APP 2 Flashcards
Chose principale responsable de la température au repos?
Métabolisme basal
V ou F: Une incapacité du corps à entraîner la fièvre pendant une infection bactérienne sévère a été associée avec une morbidité
et une mortalité plus élevée
V
infection, endotoxines et enterotoxines activent quoi
Toll like receptors dans hypothalamus OVLT
et phagocytes, endothelium, T cells, qui font IL1 TNF IL6 qui font faire COX2/3, PGE2, AMPc qui va au centre thermoregulateur (pour faire une vasoconstriction périphérique augmentant la T) et au cortex cerebral pour faire des changements de comportement
nommez des ains
ibuprofen, naproxen
Autres médicaments antipyrétiques
− Agents vasodilatateurs : Permettent une meilleure vasodilatation périphérique et une thermolyse accentuée.
− Agents bloquant la contraction musculaire : En diminuant le frissonnement qui accompagne la fièvre, ils permettent une diminution de la thermogenèse
À part les infections bactériennes opportunistes, neutropénie pourrait donner….
Les infections occultes causées par des
fungi, telles que les candidiases hépatospléniques et l’aspergillose, doivent être considérées. Moins fréquemment, l’herpes simplex peut être l’agent causal, mais il y a habituellement des lésions cutanées
caractéristiques
VIH cause fievre comment
infection aigue au VIH
ou infections opportunistes
moins fréq: lymphome, Kaposi, meds
critères pour:
classique
nosocomiale
neutropénie
VIH
classique: plus que 38.3, plus que 4 sem, 3 visites/3 jour hospit (infection malignancy collagen vascular)
noso: 38.3, hospi plus que 24h et pas fievre admission, evaluation 3j (c.diff, enteroclite, embolie, thrombophlebite, sinusite)
neutro: 38.3, moins que 500 neutro par mm, eval 3j (opportunistic, aspergillose, candiase, herpes)
vih: 38.3, plus que 4 sem pas hospi ou 3j hospit, VIH (CMV, MAC, pneumocystis carinii, kaposi, lymphome)
fièvre prolongée on pense à FUO…
néoplasie ou factice
infections pour FUO?
neo?
autoimmune?
autres?
tb, abcès (abdo, pelvien, dental), endocardite, soteomyelite, sinusite, CMV, EBV, VIH, lyme, prostatite
leucemie, lymphome, metastase, renal cell carcinoma, colon, hepatoma, myelodysplastic, pancreatic, sarcomas
still, polymyalgie rheumatica, temporal, rheumatoid arthritis, rhuma fever, IBD, reiter, SLE, vasciulitides
meds, complications cirrhose, factice, hepatite (alcool, granulo, lupoid), DVT, sarcoidose
V ou F: maladie de Still et artérite temporale assez facile à dx
F
examen physique FUO
refaire si N, regarder peau, muq, systeme lympha, abdo (hepatosplenomegalie)
PPD = infection active
pas nécessairement
V ou F: FUO peut être rénal
V
Sx thrombopénie, que rechercher à l’anamnèse ou examen physique
thrombopénie = moins que 150
˃ 50 : la plupart du temps asymptomatique
30-50 : purpura
10-30 : saignements avec un trauma minimal
< 10 : risque augmenté de saignements spontanés, pétéchies et ecchymoses
<5 : urgence hématologique, risque de saignements spontanés
anamnese: ecchymoses faciles, pétéchies, fievre melena, saignement, = purpura thrombocytopénique idiopathique
meds (5-7j apres)
hepatite virale (B/C) et varicelle
purpura post transfusionnelle
thrombocytopénie familiale
alcool
hospit/heparine
EP: yeux petite hemorragies (peut témoigner hémorragie SNC), hépatomégalie, splénomégalie, adénopathie, purpura ecchymose pétéchies épistaxis, GI genital saignement
Frottis pour thrombocytopénie?
- Agglutination de plaquette : pseudothrombocytopénie
- Plaquettes géantes : thrombocytopénie congénitale
- Plaquette hypogranulaire : myélodysplasie
- Schizocyte : PTT, SHU, CIVD, valve prostatique défectueuse
Sx plus spécifique pour TB et chez qui plus?
erytheme noueux
prisonniers, sans abris, immigrants, VIH
tx immunosupp qui aug le risque de réactivation de TB
chimio, corticostéroides, inhibiteurs de TNFalpha
Quand est-ce que test TCT est positif?
