Posture Flashcards
Quelle est la définition de la posture ?
Posture, which is the relative disposition of the body at any one moment, is a composite of the positions of the different joints of the body at that time. Correct posture is the position in which minimum stress is applied to each joint. Any position that increases the stress to the joints may be called faulty posture. Maintenance and/or control of posture depends on the integrity of the central nervous system (CNS), the visual system, the vestibular system, and the musculo-skeletal system and inputs from receptors located in and around the joints and in tendons and ligaments.
Quelles sont les positions de posture statique ?
Debout, assis, couché
Quelles sont les positions de posture dynamique ?
Marche, course, etc.
Nommez les facteurs anatomiques influençant la posture.
- Contours osseux (ex. hémivertèbres)
- Laxité ligamentaire
- Diminution souplesse des fascias et structures musculotendineuses (ex. tenseur du fascia lata, pectoraux, fléchisseurs des hanches)
- Tonus musculaire (ex. grand fessier, etc)
- Angle du bassin (normal est de 30°)
- Position articulaire et mobilité
- Neurogenic outflow and inflow
Nommez les facteurs influençant la posture.
- Facteurs anatomiques
- Mauvaises habitudes posturales (hygiène)
- Déséquilibre musculaire et contracture musculaire
- Présence de douleur
- Maladies respiratoires, faiblesse généralisée, obésité, perte de proprioception, spasme musculaire
Nommez les 5 catégories de facteurs pouvant influencer la posture.
- Génétique, héréditaire
- Environnement
- Psychologique, social
- Physiologique
- Idiopathique
Sur une vue antérieure, par quels points de repère passent la ligne de gravité ?
- Nez
- Fossette mentonnière
- Sternum
- Ombilic
Sur une vue de profil, par quels points de repère passent la ligne de gravité ?
- Méat acoustique externe
- Processus odontoïde
- Corps des vertèbres cervicales
- Partie moyenne de l’épaule
Sur une vue postérieure, par quels points de repère passent la ligne de gravité ?
Au centre du rachis (processus épineux) et le crâne sur la ligne médiane.
Nommez les 6 types d’alignement postural.
- Normal
- Posture de relâchement des abdominaux
- Cyphose-lordose
- S italique
- Dos plat
- Dos rond
Décrivez l’alignement idéal en vue de profil.
- Tête
- Rachis cervical
- Scapulas
- Rachis thoracique
Tête :
En position neutre : sans inclinaison en avant ou en arrière (légère protraction)
Rachis cervical :
Courbure physiologique à convexité antérieure modérée (lordose)
Scapulas :
À plat sur la partie supérieure du dos
Rachis thoracique :
Courbure physiologique à convexité postérieure modérée (légère cyphose)
Décrivez l’alignement idéal en vue de dos.
- Tête
- Rachis cervical
- Scapulas
- Rachis thoracique
Tête :
En position neutre, sans inclinaison ni rotation
Rachis cervical :
Processus épineux en ligne sans inclinaison ni rotation
Épaules :
Au même niveau sans surélévation ni abaissement
Rachis thoracique :
Processus épineux en ligne, sans inclinaison ni rotation
Décrivez les différents alignements de la tête.
Normal :
Head erect; gravity line passes directly through center
Léger :
Head twisted or turned to one side slightly
Élevé :
Head twisted or turned to one side markedly
Décrivez les différents alignements des épaules.
Normal :
Shoulders level horizontally
Léger :
One shoulder slightly higher than other
Élevé :
One shoulder markedly higher than other
Décrivez les différents alignements de la colonne.
Normal :
Spine straight
Léger :
Spine slightly curved laterally.
Élevé :
Spine markedly curved laterally
Décrivez les différents alignements du cou de profil.
Normal :
Neck erect; chin and head in balance directly above shoulders
Léger :
Neck slightly forward; chin slightly out
Élevé :
Neck markedly forward; chin makedly out
Décrivez les différents alignements du upper back de profil.
Normal :
Upper back normally rounded
Léger :
Upper back slightly more rounded
Élevé :
Upper back markedly rounded
Décrivez les différents alignements du tronc de profil.
Normal :
Trunk erect
Léger :
Trunk inclined to rear slightly
Élevé :
Trunk inclined to rear markedly
Décrivez les caractéristiques de la posture en cyphose-lordose.
