Les entérites du nouveau-né Flashcards
quand on parle de diarrhée néonatale : âge
veau de moins de 30 jours
importance médicale majeure diarrhées
80% des affections du veau de moins de 3 semaines
10% de la mortalité de la naissance au sevrage
impact économique majeur diarrhées
- Immédiat : traitement, frais vétérinaires, mortalité
- A plus long terme : retard de croissance → retard de mise à la vente ou à la reproduction
- Coût : 20 à 50 € / an / veauàrisque
impact social diarrhées
- Temps consacré aux soins par l’éleveur
- Découragement, fatalité, abandon…
schéma physiologie digestive et microvillosités
:)
les villosités correspondent aux cellules matures / immatures
les cryptes correspondent aux cellules matures / immatures
matures
immatures
role villosités
digestion
absorption
role cryptes
sécrétion
prolifération
causes possibles de diarrhées néonatales (4)
virus
parasites
bactéries
autres diarrhées
virus diarrhée (2)
rotavirus
coronavirus
parasites diarrhée (2)
cryptosporidium parvum
eimeria bovis et eimeria zuernii
bactéries diarrhées (2)
E. coli
salmonella spp
autres diarrhées (3)
alimentaire
iatrogène (antibio)
buveur ruminal
le lait froid provoque
des diarrhées
tableau virus
:)
tableau 2 bactéries
:)
courbe par coeur
:)
ordre des causes diarrhées
1) cryptosporidium
2) E. coli
3) Rotavirus
UN SEUL AGENT OU UNE ASSOCIATION DE MALFAITEURS ?
co-infections fréquentes
aggravation de l’atteinte et affection plus longue
age de survenue des diarrhées
- 50% des cas dans la 1ère semaine de vie
- 85% dans les deux 1ères semaine de vie
- 5% après 3 semaines d’âge
epizootique
Tous les veaux atteints, sans distinction d’âge, sur une courte période de temps
bouffée épizootique
Une fraction des veaux de l’année, souvent du même âge, sur une courte période
enzootique
- Répétable ou non, d’une saison de vêlages à l’autre
- Apparition des cas après 50-60% (0 à 80% des vêlages) :
Veaux atteints de plus en plus jeunes
Veau atteints de plus en plus gravement
diarrhée par hypersécrétion
- D’ions chlorures +/- d’ions bicarbonates
- Cas des ETEC
diarrhée par malabsorption
- D’ions chlorures +/- d’ions bicarbonates
- Cas des ETEC
Diarrhée par exsudation
- Augmentation perméabilité capillaire, destruction des jonctions serrées
- Qualifiée d’entéropathie exsudative
- Cas des salmonelles, de certains parasites
schéma diarrhée associée aux ETEC
Rotavirus
- Atteinte des entérocytes matures
- Mécanisme pathogénique : réplication virale → cytopathie → diminution de la capacité d’absorption
- Pas de destruction des cellules des cryptes → multiplication des cellules cryptales → augmentation de la quantité d’ions sécrétés dans la lumière intestinale
coronavirus
- Atteinte de l’intestin grêle et du gros intestin
- → Atteinte des entérocytes matures et des cellules cryptales, d’où des signes cliniques plus longs
point commun virus
- Destruction des entérocytes : diminution de l’absorption des ions, de
l’eau et du lactose - Diminution de la quantité de lactase → moindre digestion du lactose
- Malabsorption, compliquée d’une maldigestion par les bactéries du gros intestin
3 schémas diarrrhée virus
:)
malabsorption intestin grêle :
─ D’où arrivée dans le gros intestin de … :
- …
- …
─ Production possible … par …
- Enparticulier,d’acideD-lactique
─ Appel … dans la lumière intestinale suivant le …
molécules non digérées
lactose
AGV
acide lactique
fermentation bactérienne
d’eau
gradient osmotique
schéma synthèse des événements conduisant à une diarrhée
:)
