Module 4: attitudes Flashcards

1
Q

Qu’est-ce qu’une croyance

A

Lien cognitif entre un objet et un attribut. Lien cognitif entre deux objets.

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2
Q

Qu’est-ce qu’un système de croyances

A

Représentation mentale d’un ensemble de croyances par rapport à une personne, un objet ou un thème.

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3
Q

Qu’est-ce qu’une opinion

A

Expression d’une croyance.

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4
Q

Qu’est-ce qu’un objet psychologique

A

Tout ce qu’il est possible de se représenter mentalement.
* Il est cognitif à la base.
* Ça inclut les individus.
* Il peut être concret ou abstrait, réel ou imaginaire.
* Quand une attitude y est liée, on parle d’objet d’attitude

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5
Q

Qu’est-ce qu’une attitude?

A

État mental et neuropsychologique de préparation à répondre, organisé à la suite de l’expérience, et qui exerce une influence directrice et dynamique sur la réponse de l’individu à tout objet et situation qui s’y rapporte

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6
Q

Nomme les caractéristiques d’une attitude (7)

A

Direction: ne peut pas être neutre

Intensité = niveau d’affectivité

Centralité = importance relative (poids)

Certitude subjective = par rapport aux croyances

Accessibilité = si l’attitude nous vient rapidement à l’esprit
mesurée par le temps de latence: le nombre de temps que ca prend à qq pour réagir
réaction rapide = attitude accessible

Ambivalence = possibilité de contradiction entre les croyances

Niveau de conscience
* attitude explicite quand on en est conscient; on peut l’expliquer et la décrire
* attittude implicite quand on en est inconscient, mais qui nous influence dans nos comportement
Nbr d’attitudes implicites > explicites

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7
Q

Quelles sont les 2 types de structure d’attitude

A

Evaluation de la direction selon l’affectivité

structure unipolaire: l’attitude peut être que positive ou que negative, pas les deux
Exemple : Une attitude envers la santé. Quelqu’un peut ressentir des niveaux d’appréciation et d’importance variés envers la santé (très important, moyennement important, peu important), mais il est rare d’avoir une attitude négative envers la santé elle-même.

(La plupart) structure bipolaire qu’on peut voir positivement ou négativement
L’exemple de l’énergie nucléaire est un bon cas pour montrer comment les individus peuvent être à la fois “pro-nucléaire” (à cause des avantages tels que l’énergie illimitée, la faible pollution, et la conservation des ressources fossiles) et “anti-nucléaire” (en raison des risques de radiation, des accidents comme Tchernobyl, des coûts de construction élevés, et de la gestion des déchets).

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8
Q

Comment est définit l’apprentissage?

A

Toute modification relativement permanente du comportement, du savoir, de la compétence ou de l’attitude qui résulte de l’expérience.

  • inné (plus dans le sens de certaines prédisposition biologiques déjà là qui font qu’on apprend plus vite certaines choses) mais** plus souvent acquis **(p.ex: les humains sont prédisposés à apprendre le langage dès la naissance grâce aux structures cérébrales spécifiques. Bien que le langage soit acquis (en apprenant les mots et les structures d’une langue), notre capacité à le faire est en partie innée.)

Formation d’attitude
rien -> attitude positive ou négative

Changement d’attiude
attitude positive -> négative
négative -> positivie

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9
Q

Quels sont les 4 mécanismes de formations d’attitudes?

A

Conditionnement évaluatif
un stimulus neutre finit par activer la même attitude qu’un autre stimulus qui active une attitude positive ou négative, après association de ces deux stimuli.

Simple exposition
Plus une personne est exposée à un stimulus, plus elle l’apprécie (attitude positive).

Conditionnement opérant
une attitude devient plus ou moins probable selon les conséquences (renforcements ou punitions) qui y sont associées

Apprentissage social
l’observation d’une attitude chez une autre personne (modèle) amène le développement de la même attitude.

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10
Q

Explique le modèle croyance-évaluation de l’attitude

A

mécanisme de formation d’attitude

Lorsque nous faisons l’acquisition de nouvelles informations par rapport à un objet psychologique, automatiquement, il y a une évaluation de chacune de ces informations. L’évaluation globale de l’attitude correspond à la somme de toutes les évaluations individuelles combinées à leur valeur subjective

information -> probabilité * valeur (subjective) = x
addition de x = attitude

attention, dans le thème 2 quand Anderson parle d’’associationnisme, il mentionne valeur, qui est une évaluation objective, et non subjective comme ici

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11
Q

Explique l’influence génétique dans les attitudes

A

Les jumeaux identiques partagent plus les mêmes attitudes que les jumeaux non identiques.

