Études diagnostiques Flashcards
Objectifs de toutes les études diagnostiques :
= évaluer l’apport d’un signe clinique, d’un élément biologique ou d’un examen morphologique pour le diagnostic d’une maladie
=> C’est la performance diagnostique du test à l’étude.
Définition de l’évalusation d’impact d’une démarche diagnostique/dépistage :
= Correspond soit :
- à un essai contrôlé randomisé avec ou sanns la mise en place du nouveau test
- à une étude observationnelle (équivalent d’étude épidémiologique analytique)
=> Ne pas confondre avec une étude diagnostique
Traduction d’Accurancy :
=> Piège de traduction à connaitre : Correspond à 2 traductions :
= Précision diagnostique
= Performance diagnostique
Obcession ECNi n°1 devant une étude diagnostique :
= identifier dans quelle forme d’étude diagnostique on se trouve :
- Soit une étude avec comme critère de jugement principal, l_‘impact pratique du test déjà mis en place_ en terme de survie ou d’apparition de complciations
- Soit une étude avec comme critère de jugement principal, les performance diagnostiques du test
=> Le type de l’étude observationnelle ou interventionnelle est à évaluer en parallèle du critère de jugement principal, et n’est pas toujours fixé selon ce critère de jugement !
2eme obsession ECNi devant une étude diagnostique :
= TOUJOURS évoluer la capacité d’utiliser les résultats de l’étude en pratique quotidienne auprès d’une population rééelle = validité externe de l’étude
=> Pour ce faire, il faut analyser chacune des modalités pratiques de l’étude vraiment très scrupuleusement ! (lieu de la réalisation du test, l’heure de la réalisationn avec une meulleure valeur si test réalisé 24/24h pour des urgences)
Type d’étude pour une étude diagnostique/dépistage de performance : (3)
- Étude transversale : à privilégié +++ : pour avoir au même momennt les données de la réalisation du test étudié (I) et du Gold standard (C)
- Eude de cohorte prospective : lorsqu’il s’agit de suivre les patients pour completer le Gold Standard :
Ex : D-Dimere pour le dépistage de l’EP si risque faible avant angioscanner
- Etude cas-témois : utile dans le cas d’une maladie rare ou au stade de développement initial d’une nouveau test : phase II like
Ex: on prend des cas confirmés d’une maladie par le gold standard et on chercher avec le test étudié à différencier les témoins et les cas
=> Il n’est pas toujours possible d’aboir un test de référence : alors un faisceau d’argument, l’opinion d’un expert, voire l’évolution clinique d’un patient, fournit une procédure de référence.
Piège fort :
Caractéristique d’une étude prospective dans une étude diagnostique/dépistage de performance :
= désigne souvent unn recrutement prospectif des patients :
Ex : etude transversale avec pratique contemporaine du test étudié et du test de référence, mais tous les patients qui se présentent aux urgences de l’hopital de manière consécutive (prospective) avec une utilisation possible dans “matériels et méthodes” du terme de COHORTE par les auuteurs, est nu abus de language fréquent !! mais on parle bien au final, d’unue étude TRANSVERSALE qui est donc adaptée pouru répondre à la question posée.
Différence entre une étuude diagnostque/dépistage de performance et une étude diagnostiquue/dépistage d’impact :
- L’étude diagnostique/dépistage de performance vise à évaluer les capacités du nouveau test à bien diagnostique/dépister la maladie.
=> Le critère de jugement principal sera alors l’ensemble des performances diagnostiques du test (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, RVP, RVN et courbe ROC éventuelle)
- L’étude diagnostique/dépistage d’impact vise à évaluer l’impact clinique réel de la mise en place de test en pratique quotidienne pour les patients
=> Le critère de jugement principal est un évement clinique.
2 types d’études possibles pour les études diagnostique/dépistage d’impact :
- Essai controlé randomisé : à privilégier +++ : comparaison d’une population avec ou sans la mise en place du nouveau test sur la survenue d’un événement clinique pertienent lié à la maladie étudiée
=> Recommandé de réaliser une ITT (car étude interventionnelle de supériorité) = abalyse en intention de diagnostiquer = analyse en intention de dépister
- Etude observationnelle = équivalent d’étude épidémiologique analytique en terme de méthodologie, où l’on étudie comme facteur d’exposition l’exposition au test diagnsotique. Ce type d(étude est proposé pour un test diagnostique/dépistage d”éja en place avant le début de l’étude.
3 informations à traquer dans les articles d’étude de dépistage/diagnostique :
- Par rapport à quel test dfe référence (ex:culture)
- Dans quelle maladie (ex: angines à SGA)
- Dans quel contexte (ex: aux urgences)
2 Méthodes pour recruter les patients dans une étude diagnostique/dépistage :
- Recrutement systématique et consécutif dans un service = échantillon représentatfi avec un spectre de gravité homogène !
=> Augmente la validité interne = idéale méthodologique en diagnostique !
- Patients adressés à un centre de diagnostic pour exploration :
=> Toujours se poser la question sur quels critères ont)ils été adressés à ce centre ?
