Fondements Communication Écrite Flashcards

1
Q

Quel niveau de littératie visions-nous à atteindre au début des années 2000?

A

Le niveau 3. L’idée d’un niveau fonctionnel à atteindre a tranquillement disparu, pour ne conserver que le classement en soi.

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2
Q

Vrai ou faux, il y a maintenant plusieurs sortes de litteratie et non une seule.

A

Vrai.

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3
Q

Quelles sont les trois habiletés évaluées par le Programme pour l’évaluation internationale des compétences des adultes (PEICA)?

A

La litteratie, la numeratie et la résolution de problèmes dans des environnements technologiques.

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4
Q

Pourquoi ces trois habiletés sont évaluées?

A

Les personnes doivent être en mesure de comprendre et de traiter l’information textuelle et numérique, sous forme imprimée et électronique, et d’y répondre, pour pouvoir participer pleinement à la société - en tant que citoyens, membres d’une famille, consommateurs ou employés (statistique Canada, 2013)

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5
Q

Combien de niveau de litteratie y a t-il?

A
  1. De 1 à 5 et inférieur à 1, donc 0.
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6
Q

Vrai ou faux, le Canada a un des meilleurs taux de litteratie?

A

Faux, il est dans la moyenne. (Numeratie, inférieur à la moyenne) (résolution problèmes supérieur à la moyenne)

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7
Q

Comment est définit le concept de litteratie?

A

La capacité de comprendre, d’évaluer, d’utiliser et de s’approprier des textes écrits pour participer à la société, réaliser ses objectifs et développer ses connaissances et son potentiel.

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8
Q

Vrai ou faux, 49% de la population canadienne n’atteint pas le niveau 3 de litteratie.

A

Vrai

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9
Q

Au Québec, quel proportion de la population n’atteint pas le niveau 3 en litteratie?

A

34% au niveau 2
15% au niveau 1
4% moins de 1
Total de 53%

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10
Q

Nomme des impacts d’un niveau de litteratie faible

A
  • salaire plus faible
  • risque d’être en mauvaise santé
  • penser avoir peu d’impact sur processus politique
  • faible participation activités associatives.
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11
Q

Quelles activités favorisent le rehaussement des compétences en litteratie?

A
  • lecture
  • écriture
  • calculs
  • utilisation ordinateur/internet
    Bref, s’exposer à des situations d’apprentissage au quotidien.
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12
Q

La litteratie inclut une responsabilité individuelle ou collective?

A

Les deux!

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13
Q

Quel est le risque associé au phénomène de fracture numérique?

A

La création de deux groupes dans notre société: les inforiches (ceux qui ont accès à l’info et peuvent développer la société) et les infopauvres (ceux qui n’ont pas accès à l’information et qui peuvent limités , si ce n’est paralysés)

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14
Q

Pourquoi les adultes ayant de faibles compétences en litteratie sont plus à risque d’exclusion?

A
  1. Ils ne savent pas comment chercher, trouver, traiter, utiliser et communiquer efficacement l’information.
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15
Q

Comment définit-on la littératie en santé?

A

« la capacité de trouver, de comprendre, d’évaluer et de communiquer
l’information de manière à promouvoir, à maintenir et à améliorer sa santé dans divers
milieux au cours de la vie »

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16
Q

Quel pourcentage de la population de 16 ans et plus n’atteint
pas le niveau de compétences souhaitable en littératie en santé pour gérer adéquatement
leur santé,

A

66%, soit le deux tiers. (27% ont des compétences très faibles en littératie en santé.

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17
Q

Nomme des conséquences associées à un faible niveau de littératie en santé.

A

Cela affecte la capacité des personnes à
comprendre et à naviguer à l’intérieur du système de santé, à compléter les formules
souvent complexes, à présenter leur historique de santé aux différents pourvoyeurs de
services, à faire une autogestion de leur santé, notamment lorsqu’elles vivent avec des
maladies chroniques et à comprendre les concepts mathématiques tels que les probabilités
et les risques.

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18
Q

Selon l’Institute of Medicine Committee on Health Literacy, quelles autres habiletés s’ajoutent au compétences habituelles de la littératie pour bien gérer sa santé?

A
  • La littératie orale
  • La numératie
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19
Q

Dans le cadre des usages sociaux de la
littératie, nomme les 4 stratégies mises en place.

