mastication Flashcards

1
Q

MASTICATION
place dans la manducation

A
  • 3ème après la succion :
    Préhension – succion – mas.ca.on – saliva.on - déglu..on
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2
Q

def mastication

A
  • Processus par lequel la consistance des substances alimentaires placées en bouche est mécaniquement modifiée afin de les rendre aptes à être déglu.es.
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3
Q

mouvement de quoi

A
  • Des dents : rela>ons inter-arcades par les mouvements de la mandibule
  • Des lèvres
  • Des joues
  • De la langue
  • Des muscles des régions péri-orales, pharyngiennes ou
    laryngiennes
  • Par la salivation
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4
Q

1ère étape d’une diges.on facilitée

A
  • Surface du bol alimentaire augmentée :
    o Facilite la dissolution salivaire
    o Stimulation des gustorécepteurs
    o Active les enzymes gastriques
    o Active les enzymes propres aux aliments : ptyaline et oxydases
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5
Q

evaluation
- Test de comparaison d’un bol alimentaire avec une efficacité mas.catoire normale et d’un bol non mas>qué.

A

o Mas.ca.on pendant un certain nombre de cycles
o Filtrage à travers des tamis de mailles décroissantes
o Par.cules recueillis sur un tamis fin = efficacité élevée

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6
Q

evaluation
contact occlusaux

A

Mordu sur un boudin de silicone

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7
Q

facteurs qui n’influence pas la mastication

A
  • Nombre de dents et type de dents
  • En théorie, mais :
    o On ne peut avoir qu’un contact occlusal de grande surface
    o Une dent sans antagoniste a une efficacité nulle
    o Une dent en malposi>on a une efficacité réduite
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8
Q

facteurs qui influence mastication

A

L’aire des contacts occlusaux en OIM.

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9
Q

Facteurs pouvant influencer mais sans différences significa.ves.

A

Intensité des forces exercées :
o Réduite si pertes osseuses
o Réduite si dents prothé>ques.

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10
Q

Conséquences d’une efficacité réduite

A

Volume des par.cules augmenté :
Passage dans l’estomac prolongé :
Temps de mas.ca.on inchangé
Symptômes gastriques et/ou intes.naux non systéma.ques

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11
Q

cycle mouvement condylien

A

o Trajectoire du condyle T en 8 incliné vers l’avant = mouvement en arrière et vers l’extérieur puis glissement antérieur.
o Trajectoire du condyle NT iden>que sans glissement antérieur.

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12
Q

Caractéris.que du type d’alimenta.on :
carnivores

A

pour préhension et cisaillement de la proie :
dent et ATM

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13
Q

Caractéris.que du type d’alimenta.on :
herbivores

A

Herbivores pour broyer et moudre les végétaux :
mouvements ver>caux et antéro-postérieurs

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14
Q

Caractéris.que du type d’alimenta.on :
rongeurs

A

forte amplitude antéro-postérieure et faible
amplitude ver>cale latérale

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15
Q

Caractéris.que du type d’alimenta.on :
primate

A

appareil mas>cateur pour tout type de
nourriture.

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16
Q

durée mastication

A

1 seconde

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17
Q

forme mastication

A
  • En goutte d’eau : trajectoire du point incisif dans le plan frontal et descendante antéro-postérieur dans le plan sagittal du point incisif
  • Visible sur le diagramme de POSSELT: les mouvements mandibulaires en représentent 1⁄4 et sont dans sa par>e postérieure.
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18
Q

PHASES MODÈLE 1 (plan frontal)
etapes

A
  • Préparatoire : 36% du cycle
  • Établissement des contacts dentaires : 18% du cycle
  • Écrasement du bol alimentaire : 34 % du cycle
  • Broiement du bol alimentaire : 12% du cycle
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19
Q

Préparatoire :

A
  • Départ en OIM et ouverture lente puis rapide
  • Abaissement du point incision du coté NT :
  • Franchissement de l’axe médian
  • Abaissement du point incision du coté T :
    o au maximum lorsque les bords incisifs maxillaires et mandibulaires sont distants de presque 20mm
    o au maximum lorsque le point incision est distant de l’axe distant d’environ 5mm.
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20
Q

Établissement des contacts dentaires

A
  • Éléva.on de la mandibule : fermeture rapide.
  • Contacts plus précoces si aliments plus volumineux.
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21
Q

Écrasement du bol alimentaire

A
  • Fin de l’élévation mandibulaire = fermeture lente :
    o D’abord verticale
    o Puis se rapproche de l’axe médian
    o Arrivé à un espace entre les bords incisifs maxillaires et mandibulaires de 3mm, le point incision est distant de 3mm de l’axe médian.
  • Contraction isotonique des muscles masticateurs
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22
Q

Broiement du bol alimentaire

A
  • Aliments coincés entre les cuspides :
    o Si aliments volumineux : pas de contact
    o Si aliments assez mous : retour en OIM
  • Contraction isométrique des muscles masticateurs.
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23
Q

PERIODES : MODÈLE 2

A

Préparatoire
- Aliment placé sur la par.e postérieure de l’arcade
Réduction
- Broyage de l’aliment
Prédéglutition
- Bol alimentaire formé et prêt à être déglu..

