Lectures thème 1 Flashcards
Qu’est-ce que l’effet Zeigarnik? Quel figure y est rattaché?
Kurt Lewin, le père de la psychologie sociale: le fait d’être motivé dans ses efforts pour poursuivre une tâche jusqu’à sa complétude.
tendance à mieux se souvenir des tâches inachevées ou interrompues que des tâches complètes. Kurt Lewin a joué un rôle clé dans la mise en lumière et la compréhension des effets psychologiques liés à l’inachèvement
Quelles sont les éléments de contribution de Kurt Lewin, le père de la psychologie sociale?
- C’est l’un des premiers à utiliser le laboratoire de façon créative pour vérifier des hypothèses précises
- C’est l’un des premiers à insister sur la nécessiter de formuler des hypothèses précises découlant de formulations théoriques
- Intérêt pour l’étude de problèmes sociaux à partir de formulations théoriques
- Formation de plusieurs psychologues sociaux selon son approche et sa vision de la science
Que sont les théories implicites de la personnalité?
Type de schéma particulièrement actif lors de nos premier contact avec qq qui permet d’inférer des traits à partir de caractéristiques. Elles dictent les traits qui vont ensemble selon nos expériences personnelle et notre culture.
Que font les gens lorsqu’ils recoivent des informations qui ne coincident pas avec une de leurs théories implcites?
Les gens n’en tiennent pas compte en rejetant l’information qui contredit leur croyance ou les transforme (modifie / réinterprète l’information) de façon à les accorder avec leurs croyances.
Quel est un problème fondamental lié aux schémas implicites de la personnalité ?
Une fois qu’un schéma est activé, il peut influencer l’intégration des informations suivantes, mais les informations contraires peuvent ne pas avoir le poids qu’elles devraient avoir.
Les schémas apparaissent généralement plus résistants chez les individus de la deuxième moitié de l’âge adulte, rendant plus difficile l’acceptation d’informations qui les contredisent. contredisent.
Qu’est-ce que la théorie des rôles et qui l’a développée ?
La théorie des rôles, développée par George Herbert Mead, postule que nos comportements sont influencés par les attentes sociales et les rôles que nous croyons devoir jouer dans différents contextes.
La théorie des roles se relie à quels autres concepts en psychologie sociale ?
monitorage de soi, lié à l’approche dramaturgique d’Erving Goffman ( les individus agissent comme des “acteurs” jouant différents “rôles” en fonction des situations sociales dans lesquelles ils se trouvent, et ces rôles sont influencés par les attentes et les normes du “public”)
Qu’est-ce que la théorie de l’apprentissage social? Qui est son auteur?
La théorie de l’apprentissage social d’Albert Bandura postule que les comportements sont appris par observation et imitation des autres, intégrant les notions de renforcement et de punition.
Qu’est-ce que le conditionnement opérant?
C’est un type d’apprentissage où le comportement est modifié par ses conséquences, soit par des renforcements (positifs ou négatifs) soit par des punitions.
Quelles sont les principales conclusions des recherches de Bandura sur l’apprentissage social ?
Les comportements peuvent être acquis sans expérience directe, et l’observation des autres influence significativement le comportement.
Quelles nuances existent dans la théorie de l’apprentissage social ?
Bien que l’observation soit cruciale, d’autres facteurs comme la motivation, les croyances personnelles et le contexte social peuvent également influencer l’apprentissage.
exceptions à cette théorie : certains comportements peuvent être acquis par des expériences directes ou des facteurs biologiques, montrant que l’apprentissage social n’est pas la seule voie d’acquisition des comportements.
Quelle est la définition principale de la théorie de l’échange social et comment se distingue-t-elle des théories de l’apprentissage ?
La théorie de l’échange social définit le comportement humain comme étant motivé par l’évaluation des récompenses et des coûts liés aux interactions, se distinguant des théories de l’apprentissage par son incorporation d’éléments cognitifs dans l’évaluation des résultats des interactions.
Y a-t-il des exceptions ou des nuances à la théorie de l’échange social ?
Oui, des exceptions existent, notamment lorsque des comportements altruistes ou des facteurs émotionnels et culturels influencent la prise de décision, rendant parfois l’évaluation coûts-bénéfices insuffisante pour expliquer tous les comportements humains.
Qu’est-ce que les théories de l’attribution et quel est leur objectif principal ?