Critères principal d’évaliation d’une étude diagnostique/dépistage :
- Critère de jugement principal commun = performance diagnostique du test par les paramètres opérationnels = Se-Sp - VPP- CPN- RVP-RVN
- Si test quantitatif :
- Critères principals = les paramètres opérationnels pour un seuil prédéfini
- Critères secondaires = le seuil optimal (ROC) - le perason - le bland-altman
5 étapes clés de la méthodologie d’une étude diagnostique/dépistage :
=> Principe = on compare les résultats avec le test à l’épreuve contre le test de référence : n’a d’interet que si le nouveau test est moins cher, plus facile, plus rapide :
1) Un seul échantillon de patients avec suspicion de la maladie (M) : Ex : douleur thoracique
2) Tous les patients subissent successivemment le test à l’épreuve et les tests de référence : ex: tropo puis coro
3) Evalusaiton en aveugle de chacun des tests : classifcaition en M+/M- selon le Gold standard = on consid!re que c’est la vérité et calddification en T+/T- selon le test à l’épreuve.
4) Calcul des paramètres du test diagnostique à l’épreuve :
* Tableau de contingence pour calcul Se/Sp - RVP/RVN - Courbe ROC si quantitatif
5) Conclusion = avantage ou non du test, discussion de la validité externe du test
=> La Se augmente artidiciellement et donc la RV+ avec.
Définition du RV :
= gain diagnosntique
= probabilité pré/post-test (avec RV : LR likelihood ratios)
Paramètres évaluables si le test de régérence n’est pas réalisé lorsque le test étudié est positifs (ce qui implique une dépendance entre les 2 tests) :
= UNIQUEMENT la VPN
Parammètres évaluables si le test de référence n’est rélaisé que lorsque le test étudié est positif :
= UNIQUEMENT la VPP
Paramètres évaluables si le test étudié n’est réalisé que lorsque le test de référence est positif (donc chez les malades) :
= UNIQUEMENT la Se
5 paramètres à toujours préciser pour qualftier le test de référence :
- Description précise de la méthode urilisée
- Performmances-reproductibilité-fiabilité-validité
- Standardisation
- Valeurs “normales” et “seuil de positivité” - les unités
- Contrôle de qualité
Diagramme de flux pour es étude diagnostique :
=> Page 179 bas
+ page 180
Parammètres pris en compte pour calculer le NSN dans une étude diagnostique :
- hypothèse sur la prévalence de la maladie
- Hypothèse sur la Se ou Sp du test
- Hypothèse sur la largeur de l’intervalle de confiance
Principales sources de biais dans les résultats pour une étude diagnostique :
- Le nombre de résultats indéterminées ou non interprétables ou aberrants nonn mentionnné
- Le nombre de résultats inndéterminés importants
- < 90% des données des patients inclus disponibles pour l’analyse
- Les analuses en sous)froupes ne sont pas appropriées ou ne sont pas interprétables
- Conclure sur l’édude à partir des VPP et CPN (dépendent de la prévalence !!! ) et non Se ou Sp
3 paramètres lcés pour définir si la réalisation du test va midifier la prise en charge du patient :
- Selon le rapport de vraisemblance = qui va entrainer une modification de la prise en charge si ce rapport est suffisamment élevé (rapport de vraisemblance positif) ou bas (rapport de vraisemblance néfatif)
- Selon le seuil DIAGNOSTIQUE au dela duquel une prise en charge sera proposée = ce seuil thérapeutique conditionne le besoin et l’importance d’un test
- Selon le seuil d’INVESTIGATIONn au dessous duquel la pratique d’un test daignostique n’apportera plus d’élément complémentaire permettant ainsi d’arrêter les investigations
2 types de tests diagnostiques :
- Qualitatif ; résutlats + méthode d’évaluation
- Quantitatif : résultats + méthode de détermination
> QUALITATIF :
- Résultat :
- binaire (diichotomique) (ex: ECBC)
- Nominal = échelle sans hiérarchie (ex groupe sanguin)
- Ordinal : échelle hiérarchique (ex: ABG : S/I/R)
- Méthode : évalusaiton de la reproductibilité par coefficient kappa (k)
> QUALITATIF :
- Résultat
- Toujours une valeur numérique continue (ex: glycémie)
=> problème = caleur seuil normal/ pathologique
- Méthode : détermination de la caleur seuil par courbe ROC (+/- Person ou Bland-Altman)
Différence entre tests de dépistage et tests de confirmaiton :
- Objectif
- Contexte
- Sujets
- Sensibilité et spécificité
- Avantages
- Inconvénients
=> tableau page 183
Critères OMS justifiiant la mise en place d’un dépistage de masse (OMS) :
> Critères liés à la maladie dépistée :
- Fréquence
- Gravité
- Problème de santé publique
- Histoire naturelle connue
- Évolutition lente avec signes fonctionnels tardigs
- Un traitement existe
- Pronostic améliioré par un traitement précoce
> Critères liés au test de dépistage = VRAC :
- Validité interne du test élevée = test sensible et assez spécifique avec bonne VPN surtout
- Reproductible
- Acceptable par > 60% de population - peu invasif - simple
- Cout supportable
> Critères liés à la population dépistée :
- Population sible identifiée et senbibilisée
- Population ayant accès aux miyens diaignostiques et thérapeutiques
3 situations lorsqu’on évalue une test de dépistage :
- évolution spontanée = absence de test de dépistage
- Test de dépistage ineffiicace = permet un avance au diagnostix mais sans bénéfice clinique
- Test de dépistage efficace = permet une avance au diagnsoti assocé à un bénéfice clinique
=> Page 184
Tableau de contingence d’une étude diagnostique :
=> Page 184 bas