) et la coloscopie, est quoi?
réduire la mortalité grâce à la détection et l’ablation rapides des polypes (précurseurs du cancer du côlon) et des cancers colorectaux peu avancés
La coloscopie est une modalité de ________ sécuritaire, mais les risques augmentent avec l’________ et les ________
La coloscopie est une modalité de dépistage sécuritaire, mais les risques augmentent avec l’âge et les comorbidités
Il faut tenir compte de quoi pour juger du bien-fondé et du degré de risque des épreuves diagnostiques et de la coloscopie de suivi?
- espérance de vie
- présence de symptômes
- antécédents personnels et familiaux
- preuves diagnostiques antérieures
- préférences du patient
Si le recours à la coloscopie est jugé non sécuritaire ou inapproprié, le ________ ne devrait pas s’y substituer.
Si le recours à la coloscopie est jugé non sécuritaire ou inapproprié, le TIF ne devrait pas s’y substituer.
Bien entendu, lorsqu’un patient présente des symptômes, il est important de faire…
un diagnostic
L’investigation sera alors en fonction de quoi pour un cancer colorectal?
- situation
- ressources disponibles dans les milieux cliniques
À l’urgence d’un hopital régional, une femme de 40 ans consulte pour de la fièvre et une douleur abdominale haute. La douleur irradiant dans le dos est gradée à 8/10. La dame présente également des nausées et des vomissements. L’examen physique met en évidence un certain embonpoint. L’abdomen est souple, mais sensible à l’hypochondre droit. La température rectale est à 38,2℃.
Choisir les investigations qui NE SONT PAS recommandées lors de l’évaluation de cette problématique clinique.
ALT (alanine aminotransférase)
Recommandé
À l’urgence d’un hopital régional, une femme de 40 ans consulte pour de la fièvre et une douleur abdominale haute. La douleur irradiant dans le dos est gradée à 8/10. La dame présente également des nausées et des vomissements. L’examen physique met en évidence un certain embonpoint. L’abdomen est souple, mais sensible à l’hypochondre droit. La température rectale est à 38,2℃.
Choisir les investigations qui NE SONT PAS recommandées lors de l’évaluation de cette problématique clinique.
Amylase sérique
NON recommandé
À l’urgence d’un hopital régional, une femme de 40 ans consulte pour de la fièvre et une douleur abdominale haute. La douleur irradiant dans le dos est gradée à 8/10. La dame présente également des nausées et des vomissements. L’examen physique met en évidence un certain embonpoint. L’abdomen est souple, mais sensible à l’hypochondre droit. La température rectale est à 38,2℃.
Choisir les investigations qui NE SONT PAS recommandées lors de l’évaluation de cette problématique clinique.
AST (aspartate aminotransférase)
NON recommandé
À l’urgence d’un hopital régional, une femme de 40 ans consulte pour de la fièvre et une douleur abdominale haute. La douleur irradiant dans le dos est gradée à 8/10. La dame présente également des nausées et des vomissements. L’examen physique met en évidence un certain embonpoint. L’abdomen est souple, mais sensible à l’hypochondre droit. La température rectale est à 38,2℃.
Choisir les investigations qui NE SONT PAS recommandées lors de l’évaluation de cette problématique clinique.
Bilirubine totale
Recommandé
À l’urgence d’un hopital régional, une femme de 40 ans consulte pour de la fièvre et une douleur abdominale haute. La douleur irradiant dans le dos est gradée à 8/10. La dame présente également des nausées et des vomissements. L’examen physique met en évidence un certain embonpoint. L’abdomen est souple, mais sensible à l’hypochondre droit. La température rectale est à 38,2℃.
Choisir les investigations qui NE SONT PAS recommandées lors de l’évaluation de cette problématique clinique.
GGT (gamma-glutamyltransférase)
Recommandé
À l’urgence d’un hopital régional, une femme de 40 ans consulte pour de la fièvre et une douleur abdominale haute. La douleur irradiant dans le dos est gradée à 8/10. La dame présente également des nausées et des vomissements. L’examen physique met en évidence un certain embonpoint. L’abdomen est souple, mais sensible à l’hypochondre droit. La température rectale est à 38,2℃.
Choisir les investigations qui NE SONT PAS recommandées lors de l’évaluation de cette problématique clinique.
Lipase sérique
Recommandé
À l’urgence d’un hopital régional, une femme de 40 ans consulte pour de la fièvre et une douleur abdominale haute. La douleur irradiant dans le dos est gradée à 8/10. La dame présente également des nausées et des vomissements. L’examen physique met en évidence un certain embonpoint. L’abdomen est souple, mais sensible à l’hypochondre droit. La température rectale est à 38,2℃.
Choisir les investigations qui NE SONT PAS recommandées lors de l’évaluation de cette problématique clinique.
PA (phosphatase alcaline)
Recommandé
À l’urgence d’un hopital régional, une femme de 40 ans consulte pour de la fièvre et une douleur abdominale haute. La douleur irradiant dans le dos est gradée à 8/10. La dame présente également des nausées et des vomissements. L’examen physique met en évidence un certain embonpoint. L’abdomen est souple, mais sensible à l’hypochondre droit. La température rectale est à 38,2℃.
Choisir les investigations qui NE SONT PAS recommandées lors de l’évaluation de cette problématique clinique.
Vitesse de sédimentation
Non recommandé
À l’urgence d’un hopital régional, une femme de 40 ans consulte pour de la fièvre et une douleur abdominale haute. La douleur irradiant dans le dos est gradée à 8/10. La dame présente également des nausées et des vomissements. L’examen physique met en évidence un certain embonpoint. L’abdomen est souple, mais sensible à l’hypochondre droit. La température rectale est à 38,2℃.
