SEMAINE 4 (THÉORIE) Flashcards
investigation - tests biochimiques : quoi doser pour Dx de la pancréatite aigue (3)
- le lipase pancréatique est préférée a l’amlyse pour le Dx si elle est dispo
- sinon, on utilise l’amylase pancréatique
- le dosage de l’amylase sérique totale n’est pas indiqué
investigation - tests biochimiques : quoi doser pour atteinte hépatique (2)
- ratio AST/ALT est indiqué pour le Dx d’Une atteinte hépatique d’origine alcoolique
- AST ne doit PAS etre prescrite pour la détetcion d’une atteinte hépatique dans la majorité des cas → on lui préfère l’ALT
investigation - tests biochimiques : quoi doser pour cholestase (2)
- on dose la bilirubine totale, et la directe si la totale est élevée
- dosage de la bilirubine directe → non indiqué en premiere intention
investigation - tests biochimiques : quoi doser pour ictère chez nouveaux-nés
chez les nouveaux-nés : le dosage de la bilirubine directe est indiqué pour détecter la présence d’une cholestase si le nouveau-né est ictérique à l’age de 14 jours ou plus
investigation - tests biochimiques : quoi doser pour Dx infarctus aigu du myocarde (2)
- troponine
- CK-MB si la troponine n’est pas dispo
investigation - tests biochimiques : quand fair électrophorèse des prots sériques (3)
- en cas de suspicion de myélome multiple (Dx et suivi)
- Dx de la maladie de waldenstrom
- ne doit pas etre prescrite chez personnes ASx ou d’emblée pour un bilan inflammatoire
investigation - tests biochimiques : utilité du dosage de la LDH dans le Dx d’un infarctus aigu du mycoarde
- ne doit pas etre utilisée comme un marqueur pour le Dx d’un IM
investigation - tests biochimiques : indications du dosage de la LDH
très rares car faible spécificité
investigation - tests biochimiques : quoi doser pour Dx maladie thyroidienne (2)
- doser la TSH sérique d’abord et la T4L uniquement si la TSH est anormale
- la T4L ne doit pas etre prescrit en tant qu’analyse de prmeiere intention
investigation - tests biochimiques : quand doser la T4L (3)
- soupcin maladie hypophysaire ou hypothalamique
- au cours du Tx pour hyperthyroidie
- suivi des Px sous thyroxine tant que la TSH est augmentée
investigation - tests biochimiques : quand doser l’urée (3)
- évaluation IR pré-rénale via ratio urée/créat
- examen complémentaire systématique lors de l’éval de la maladie rénale chronique stade 3+ pour avoir une valeur initiale pour la surveillance de la dénutrition et de l’observance à la diète
- établissement de l’initiation de la dialyse, la surveillance bio et l’eval de la dose de dialyse
investigation - tests biochimiques : quoi doser pour éval de la fonction rénale (2)
- seul le dosage de la créat est utilisé
- ne pas prescrire le dosage de l’urée
investigation - tests biochimiques : quand doser la vit D-25-OH (3)
- Px a risque élevés de carence de vit D
- Px avec ostéoporose si un Tx spécifique est débuté et après 3-4 mois de supplémentation en vit D
- Px qui recoivent doses de vit D excédant la dose max recommandés par santé canada (2000 UI/jour)
investigation - tests biochimiques : quand ne PAS doser la vit D25 OH (2)
ne doit pas etre prescrit dans un bilan de routine si :
- adulte sain ou risque faible/modéré de déficit en vit D
- personnes ASx avec suppléments de vit D
investigation - analyses hématologiques : quand doser l’acide folique (8)
- évaluation d’une anémie macrocytaire
- évaluation macrocytose isolée
- évaluation pancytopénie
- évaluation carence
- syndromes de malabsorption
- malnutrition grave
- alcoolime
- Px sous Tx avec certains Mx
investigation - analyses hématologiques : quand ne pas doser l’acide folique (3)
- personnes Asx
- FSC N
- Px qui recoivent suppléments acide folique
investigation - analyses hématologiques : quand ne PAS doser le Fe sérque
ne doit pas etre prescrit pour la détection d’une carence en fer chez les personnes ASx → on utilise la ferritine
investigation - analyses hématologiques : quand doser le Fe séroique
