Entérites hivernales et salmonellose Flashcards

1
Q

Salmonellose bovine

A

• Maladie infectieuse, très contagieuse, due à une bactérie du genre Salmonella, pouvant être à l’origine de tableaux cliniques variés en élevage
• Affection touchant un grand nombre d’espèces animales (dont l’homme)

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2
Q

Affections importantes car

A

• Atteinte clinique souvent grave chez les animaux touchés
• Affections zoonotiques : transmission possible à l’homme pour la plupart des sérovars :
- Par contact direct avec un animal excréteur (contamination oro- fécale)
-Par ingestion d’aliments d’origine animale contaminés

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3
Q

Importance médicale

A

• Maladie peu fréquente
• Mortalité des animaux fréquente :
- dépend du sérotype

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4
Q

Quel est le sérotype de la salmonelle la plus létale et morbide

A

Typhimurium :
4% de morbidité
23,5% de létalité

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5
Q

Importance sanitaire / santé publique vétérinaire

A

• Agent zoonotique important
• Multi résistance aux antibiotiques de certaines souches : Cas de typhimurium

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6
Q

Agent causal du genre Salmonella

A

• Famille des Enterobacteriaceae (bactérie Gram négative)
• Espèce enterica, sous espèce enterica
• Sérotypes les plus fréquents chez les bovins :
- Salmonella Typhimurium
• Sérotype « ubiquitaire » : adapté à de nombreux hôtes (risque ++ pour l’homme)
• Responsable majoritairement d’entérites
- Salmonella Dublin
• Sérotype « adapté à l’hôte » : retrouvé principalement dans une espèce (le bovin) mais peut être retrouvé chez d’autres espèces (dont l’homme)
• Responsable majoritairement de troubles de la reproduction (avortement et métro-péritonite)

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7
Q

Caractéristique d’intérêt salmonelle

A

• Bactérie Gram - : LPS
• Lipide A : région fortement conservée : Action toxique —> Activité endotoxinique (stimulation de l’inflammation, activation de la cascade du complément et de la coagulation)
• Antigène O : région hypervariable, spécificité antigénique

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8
Q

Facteurs de virulence multiples

A

• Facteurs d’adhésion et d’invasion
• Capacité à survivre dans les macrophages
• Sécrétion de toxines (cytotoxines, entérotoxines)

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9
Q

Résistance salmonelles ?

A

Forte capacité de résistance dans le milieu extérieur : plus la température est basse, plus elles survivent dans les aliments

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10
Q

pathogénie salmonellose

A

1) Ingestion de bactéries
2) Attachement à la bordure en brosse des entérocytes
3) Envahissement de l’épithélium intestinal par internalisation par :
- des entérocytes
- des cellules M des plaques de Peyer
4) Développement d’une inflammation +++ de ces zones :
- lésions épithéliales (zones de petit saignement)
- sécrétion puis accumulation de fibrine dans la lumière
- Réponse inflammatoire conduit à une atteinte des nl

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11
Q

suite à l’attachement et à l’internalisation des bactéries

A

Développement d’une inflammation +++ des régions infectées :
- lésions épithéliales (zones de petit saignement et nécrose)
- sécrétion puis accumulation de fibrine dans la lumière
- réponse inflammatoire conduit à une atteinte des nl (d’abord locaux, puis vers la rate et le foie)
- libération d’endotoxines (LPS) si lyse de la bactérie par les cellules de l’immunité innée
- sépticémie si passage des bactéries dans le compartiment vasculaire (phénomène peu fréquent)

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12
Q

Salmonellose bovine - pathogénie
Particularité des avortements à Salmonella

A

• Surviennent dans le dernier tiers de gestation
• Causes possibles :
- Théorie pyrétique : la fièvre fait avorter
- Théorie hormonale : l’inflammation conduit à la production de PGF2α, conduisant à l’avortement par lyse du corps jaune
- Théorie inflammatoire : l’invasion du placenta conduit à une inflammation de celui-ci, et donc à l’avortement

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13
Q

épidémiologie salmonellose

A

Sérotypes les plus fréquents : Typhimirium et Dublin
L’incidence de la salmonellose a diminué

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14
Q

Qui peut transmettre les bactéries ?