Le diagnostic différentiel de cette patiente regroupe quoi?
des pathologies des voies biliaires causée par des cholélithiases (ex. cholécystite aigüe et pancréatite aigüe secondaire à une cholédocholithiase)
À l’urgence d’un hopital régional, une femme de 40 ans consulte pour de la fièvre et une douleur abdominale haute. La douleur irradiant dans le dos est gradée à 8/10. La dame présente également des nausées et des vomissements. L’examen physique met en évidence un certain embonpoint. L’abdomen est souple, mais sensible à l’hypochondre droit. La température rectale est à 38,2℃.
Le diagnostic différentiel de cette patiente regroupe des pathologies des voies biliaires causée par des cholélithiases (ex. cholécystite aigüe et pancréatite aigüe secondaire à une cholédocholithiase). Les analyses de biochimie permettront d’apprécier la ________ et de confirmer (ou exclure) une atteinte ________.
Les analyses de biochimie permettront d’apprécier la choléstase et de confirmer (ou exclure) une atteinte pancréatique.
À l’urgence d’un hopital régional, une femme de 40 ans consulte pour de la fièvre et une douleur abdominale haute. La douleur irradiant dans le dos est gradée à 8/10. La dame présente également des nausées et des vomissements. L’examen physique met en évidence un certain embonpoint. L’abdomen est souple, mais sensible à l’hypochondre droit. La température rectale est à 38,2℃.
l’examen complémentaire le plus pertinent est quoi?
une échographie abdominale
À l’urgence d’un hopital régional, une femme de 40 ans consulte pour de la fièvre et une douleur abdominale haute. La douleur irradiant dans le dos est gradée à 8/10. La dame présente également des nausées et des vomissements. L’examen physique met en évidence un certain embonpoint. L’abdomen est souple, mais sensible à l’hypochondre droit. La température rectale est à 38,2℃.
Le traitement définitif dépendra de quoi?
du plateau technique disponible soit une CPRE (cholangio-pancréatographie rétrograde) ou une chirurgie laparoscopique
Vrai ou faux?
En dépit de leur appellation, les dosages de l’AST et de l’ALT ne sont pas des tests de fonction hépatique
Vrai
les dosages de l’AST et de l’ALT constituent un moyen d’établir l’existence de quoi?
d’une nécrose hépatocellulaire
les dosages de l’AST et de l’ALT constituent un moyen d’établir l’existence d’une nécrose hépatocellulaire - mécanisme
L’hépatocyte, blessé par un médicament, un virus ou un autre agent toxique, libère des transaminases dans le sang
L’AST est présent où?
dans de nombreux tissus extrahépatiques
une augmentation du taux d’AST est peu ________ d’une atteinte ________
une augmentation du taux d’AST est peu spécifique d’une atteinte hépatique
La GGT est une quoi?
enzyme sensible
La GGT est une enzyme sensible dont la production est stimulée par de nombreux facteurs …
- stéatose hépatique causée par l’obésité abdominale
- diabète
- consommation chronique ou excessive d’alcool
- prise de certains médicaments
La GGT est une enzyme sensible dont la production est stimulée par de nombreux facteurs : stéatose hépatique causée par l’obésité abdominale, diabète, consommation chronique ou excessive d’alcool, prise de certains médicaments, etc. Comme ces facteurs sont fréquents, les résultats mettront souvent en lumière quoi?
une légère hausse de l’activité de la GGT
Toute situation clinique justifiant la mesure de la ________ ________ nécessite celle de la GGT
Toute situation clinique justifiant la mesure de la phosphatase alcaline nécessite celle de la GGT
Toute situation clinique justifiant la mesure de la phosphatase alcaline nécessite celle de la GGT afin d’établir quoi?
le diagnostic différentiel entre une origine hépatique ou osseuse pouvant expliquer la hausse des concentrations plasmatiques de la phosphatase alcaline
Le recours judicieux au dosage de la GGT se limite donc essentiellement à quoi?
ce rôle de complément d’information en vue de l’interprétation d’une augmentation de l’activité de la phosphatase alcaline
La majorité de nos laboratoires offrent le dosage de l’amylase qui permet de détecter quoi?
tous les types d’amylases
La majorité de nos laboratoires offrent le dosage de l’amylase qui permet de détecter tous les types d’amylases.
Une augmentation sera toutefois souvent d’origine
salivaire
La majorité de nos laboratoires offrent le dosage de l’amylase qui permet de détecter tous les types d’amylases.
La lipase, elle, est beaucoup plus spécifique de l’atteinte …
pancréatique
Ne demandez pas un dosage de l’amylase en plus de la lipase pour détecter une …
pancréatite
Le dosage de quoi ne doit pas être prescrit pour le diagnostic de la pancréatite aiguë?
l’amylase sérique totale
Le dosage de l’amylase sérique totale ne doit pas être prescrit pour le diagnostic de la pancréatite aiguë. La ________, plus spécifique, doit être préférée
lipase
Le dosage combiné de la lipase et de l’amylase, totale et pancréatique est-il indiqué pour le diagnostic de pancréatite aiguë?
pas indiqué
L’AST ne doit pas être prescrite pour la détection d’une atteinte ________ dans la majorité des cas
hépatique
L’AST ne doit pas être prescrite pour la détection d’une atteinte hépatique dans la majorité des cas, l’________ étant préférable
ALT
Le dosage combiné des enzymes ALT et AST apporte-t-il d’autres informations?
n’apporte généralement pas d’information supplémentaire
Le ratio AST/ALT est indiqué pour quoi?
le diagnostic d’une atteinte hépatique d’origine alcoolique
La vitesse de sédimentation est indiquée pour quoi?
le diagnostic et le suivi thérapeutique de
* l’artérite temporale (indication principale)
* de la polymyalgia rheumatica
* de l’arthrite inflammatoire