Tr psychotiques Flashcards
Évolution SCZ
15% de rémission fonctionnelle
25% réfractaire
2/3 évolution chronique avec sx intermittents
Cannabis et troubles psychotiques
- Lien causal (facteur environnemental)
- Usage de cannabis devance l’apparition d’un tr psychotique de 2,7 ans
- Forte association si début < 15 ans
- Ad 3x le risque
- THC > amphetamines
FDR de suicide en dépression
- Dépression (principal)
- Hall mandatoires
- Agitation/acathisie
- Haut QI et hautes aspirations pré-morbides/conscience de la perte
- ATCD t.suicide
- jeune âge
- Congé récent de l’hôpital et ad 6 ans post-1ère H
- Consommation
- inobservance
FDR de violence en SCZ et échelle
- **ATCD comportement violent
- inobservance
- consommation**
- jeune homme
- délire persécutoires/hallucinations mandatoires violentes
- Impulsivité
Échelle: HCR-20
Meilleurs choix de cessation tabagique en SCZ
TRN > bupropion > varenicline
Explications TUS en SCZ
- Auto-tx
- compenser blocage D2
- même FDR
- induction des tr psychotiques par substances
PEC SCZ chez les enfants
- Interventions familiales
- TCC
- Soutien vocationnel/scolaire
- Rx (aripiprazole)
Âge SCZ début précoce et très précoce
Précoce = < 18 ans
Très précoce = < 13 ans
Différences SCZ enfant vs adulte
- Moins bon pronostic
- Début insidieux, plus sévère
- Contenu du délire selon l’âge
- Plus d’aN cérébrales
- Plus de rejet par les pairs et tr du cptmt
SCZ qui vieillissent
- Doses plus faibles requises
- Moins de sx positifs
Fertilité et grossesses chez femmes SCZ
Fertilité idem
50% des femmes ont des grossesses et 50% sont non désirées
SCZ à début tardif et très tardif (âges et caractéristiques)
Tardif: > 40 ans
Très tardif: >60
Plus de femmes
Moins d’histoire fam
Meilleur pronostic
Meilleure réponse au tx
Sx négatifs(6) avec core sx(2)
* Avolition
* Affect emoussé
* Apathie
* Anhédonie
* Asociabilité
* Alogie
Échelle pour dépression en SCZ
Calgary depression scale
Différences H-F en SCZ
- Distribution bimodale F (25-35 puis 40-50 ans) vs unimodale H (18-25 ans)
- Moins de sx négatifs/cognitifs chez femmes
- Plus de sx affectifs chez F
- Meilleur pronostic chez F mais risque d’exacerbation à la ménopause
- Meilleur fonctionnement prémorbide chez F
- Plus de risque d’hyperPRL che F