A

Animaux malades : excréteurs
→ Excrétion jusqu’à 10^10 bactéries / g de fèces
→ Excrétion jusqu’à 10^9 bactéries / mL de lait

Animaux porteurs asymptomatiques : portage
•Portage actif (animaux infectés inapparents)
• Portage passif (animaux non infectés) → Excrétion de 10 à 10^7 bactéries / g de fèces
• Latence possible (animal infecté mais n’excrète pas ; excrétion à la faveur d’un stress)

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15
Q

Sources infectantes

A

 Inertes
• Aliments et eau contaminée
• Matériel d’élevage contaminé par un autre animal
• Environnement (forte résistance dans le milieu extérieur

 Vivantes
• Animaux de la même espèce excréteurs
- Animaux malades
- Animaux porteurs asymptomatiques
• Animaux d’autres espèces excréteurs

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16
Q

Mode de contamination

A
  • voie orale +++
  • voie respiratoire
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17
Q

Transmission

A
  • Horizontale
  • Verticale (mère au petit) au moment de la mise bas
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18
Q

Signes cliniques forme septicémique

A

Mort brutale généralement sans signes avant coureurs (= prodromes)

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19
Q

Signes cliniques forme digestive

A

• Signes généraux :
- Douleur abdominale possible
- Déshydratation (veau)
- Syndrome de choc septique et hypovolémique (veau)
• Syndrome fébrile +++ :
- Forte fièvre : 40 à 42°C
- Abattement ++, anorexie («tuphos» chez le veau)
- chute production laitière
• Diarrhée :
- Souvent profuse
- Initialement sans aspect particulier (veau)
- Puis nécrotique ou fibrino-nécrotique (fausses membranes)
- Parfois hémorragique

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20
Q

Signes cliniques chez le jeune

A

Forme respiratoire : surtout chez le veau de boucherie
- Non différentiable des autres causes de BPIE :
• syndrome fébrile
• toux, jetage nasal, modification des mouvements et de l’auscultation respiratoire

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21
Q

signes cliniques chez l’adulte

A

forme génital :
- avortements dans le dernier tiers de gestation
- Métro-péritoine

22
Q

forme sépticémique lésions

A

 Congestion de différents organes
- Foie
- Poumon
- Encéphale
- Etc.
Pétéchies/suffusion
- Muqueuses diverses
- Rate
- Foie

23
Q

formes digestives lésions

A

 Entérite
• Hémorragique
• Ou ulcérations
 Moulages fibrineux
 Nœuds lymphatiques hypertrophiés et réactionnels

24
Q

Diagnostic de suspicion : quand y penser?

A

• Chez le jeune : y penser si apparition d’une entérite
brutale avec atteinte sévère de l’état général

• Chez l’adulte : y penser si
- Apparition d’une entérite aiguë, avec éléments figurés dans les selles
- Avortements après 5 mois de gestation

• En autopsie : y penser si
- Entérite nécrosante
- Ou hypertrophie des nœuds lymphatiques avec aspect succulent à la coupe