A
  1. Sensibilisation des organisations et services
    aux taux réduits de littératie
  2. Évaluation des pratiques au regard de la littératie
  3. Mise en place de mesures universelles
  4. Contribution des parties prenantes
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20
Q

Quelles mesures sont recommandées pour la sensibilisation des organisations et services
aux taux réduits de littératie?

A
  • Présumer des difficultés de
    compréhension pour l’ensemble de la population.
  • Créer un
    environnement où tous les usagers peuvent évoluer, peu importe leur niveau de
    compétence en littératie.
  • Des activités de sensibilisation qui permettent de partager une
    information à jour sur la littératie, ses usages sociaux et ses enjeux au quotidien
    constituent un pas dans la bonne direction
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21
Q

Comment s’assurer de l’évaluation des pratiques de son entreprise au regard des littératies?

A

S’assurer de tenir compte et de reconnaître la culture des personnes desservies: leurs croyances, valeurs, attitudes, traditions, langue, habitudes de vie, etc. Et se poser les 10 questions.

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22
Q

Comment mettre en place des mesures universelles?

A

Concevoir des services qui sont accessibles pour tous sur le plan architectural, de l’information, du logement, du transport, etc., en éliminant les barrières et les obstacles à l’accessibilité.

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23
Q

Nomme des pratiques relatives à ;a pédagogie universelle?

A

1) de représentation du matériel
pédagogique,
2) d’organisation du matériel et d’expression de ce qui a été intégré ou appris, et
3) d’engagement de l’apprenant dans ses apprentissages

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24
Q

Vrai ou faux, le Universal
Design for Instruction (UDI) consiste à développer une approche à être utilisée par les
bibliothécaires afin de favoriser le développement de compétences en littératie.

A

vrai

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25
Q

Pour concevoir du matériel accessible, plusieurs activités doivent être
réalisées, lesquelles?

A
  • Choisir l’information essentielle à retenir
  • Illustrer le texte avec des images, dessins, photos ou pictogrammes signifiants
  • Varier la façon de présenter le matériel
  • Valider le matériel avec le public cible.
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26
Q

En quoi repose la stratégie de la contribution des parties prenantes?

A

C’est croire en la capacité des
personnes. Favoriser la CAPACITATION des citoyens.

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27
Q

En quoi consistait l’expérience de Byrne et son équipe?

A
  • À l’aide de 8 volontaire issus de la communauté universitaire.
  • Ils leur ont demandé de naviguer sur le web comme en temps normal.
  • Ils devaient décrire verbalement ce qu’ils faisaient au cours de la navigation.
  • Des caméras étaient misent en place sur les ordinateurs.
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28
Q

En combinant les fichiers vidéos et les protocoles verbales des volontaires, Byrne et ses collaborateurs ont identifié 6 activités. Lesquelles?

A
  1. L’utilisation de l’information
  2. La localisation de l’information
  3. Aller du point A à B
  4. Fournir des informations
  5. Configurer le navigateur
  6. Réagir à l’environnement
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29
Q

Comment définit-on l’utilisation de l’information?

A

Il s’agit ici de toutes les activités ou séries
d’activités pour lesquelles l’utilisateur va utiliser une information trouvée sur
le web. Ces informations peuvent alors être lues, écoutées, visionnées
(animations, vidéo), télécharger ou encore imprimer.

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30
Q

Comment définit-on la localisation de l’information?

A

Byrne définit ici la recherche visuelle de
l’information ou d’un lien lorsque l’individu pense avoir trouvé quelque chose
« d’intéressant ».

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31
Q

Comment définit-on fournir des informations?

A

Les utilisateurs utilisent le web pour obtenir de l’information mais également pour en envoyer. Il peut s’agir par exemple de compléter un filtre pour sélectionner un objet, compléter des critères de
recherche ou encore remplir un formulaire

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32
Q

Comment définit-on aller d’un point A à B?

A

Toutes activités qui impliquent que l’utilisateur se
dirige vers une autre page. Cela peut se faire, par exemple, via le bouton retour
arrière, taper une adresse URL, accéder à son historique ou ses favoris

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33
Q

Comment définit-on configurer le navigateur?

A

Il s’agit là de toutes les activités permettant de configurer le navigateur (taille et nombre de fenêtres, etc.).

34
Q

Comment définit-on réagir à l’environnement?