Tête : projection en avant (protraction)
Rachis cervical : hyperextension (lordose)
Rachis thoracique : accentuation de la flexion (cyphose)
Muscles raccourcis :
Muscles étirés :
Décrivez les caractéristiques de la posture en S italique.
Tête : projection antérieure (protraction)
Rachis cervical : légère extension
Rachis thoracique : accentuation de la flexion (cyphose à grand rayon) avec déjettement postérieur de la partie supérieure du tronc
Muscles raccourcis :
Muscles étirés :
Décrivez les caractéristiques de la posture en dos plat.
Tête : projection antérieure (protraction)
Rachis cervical : légère extension
Rachis thoracique : partie haute, accentuation de la cyphose; partie basse, rectiligne
Muscles raccourcis :
Muscles étirés :
Nommez les 4 types de cyphose.
- Dos rond (round back)
- Gibbosité (humpback)
- Dos plat (flat back)
- «Bosse de sorcière» (dowager’s hump)
Décrivez les caractéristiques de la posture en dos rond.
Rachis thoracique : accentuation de la cyphose
Muscles raccourcis :
Muscles étirés :
Décrivez les caractéristiques de la posture de gibbosité.
Localisée, angulation postérieure, déformation structurelle (post-fracture, tumeur, maladie osseuse), vertèbre en forme de «wedge» antérieure
Rachis thoracique : accentuation de la cyphose thoracique moyen
Muscles raccourcis :
Muscles étirés :
Décrivez les caractéristiques de la posture en «bosse de sorcière».
Chez les personnes âgées, particulièrement les femmes, causée par l’ostéoporose (dégénérescence vertébrale)
Rachis thoracique : accentuation de la cyphose
Muscle raccourcis :
Muscles étirés :
Nommez les différentes déformations du thorax.
- Dépression sous-mammaire
- Thorax en carène (pectus carinatum)
- Thorax en entonnoir (pectus excavatum)
- Thorax en baril (barrel chest)
Décrivez la déformation du thorax en carène (pectus carinatum).
Proéminence du sternum en avant et en bas (augmentation du diamètre antéro-postérieur) avec aplatissement latéral du thorax.
Décrivez la déformation du thorax en entonnoir (pectus excavatum).
Poussée du sternum vers l’arrière dû à une surcroissance des côtes (diminution du diamètre antéro-postérieur, coeur déplacé) ce qui amène un enfoncement de l’extrémité inférieure du sternum et des derniers cartilages costaux (creux a/n processus xyphoïde)
Décrivez la déformation du thorax en baril.
Sternum projeté en avant et en haut (diamètre antéro-postérieur augmenté); vu dans le cas d’emphysème.
Nommez les déformations des ceintures scapulaires et épaules.
- Protraction/ rétraction
- Décollement de la scapula (winging)
- Note de piano à l’articulation acromio-claviculaire
- Signe de l’épaulette (surclus sign)
- Déformation de Sprengel’s
Décrivez les caractéristiques de la déformation de la ceinture scapulaire suivante :
- Décollement de la scapula (winging)
Faiblesse, paralysie du muscle dentelé antérieur
Décrivez les caractéristiques de la déformation de la ceinture scapulaire suivante :
- note de piano à l’articulation acromio-claviculaire
Subluxation de l’articulation A/C
Décrivez les caractéristiques de la déformation de la ceinture scapulaire suivante :
- Signe de l’épaulette (sulcus sign)
Augmentation de l’espace gléno-huméral (instabilité, subluxation de l’épaule)
Décrivez les caractéristiques de la déformation de la ceinture scapulaire suivante :
- Déformation de Sprengel’s
Scapula haute congénitale ou non descendue; muscles scapulaires peu développés ou remplacés par des faisceaux fibreux; uni ou bilatérale; amplitude d’abduction de l’épaule diminuée; scapula plus petite que normale et en rotation médiale
Nommez les différentes déformations des coudes.
- Varum/ valgum
Décrivez les caractéristiques de la déformation du coude suivante :
- Valgum/ varus
Angle supérieur ou inférieur à la normale (valgus normal : homme : 5 à 10°; femme : 10 à 15°)
Nommez les différentes déformations du poignet et des mains.
- Col de cygne (Swan-neck)
- Boutonnière (boutonnière deformity)
- Doigt en maillet (mallet finger)
- Pouce en Z
- Main en griffe (claw fingers)
- Main du prédicateur (Bishop’s hand)
- Main tombante (Drop-wrist deformity)
- Main de singe (ape Hand)
- Contracture de Dupuytren
- Nodules de Bouchard (IPP) ou Héberden (IPD)
Les nodules de Bouchard atteignent quelles articulations ? Les nodules d’Héberden ?
