UA 9 Flashcards

1
Q

manifestations cutanées d’une dénutrition protéino-énergétique (7)

A
  • Atrophie des tissus sous-cutanés (marasme).
  • Dyschromies cutanées,
  • érythrodermie,
  • hyperpigmentation,
  • furfuracée.
  • Zones d’eczéma craquelé.
  • fissuration périorificielle
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2
Q

manifestations sur les muqueuses de la dénutrition proéino-énergétique

A
  • chéilite,
  • glossite,
  • aphtes.
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3
Q

manifestations sur les phanères de la dénutrition protéino-énergétique

A
  • cheveux fins, cassants,
    -ongles cassants,
  • lanugo (duvet fin dans les cas sévères).
    Ces lésions sont particulièrement marquées dans les états sévères de malnutrition (marasme et kwashiorkor).
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4
Q

Répercussions cutanéomuqueuses des carences en vitamine B2 (riboflavine)

A
  • Dermatite séborrhéique,
  • érythème pigmenté périoral
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5
Q

Répercussions cutanéomuqueuses des carences en vitamine B3 (niacine)

A

o Pellagre (dermatite, érythème pigmenté des zones photo-exposées).
o Glossite,
- aphtes.

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6
Q

Répercussions cutanéomuqueuses des carences en vitamine B6

A
  • Dermatite séborrhéique,
  • chéilite.
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7
Q

Répercussions cutanéomuqueuses des carences en vitamine B12

A

Hyperpigmentation palmaire et mucocutanée.

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8
Q

Affections cutanées associées à une insulino-résistance

A
  • acanthosis nigricans,
  • acrochordons,
  • hyperpigmentation
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9
Q

Répercussions cutanéomuqueuses des carences en vitamine C

A

Scorbut (purpura pétéchial, hyperkératose folliculaire).

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10
Q

Affections cutanées associées à une hyperlipidémie

A

dépôts lipidiques comme les xanthomes et les xanthélasmas

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11
Q

Affections cutanées associées à une hyperandrogénie

A

acné, séborrhée.

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12
Q

manifestations cutanés d’une hypervitaminose A

A
  • Sécheresse cutanée,
  • fissures
  • hyperkératose
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13
Q

manifestations cutanés d’une carence en acides gras essentiels

A
  • Dermatite sèche,
  • retard de cicatrisation
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14
Q

Une femme de 30 ans consulte pour une desquamation grasse et un érythème autour des ailes du nez et des sourcils. Elle mentionne également une fatigue persistante et un régime alimentaire restrictif. Quelle carence vitaminique suspectez-vous ?

A

Une carence en vitamine B2 (riboflavine).

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15
Q

Un homme de 45 ans travaillant en extérieur présente une dermatite sur les zones photo-exposées, une glossite, et se plaint de fatigue et de diarrhées. Quelle est la carence sous-jacente responsable de ses symptômes ?

A

Une carence en vitamine B3 (niacine), responsable de la pellagre

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16
Q

Un homme de 60 ans, vivant seul, consulte pour des gencives qui saignent, des ecchymoses spontanées, et une fatigue intense. Son alimentation est pauvre en fruits et légumes frais. Quelle carence nutritionnelle explique ces symptômes ?

A

Une carence en vitamine C.

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17
Q

Une femme de 50 ans, végétalienne, présente une hyperpigmentation des paumes et des muqueuses buccales. Elle rapporte des engourdissements dans les membres inférieurs. Quelle carence est à l’origine de ces manifestations ?

A

Une carence en vitamine B12.

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18
Q

Un enfant de 3 ans vivant dans un contexte de pauvreté présente une atrophie des tissus sous-cutanés, des cheveux fins et cassants, et des lésions érythémateuses sur la peau. De quoi souffre ce patient ?

A

Une dénutrition protéino-énergétique sévère (type marasme).

19
Q

M. L., 45 ans, diabétique de type 2 sous Ozempic (sémaglutide) depuis 8 mois pour gestion du poids et du diabète, présente une perte de poids rapide et importante (15 kg). Il prend aussi des statines, un IECA, du concerta et un ISRS
Il consulte pour des lésions cutanées récentes :
* Sécheresse sévère de la peau avec érythème et fissures aux coudes et genoux.
* Éruption squameuse sur le visage et le cuir chevelu.
* Ongles cassants.
Il décrit une perte d’appétit et une fatigue persistante, avec un apport alimentaire très réduit.