L’influence du bagage génétique sur les attitudes serait cependant indirecte:

  1. gènes
    ->
  2. Dispositions générales
    - personnalité
    - intelligence
    - capacités physiques
    ->
  3. Attitude
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12
Q

Explique les influences sociales et culturelles quant aux attitudes

A

L’environnement joue un rôle plus important que la génétique dans le développement des attitudes.

La société et la culture peuvent rendre saillants dans l’environnement de l’individu certains stimuli au détriment d’autres stimuli.

La société et la culture peuvent accorder des valeurs subjectives différentes à un objet ou à une activité.

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13
Q

Explique la théorie de l’action raisonnée de Fishbein et Ajze

A

Les comportements humains sont largement influencés par des croyances (comportementales, normatives et de contrôle), qui forment des attitudes, des normes subjectives et la perception du contrôle. Celles-ci, à leur tour, déterminent l’intention de l’individu à agir, ce qui, en fonction de facteurs modérateurs, mène à un comportement.

Pour faire un choix, on se pose des questions (conscient ou inconscient) Si important, plus de chance d’utiliser le processus de façon consciente. Action raisonée ne veut pas dire que c’est conscient, sauf quand c’est important, mais de façon quotidienne, on utilise pus ce processus la de façon inconsciente.

le comportement d’une personne est principalement déterminé par son intention d’agir C’est la première chose à regarder. Elle est basé sur une attitude. Elle est le meilleur prédicteur du comportement. Elle est** influencée par 3 éléments**, chacun étant eux-mêmes influencés par des variables exogènes:

  1. Attitude (comportementale) : déterminée par les croyances comportementales
  2. Norme subjective : pression sociale; croyances normatives, ce que la personne pense que les autre attendent d’elle
  3. Contrôle comportemental perçu : des perceptions de la capacité d’une personne à adopter ce comportement. dépend des ressources internes (comme la confiance en soi ou des compétences spécifiques) et des ressources externes (comme un permis de conduire, l’argent, etc.).

Le comportement réel (résultat final) dépend non seulement de l’intention, mais aussi du contrôle actuel que la personne a sur le comportement, c’est-à-dire les habiletés et les facteurs environnementaux (variables modératrice)

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14
Q

Nomme 4 exceptions sur lesquelles la théorie de l’action raisonnée ne s’applique pas.

A

Phobies (parce qu’elles nous empêchent de raisonner; c’est émotif)

Émotions fortes (empêche le raisonnement)

Dépendance (contrôle absent)

Maladies mentales

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15
Q

Explique le modèle du processus attitude-comportement de Fazio et Roskos-Ewoldsen

A

S’applique dans les cas ou on réagit rapidement

  1. 2 processus se produisent en même temps
    a) Influence de l’attitude de l’objet -> perception sélective -> Perception immédiate de l’objet attitudinal
    b) Influences des normes sociales -> Évaluation en fonction de la situation

2, Définition de l’événement

  1. comportement

L’attitude agit comme un filtre pour faire de la perception sélective des informations:
Attitudes + normes = perception globale = comportement

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16
Q

Pour bien comprendre le processus de persuasion, il faut étudier tous les éléments qui le composent. Lesquels?

A

Qui dit quoi, à qui et comment ?

  1. source
    provenance du message
    * crédibilité: liée à sa compétence ou son expertise dans le domaine.
    * apparence physique
    * Similarité
    On une influence sur la persuasion
  2. message
    Façon de présenter le message qui a un effet sur la persuasion
    * quantité d’informations
    * répétition
    * écart entre le message et l’attitude initiale
    * ordre de présentation des arguments
    * recours aux émotions
  3. auditoire : à qui c’est présenté
  4. canal: moyen par lequel le contenu est présenté
17
Q

Dans l’étude de Kelman et Hovland (1953), ils ont mesuré de l’attitude des gens par rapport au sous marin nucleaire avant la présentation vs immédiatement après, de la part d’une source crédible vs non crédible (= 4 groupes)
Quels ont été les résultats et ce qu’ils ont montré

A

Plus de persuasion de la source crédible vs de la source peu crédible = Impact de la crédibilité à court terme

3 semaine plus tard, même évaluation
À long terme = peu de différence dans les changement d’attitudes entre les 2 groupes

Conclusion
Phénomène d’assoupissement: la mémoire endors une partie de l’information

L’hypothèse est que les gens se souvienne plus du contenu que de la source

Ils ont refait l’expérience mais avant de remesurer l’attitude ils ont rappeler aux gens qui était la source. L’écart demeure. Hypothèse confirmée. En oubliant la source, on nuance moins les informations à cause de l’effet d’assoupissement.