Bouchard : IPP
Héberden : IPD
Décrivez les caractéristiques de la déformation du poignet et des mains suivante :
- Col de cygne
Contracture des muscles intrinsèques (PAR ou trauma)
Décrivez les caractéristiques de la déformation du poignet et des mains suivante :
- Boutonnière
Rupture du tendon extenseur (PAR ou trauma)
Décrivez les caractéristiques de la déformation du poignet et des mains suivante :
- Doigt en maillet
Rupture ou avulsion du tendon extenseur (IPD)
Décrivez les caractéristiques de la déformation du poignet et des mains suivante :
- Pouce en Z
Hérédité ou PAR : flexion MCP et extension IP
Décrivez les caractéristiques de la déformation du poignet et des mains suivante :
- Main en griffe
Perte d’activation des muscles intrinsèques et augmentation d’activité des muscles extenseurs de la phalange proximale des doigts.
Décrivez les caractéristiques de la déformation du poignet et des mains suivante :
- Main du prédicateur
Paralysie du nerf ulnaire
Décrivez les caractéristiques de la déformation du poignet et des mains suivante :
- Main tombante
Paralysie du nerf radial
Décrivez les caractéristiques de la déformation du poignet et des mains suivante :
- Main de signe
Paralysie du nerf médian
Décrivez les caractéristiques de la déformation du poignet et des mains suivante :
- Contracture de Dupuytren
Contracture du fascia palmaire de la main
Nommez les principes de l’analyse de la posture statique.
- Un mauvais alignement impose des stress induis aux os, articulations, ligaments et muscles.
- Une évaluation de la posture statique (positions articulaires) indique quels sont les muscles qui sont en position allongée et raccourcie
- Si une posture est habituelle, il devrait y avoir une corrélation entre l’alignement corporel et les tests cliniques de souplesse musculaire
- Un muscle faible permet une séparation (distension) de ses points d’origine et d’insertion
- Un muscle raccourci maintient ses points d’origine et d’insertion plus près l’un de l’autre
- Un muscle placé dans une position d’élongation peut devenir étiré et/ou faible
- Un muscle placé en position raccourcie peut devenir rétracté.
Comment se place l’évaluateur pour évaluer la posture statique ?
Se placer à distance (2-3 mètres) du sujet évalué. Utiliser l’oeil dominant de l’évaluateur.
Comment se place le sujet pour évaluer la posture statique ?
- Très légèrement vêtu (dégager les régions à observer)
- Sans souliers ou orthèses, pieds nus
- Position : normale (naturelle) ou standardisée
Quels matériels a-t-on besoin pour évaluer la posture statique ?
- Fil à plomb ou grillage
- Fiche posturale ou grille d’évaluation posturale
- Ruban à mesurer, planchettes de bois de différentes épaisseurs
Décrivez le passage normal de la ligne de gravité dans une position standardisée.
- Conduit auditif externe
- Apophyse odontoïde
- Acromion
- Partie moyenne du tronc
- Grand trochanter
- Légèrement en avant de la partie moyenne du genou
- Légèrement en avant de la malléole externe
- Articulation calcanéo-cuboïdienne
Nommez les éléments à observer pour le rachis lors de l’évaluation de la posture en postérieur.
- Contour osseux et des tissus mous
- Alignement des apophyse osseuses
- Dépression ou marche d’escalier
- Plis de taille
- Scoliose, «shift»
Nommez les éléments à observer pour le triangle de taille lors de l’évaluation de la posture en postérieur.
Symétrie
Nommez les éléments à observer pour les scapulas lors de l’évaluation de la posture en postérieur.
- Hauteur
- Position (protraction/ rétraction, élévation/ abaissement, décollement)
- Angles inférieurs (saillants ?)
- Bords vertébraux (décollement ?)
Nommez les éléments à observer pour les plis postérieurs des aisselles lors de l’évaluation de la posture en postérieur.
Hauteur
Nommez les éléments à observer pour les épaules lors de l’évaluation de la posture en postérieur.
Hauteurs, position, symétrie
Nommez les éléments à observer pour les membres supérieurs lors de l’évaluation de la posture en postérieur.