aucune indication en pratique médicale courante, bien que le bilam martial est parfois utilisé chez Px avec état inflammatoire, infrction chronique, affection maligne, maladie rénale ou maladie hépatque (car la ferritine peut etre N ou élevée meme si carence en Fe)
investigation - analyses hématologiques : quand prescrire le temps de saignement
ne devrait pas etre prescrit en pratique médicale courante
investigation - analyses hématologiques : quand ne PAS prescrire la B12 (3)
- Px ASx
- Px sans FDR de déficience de B12
- Px qui receoivent des supp de B12
investigation - analyses hématologiques : quand doser la B12 (5)
- anémie macrocytaire
- macrocytose isolée
- pancytopénie
- Sx neuro inexpliqués (parethésies, engourdissements, déficit de coordination motrice, troubles de mémoires/cognitifs, chang de personnalité)
- personnes âgées avaec maladie auto-immune qui recoivent une supplémentation en acide folique en association avec du méthotrexate
investigation - analyses hématologiques : quand doser la vitesse de sédimentation (3)
Dx et suivi Tx de:
- l’artérite temporale
- de la polymyalgia rheumatica
- de l’arthrite inflamm
choc cardiogénique - décrire la physiopahto (5)
- insuffisance du syst circulatoire a fournir l’oxygénation tissulaire adéquate
- au niv cellulaire : altération du transfert d’É a la mitochondrie et augmentation de la prod de toxines (acides lactiques)
- ces toxines compromettent encore plus la perfusion tissulaire via des changements fonctionnels et structuraux au sein de la microcirculation
- diminution de l’efficacité myocardique par la présence d’acidose lactique
- = cercle vicieux causant une aggravation de l’état de choc
choc cardiogénique - comment définir-t-on l’acidose lactique
lactates > 4 mmol/L (N : < 2 mmol/L)
choc cardiogénique - nommer les signes physiques d’hypoperfusion (6)
- altération de l’état de conscience (anxiété ad coma)
- tachy (FC peut etre N chez Px avec Mx ralentissant le coeur)
- hypoTA (mais TA peut demeurer N dans les premiers stades)
- extremidés froides et +/- marbrées
- refill capillaire allongé
- oligurie (débit urinaire < 0,5 mL/kg/heure pour 2h consécutives)
tension artérielle moyenne - comment se définir l’hypotension (choc)
TAM < 60 mmHg
tension artérielle moyenne - a partir de quelle TAM y a-t-il lhypoerfusion des organes cibles
TAM < 60 mmHg
tension artérielle moyenne - comment est déterminée la TAM (2)
- théorie : DC, résistances vasc systémiques, TVC → TAM = (DC x RVS) + TVC
- pratique : TAD + ⅓ (TAS- TAD)
tension artérielle moyenne - disinguer TVC et TVJ
- TVC : mesure de la tension veineuse centrale prise dans l’oreillette droite avec un cathéter (invasif): mesure en mmHg
- TVJ : mesure de la tension veineuse jugulaire prise au niveau du cou à l’aide d’une règle lors de l’examen physique: mesure en cm
choc hypovolémique - quel est le volume sanguin d’un H de 70kg
environ 5 L
choc hypovolémique - comment estimer le vol sanguin
65-75 mL/kg
choc hypovolémique - pourquoi y a-t-il modification des signes vitaux suite a des pertes sangines aigues
pour maintenir une perfusion et une oxygénation adéquate des organes
choc hypovolémique - décrire les changements initiaux aux SV suite a une perte sanguiine aigue (3)
- ↑ FC
- ↑résistance périphrique (TAd et RC) vers les organes non vitaux (peau, muscles)
- ↑ FR
choc hypovolémique - décrire les changements ultérieurs aux SV suite a une perte sanguiine aigue (3)
se présentent lorsque les mécanismes d’apatation sont dépassés et que le Px présente des signe d’hypoperfusion des organes vitaix
- ↓ diurèse
- ↓ état de conscience
choc hypovolémique hemorragique - classe 1 (compensé) : décrire al perte volémique
- <750 mL (15%)
choc hypovolémique hemorragique - classe 1 (compensé) : décrire les signes physiques (6)
- FC : <100/min
- TA : N
- refill capillaire : N
- FR : 14-20 /min
- diurèse : préservée (> 30 mL/h)
- neuro : N ou anxiété légère
choc hypovolémique hemorragique - classe 1 (compensé) : Tx
solutés isotoniques
choc hypovolémique hemorragique - classe 2 (léger) : perte volémique
750 - 1500 mL (15-30%)
choc hypovolémique hemorragique - classe 2 (léger) : signes physiques (6)
- FC : 100-120 / min