0-4mm: négatif sauf si enfant moins de 5 ans ou risque élevé
plus que 5mm: positif pour VIH, contact last 2y, maladie fibronodulaire au RX, greffe, inhib TNFalpha, immunosuppresseurs, IRterminale
plus que 10mm: positif pour tous les autres (incluant hémopathies, carcinome, silicose, db)
TB test de premiere ligne?
test de première ligne = test à la tuberculine PPD
si positif on fait IGR
qu’est-ce qui peut masquer la fièvre
corticothérapie, prise anti-inflammatoires, âge avancé, IR, sepsis sévère
patient neutropénique non fébrile chez qui on dx une infection est traité comme s’il est …
fébrile
risque neutropénie fébrile
cancer hémato
greffe moelle
rechute de cancer
maladie concomittante
âge avancé + neutropénie profondes
chimio (infla gencives à anus, entrée de bactéries et levures)
sx (hypotension, confusion, douleur abdo, stomatite, diarrhée, infla cathéter, pneumonie) ou bilan aN (infiltrat pulmonaire, thrombopénie, IR, hypocémie, transaminases élevées)
Tx pour neutropénie fébrile
Couverture large empirique y compris Pseudomonas aeruginosa: Pipéracille-tazobactam ou imipénem, métropénem ou céfépime (attention dose max ajustée selon fonction rénale)
pour avoir une couverture accrue anti-Gram négatif (si sepsis ou présomption de résistance) on ajoute un aminoside (gentamicine ou tobramycine) ou une fluoroquinolone (mieux si pneumonie)
si infection cutanée ou le long de la voie centrale, pneumonie ou colonisation par le SARM on ajoute vancomycine
sx oculaires =
atteinte de l’artère ophtalmique
medicaments artérite à cellule géante
anti-TNF et cortico
ou sont surtout les pétéchies en endocardite?
conjonctivale
hémorragies unguéales?
hémorragies en flammèche au niveau des ongles des mains et des pieds
Comment mieux voir nodules d’Osler?
légère pression sur le bout de l’ongle ou illumination de l’ongle par dessous
Donc on fait une échocardio tranthoracique que faire si
-positif
-négatif
-critères qui nous mènent à autre chose?
+: dx posé et tx
si inconclusif/ valve prothétique/ dispositif intracardique: on fait écho transoesophagienne
si négatif mais reste suspicion refaire après 7-10j
-: si suspicion élevé ou modéré on fait transoesophagienne
si faible suivi
Pour la douleur abdo, deux signes permettent de préciser le dx encore plus que le caractère
péritonisme et toxicité
Types de douleur?
crampiforme (avec diarrhée ou avec constip), continuellement, continuelle sans péritonisme mais avec toxicité, continuelle avec péritonisme et toxicité
Douleur crampiforme décrire? et différencier causes avec diarrhée et avec constip?
pas plus de 2-3 mins et suivies d’accalmie (accouchement)
diarrhée:
-gastro entérite virale ou bactérienne (peut etre très toxique comme e coli, salmonelle, shigelle)
-colique ischémique segmentaire ou colite pseudomembraneuse (ATB? peut mener à colon toxique ou perforation + décès!!)
-appendicite pelvienne (peut commencer comme gastro entérite, souvent pas de défense, c’est au TR qu’on met en évidence loin dans le Douglas une irritation péritonéale ou abcès)
constip:
-occlusion (devient constante si on ajoute ischémie comme hernie incarcérée qui s’étrangle, peut devenir pyrétique et toxique. nécrose et péritonisme
douleur continuelles sans péritonisme ni toxicité
colique biliaire ou rénale (localisation, irradiation)
colique biliaire = epigastre ou hypochodnre droit, irradie au dos pointe de l’omoplate ou epaule
rénale = loge rénalefosse ilique D, aaine testicule, hématurie pollakirue tenesme vesical
PAS DE peritonisme car c’est spasme musculaire avec dilatation en amont pas toxique sauf si complication
douleur continuelle sans péritonisme mais avec toxicité
si ischémie de l’intestin, il envoie le sang qui reste du côté de la séreuse. Ce phénomène est responsable du tableau clinique des patients souffrant de COLITE ISCHÉMIQUE SEGMENTAIRE ou de THROMBOSE MÉSENTÉRIQUE En effet, la séreuse étant toujours irriguée, du moins pendant les premières heures, le malade n’aura pas de péritonisme. mais ils sont toxiques car nécrose
colite ischémique segmentaire: juste un peu toxique car juste muqueu ne sont, + diarrhée ou des rectorragies. Chez 90% des malades souffrant de colite ischémique régression complète du processus ischémique en quelques jours, mais pire si suite à cx de remplacement de l’aorte abdo
Les patients souffrant de thrombose mésentérique sont beaucoup plus toxiques et vont décéder de ce problème s’ils ne sont pas opérés rapidement
douleurs continuelles avec péritonisme et toxicité
inflammation ou infection.
péritonisme = défense abdo et ressaut et il veut pas bouger couché, tousse pas(vs colique se tourne)
Malades avec un péritonisme localisé :
appendicite, cholécystite, diverticulite, dmaladie
de Crohn aiguë, etc.