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24
Q

variabilité cycle
difference

A
  • Dues aux adapta>ons aux changements de bol alimentaire grâce aux propriocepteurs : type, texture, consistance.
  • Dues aux s.lla.ons des zones orofaciales.
  • Entre les individus
  • Chez un même individu
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25
variabilité cycle similarité
- Trajectoire pendant la phase de broiement (guide cuspidien)
26
Mas.ca.on unilatérale alternée
80 % de la pop - Néanmoins souvent côté préféren.el - Action synergique asymétrique des muscles avec des mouvements de diduction.
27
Mastication unilatérale stricte
18% de la pop - Due aux problèmes dentaires ar>culaires ou occlusaux (douleurs). - Absence de mouvement de diduc.on donc peut provoquer : o une absence de croissance des arcades du côté opposé o des dysfonc.onnements musculaires o des dysfonc.onnements parodontaux
28
Mastication bilatérale
2 % de la pop - Mouvements ver.caux sans diduc.on - Due aux prothèses complètes
29
LA LANGUE Contrôle
- Les mouvements de l’aliment (placé entre les faces occlusales) - La forma.on du bol alimentaire - Le tri des par.cules
30
mouvement langue pendant l'ouverture lente :
o En avant o Sous l’aliment
31
mouvement langue pendant la fermeture rapide et lente
o Rétraction avec l’aliment dans la par>e postérieure de la cavité buccale.
32
mouvement langue dans la cavité buccale
Compression de l’aliment contre le palais.
33
CONTACTS OCCLUSAUX Évalua.on
- Par des techniques télémétriques o Commutateur o Contacteur o Onde reçue par un poste si contact
34
durée contact occlusaux
200ms
35
contacts glissant
Frocement des versants cuspidiens
36
contacts isolés
EnOIM
37
Contacts occlusaux et faceces d’abrasion NT
- Fonc.onnels - Moins fréquents et ne guident pas la mandibule - Laissés sauf s’ils interfèrent le trajet mandibulaire (diminution de l’efficacité masticatoire).
38
FORCES DÉVELOPPÉES Évaluation - Des forces statiques :
o Par un dynamomètre inter arcades o Plus faibles pour les incisives que les molaires ( 100 N vs 500 N ) o Plus faibles chez la femme o Plus faibles chez la personne âgée o Augmentent avec l’entrainement : 200 N en 7 semaines (rediminuent si arrêt)
39
FORCES DÉVELOPPÉES Évaluation force réel
o Par des jauges de contraintes sur les phases occlusales de reconstitutions prothétiques o Varient selon l’aliment et l’individu o 50 à 150N en phase de broiement puis augmentent avec le nombre de cycle.
40
ACTIVITÉ MUSCULAIRE Évalua.on par :
- Par l’électromyographie - Par la tomoéchographie
41
pb electromyographe
o impossible de connaitre la couche du masséter impliquée o impossible de connaitre le mouvement exact des fibres du muscle penniforme o mouvements rhéologiques sans manifesta.ons électriques non visibles
42
pb tomoechographie
o Mise en œuvre complexe o Interpréta.on délicate
43
phase élévation debut =
ac.vité isotonique et isométrique: o Ptérygoïdiens médiaux pour l’écrasement o Masséter pour l’écrasement
44
phase élévation fin =
remodelage avec ac.ons des forces rhéologiques des aliments:
45
phase élévation fin cote NT
faisceau antérieur du Temporal et Zygomatico- mandibulaire pour le retour en OIM
46
phase élévation fin cote T
Ptérygoïdien médian pour le retour en OIM et Ptérygoïdiens latéral pour le retour de la tête condylienne
47
muscle pause
- 200ms - Silence électromyographique - En OIM pour éviter la décohésion au niveau de l’ATM : o Partie postérieure du Masséter
48
phase d'abaissement muscle debut
- Début : o Mylohyoïdiens o Puis digastriques et faisceaux inférieurs des ptérygoïdiens latéraux pour entraîner la tête condylienne en avant et latéralement.
49
controle nerveux differente composante sensible
- Complexe trigéminal = colonne de neurones du pont à la moelle spinale: - Faisceau solitaire (gusta=on) - Noyau mésencéphalique trigéminal - Divers noyaux du tronc cérébral
50
- Complexe trigéminal = colonne de neurones du pont à la moelle spinale: qui
o Noyau principal rostral à hauteur du noyaux trigéminal moteur = noyau trigéminal moteur ; limité médialement par la racine motrice du V et latéralement par sa racine sensitive. o Noyau spinal divisé de rostral en caudal en : noyau oral, noyau interpolaire, noyau caudal (ce dernier étant une expansion de la moelle spinale).