A

La plupart des activités sont guidées par
l’utilisateur mais parfois le navigateur exige quelque chose de l’utilisateur. Ces situations ont été considérées comme des tâches « réactives » exigeant un
feedback (valider ou annuler un téléchargement, fermer une pop-up, etc.).

35
Q

Qu’est-ce que concernent les principales critiques de l’étude de Byrne?

A

Son périmètre trop large ne tenant pas compte de la recherche sur un site en particulier, et son échantillon trop petit.

36
Q

Quelles étaient les 4 objectifs principaux de l’étude de Morrison, Pirolli et Card (2001)

A

1- Collecter de l’information
2- Trouver de l’information
3- Explorer le web
4- Monitorer l’information en surveillant le changement sur des pages précises

37
Q

Quels sont les 3 types de recherche observés?

A
  1. Les recherches de navigation où on se destine à retrouver un site web spécifique, cela implique que l’utilisateur ait déjà un site à l’esprit
  2. Les recherches informationnelles centrées sur le but de l’utilisateur qui est
    celui d’obtenir des informations sur sa question. (ouvertes ou fermées)
  3. La recherche ressource qui a pour but d’obtenir autre chose que de l’information et donc d’accéder à une source telle que le téléchargement d’une chanson ou d’un recette par exemple. Requête transactionnelle.
38
Q

Quel pourcentage des recherches pourraient avoir plusieurs intentions?

A

25%

39
Q

Nomme les 6 types de recherche identifiés par Cordova et Jansen (2014) :

A
  1. L’exploration
  2. La recherche pour la navigation
  3. La recherche pour l’acquisition
  4. La recherche orientée
  5. La recherche persistante
  6. La recherche inconsistante
40
Q

Définit l’exploration et la recherche pour la navigation.

A

L’exploration: pas de but précis, effectuer requête large sur le moteur de recherche, puis de multiples requêtes sur le site (par exemple, quand l’utilisateur veut découvrir une musique)
La recherche pour la navigation: requête large sur le moteur de recherche, mais précis sur site (rechercher une musique)

41
Q

Définit la recherche pour l’acquisition et la recherche orientée.

A

La recherche pour l’acquisition: correspond à une recherche précise sur le moteur de recherche et sur le site web (télécharger une musique)
La recherche orienté: l’utilisateur effectue la même recherche sur le moteur de recherche et sur le site, mais précise sa question (recherche d’un article, ensuite de sa biographie)

42
Q

Définit la recherche persistante et la recherche inconsistante.

A

La recherche persistante: l’utilisateur recherche et surveille la même information sur le moteur de recherche et sur le site (information à propos d’un artiste, voir s’il y a des nouveautés)
La recherche inconsistante: requête différente entre celle qui est faite sur le moteur de recherche et le site (rechercher une information sur le rock et ensuite la musique latine)

43
Q

Qu’est-ce qui est à l’origine d’une recherche d’information?

A

Une prise de conscience d’un besoin d’information pour pouvoir réaliser une tâche ou en optimiser la réalisation.

44
Q

Qui sont les premiers à avoir étudié de
manière expérimentale les processus mentaux impliqués en recherche d’information?

A

Guthrie et ses collègues

45
Q

Selon ces auteurs (Guthrie et ses collègues), rechercher des informations passe par cinq étapes
successives, lesquelles?

A
  1. La formation d’un but : construction d’une représentation mentale du but à atteindre.
  2. La sélection d’une source d’information: celle paraissant la plus adaptée pour accéder à l’information recherchée.
  3. L’extraction de l’information: l’individu traite l’information contenue dans le document
  4. L’intégration aux connaissances antérieures des informations pertinentes trouvées dans le dit texte
  5. Le recyclage: évaluation des objectifs et si elle n’est pas satisfaite, l’individu recommence à la première étape jusqu’à ce que le but soit atteint
46
Q

Quel était l’objectif du modèle de Guthrie et ses collègues?

A

À la fois des recherches
d’informations simples mais aussi des recherches plus complexes dans lesquelles le but est complété au fur et à mesure de la recherche.

47
Q

Quelles sont les trois étapes du cycle de traitement de l’informations?

A
  1. La sélection de l’information
  2. Le traitement de l’information sélectionnée
  3. L’évaluation de la pertinence en fonction du but visé par la personne
48
Q

Nomme des jugements de concordance entre les deux représentations?