schéma acidose avec déshydratation
:)
schéma acidose lors de gastro entérite paralysante
:)
lors de gastro entérite paralysant el problème est
l’acidose
pathogénèse diarrhée avec déshydratation
─ Déshydratation moyenne à sévère
─ Pertes électrolytiques - Hyponatrémie
- Hyperkaliémie (mais déficit global au niveau de l’organisme) - Déficit en bicarbonate
- +/- Hypochlorémie
─ Déséquilibre acido-basique - Acidose
─ +/- déficit énergétique
état général diarrhée
déshydratation : minime —> légère —> modérée —> sévère
posture : Debout —> décubitus sternal —> décubitus latéral
comportement
réflexe de succion : présent —> diminué —> absent
démarche, locomotion
parésie, ataxie, paralysie : lié au degré d’acidose
fécès
consistance : aqueuse —> mucosité —> pâteuse —> mastic
couleur/odeur
quantité : faible —> normale —> augmentée
éléments étrangers : mucus —> sang —> fibrine
que faut il regarder si diarrhée (clinique)
état general
comportement
démarche / locomotion
mouvements respiratoires
féces
tableau évolution clinique déshydratation
:)
tableau degré acidose métabolique
:)
autre éléments cliniques à rechercher
septicémie :
-pétéchies
-suffusions
-liseré gingival
signes abdominaux associé à une entérite :
-distension
-abdomen levretté
-bruit de flot
signes cardiaques associés à une entérite :
tachycardie : csq de l’hypovolémie et de septicémie
arythmie : csq des troubles de la kaliémie
clinique gastro-entérite paralysante
─ Réflexe de succion diminué à absent
─ Déshydratation absente cliniquement
─ Acidose marquée à sévère : Abattement marqué, «Ébriété»
─ Fèces pâteux à mucoïdes
─ Abdomen souvent distendu : Succussion de la caillette positive
─ Œdème palpébral et cornage parfois rencontré
tableau clinique synthèse
:)
diagnostic de laboratoire : identifier l’agent pathogène
principe
Multiplicité et association des agents pathogènes
- → échantillonnage représentatif (nombre de veaux) - Infections transitoires (virus)
- → prélèvement de veaux en début d’évolution, non traités - Qualité des prélèvements
- → prélèvement fèces dans pot stérile ou anse intestinale ligaturée (rapidement après la mort)
- → conservation : envoi sous froid positif (bactérie) ou congélation (virus, parasites)
- → acheminement rapide (6 – 12h pour Giardia et Clostridium)
diagnostic de laboratoire : identifier l’agent pathogène
méthode
Rotavirus et coronavirus
- LVD : ELISA antigène
- BVDv
- PCR sur sang (EDTA)
- Animal mort : PCR sur rate
- E. coli
- Dénombrement nécessaire ? Variation du normal (106/g) au pathologique (108 à
109/g)
- Recherche des marqueurs de virulence : facteurs d’attachement : F5 (K99), CS31A, FY, F41
- → Détermination par réaction immunologique (agglutination sur lame) - Cryptosporidium : cf. cours GENN parasitaires
tests rapides terrain
immunochromatographique
immunochromatographique met en évidence
rotavirus
coronavirus
cryptosporidose
E. coli F5 et CS31A
combien de faux négatifs immunochromatographique
5 à 15%
tableau objectifs de la fluidothérapie
:)
tableau correction de la déshydratation
:)
voie veineuse si
déshydratation sévère
perte du réflexe de succion
acidose sans déshydratation clinique
voie orale systématique sauf si
distension de la caillette
sondages répétés
déficit du réflexe de succion
comment corriger l’acidose métabolique ?
- En augmentant la concentration sanguine en HCO3−
- H+ + HCO3− H2CO3. H2O + CO2 dissous
- Apport de bicarbonates ou de précurseurs du bicarbonate (acétate, propionate, citrate)
comment déterminer la qtté de HCO3- à apporter ?