- TA : HTO, différentielle pincée (TAd ↑)
- refill capillaire (RC) : 3sec
- FR : 20-30
- diurèse : 20 - 30 mL/h
- neuro : agité
choc hypovolémique hemorragique - classe 2 (léger) : Tx (2)
- solutés isotoniques
- possiblement trasnfusion
choc hypovolémique hemorragique - classe 3 (modéré) : perte volémique
- 1500 - 2000 mL (30-40%)
choc hypovolémique hemorragique - classe 3 (modéré) : signes physiques (6)
- FC > 120
- TAs < 90
- RC : retardé
- FR : 30 - 40
- diurèse : 5 - 20 mL/h
- neuro : confusion
choc hypovolémique hemorragique - classe 3 (modéré) : Tx (2)
solutés isotoniques
fort probablement transfusions
choc hypovolémique hemorragique - classe 4 (sévère) : perte volémique
> 2000 mL (> 40%)
choc hypovolémique hemorragique - classe 4 (sévère) : signes physiques (6)
- FC > 140
- TAs diminuée
- RC : tjrs retardé
- FR >>> 35 / min
- diurèse : anurie
- neuro : léthargie, coma
choc hypovolémique hemorragique - classe 4 (sévère) : Tx (2)
solutés isotoniques et transfusion sanguines d’emblée
choc hypovolémique hemorragique - role de l’Hb et de l’Ht dans les critères de choc? expliquer
- n’en font pas partie
- leur valeur seront diminuées mais pas immédiatement → il faut que le mécanisme compensatoire de passage du liquide intertsitiel vers l’epsace intravasc ait eu le temps de se produire ou que des solutés aient été admin
température - utilité de la mesure de la T buccale (2)
- peu fiable
- vaut mieux l’utiliser comme moyen de dépistage, pas comme un fait Dx
température - par quo ipeut etre modifiée la T buccale (3)
- liquides/aliments chauds/froids
- respiration buccale
- rythme resp rapide
température - quelle voie est la plus fiable
voie rectale
température - effet de l’acétaminophène
peut avoir normalisé la T corporelle du Px t donner une fausse impression concernant la présence/absence de fièvre
TFR - de quoi tiennent compte les valeurs de références sur une spiro (5)
- sexe
- age
- taille
- poids
- groupe ethnique
TFR - comment distinguer asthme et MPOC (3)
- présence ou absence de réversibilité aigüe aux BD ne permet habituellement pas de différencier l’asthme de la MPOC
- grande réversibilité ou la normalisation du VEMS suggère un diagnostic d’asthme
- interpréter les résultats en fonction de la condition clinique du patient et de l’age (jeune = asthme plus probable)
anaphylaxie - de quel type de choc s’agit-il
distributif
anaphylaxie - nommer les critères Dx (3)
- début rapide d’urticaire ou d’oedeme de quincke et d’au moins un des signes suivants :
- détresse resp (bronchospame, stridor, sibilance, etc)
- hypoTa ou Sx associés (lipothymie, syncope, incontinence)
OU
- début rapide de deux ou plus de ces manif cliniques après l’exposition a un allergene connu ou potentiel pour le Px :
- urticaire avec ou sans oedeme de quincke
- détresse resp
- hypoTA ou Sx associés
- Sx gastro-intestinaux persistants
OU
- baisse rapode de la pression artérielle après exposition a un allergène connu pour le Px : baisse de la TA systolique >30% de la valeur de base chez l’adulte
Rx - Dx? pourquoi? (3)
pneumonie du lobe inférieur G
- infiltration alvéolaire avec bronchogramme aérique
- on peut affirmer que cest lobe inf G puisque :
- infiltration est située a la base G sur le cliché PA et postérieurement au coeur sur le cliché LAT
- il y a un signe de silhouette avec la coupole diaphragmatique gauche confirmant la localisation au lobe inf gauche
pneumonie - l’apparition est-elle progressive ou fulminante
- généralement progressive, mais il est possible de voir une apparition fulminante
pneumonie - suivi du Px suite au Tx approprié de la pneumonie (5)
- une Rx pulmonaire de controle de 8 semaines afin de démontrer la résolution de l’image pneumonique et éliminer une lésion néoplasique sous-jacente
- controle de la glycémie a jeun pour s’assurer que le patiente ne présente pas un DB ou encore une intolérance au glucose (glycémie capillaire élevée, mais pas a jeun)
- bilan lipidique pour rechercher la présence d’une dyslipidémie
- suggérer un arret tabagique
- encourager un style de vie sain