Quelle condition nutritionnelle est probable chez ce patient ?

A

Une malnutrition protéino-énergétique liée à la perte de poids rapide et à la réduction de l’apport alimentaire sous Ozempic

20
Q

M. L., 45 ans, diabétique de type 2 sous Ozempic (sémaglutide) depuis 8 mois pour gestion du poids et du diabète, présente une perte de poids rapide et importante (15 kg). Il prend aussi des statines, un IECA, du concerta et un ISRS
Il consulte pour des lésions cutanées récentes :
* Sécheresse sévère de la peau avec érythème et fissures aux coudes et genoux.
* Éruption squameuse sur le visage et le cuir chevelu.
* Ongles cassants.
Il décrit une perte d’appétit et une fatigue persistante, avec un apport alimentaire très réduit.
Quelle carence micronutritionnelle explique les lésions squameuses et la sécheresse cutanée ?

A

Une carence en zinc ou en acides gras essentiels, fréquemment observée dans les cas de malnutrition

21
Q

M. L., 45 ans, diabétique de type 2 sous Ozempic (sémaglutide) depuis 8 mois pour gestion du poids et du diabète, présente une perte de poids rapide et importante (15 kg). Il prend aussi des statines, un IECA, du concerta et un ISRS
Il consulte pour des lésions cutanées récentes :
* Sécheresse sévère de la peau avec érythème et fissures aux coudes et genoux.
* Éruption squameuse sur le visage et le cuir chevelu.
* Ongles cassants.
Il décrit une perte d’appétit et une fatigue persistante, avec un apport alimentaire très réduit.
Quels ajustements thérapeutiques recommandez-vous pour ce patient ?

A
  • Évaluation diététique pour améliorer l’apport calorique et protéique.
  • Supplémentation en zinc et acides gras essentiels si nécessaire.
  • Surveillance des effets indésirables liés à l’Ozempic, comme la perte d’appétit sévère.
22
Q

Présentation scorbut

A
  • ecchymoses diffuses en particulier sur les membres inférieurs
  • gingivite hémorragique
  • élargissement des follicules pileux
  • follicules hémorragiques
  • retard de cicatrisation
  • asthénie
  • douleurs musculaires et articulaires
  • alimentation faible en fruits et légumes
23
Q

pourquoi il y a des ecchymoses diffuses dans le scorbut

A

résultent de la fragilité capillaire due à une synthèse de collagène altérée

24
Q

pourquoi il y a une gingivite hémorragique en scorbut

A

associée à une mauvaise dentition ou à une gingivite préexistante

25
Q

Dans le cas d’une patiente atteinte d’un lymphome digestif avec des lésions érythémato-squameuses et un déficit en zinc, quelles étapes diagnostiques pourraient être envisagées pour confirmer la carence ?

A
  • dosage plasmatique
  • patiente présente probablement des lésions caractéristiques de l’acrodermatite entéropathique acquise, avec des plaques érythémato-squameuses et des zones péri-orificielles atteintes.
  • D’autres analyses, comme un dosage de la phosphatase alcaline (enzyme dépendante du zinc), peuvent renforcer le diagnostic.
26
Q

présentation pellagre

A
  • lésions érythémateuses, prurigineuses et douloureuses,
  • lésions affectant les zones photo-exposées et de friction.
  • lésions bilatérales, symétriques, bien délimitées
  • peuvent évoluer vers une hyperkératose et une hyperpigmentation.
  • localisation spécifique, comme le « collier de Casal » autour du cou ou un rash en ailes de papillon sur le visage, est suggestive.
  • les lésions s’améliorent rapidement avec une supplémentation en niacine.
  • symptômes systémiques (diarrhées, dépression, démence) soutiennent également le diagnostic.
27
Q

causes lésions de pellagre

A

déficience en niacine (vitamine B3)

28
Q

Dans le cas d’une patiente atteinte d’un lymphome digestif avec des lésions érythémato-squameuses et un déficit en zinc, quelles étapes thérapeutiques pourraient être envisagées pour traiter la carence ?

A

Le traitement repose sur une supplémentation en zinc, généralement 15 à 30 mg/jour par voie orale ou intraveineuse en cas de carence sévère. Une amélioration rapide des symptômes (en 4-5 jours) est attendue. Dans ce cas spécifique, il est crucial de surveiller l’état nutritionnel global et d’ajuster les apports vitaminiques et minéraux, compte tenu du contexte oncologique.