18
Q

Explique comment l’apparence physique affecte la persuasion

A

Les sources attrayantes physiquement exercent un plus grand pouvoir de persuasion.

Explications :
* Attire l’attention.
* Valeur de renforcement.
* Apparence physique dans les médias

19
Q

Explique comment la similarité dans les sources affecte la persuasion

A

La similarité que la source a avec nous exerce aussi un pouvoir de persuasion

Explications :
* Attire l’attention.
* Identification à la personne.

La similarité a un impact seulement si elle a un rapport avec le contenu du message

20
Q

Explique comment la quantité d’information en relation avec l’attention affecte la persuasion pour rendre le message convaincant (3)

A

Convaincant:

  • Peu d’attention + Beaucoup d’informations = (beaucoup d’infos donne l’impression que le message est important de façon superficielle et à court terme)
  • Beaucoup d’attention + Beaucoup d’informations
    + Arguments forts
21
Q

Explique comment la répétition d’un message affecte la persuasion

A

Graph en forme de cloche n entre la répétitionpar rapport à l’écart

Impact positif jusqu’à un certain point:
* Augmente la familiarité.
* Favorise le rappel.

impact négatif de la surexposition :
* Diminue l’intérêt.
* Favorise la réflexion.

22
Q

Explique comment l’écart entre le message et l’attitude initial affecte la persuasion

A

Graph en forme de cloche n entre le niveau de persuasion par rapport à l’écart

Explication à l’écart faible :
Le message ressemble trop à l’attitude initiale.

Explication à l’écart élevé :
Le changement demandé est trop important, ce qui pousse la personne à réfléchir.

Réactance psychologique explique ecart elevé.
L’auditoire doit être connu pour présenter un message modéré et instaurer un changement graduel d’attitude

23
Q

Explique l’impact de l’ordre de présentation des arguments sur la persuasion

A

Pour comprendre ce qui se produit, il faut tenir compte à la fois :
* de l’impact des premières informations reçues;
* du passage du temps qui réduit l’efficacité de la mémoire.

effet de primauté
effet de récence

24
Q

Explique l’impact du recours aux émotions négatives sur la persuasion

A

pour être efficace, l’émotion négative que nous produisons chez l’autre doit être accompagnée de moyens pour la contrer.

Explication : La personne veut éviter de vivre la même émotion déplaisante.

25
Q

Selon Witte et Allen (2000), le message doit posséder quatre caractéristiques pour que le recours à la peur soit efficace sur la persuasion, lesquelles?

A

La sévérité de l’information.

Les probabilités que le problème survienne.

L’efficacité de la réponse.

L’efficacité personnelle à agir.

La personne veut éviter de vivre la même émotion déplaisante.

26
Q

Explique comment le recours aux émotions positives peut affecter la persuasion

A

La distraction cognitive.
La hausse du sentiment de confiance général.
La volonté de demeurer dans l’état de bien-être

27
Q

Qu’est-ce que la consistance cognitive

A

La consistance cognitive (aussi appelée consonance cognitive) est le besoin ressenti par l’être humain de garder une cohérence interne.
Lorsque nous sommes dans un état d’incohérence, nous avons tendance à vouloir rétablir la cohérence. Cela peut nous amener à changer d’attitude afin de retrouver la consistance cognitive

28
Q

Selon la théorie de l’équilibre, quelles sont les stratégies possible pour ramener l’équilibre? Qu’est-ce qui fait qu’on en choisi une plutôt qu’une autre?

A

Changer d’attitude à l’égard de l’objet.

Convaincre l’autre de changer d’attitude à l’égard de l’objet.

Changer d’attitude à l’égard de l’autre.

S’imaginer que la situation est complètement différente

On prend toujours l’option qui demande le moins de changement.

29
Q

Quels sont les 6 postulats fondamentaux de la théorie de la dissonance cognitive?

A
  1. Avoir des cognitions (attitudes, valeurs, émotions, comportements) entre lesquelles il existe une dissonance est psychologiquement désagréable (provoque une tension ou un malaise).
  2. L’individu en état de dissonance tente :
    * de le supprimer ou de le réduire afin de retrouver l’état de consonance;
    * d’éviter les situations et les informations qui risqueraient d’instaurer ou de renforcer cet état psychologiquement désagréable.
  3. Plus forte est la tension provoquée par l’état de dissonance, plus forte est la tendance à le supprimer ou à le réduire.
  4. La force de la tension provoquée par la dissonance entre les cognitions dépend du rapport entre le nombre et l’importance des cognitions dissonantes et le nombre et l’importance des cognitions consonantes
  5. Stratégies pour supprimer ou réduire la dissonance :
    * l’ajout de cognitions;
    * l’élimination de cognitions;
    * la banalisation de l’incohérence;
    * l’oubli des idées provoquant l’état de tension.
  6. Les cognitions entre lesquelles existe la dissonance peuvent résister au changement
30
Q

Quelles sont les 4 choses à faire pour réduire la dissonance.