HCO3− (mmol) = Déficit de base (mmol/L) x Poids vif (kg) x 0,6 à 0,7
le déficit de base peut etre estimé
- en fonction de l’état clinique de l’animal ET de l’âge du veau
- directement à partir de mesures fournies par un analyseur de gaz sanguin
Comment diminuer l’acidose métabolique ?
- En diminuant la concentration sanguine en H+
- → Rétablir la volémie permet :
- de favoriser l’excrétion urinaire des H+ - de limiter la production de L-lactate
réhydratation IV
─ Solutés alcalinisants
- Alcalinisant à action immédiate
- Solutés de bicarbonates de sodium à 1,4% ou à 4,2% - Alcalinisant à action différée
- Bases métabolisables
- Acétate, citrate, lactate
─ Solutés poly-ioniques équilibrés, légèrement osmotique
- 275 mOsmol/L
- Ringer lactate
- Contient, entre autres, du lactate de sodium
- Métabolisé au niveau hépatique en bicarbonate de sodium, mais… - Métabolisme hépatique réduit si acidose métabolique
fluidothérapie
─ Corriger les pertes en électrolytes
- Les solutions de réhydratation orale ou IV contiennent des électrolytes
- Le rétablissement de la volémie aide donc à corriger les pertes en électrolytes
─ Apporter de lénergie, au moins le besoin d’entretien :
- Besoins d’entretien : 50 kcal/kg PV/j - Soit 2500 kcal/j pour un veau de 50 kg
- Sachant qu’1 gramme de glucose représente 3,4 kcal : - Soit 735 g de glucose pour 24 heures…
Pourquoi faire un traitement antibiotique ?
- Septicémie ou bactériémie
- Multiplication intestinale des E. coli
- Deux sites : intestins et circulation sanguine
Quand faire un traitement antibiotique ?
- Par voie générale
- Veau < 5 jours : septicémie….
- Signes de septicémie ou Uriscreen positif - Mauvais transfert colostral suspecté
- Par voie orale
- Veau < 5 jours
- Colibacillose avérée mise ne évidence par examens complémentaires
─ Quels antibiotiques utiliser ?
- Surtout dirigé vers des bactéries Gram négatif (E. coli) - Par voie générale
- En première intention
- Aminosides : Gentamicine
- Antibiotiques polypeptidiques : Colistine
- Sulfamides potentialisés
- En deuxième intention, après prélèvement pour antibiogramme
- C4G (cefquinome) et FQ (marbo-, enro-, dano-floxacine) peuvent éventuellement
être utilisées - Mais quel prélèvement est le plus adapté ?
- Par voie orale
- Mêmes familles que la première intention, colistine à privilégier (induction résistance faible), traitement de 48 heures
la sensibilité à E. coli de l’antibiotique doit dépasser
80%
animal sain : équilibre entre
agents pathogènes et hôte
animal malade
déséquilibre entre agent pathogène et hôte
(B) Citer les principaux facteurs de risque d’entérite néonatale.
(B) Citer les leviers de gestion collective des entérites néonatales dans un élevage.
Facteurs de risque Défenses immunitaires insuffisantes :
• Déficit de transfert colostral
• Anticorps dirigés contre le pathogène incriminé absent
• Diminution de « l’immunité générale » de l’animal
Prévention :
- Prise d’un colostrum de qualité en quantité suffisante
- Vaccination
- Paramètres d’ambiance du bâtiment et alimentation
Facteurs de risque Pression d’infection trop importante :
- Présence d’animaux porteurs sains, excréteurs (adultes, veaux plus âgés)
- Défaut d’ambiance du bâtiment favorisant la survie et la multiplication des pathogènes
Prévention :
- Séparation des veaux à naître des sources infectieuses
- Curage
- Nettoyage / désinfection / vide sanitaire
Pression d’infection trop importante et solutions
• Présences d’animaux porteurs sains, excréteurs (adultes ; veaux plus âgés)
• Défaut d’ambiance du bâtiment favorisant la survie et la multiplication des pathogènes
solutions :
- Séparation des veaux à naitre des sources infectieuses
- Curage
- Nettoyage/désinfection/vide sanitaire
(A) Citer les agents pathogènes impliqués dans les entérites néonatales, en précisant l’âge du veau auquel ces pathogènes peuvent être rencontrés.