Les théories de l’attribution sont des modèles qui expliquent comment les individus se créent une perception cohérente et prévisible du monde social en attribuant des causes aux agissement d’autruis et de soi. Il aide les individus à naviguer dans leurs interactions sociales en fournissant des explications aux comportements observés, en attribuant des comportements spécifiques à des causes particulières.
Quelles nuances ou exceptions peuvent exister dans les théories de l’attribution ?
Les théories de l’attribution peuvent être nuancées par divers facteurs, comme les biais cognitifs qui peuvent influencer la façon dont les individus perçoivent les comportements. Par exemple, une tendance à attribuer les succès aux qualités personnelles et les échecs aux circonstances peut mener à des distorsions dans l’évaluation des comportements d’autrui.
Explique la théorie de la dissonance cognitivie
Les théories de la dissonance cognitive suggèrent que les individus cherchent à maintenir une cohérence entre leurs croyances et leurs actions malgrés les éléments contradictoires à l’intérieur d’eux
Cela influence non seulement leur comportement personnel, mais aussi leurs interactions avec les autres, notamment dans le cadre des relations intimes et des attitudes envers des figures d’autorité ou des proches.
Les personnes sont susceptibles de réévaluer leurs relations et leurs comportements pour réduire la dissonance ressentie.
Laurie éprouve un malaise face à cette contradiction entre ses valeurs féministes et ses préjugés. Cette prise de conscience pourrait l’amener à réagir de 4 façons, lesquelles?
Pour réduire la dissonance, elle peut:
- changer d’attitude
- réinterpréter son comportement
- questionner ses propres croyances sur les préjugés.
- Son inconfort pourrait la motiver à trouver des mécanismes de défense pour gérer cette dissonance.
Que sont et à quoi servent les théories du traitement de l’information?
Elles expliquent les processus que le cerveau utilise pour percevoir son environnement et y réagir, parfois en prenant des raccourcis douteux pour réagir plus vite dans le quotidien. L’individus ne reste jamais passif: il transforme l’information dans sa vie, l’intègre et lui donne un sens, comme un ordinateur.
En quoi consiste la psychologie interculturelle et comment se distingue-t-elle des approches traditionnelles en psychologie sociale ?
La psychologie interculturelle étudie comment les différences culturelles influencent les pensées, émotions et comportements des individus.
Contrairement aux approches traditionnelles qui ont souvent utilisé des modèles universels basés sur des échantillons principalement occidentaux, la psychologie interculturelle met l’accent sur la diversité culturelle et les variations contextuelles, reconnaissant que les expériences humaines ne peuvent pas être uniformément appliquées à toutes les cultures.
Quelle est la différence entre un processus inconscient et un processus semi-conscient?
Un processus inconscient se produit sans que la personne y prête attention, comme des réflexes sociaux quotidiens (par exemple, serrer la main).
Un processus semi-conscient, comme la panique de Laurie face à un individu suspect, est légèrement plus conscient, mais se produit toujours de manière automatique.
Quel rôle jouent les biais dans les interactions sociales ?
Les biais facilitent le traitement rapide des informations sociales. Bien qu’ils favorisent généralement l’adaptation, ces biais sont souvent influencés par les croyances, valeurs et préjugés, ce qui peut biaiser les jugements que nous portons sur autrui, notamment lorsqu’ils sont basés sur des stéréotypes culturels.
Quels comportements sociaux sont considérés comme universels dans l’approche évolutive ?
Certains comportements comme les expressions émotionnelles et les gestes d’affection sont universels à travers différentes cultures, tout comme les réactions face à la sexualité et à l’agressivité. Ces comportements sont enracinés dans des mécanismes de survie communs à l’ensemble de l’espèce humaine.
Qu’est-ce que la norme de réciprocité selon Robert Cialdini ? Quel type d’approche utilise-t-il pour la déterminer?
Ce psychologue adopte une position évolutionniste lorsqu’il affirme que la norme de réciprocité est un mécanisme d’adaptation qui incite les individus à rendre un service après en avoir reçu un, car ce processus favorise la division du travail, l’échange de biens et la spécialisation au sein des sociétés humaines, ce qui leur donne un avantage évolutif.
Quelle différence il existe entre l’approche évolutive de la réciprocité et le darwinisme social ?
L’approche évolutive de Cialdini sur la réciprocité met l’accent sur l’avantage collectif et individuel qu’apporte cette norme, tandis que le darwinisme social, souvent mal interprété, justifie la domination des plus forts comme une loi naturelle. Cette dérive idéologique a terni la réputation des études évolutionnistes.