Pour les expliquer, analogie avec un fumeur

A

l’ajout de cognitions: Ajouter de nouvelles pensées qui rendent les cognitions contradictoires plus cohérentes entre elles.
ex: une personne qui fume pourrait se dire qu’elle fait aussi du sport pour rester en bonne santé.

l’élimination de cognitions: Supprimer ou ignorer les pensées qui créent la dissonance. ex: arrêter de penser aux effets négatifs du tabac pour un fumeur.

banalisation de l’incohérence
Minimiser l’importance de la contradiction.
ex: Le fumeur pourrait se dire que “fumer de temps en temps n’est pas si grave.”

l’oubli des idées provoquant l’état de tension.: Essayer de se distraire ou d’oublier les pensées qui causent le malaise, évitant ainsi de ressentir la dissonance.
ex: éviter les discussions sur les dangers du tabac.

31
Q

Dans l’étude de Festinger et Carlsmith (1959), des participants ont été invités à réaliser une tâche très ennuyeuse, puis ont été invités à mentir à une autre personne en lui disant que la tâche était amusante.

Après cela, les participants ont reçu soit 1 dollar soit 20 dollars pour avoir menti. Il y avait aussi un groupe témoin qui n’a pas menti.

A

Le graphique montre le plaisir éprouvé face à l’expérience dans trois conditions différentes

Sans mensonge : Les participants qui n’ont pas menti (groupe témoin) ont évalué leur plaisir à un niveau bas, ce qui est attendu puisque la tâche était objectivement ennuyeuse.

Mensonge + 20$ : Les participants qui ont été payés 20$ pour mentir n’ont pas ressenti beaucoup plus de plaisir que le groupe témoin. Cela suggère que, bien qu’ils aient menti, le montant de la récompense était suffisamment élevé pour justifier leur comportement, donc la dissonance cognitive était faible.

Mensonge + 1$ : Les participants qui ont reçu seulement 1$ pour mentir ont rapporté avoir ressenti beaucoup plus de plaisir. Cela est surprenant, car 1$ est une faible compensation pour mentir. Selon la théorie de la dissonance cognitive, ces participants ont dû réduire la dissonance créée par le fait de mentir pour une faible récompense en modifiant leur attitude envers la tâche. Ils ont fini par se convaincre qu’ils avaient réellement apprécié l’expérience pour justifier leur mensonge.

lorsqu’une personne a peu de raisons externes (comme une petite récompense) pour justifier un comportement contraire à ses attitudes, elle ressent une dissonance cognitive. Pour la réduire, elle modifie souvent ses attitudes afin de rendre ce comportement cohérent avec ses croyances.

32
Q

Dans l’étude de Pasca et Poggio (2021), 2 éléments dissonants du quotidiens sont présentés dans l’étude

Comportements non écoresponsables :
Prendre davantage l’avion, consommer plus d’essence, acheter des camions et des VUS (véhicules utilitaires sport), qui sont des comportements nuisibles pour l’environnement.

Conscience de l’urgence climatique :
En même temps, ces individus sont conscients de la gravité de la crise climatique et de la nécessité d’agir rapidement pour limiter les dommages environnementaux.

Problématique de dissonance cognitive :
La contradiction entre ces deux éléments crée un état de dissonance cognitive.

Pourquoi les gens continuent d’agir comme ca?

A

comparaison avec les autres : Les gens ont tendance à minimiser leur propre culpabilité en comparant leurs actions à celles des autres.

Cette justification permet de réduire la dissonance en se focalisant sur le fait que d’autres font moins d’efforts ou adoptent des comportements encore plus nuisibles à l’environnement, ce qui rend leur propre impact moins visible.

les gens doivent cesser de se dédouaner en se comparant aux autres ou en trouvant des excuses qui minimisent la gravité de leurs actions. En éliminant ces justifications, il devient plus facile de prendre des mesures concrètes pour aligner ses actions avec ses croyances pro-environnementales.

33
Q

Qu’est-ce que la dissonance post-décisionnelle?

A

Elle se produit lorsque nous devons choisir entre deux options (ou plus) qui nous paraissent de valeur égale.

Survient seulement après avoir pris une décision sur 2 éléments égaux (peu importe ce qu’on va choisir, on va se sentir mal)

34
Q

Explique les 2 stratégies pour supprimer ou réduire la dissonance post-décisionnelle

A

valoriser l’option choisie
dévaloriser l’option rejetée.