ETEC = colibacillose : < 5 jours (jusqu’à 15-21j si co-infection)
Rotavirus : 3 - 6j
Coronavirus, Cryptosporidies, EPEC, VTEC, EHEC : 3-4j à 21j max
salmonelles : > 10j
Coccidies : > 15j
(A) Décrire les perturbations hydro-électriques et acido-basiques rencontrées classiquement lors d’entérite néonatale.
(B) Décrire les différents mécanismes pathogéniques associés aux différents agents d’entérite
néonatale.
• Diarrhée par hypersécrétion :
- Récepteur à toxine STa
- sortie massive des ions chlorures + ions bicarbonates au niveau des cryptes
- Défaut d’entrée du Na+ et H+ conservés dans les entérocytes
- Sortie d’eau par hypersécrétion
- cas des ETEC
• Diarrhée par malabsorption :
- Rotavirus : atteinte des entérocytes matures, pas de destruction des cellules des cryptes : multiplication des cellules cryptâles —> augmentation de la quantité d’ions sécrétés
- Coronavirus : Intestin grêle et gros intestin : atteinte des entérocytes matures et cellules cryptales
- mise à nue des microvillosités : diminution absorption des ions, eau, lactose moindre digestion du lactose
- arrivée GI molécules non digérées : lactose, AGV —> fermentation bactérienne et production d’acide D-lactique —> appel d’eau dans la lumière intestinale
- cas des EPEC, EHEC, rotavirus, coronavirus
• Diarrhée par exsudation :
- Augmentation perméabilité capillaire, destruction des jonctions serrées
- enthéropatie exsudative
- inflammation
- salmonelles, certains parasites
• Acidose avec déshydratation :
- Perte de K+ fécès, mais hypovolémie donc hyperkaliémie (Concentration H+ sang augmente donc échange H+ et K+ dans les cellules)
- Perte de Cl- dans les fécès : Hypochlorémie
- Perte de Na+ dans les fécès : Hyponatrémie
- Perte de HCO3- dans les fécès, hypovolémie donc baisse d’excrétion de H+ dans les urines, catabolisme anaérobie par hypoperfusion musculaire donc production de L-Lactate dans les muscles, fermentation du lactose rumen : D-lactate produit —> acidose métabolique, baisse du pH sanguin
- Perte de H20 fécès —> déshydratation —> Hypovolémie —> hématocrite, hémoglobine, urée, TA augmentés
- Dimminution BE
- Déficit énergétique
(A) Décrire les signes cliniques permettant d’estimer, chez un veau atteint d’entérite
néonatale,
o le degré de déshydratation
o le degré d’acidose
o la présence d’une septicémie
o septicémie :
- pétéchies
- suffusions
- liseré gingival
o degré de déshydratation : (0%, 1 à 5%, 6 à 8%, 9 à 10%, 11 à 12%)
- Enfoncement du globe oculaire : œil normal, œil normal, œil légèrement enfoncé, distance oeil-orbite < 0,5 cm, distance oeil-orbite > 0,5cm
- Temps de retour à la normale du pli de peau : < 1s, 1-4s, 5-10s, 11-15s, 16-45s
- Muqueuses : Humides, humides collantes, collantes à sèches, sèches
- Extrémités : Chaudes, chaudes, +/- froides, froides, froides
- Réflexe de succion : Présent, présent, présent, diminué, absent
o degré d’acidose : (degré, déficience en base) veau < 8j, veau > 8j
- Vaillant, réflexe de succion marqué, locomotion normal : minime, 0, 5
- Debout, réflexe de succion faible, titube : légère, 5, 10
- Décubitus sternal : Marquée, 10, 15
- Décubitus latéral : Sévère, 15, 20
(A) Décrire le syndrome de gastro-entérite paralysante et les signes cliniques associés.