* La diverticulite donne une douleur avec défense à la fosse iliaque gauche
* L’appendicite: fosse iliaque droite si l’appendice se trouve à la fosse iliaque droite, au niveau de la loge rénale droite si l’appendice est rétrocæcal ou dans le Douglas en cas d’appendicite pelvienne. un enfant qui localise spontanément sa douleur à la fosse iliaque droite devrait probablement être opéré même s’il n’a pas de défense évidente.
Malades avec un péritonisme généralisé :
perforation gastrique ou colique et on mettra souvent en évidence, à l’examen, une absence de matité hépatique.
la pancréatite aiguë et la rupture d’un anévrysme de l’aorte, donnent un tableau clinique variable dépendant du moment où le malade consulte.
pancréatite aiguë du premier jour donne un tableau ressemblant à une colique biliaire.
Si le processus inflammatoire s’aggrave, on assistera à l’apparition de toxicité qui sera suivie de l’apparition de péritonisme si le jus pancréatique vient à se répandre dans l’abdomen. De plus, la douleur irradiera fréquemment au dos.
- La rupture d’un anévrysme de l’aorte abdominale dépendra du degré de rupture de l’anévrysme; initialement, le malade ne peut avoir que des douleurs irradiant dans le dos augmenté à la
palpation de l’aorte
plus tard, s’il y a rupture complète, il y aura douleur
diffuse avec tableau de choc.
Nommez différentes causes de douleur abdo aigues
(digestives, cardio, urinaire, gyneco, locomot, vascu, métabo)
- Causes digestives :
a) Estomac : ulcus perforant ou perforé, gastrite, cancer perforé, volvulus gastrique avec ischémie.
b) Grêle : occlusion sur brides, maladie inflammatoire, thrombose mésentérique, volvulus du grêle, perforation, diverticule de Meckel, adénite mésentérique.
c) Côlon : colite infectieuse pseudomembraneuse et ischémique, diverticulite, cancer avec occlusion, appendicite.
d) Foie : congestion hépatique, hépatite, hémorragie cancéreuse, périhépatite suite à une infection à gono/chlam
e) Voies biliaires et vésicule : cholécystite lithiasique ou alithiasique par infection (ex : typhoïde), vasculite (ex : périartérite noueuse) ou ischémique (ex : phlegmon de la vésicule).
f) Pancréas : pancréatite lithiasique, alcoolique, métabolique (hyperlipémie) ou mx (Lasix ou Phénylbutazone). - Causes cardiopulmonaires :
a) Embolie pulmonaire importante avec congestion hépatique d’apparition récente.
b) Pneumonie avec douleurs référées à l’abdomen (surtout chez l’enfant)
c) Embolie à point de départ d’une endocardite. - Causes urinaires :
a) Colique néphritique, pyélonéphrite, abcès rénal, thrombose rénale artérielle ou veineuse.
b) Cystite ou rétention urinaire. - Causes gynécologiques :
a) Salpingite, kyste ovarien rupturé ou tordu, grossesse ectopique. - Causes locomotrices :
a) Hernie discale, spondylodiscite ou ostéomyélite. - Causes vasculaires :
a) Anévrysme rupturé de l’aorte - Causes métaboliques :
a) Porphyrie, intoxication au plomb, angioedème cyclique du grêle.
Maladie des voies biliaire
- Douleur associée à la prise de nourriture (digestion)
- Secondaire à une MII
Pancréatite aigue
Douleur épigastrique associée à la prise de nourriture (digestion)
* Souvent secondaire à une consommation excessive ou la présence de lithiase
Ulcère gastrique ou duodénale
- Douleur épigastrique souvent diminuée par la prise de nourriture.
- Peut être causé par Helicobacter Pylori et/ou des irritants gastriques (alcool, café, chocolat,
menthe, certains médicaments comme les AINS…) - Peut saigner et entrainer des hémoptysies, de l’hématémèse, « grains de café » et/ou du méléna,
Peut perforer
Gastrite
- Douleur épigastrique érosive ou non érosive
- Peut être causée par Helicobacter Pylori et/ou des irritants gastriques (alcool, café, chocolat,
menthe, certains médicaments comme les AINS…) - Peut saigner et entrainer des hémoptysies, de l’hématémèse et/ou du méléna
RGO
Pyrosis avec ou sans régurgitation de contenu gastrique dans la bouche
Hépatite aigue, abcès hépatique
- A: anorexie, sensation de malaise et jaunisse. Les jeunes enfants peuvent être asymptomatiques
- B: anorexie, sensation de malaise, fièvre, nausées et vomissements, suivis par un ictère.
- C: asymptomatique en cas d’infection aiguë (évolue souvent vers la cirrhose)
- Abcès: manifestation d’infection (comme l’hépatite) ou de MII
Appendicite
Migration de la douleur (initialement périombilicale, puis FID)
* Douleur au point de McBurney
* Signes à l’examen physique : psoas, Roving, obturateur interne, rebond/ressaut
Diverticulite
Douleur FIG
rectorrahie