51
- Complexe trigéminal = colonne de neurones du pont à la moelle spinale: role
Arrivée des informa=ons sensi=ves
52
- Faisceau solitaire (gusta=on)
-> Arrivée des informa=ons sensorielles
53
Noyau mésencéphalique trigéminal
o Corps cellulaires (neurone unipolaire) des fibres afférentes des muscles élévateurs de la mandibule et corps cellulaires des mécanorecepteurs des ligaments alvéolo-dentaires ou gingivaux
54
Divers noyaux du tronc cérébral
Axones (neurone unipolaire) de ces mêmes éléments.
55
composante motrice
- Noyau masticateur = trigéminal moteur : - Noyau hypoglosse : - Noyau facial = 3 colonnes longitudinales de motoneurones :
56
noyau masticateur
o Motoneurones gamma o Motoneurones alpha dorsolatéraux : muscles élévateurs de la mandibule o Motoneurones alpha médioventraux : muscles abaisseurs de la mandibule, stimulés par les mécanorécepteurs ! (ne s’influencent pas mutuellement)
57
noyau hypoglosse
o Motoneurones (multipolaires dont les dendrites rejoignent le noyau controlatéral) et interneurones : muscles de la langue
58
Noyau facial = 3 colonnes longitudinales de motoneurones :
o 2 larges colonnes médiale et latérale : par9e ventrale et dorsale de la latérale pour les muscles de la lèvre supérieure. o 1 petite colonne intermédiaire : muscle de la lèvre inférieure
59
THÉORIES DU CONTRÔLE NERVEUX DE LA MASTICATION OBSERVATIONS
- Mécanorécepteurs de la zone orofaciale entrant en action suite à l’augmentation des forces de morsure, fréquence des potentiels d’action qui s’accroit : -> il existe un contrôle de de la mas>ca>on -> ces informations ne génèrent pas de rythme Comment la mastication est-elle initiée et rythmée ?
60
1ère REFLEXE OUVERTURE- FERMETURE
- SHERRINGTON soutenue par JERGE - Arguments : o Poten.els d’ac.on dans le NMT si pression sur dents mandibulaire ou OIM (réflexe d’ouverture) et si ouverture des mâchoires (réflexe de fermeture) - Limites : o Théorie vite minimisée ( par SCHAERER par exemple)
61
2ème théorie = ACTIVITÉ CORTICALE (aires motrices)
- De KAWAMURA - Arguments : o Stimula.on de la partie latérale du cortex induit des mouvements répétitifs o Ablation induit des difficultés à manger o -> le cortex peut-être initiateur de la mastication - Limites : o Récupération de la capacité à mastiquer après ablation -> le cortex n’est pas indispensable à l’initiation
62
3ème théorie = CENTRE GENERATEUR = PATTERN GENERATOR = CENTRE DE LA MASTICATION theorie g
- Réseau oscillatoire d’interconnexions de circuits neuronaux - Dans la forma.on ré.culée du tronc cérébral (pont et bulbe)
63
3ème théorie = CENTRE GENERATEUR = PATTERN GENERATOR = CENTRE DE LA MASTICATION argument
o Tronc cérébral (niveau bulbaire) suffisant à la mastica.on car fonctionne sans les informations sensibles de la cavité buccale reçues pour l’initier (récepteurs musculaires, parodontaux ou ar>culaires) o Tronc cérébral (niveau bulbaire) suffisant à la mastication car fonctionne sans les influx des centres supérieurs reçus pour l’initier (mouvements variables) mais fonctionne sans (mastication simple).
64
3ème théorie = CENTRE GENERATEUR = PATTERN GENERATOR = CENTRE DE LA MASTICATION sans eux : avec eux :
Sans eux -> mouvements masticateurs simples Avec eux -> mouvements masticateurs variables
65
THÉORIES DU CONTRÔLE NERVEUX DE LA MASTICATION (SUITE) SYNTHESE DES THEORIES = THEORIE DE LUNG origine du rythme centrale
o Cortex moteur o Axones issus de ces territoires o Forma.ons sous cor.cales o Système limbique o Substance ré.culée
66
THÉORIES DU CONTRÔLE NERVEUX DE LA MASTICATION (SUITE) SYNTHESE DES THEORIES = THEORIE DE LUNG puis centre de la mastication
o Interneurones, ponto-bulbaire o Recevant des informa.ons centrales et périphériques o Assure coordina.on et le rythme de la mas.ca.on en ac.vant et inhibant les muscles
67
THÉORIES DU CONTRÔLE NERVEUX DE LA MASTICATION (SUITE) SYNTHESE DES THEORIES = THEORIE DE LUNG voies reflexe
Voies réflexes persistances sur les motoneurones (dont les alpha) : exemple du réflexe protecteur si on se mort la langue, arrêt de la mas>ca>on