25
Salmonellose bovine - diagnostic différentiel
 Chez le veau : diarrhée avec éléments figurés ± douleur abdominale • Autres causes d’entérites néonatales : - Pas d’éléments figurés • Coccidiose (veau âgé de plus de 3 semaines) : - Absence d’hyperthermie • Ulcères de caillette - Si selles modifiées : méléna  Chez le jeune bovin : • Diarrhée aiguë : BVD • Diarrhée avec sang : - Coccidiose (absence d’hyperthermie) - Maladie des muqueuses (ulcérations buccales, nasales, espaces interdigités, ...) • Troubles respiratoires : toute autre cause de BPIE  Chez l’adulte : diarrhée avec éléments figurés ± douleur abdominale • Entérite hémorragique hivernale : - Coliques rares - Atteinte des jeunes vaches - Souvent plusieurs cas sur la même période • BVD – forme diarrhéique • BVD – forme maladie des muqueuses • Syndrome hémorragique jéjunal  Chez l’adulte : avortement (cf. A3) • Autres causes d’avortement - BVD - Néosporose - Fièvre Q - Brucellose - Etc.
26
Diagnostic de laboratoire nécessaire
- Pour confirmation de la salmonellose - Pour identification bactérienne et réalisation d’un antibiogramme
27
Prélèvements
- Animal vivant : fèces, lait, sang frais, écouvillon nasal (forme pulmonaire) - Animal mort : rate, foie, nœuds lymphatiques (mésentériques ou hépatiques), lésions pulmonaires - Avortement : placenta et avorton (foie)
28
Salmonellose bovine - objectifs du traitement
**Traiter l’infection = traitement** étiologique - Antibiothérapie rapide (et longue) - Problématique des résistances **Gérer l’état de l’animal = traitement de soutien** - Contrer les conséquences de la déshydratation - Prendre en charge le choc endotoxinique - Lutter contre la diarrhée et le saignement **Traitement hygiénique** - Séparation physique des autres animaux - Confort maximal
29
Antibiothérapie indispensable, cibles et problématiques
• Cibles : bactéries dans l’intestin et dans les autres organes • Problématiques - Polygastriques : dégradation des antibiotiques donnés par voie orale - Veau : antibiotique réputé efficace par voie orale ne passe pas la barrière intestinale : complément par voie parentérale obligatoire - Problématique de la résistance des salmonelles aux antibiotiques
30
Salmonella Typhimirium sensibilité ?
5 familles d’antibiotiques (amoxycilline, amoxycilline + acide clavulanique, streptomycine, tétracycline , florfénicol, sulfamides)
31
durée minimal antibiothérapie
5 jours et au moins jusqu’à la guérison clinique
32
tableau antibiothérapie
:)
33
traitement de soutien des antibiotiques
 Fluidothérapie : • Objectifs : - Lutter contre la déshydratation, - Lutter contre l’hypovolémie associée et les conséquences hydro-électrolytiques et acido-basiques • Modalités : - Réhydratation intraveineuse (relais oral par la suite) - Choix des solutés selon le degré de ds-hydratation et d’acidose métabolique  Anti-inflammatoires non stéroïdiens • Objectifs : - Lutter contre le choc endotoxinique - Limiter l’inflammation intestinale • Molécules utilisables : - Méloxicam ; acide tolfénamique ; carprofène ; kétoprofène  Autres • Pansements digestifs (argile, pectines) • Molécules antihémorragiques (étamsylate) (réel intérêt ??)
34
Salmonellose bovine - prévention
 Deux leviers : prophylaxie sanitaire et prophylaxie médicale  Prophylaxie sanitaire = mesures pour empêcher l’infection • Cas d’un élevage sain : quasi-impossible d’éviter l’introduction • Cas d’un élevage infecté : - Eviter que les animaux s’infectent à partir d’un animal malade • Détection et traitement précoce des malades • Isolement des malades • Nettoyage/désinfection/vide sanitaire de l’infirmerie - Limiter le portage par des animaux non malades • Dépistage sur les fèces de tous les animaux rendu difficile par les porteurs latents - Eviter que les animaux s’infectent à partir de l’aliment • Source des achats • Epandage : ne pas épandre un fumier ayant eu un apport il y a moins de 3 mois ; épandre sur cultures et non sur pâtures  Prophylaxie médicale = vaccination • Vaccins commerciaux : un unique, inactivé Salmonella Typhimurium et Salmonella Dublin (+ valence Pasteurella multocida) - Induit une bonne réponse anticorps - Induit seulement une faible immunité cellulaire et locale (IgA) → ne permet qu’une diminution de la clinique et de l’excrétion • Autovaccins pour les autres souches - Avec protection croisée partielle au sein de sérogroupes
35
Entérite hémorragique hivernale - généralités et étiologie
maladie d’évolution aiguë, très contagieuse, touchant les bovins jeunes adultes • Affection évoluant sur un mode généralement épizootique • Affection de stabulation, plutôt hivernale - Egalement appelé : dysenterie hivernale (« Winter dysentery ») • Affection surtout économique car - Morbidité élevée → pertes de production - Mortalité faible
36
étiologie
• Etiologie quasi certaine : Coronavirus (BCoV) - Virus enveloppé → survie dans l’environnement faible (favorisée par la matière organique, par les basses températures et la faible intensité des UV) - Souches à l’origine d’entérite néonatale (NCD) et d’EHH (WD) sont indistinctes pour l’instant
37
entérite hémorragique hivernale - pathologie
Non certaine : extrapolation de celle de l’éntérite néonatale à coronavirus - Au niveau de l’intestin grêle et du colon - Destruction entérocytes et cellules cryptâles - Moindre absorption des nutriments - Possible inflammation et transsudation de liquide et de sang