- Attitude générale (position antalgique, de protection, hypotonique, déformations)
- Hauteur des coudes, des mains sur les cuisses, orientation des mains (normalement elles regardent légèrement vers l’arrière)
Nommez les éléments à observer pour le cou lors de l’évaluation de la posture en postérieur.
Angle tête-cou ou angle des trapèzes supérieurs
Nommez les éléments à observer pour le tête lors de l’évaluation de la posture en postérieur.
Port de tête symétrique, hauteur des processus mastoïdes et lobes des oreilles
Nommez les éléments à observer pour le rachis lors de l’évaluation de la posture en antérieur.
- Contour osseux et des tissus mous
- Tonus des muscles abdominaux
- Position de l’ombilic : symétrie
- Ligne des poils : donne une idée de l’alignement du rachis (scoliose)
- Côtes : orientation, symétrie
- Plis de taille
- Scoliose, «shift»
Nommez les éléments à observer pour le thorax lors de l’évaluation de la posture en antérieur.
Déformations (dépression sous-mammaire, thorax en carène, tonneau, etc), bords vertébraux (décollement ?)
Nommez les éléments à observer pour la clavicule et l’acromion lors de l’évaluation de la posture en antérieur.
Hauteur et orientation, articulations acromio-claviculaires (notes de piano), articulations sterno-claviculaires
Nommez les éléments à observer pour les épaules lors de l’évaluation de la posture en antérieur.
Hauteur, position, symétire, espace gléno-huméral (sulcus sign ou signe de l’épaulette)
Nommez les éléments à observer pour les membres supérieurs lors de l’évaluation de la posture en antérieur.
- Attitude générale (position antalgique, de protection, hypotonique, déformations)
- Hauteur des coudes, des mains sur les cuisses, orientation des mains (normalement elles regardent légèrement vers l’arrière)
Nommez les éléments à observer pour le cou lors de l’évaluation de la posture en antérieur.
Angle tête-cou ou angle des trapèzes supérieurs
Nommez les éléments à observer pour la tête lors de l’évaluation de la posture en antérieur.
Port de tête symétrique, hauteur des yeux et des oreilles, orientation du menton
Nommez les éléments à observer pour le rachis lors de l’évaluation de la posture de profil.
Courbures rachidiennes cervico-thoraco-lombaire, «bosse de bison» : flexion cervicale basse
Nommez les éléments à observer pour la cage thoracique lors de l’évaluation de la posture de profil.
Déformations -> dépression sous-mammaire, thorax en carène, tonneau, etc.
Nommez les éléments à observer pour l’épaule lors de l’évaluation de la posture de profil.
Hauteur, position (protraction/ rétraction), enroulement des épaules
Nommez les éléments à observer pour les scapulas lors de l’évaluation de la posture de profil.
Hauteur, position, décollement
Nommez les éléments à observer pour la tête et le cou lors de l’évaluation de la posture de profil.
Protraction de la tête/ rétraction, «bosse de bison»
Que doit-on vérifier lors de la position assise ?
Courbures vertébrales et la «bosse de bison»
Que doit-on vérifier lors de la position en décubitus dorsal ?
Cage thoracique
Que doit-on vérifier lors de la position en décubitus ventral ?
Alignement des processus épineux, tension musculaire (attention à la position de la tête), côtes
Nommez les causes physiologiques de limitation d’amplitude articulaire.
- La douleur
- Les adhérences cutanées pathologiques
- Rencontre de masses musculaires
- Étirement des muscles antagonistes (diminution de la souplesse); tenir compte si muscle biarticulaire ou non
- Oedème ou hydarthrose (gonflement)
- Rétraction aponévrotiques
- Adhérences caspuloligamentaires ou raccourcissements
- Butée osseuse ou un corps étranger intra-articulaire
Décrivez la procédure à suivre pour la prise de mesure et principes à respecter pour une mesure fiable et valide.
a) Prise de contact avec le sujet :
- Nature de l’évaluation
- Mouvement désiré
b) Installation du sujet :
- Position de base
- Accès à l’articulation désirée
- Confort et relâchement
- Réchauffement au besoin (2-3 mouvements)
c) Commandes verbales à donner au sujet :
- Avant le mouvement :
> Objectif : évaluer la souplesse
> Recommandations au client : Mouvement lent, dire s’il se passe quelque chose pendant le mouvement (douleur), aller au maximum possible.
- Pendant ou après le mouvement : est-ce qu’il se passe ou s’est passée quelque chose pendant le mouvement (douleur ou autre) ?
Nommez les éléments importants pour l’utilisation du goniomètre.