• l’acidose est due à la production de D-lactate et non à la déshydratation
• Réflexe de succion diminué à absent
• Pas de signe clinique de déshydratation
•Acidose marquée à sévère : abattement, ébriété
• Fécès pâteux à mucoides
• Abdomen souvent distendu : succussion de la caillette positive
•oedème palpébral et cornage parfois rencontré
•touche les veaux de 8 à 12j
(A) Proposer un plan thérapeutique adapté au type et degré d’atteinte d’un veau à diarrhée.
1) Réhydratation :
• Apport de volume pour corriger la déshydratation et corriger la volémie :
- (% déshydratation * PV) + (0,07 * PV) + (0,025 * PV) = eau déshydratation + eau besoins + eau compensation diarrhée = eau nécessaire en 24 h.
- Voie orale systématique sauf si absence de réflexe de succion, distension de la caillette, sondages répétés sinon voie veineuse surtout si déshydratation sévère (+ de 8%), perte du réflexe de succion, acidose sans déshydratation clinique
- en IV : alcalinisants immédiats : solution de bicarbonates de sodium à 5,6%, alcalinisants à action différée : bases métaboliques, acétate, citrate, lactate, solutés poly ioniques équilibrés légèrement hypotoniques : 275mOsm/L, Ringer Lactate, ou hypertoniques : Lodevil, D-Hydrat, Spécial 2411
• Correction de l’acidose : rétablissement de la volémie, apport de HCO3-, apport de précurseurs de HCO3- :
- HCO3- = déficit de base * PV * 0,6 à 0,7
- rétablir la volémie : H+ urinaire, moins de L-lactate
• Hyponatrémie : apport d’éléctrolytes avec la perfusion (réhydratation IV)
• Hyperkaliémie : correction de l’acidose
• Hypoglycémie : Apport énergétique
- besoin d’entretien : 50kcal/ kg PV / j —> 2500 kcal/j —> 735g de glucose car 1g vaut 3,4 kCal
2) Anti-infectieux :
- septicémie ou bactériémie
- E. coli
- par IV : veau de moins de 5j en septicémie, signes de septicémie ou Uriscreen positif, mauvais transfert colostral suspecté
- par voie orale : veau de moins de 5j, colibacillose avérée
- première intention : gentamicine, colistine, sulfamides potentialisés
- seconde intention : C4G = cefquinome, FQ = marbo ou enro ou danoflexine
- si voie orale, idem premiere intention mais privilégier colistine, traitement de 48h
(B) Décrire les examens complémentaires utilisables pour :
o établir un diagnostic étiologique
o estimer la présence d’une bactériémie
o préciser les désordres électrolytiques et métaboliques.
o établir un diagnostic étiologique :
• Rotavirus et coronavirus : LVD ELISA antigène
• BVDv : PCR sur sang EDTA, PCR sur rate si animal mort
•E. coli : Dénombrement : normal = 10^6 / g, pathologique = 10^8 à 10^9 / g
Recherche de marqueurs de virulence : F5, F41, CS31A, FY par agglutination sur lame (réaction immunologique)
• Test rapides terrain d’immunochromatographique : Speed v diar, Bio K 156 ou 306, Kit «Kitvia» pour mettre en évidence : Rotavirus, Coronavirus, Cryptosporidiose, E. coli F5, CS31A
• Cryptosporidies : imputabilité coloration simple Ziehl, Heine, sédimentation, flottation au sucrose, ELISA
o estimer la présence d’une bactériémie :
• Test Uriscreen : bactériurie donc bactériémie
o préciser les désordres électrolytiques et métaboliques :
• gaz sanguin et ionogramme (électrolytique)
• sur le terrain : outils pour calculer la compo du réhydratant à perfuser en fonction des différents paramètres sanguins : Logiciel «Biochimie néonatale bovine»
• Analyseurs terrain : Opti, I-Stat, Epoc