deglutition 2 Flashcards
Activité musculaire pendant la déglutition
phase pharyngée
met en jeu :
les muscles sushyoïdiens, linguaux, pharyngiens et laryngés.
Activité musculaire pendant la déglutition
phase pharyngée
activité précoce
en particulier le génio-glosse, qui est le principal muscle propulseur de la langue. Ces muscles à activité précoce sont situés à trois niveaux anatomiques
- suspenseurs sus-hyoïdiens
- muscles participant à l’élévation du voile du palais
- les muscles impliqués dans la fermeture de l’isthme palato-pharyngé
Activité musculaire pendant la déglutition
phase pharyngée
activité précoce
suspenseur sus hyoidien
(en particulier le mylo-hyoïdien, le stylo-hyoïdien et le génio-hyoïdien) qui participent au placement de la partie postérieure de la langue en attirant en haut et en avant l’os hyoïde
Activité musculaire pendant la déglutition
phase pharyngée
tensor tympani
C’est également durant cette phase que le tensor tympani se contracte, ce qui permet de ventiler l’oreille moyenne en dilatant la trompe d’Eustache.
Activité musculaire pendant la déglutition
phase pharyngée
respiration
Simultanément à cet enchaînement de contractions musculaires, la respiration s’interrompt.
Activité musculaire pendant la déglutition
phase pharyngée
muscle recruté ensuite
e groupe de muscles recruté ensuite (une fois que le 1/3 de la contraction des muscles précédents se soit déroulé) est constitué des trois muscles constricteurs supérieur, moyen et inférieur du pharynx
Activité musculaire pendant la déglutition
phase pharyngée
contraction muscle laryngée
a contraction des muscles laryngés s’enchaîne simultanément, impliquant en particulier d’une part le thyro-hyoïdien qui participe à l’élévation du larynx, le sphincter crico-pharyngien, avec la contraction des muscles thyro- aryténoïdiens et cricothyroïdiens, entraînant l’adduction des cordes vocales, donc la fermeture de la glotte.
Activité musculaire pendant la déglutition
phase oesophagienne
se caracterise par
se caractérise par la contraction péristaltique des muscles striés (rapides) puis lisses (lents) de l’œsophage.
Activité musculaire pendant la déglutition
phase oesophagienne
activite peristaltique
L’activité péristaltique de la partie basse de l’œsophage peut se poursuivre après paralysie par curarisation de la partie haute, ce qui suggère que cette dernière soit sous le contrôle d’un générateur de rythme central, et qu’il existe un mécanisme de rétroaction périphérique permettant à l’onde péristaltique de se poursuivre.
Activité musculaire pendant la déglutition
phase oesophagienne
sphincter
e sphincter œsophagien inférieur (gastro-oesophagien) se relâche dès que le bol pénètre dans l’œsophage.
Activité musculaire pendant la déglutition
enchaine phase pharyn et oeso
Il faut noter ici que les phases pharyngées ne sont pas nécessairement suivies chacune d’une phase œsophagienne, surtout lorsqu’elles surviennent de manière répétée, puisqu’une longue période d’inhibition suit la phase œsophagienne et ne permet pas à l’œsophage de se contracter à la même fréquence que les muscles impliqués dans la phase pharyngée.
b) Contrôle nerveux de la déglutition
- progressé grâce aux enregistrements électromyographiques (EMG) des différents muscles + enregistrements nerveux périphériques et centraux.
- celle des lésions nerveuses centrales et périphériques,
- des ablations musculaires sélectives
- ou encore des stimulations nerveuses électriques ou centrales.
derniere technique but
appliquées au cortex, aux régions souscorticales supra-segmentaires et aux régions segmentaires (en particulier au niveau bulbaire) ont pour but de déterminer celles d’entre elles dont la stimulation est capable d’évoquer la déglutition.
Les centres déglutiteurs comprennent trois composantes.
1) composante sensible
- Les informations sensibles issues de la cavité buccale, du pharynx, du larynx et de l’œsophage
- arrivent dans le noyau du faisceau solitaire et dans le complexe sensitif du trijumeau : ces structures sont impliquées dans
– l’initiation de la déglutition et
– les afférences issues des fibres du glossopharyngien et du nerf laryngé supérieur.
Les centres déglutiteurs comprennent trois composantes.
2)
2) Les efférences motrices partent des noyaux ambigu, facial, trigéminal et hypoglosse ainsi que de la partie cervicale de la moelle épinière.
Les centres déglutiteurs comprennent trois composantes.
3) interconnexion systeme
Entre ces centres recueillant les afférences et engendrant les efférences, il existe un réseau neuronal qui programme, grâce à des synapses excitatrices et inhibitrices, la séquence d’événements de la déglutition. Ce centre n’est donc pas une structure anatomique propre mais une interconnexion des systèmes sensibles et moteurs par un réseau neuronal. Ce centre n’a donc pas de localisation anatomique encore bien défini