29
Q

Pourquoi un régime sans gluten est-il essentiel dans la prise en charge de la dermatite herpétiforme ?

A

Le régime sans gluten traite la cause sous-jacente, l’intolérance au gluten, et permet une rémission complète des lésions cutanées et une réduction des anticorps spécifiques. Cela limite
également les risques de complications liées à la maladie coeliaque.

30
Q

Quels sont les effets secondaires courants à surveiller lors du traitement par dapsone ?

A

Les effets secondaires incluent une anémie hémolytique, une méthémoglobinémie et des réactions d’hypersensibilité. Un suivi régulier par hémogramme est nécessaire

31
Q

Quels marqueurs sont utilisés pour suivre l’efficacité du traitement de la dermatite herpétiforme ?

A

Le suivi repose sur l’amélioration clinique des lésions cutanées, la diminution des démangeaisons et la baisse des taux d’anticorps anti-transglutaminase dans le sang.

32
Q

quoi faire avant un tx par dapsone PO

A

o Un hémogramme de base (incluant le taux d’hémoglobine, les réticulocytes et la recherche de déficit en G6PD).
o Une évaluation de la fonction rénale et hépatique.

33
Q

suivi à faire lors de tx par dapsone PO dans les premières semaines

A

Hémogramme hebdomadaire pendant les 4 premières semaines pour surveiller une éventuelle anémie hémolytique ou méthémoglobinémie.

34
Q

suivi à faire lors de tx par dapsone PO après la stabilisation du traitement

A

o Hémogramme mensuel pendant les 3 à 6 mois suivants pour détecter tout effet secondaire tardif.
o Tous les 3 à 6 mois ensuite, en cas de bonne tolérance et absence de complications, pour les patients sous traitement prolongé.

35
Q

quoi surveiller en continu lors d’un tx par dapsone PO

A

Surveillez tout signe d’anémie (fatigue, pâleur), cyanose (indiquant une méthémoglobinémie), ou symptômes de toxicité (maux de tête, dyspnée

36
Q

l’ajustement de la dapsone PO en dermatite herpétiforme dépend de quoi

A

L’ajustement du traitement par dapsone pour une dermatite herpétiforme dépend de l’efficacité clinique, de la tolérance du patient et des effets secondaires observés

37
Q

quoi faire si efficacité insuffisante de la dapsone PO en dermatite herpétiforme

A

Si les lésions et les démangeaisons persistent malgré une dose initiale typique (25-100 mg/jour), la dose peut être progressivement augmentée, sans dépasser 200 mg/jour, en surveillant étroitement les effets secondaires

38
Q

quoi faire si E2 léger de la dapsone PO en dermatite herpétiforme

A

Réduction de la dose à un niveau tolérable, tout en surveillant la réponse cutanée.

39
Q

gestion anémie hémolytique ou méthémoglobinémie légère avec dapsone PO

A

o Diminuer la dose.
o Envisager une supplémentation en acide folique (1-5 mg/jour), qui peut atténuer ces effets

40
Q

gestion anémie hémolytique ou méthémoglobinémie sévère avec dapsone PO

A

o Arrêt temporaire ou définitif de la dapsone.
o Envisager un traitement de secours (ex. stéroïdes topiques ou systémiques, sulfasalazine)

41
Q

alternative à la dapsone PO en dermatite herpétiforme en cas d’intolérance

A

Si la dapsone n’est pas tolérée ou si les effets secondaires sont trop importants :
* Passer à des options comme la sulfapyridine ou la sulfasalazine, qui sont des alternatives efficaces, bien que parfois moins rapides.
* Renforcer le régime sans gluten pour réduire la dépendance aux traitements symptomatiques

41
Q

comment cesser la dapsone PO en dermatite herpétiforme

A

Une fois la dermatite stabilisée et les anticorps anti-transglutaminase en baisse significative (généralement après 6 à 24 mois de régime sans gluten strict), réduire progressivement la dose de dapsone jusqu’à l’arrêt complet si possible.
Le suivi régulier et des bilans sanguins adaptés sont essentiels tout au long du traitement.

42
Q

quoi faire si IgA anti-transglutaminase sont élevé durant un tx de dapsone

A

réduire la dose de 50% et possible de faire un dosage sérique