Cours 11 - Questions sur les lectures Flashcards
Barker, M. (2011)
Pourquoi les thérapeutes existentialistes croient-ils en l’importance d’éviter de poser des diagnostics?
- Les diagnostics peuvent être contre-productifs, parce qu’ils diminuent la capacité du thérapeute à se connecter à l’individu en tant que personne;
- Il y a le danger qu’un diagnostic signifie qu’on s’occupe beaucoup des caractéristiques qui correspondent à un diagnostic initial et pas assez à celles qui ne correspondent pas, mais qui peuvent être tout aussi importantes;
- Le diagnostic peut devenir une prophétie auto-réalisatrice qui amène les individus à penser qu’ils ont une aversion pour le sexe.
Barker, M. (2011)
Comment l’approche existentielle perçoit-elle les individus et les clients?
Comme des constructeurs de sens qui s’impliquent activement à donner un sens à leur univers.
Barker, M. (2011)
Quelles sont les 4 données existentielles des êtres humains identifiées dans le texte de Barker, M. (2011)?
1) Comment vivre une vie significative;
2) Comment se connecter aux autres;
3) Mortalité;
4) La liberté de choisir.
Keinplatz, P. (2007)
Selon Keinplatz et Ménard (2007), à partir de quel modèle la recherche empirique et clinique tend-elle à concevoir la sexualité contemporaine? Quel est ce modèle et quelles sont les conséquences sur la recherche?
Le modèle du cycle de la réponse selon Masters & Johnson.
On fait le focus sur la psychopathologie en parlant en matière de paraphilies et dysfonctions VS une sexualité normale. Mais on s’est peu attardé à ce qu’est une sexualité dite «normale».
Quelles sont les 6 composantes du modèle de sexualité optimale développé par Keinplatz et Ménard (2007)?
1) être présent.e.
2) authenticité
3) intensité de la connexion émotionnelle
4) intimité érotique et sensuelle
5) communication
6) transcendance
Selon Keinplatz et Ménard (2007), leur modèle de la sexualité optimale soulève une bonne et une moins bonne nouvelle pour l’intervention en matière de sexualité. Nommez et décrivez brièvement ces deux aspects.
Bonne nouvelle: être sexuellement fonctionnel n’est pas nécessaire pour avoir du bon sexe (ex.: dysfonctions érectiles, maladies, handicaps n’empêchent pas l’atteinte d’un plaisir sexuel);
Mauvaise nouvelle: être sexuellement fonctionnel n’est pas suffisant pour avoir du bon sexe (ex.: même si une dysfonction sexuelle (perte d’érection, vaginisme) est réglée, ce n’est pas garant de plaisir sexuel ou de bon sexe).