- Détermination de l’axe de rotation articulaire :
Il ne faut pas oublier que lors de l’exécution des mouvements, le centre articulaire (C.A.) n’est pas fixe, mais plutôt mobile d’où le concept de CIR. La localisation du CA pendant l’utilisation du goniomètre peut donc parfois être partiellement erronée, ce qui ne devrait cependant pas entraîner une erreur majeure dans la mesure articulaire. - Alignement des branches de l’instrument (repères anatomiques standarts)
- Important : selon le côté mesuré, soit le gauche ou le droit, la branche qui suit le segment en mouvement peut être la branche fixe ou la branche mobile du goniomètre.
- Fixation du segment proximal.
- Exécution du mouvement (actif ou passif), surveiller le plan du mouvement.
Nommez les éléments importants pour l’utilisation de l’hydrogoniomètre ou de l’inclinomètre.
- S’assurer que celui-ci est appuyé sur le segment déplacé de façon stable et identique d’une fois à l’autre, ce qui peut se faire par maintien manuel ou à l’aide d’un brassard.
- Fixation du segment proximal.
- Exécution du mouvement (actif ou passif), surveiller le plan du mouvement.
Quelles variations biologiques peuvent influencer la mesure ?
- Les femmes sont en général plus flexibles que les hommes.
- Type de travail ou loisirs ou sports
- L’amplitude articulaire varie selon la période de la journée (rythme circadien)
- Poids corporel
- Amplitude articulaire diminue avec l’âge.
Nommez les facteurs qui peuvent influencer la mesure.
- Variations biologiques
- Réalisation du mouvement en actif ou en passif (plus grand)
- Présence de douleur ou non
- Appréhension et anxiété du sujet
- Échauffement musculaire
- Habileté de l’évaluateur (expérience)
- Position du membre évalué
Nommez une erreur à éviter lors de la prise de mesure articulaire.
Lecture sur la mauvaise ligne.
Décrivez la lecture lors de la collecte de donnée.
- Pour les mesures prises au moyen d’une règle, d’un ruban à mesurer ou d’un hydrogoniomètre, les yeux doivent toujours être au même niveau que la partie du segment servant de point de repère, pour éviter une erreur de lecture.
- On peut aussi marquer directement la peau du patient à un point qui devra cependant demeurer le même pour chaque mesure (intra et inter-séance)
Qu’est-ce que la méthode du zéro neutre ?
Position à partir de laquelle s’effectuent les mouvements. Souvent semblable à la position anatomique.
Nommez étapes lorsqu’on souhaite prendre la mesure articulaire active et passive chez un client.
- Exécution du mouvement actif par le patient.
- Lecture par l’évaluateur de l’amplitude active sur l’appareil de mesure.
- L’évaluateur effectue par la suite un mouvement passif par une suppression à partir de l’amplitude active.
- Lecture par l’évaluateur de l’amplitude passive sur l’appareil de mesure.
- Écriture des données dans le dossier du client.
Pourquoi est-il important de faire en bloc la mesure d’amplitude d’un mouvement choisi en actif et en passif d’une articulation ?
- Diminuer le temps d’évaluation
- Éviter d’augmenter la douleur chez le client
- Diminuer le déplacement de l’évaluateur pour l’enregistrement des données au dossier.
Pourquoi est-il important de comparer les résultats à des normes et au côté sain ?
- Pour déterminer le niveau de déficit fonctionnel relié à la déficience et aux restrictions d’activités ou de participation.
- Déterminer si l’amplitude mesurée est physiologique ou limitée lors d’atteintes bilatérales.
Combien de degrés doit-on ajouter au normale du mouvement actif pour avoir les normales du mouvement passif ?
Entre 5-10°.
Qu’est-ce que permet le CROM ?
Mesurer la mobilité cervicale globale et spécifique (C0-C1 VS C2-C7) dans toutes les directions avec un seul instrument.
Quand se sert-on de l’aimant pour le CROM ?
Pour la rotation uniquement, déterminer la direction nord et position le sujet pour que la flèche de l’aimant soit orientée dans cette direction.
Quelle est la position de départ pour la flexion et l’extension avec le CROM ?
Assis, utiliser l’inclinomètre en latéral pour l’amplitude en flexion extension; corriger la protraction du client avec d’exécuter le mouvement.
Quelle est la position de départ pour la flexion latérale avec le CROM ?