38
Entérite hémorragique hivernale - épidémiologie Affection touchant
• Les élevages bovins laitiers plus que les élevages allaitants • Principalement les jeunes vaches (2 à 6 ans), surtout après le vêlage : - Primipares +++ (immunité se développe bien après infection)
39
Entérite hémorragique hivernale - épidémiologie Affection évoluant
 Affection évoluant : • Avec un caractère épizootique - Morbidité élevée : 80 à 100% - Mortalité faible : 1 à 2% - Evolution souvent explosive au sein d’un troupeau • 10 à 15% des animaux à risque à J1... et parfois 20 à 40% des animaux à risque à J2 !  Sous un modèle saisonnier • Cas rencontrés principalement en fin d’automne/début d’hiver
40
Entérite hémorragique hivernale - épidémiologie Sources infectantes et matière virulentes
• Inertes - Eau de boisson, aliments - Vecteurs : humain (vétérinaire, inséminateur, camions, bâtiment) • Vivantes : animaux excréteurs - Animaux malades - Animaux porteurs asymptomatiques • Matières virulentes - Fèces - Sécrétions nasales
41
Entérite hémorragique hivernale - épidémiologie Facteurs de réceptivité
• Individuels - Stress (vêlage ++) - Troupeau - Taille du troupeau (maladie plus fréquente dans les élevages de plus de 100-150 vaches) • Infection par le BVDV - Stabulation entravée
42
Entérite hémorragique hivernale - épidémiologie Mode de contamination par les coronavirus
- Voie orale - Voie respiratoire (surtout si densité d’animaux élevée)
43
Entérite hémorragique hivernale - signes cliniques Syndrome fébrile précoce
- Hyperthermie précoce (souvent avant diarrhée) - Anorexie, abattement, moindre production
44
Entérite hémorragique hivernale - signes cliniques digestif
• Inrumination • Diarrhée profuse (« explosive »), -Marron clair à foncé ; parfois sang (pas de membranes !!) - Odeur fétide
45
Entérite hémorragique hivernale - signes cliniques Signes généraux
- Déshydratation (conséquence de la diarrhée) - Symptômes respiratoires légers possibles - Anémie (mort possible par anémie)
46
Entérite hémorragique hivernale - pronostic
 Médical : BON • Règle générale : guérison spontanée en quelques jours • Sauf si hémorragie +++ : mort par anémie possible  Economique • Par diminution drastique de la production laitière - Vaches « se coupant en lait » - Niveau de production normal peut ne plus être atteint • Risques de récidive quelques années plus tard (excrétion dans un contexte d’arrivée dans le troupeau d’une forte population d’animaux naïfs)
47
Entérite hémorragique hivernale - lésions
• Macroscopiques : non spécifiques - Lésions ulcératives du colon RAREMENT VISIBLE - Contenu muco-hémorragique du duodénum et du colon - Dilatation de l’intestin grêle ; pétéchies à sa surface - Nœuds lymphatiques mésentériques réactionnels - Pâleur des muqueuses possible • Microscopiques - Nécrose hémorragique des cryptes du colon - Inflammation catarrhale de l’intestin grêle
48
Entérite hémorragique hivernale - diagnostic Diagnostic de suspicion : quand y penser?
• Y penser si - Apparition soudaine d’une entérite aiguë en période hivernale chez plusieurs animaux - Touchant principalement les jeunes vaches - Sans fièvre lors de l’examen des animaux - A la suite du passage d’intervenants en élevage • Souvent diagnostic par exclusion - Utilisation possible des tests antigénémiques ELISA « coronavirus »
49
Entérite hémorragique hivernale - diagnostic différentiel Entérite aiguë sans traces de sang chez l’adulte
• BVD • Acidose ruminale aiguë - Circonstances d’apparition ; signes neurologiques • Diarrhée de mise à l’herbe - Circonstances d’apparition • Parasitisme - Atteinte clinique plus rare chez l’adulte sous forme aiguë
50
Entérite hémorragique hivernale - diagnostic différentiel Entérite aiguë avec sang chez l’adulte
• Maladie des muqueuses - Ulcérations diverses (mufle, bouche, espaces interdigités) ; évolution sur un mode de « flambée » = très rare • Salmonellose • Entérotoxémie - Evolution suraiguë • Syndrome hémorragique intestinal - Evolution sporadique • Paramphistomose larvaire - Apparition en pâturage ; forme rare
51
Entérite hémorragique hivernale - traitement
 Pas de traitement étiologique  En général : guérison spontanée en quelques jours → Mise en œuvre d’une thérapeutique de soutien • Réhydratation pour compenser les pertes - Par voie intraveineuse (perfusion) - Et/ou par voie orale (drenchage) • Prise en charge de l’anémie si muqueuses pâles (ou hématocrite < 12%) - Transfusion (apports facteurs coagulation) • Traitement symptomatique - Pansements digestifs (amélioration de la diarrhée) - Antihémorragiques type étamsylate • Traitement hygiénique - Fourniture d’eau et d’une alimentation appétente
52
Entérite hémorragique hivernale - prévention
 Médicale • Pas de vaccins (et inefficacité des vaccins pour entérite néonatale)  Sanitaire • Limiter l’introduction du pathogène - Limitation de circulation de personnes dans l’élevage - Désinfection des bottes et du matériel des intervenants en élevage • Limiter la contamination une fois des cas présents - Isolement des malades - Désinfection du matériel et des bottes - Renouvellement régulier des litières → Mesures souvent insuffisantes et très difficiles à mettre en œuvre