Client assis, utiliser l’inclinomètre en antérieur du front pour évaluer l’amplitude de la flexion latérale droite et gauche.
Quelle est la position de départ pour la rotation avec le CROM ?
Client assis, avec l’aimant orienté vers le nord. Utiliser l’inclinomètre situé sur le dessus de la tête pour évaluer l’amplitude de rotation.
Nommez les recommandations ou explications à dire au client lors d’un bilan musculaire.
- But de la technique : évaluer la force
- Commande : Forcer GRADUELLEMENT jusqu’au maximum
- Le client doit dire s’il se passe quelque chose durant le test (douleur)
Nommez les principes à respecter lors de l’exécution d’un bilan musculaire.
- Ne pas dire 1, 2, 3 go.
- Fixation du segment proximal et de l’ensemble du corps
- Application progressive de la force pour les cotes 4 et 5, durée totale de la contraction : env. 4 à 6 secondes.
- Ergonomie +++ de l’évaluateur (ajustement des tables, grand bras de levier, avant-bras de l’évaluateur perpendiculaire au segment, au besoin, transfert de poids)
- Une méthode plus objective d’évaluer un muscle dont la force se situe entre 2 et 3 serait de mesurer l’amplitude articulaire contre gravité.
- Une méthode plus objective d’évaluer un muscle dont la force est plus grande que 3 serait d’utiliser un dynamomètre manuel.
- Possibilité de faire un make test ou de faire un break test.
Dans quelle occasion on ne peut tirer aucune conclusion de la force du client lors de l’exécution du bilan musculaire ?
- Si le client rapporte de la douleur durant le test.
- Le client est plus fort que l’évaluateur
- Le client n’a pas fourni l’effort maximal.
Quels éléments permettent de statuer sur la valeur du bilan musculaire ?
- Connaissance de la localisation et des particularités anatomiques des muscles testés. De plus, il devrait connaître les origines et insertions et être capable de localiser les tendons et les ventres musculaires en relation avec les autres tendons et muscles de la même région.
- Connaissance de la direction des fibres musculaires et de leur vecteur de force.
- Connaissance de la fonction participative des muscles (synergistes, agonistes, antagonistes)
- Utilisation constante d’une méthode standardisée pour chaque test.
- Habileté à identifier les patterns de substitution dans un test donnée et comment cela peut être détecter basé sur une connaissance de comment les muscles peuvent substituer pour celui évaluer.
- Habileté à détecter l’activité contractile durant la contraction et la relaxation, surtout dans les muscles minimalement actifs.
- Habileté à identifier les muscles ayant une même innervation pour une meilleur évaluation et compréhension des résultats.
Nommez les éléments du patient qui influencent les résultats du bilan musculaire.
- Si le client est enclin ou non à endurer de l’inconfort ou de la douleur, cela varie.
- L’habileté du client à comprendre ce que le test nécessite, qui peut être limité par des barrières de compréhension et de langage.
- Les habiletés motrices requises peuvent être au-delà de celles possédées par certains clients, rendant le test impossible à faire.
- La lassitude et la dépression peut rendre le client indifférent au test et à l’examinateur.
- Il peut y avoir des problèmes culturels, sociaux ou du genre qui interviennent avec la palpation et l’exposition de certaines parties du corps.
Nommez les limitations du bilan musculaire.
- Variation dans la population
- Objectivité
- Validité et reliabilité
- Sensibilité
- Validité diagnostique
- Force du testeur
- Ceiling effect
Quel est l’impact fonctionnel d’une faiblesse du grand dorsal ?
Le grand dorsal est essentiel pour la marche avec béquilles. Il est aussi essentiel pour grimper, nager, faire de l’aviron, etc. (sports)
Quel est l’impact fonctionnel d’une faiblesse du grand pectoral ?
Un déficit entraîne une diminution de la force de rotation médiale et de l’adduction horizontale du bras. Il existe une continuité dans la chaîne musculaire grand pectoral, oblique interne et externe contralatéral rendant difficile l’action de frapper ou de couper. De plus, le port à 2 mains, à la hauteur de la ceinture, d’objets lourds ou encombrants, est plus difficile.
Quel est l’impact fonctionnel d’une faiblesse des fléchisseurs profond et superficiel des doigts ?
Diminution de la force de préhension rendant difficile de nombreuses activités fonctionnelles.
Quel est l’impact fonctionnel d’une faiblesse du long fléchisseur du pouce ?
Difficulté à tenir des petits objets.