A
  1. L’information trouvée correspond exactement à la représentation du but
  2. L’information ne correspond que partiellement à la représentation du but
  3. L’information traitée ne correspond pas à la représentation du but
49
Q

À quoi s’intéresse le modèle CoLiDeS?

A

À la manière dont les
pages des sites web peuvent être traitées.

50
Q

Les chercheurs expliquent que toutes les
actions qui peuvent être réalisées par un individu à partir d’une page Web sont sous
l’influence de deux processus : (CoLiDeS)

A
  • Les processus attentionnels: l’utilisateur va partitionner la page en zone
  • Les processus de sélection d’action: l’utilisateur se concentre sur certaines de
    ces zones.
51
Q

Qu’est-ce que vise le modèle SNIF-ACT?

A

Il vise également à prédire les comportements de recherches d’information, et les auteurs précisent qu’il peut s’agir de RI non familières. (basée sur fouille d’information et trace d’information)

52
Q

Pour la recherche assimilée à une « résolution de problème flou » , quelles sont les trois étapes?

A
  1. Représentation mentale du problème à résoudre
  2. Planification en vue d’atteindre l’objectif
  3. Exécution
53
Q

Quels sont les trois grands types de connaissances?

A
  • Des connaissances sur le contenu recherché.
  • Des connaissances dans le domaine de l’information ou « connaissances
    méta-documentaires ».
  • Des connaissances plus spécifiques relatives à l’utilisation du système
    d’information et à son mode opératoire
54
Q

Nomme les trois stratégies de navigation.

A
  • Stratégie « top down »
  • Stratégie « bottom-up »
  • Stratégie « mixte »
55
Q

Vrai ou faux, les principaux résultats ont montré que les
utilisateurs considérés comme experts recherchaient et utilisaient plus le menu de
navigation et ceci d’autant plus si le site web souffrait d’une mauvaise qualité
ergonomique.

A

Vrai

56
Q

Entre une carte hiérarchique, une liste
alphabétique ou une carte conceptuelle, quel système fonctionne le mieux?

A

La carte hiérarchique permettant de favoriser une meilleure compréhension du contenu

57
Q

Quelles sont les trois structures d’informations?

A

Linéaires, hiérarchiques et mixtes.

58
Q

Quelle stratégie de recherche est le plus utilisé les jeunes?

A

Stratégie top down.

59
Q

Vrai ou faux, les filles, comparativement aux garçons, sont plus actifs sur le Web, formulent plus de requêtes et cliquent sur plus de liens hypertextes par minute.

A

Faux, c’est inverse. (gars = non linéaire)

60
Q

Le genre a t-il une influence sur l’utilisation des hyperliens?

A

Non

61
Q

Quels sont les trois niveaux qui composent l’activité de production du texte?

A
  1. Un niveau pré linguistique
  2. Un niveau linguitique
  3. Un niveau moteur
  4. Un nieau métalinguistique et métacognitif
62
Q

En quoi consiste le niveau prélinguistique?

A

C’est le niveau au cours duquel s’opère l’élaboration conceptuelle du contenu du texte, sous la dépendance du contexte et des objectifs
de la tâche. Cette première étape de planification consiste en la sélection et
l’organisation, depuis la mémoire à long terme (MLT) ou l’environnement du rédacteur, des connaissances ou informations pertinentes pour réaliser la tâche

63
Q

En quoi consiste le niveau linguistique?

A

C’est le niveau au cours duquel la formulation permet de générer,
sous forme de texte, le contenu élaboré lors du niveau précédent. Au cours de cette étape, il est nécessaire de linéariser et traduire les propositions sémantiques
sous une forme syntaxique, grammaticale et orthographique correcte

64
Q

En quoi consiste le niveau moteur?

A

Là où a lieu la réalisation physique du texte élaboré, c’est-à dire sa transcription

65
Q

En quoi consiste le niveau metalinguistique et métacognitif de retour sur le texte?

A

C’est l’étape au cours
duquel le rédacteur peut relire son texte, et procéder, si nécessaire, à une vérification de la forme (orthographe lexicale et grammaticale, cohésion, lisibilité de la transcription, etc.) et du fond (sens, cohérence, organisation générale, etc.)

66
Q
A
67
Q

Dans la plupart des modèles cognitifs de production de textes, ces différents
niveaux de traitements sont assurés par quatre composantes, regroupant des
ensembles de processus et d’opérations mentales :

A

1- la planification
2- la formulation
3- la réalisation graphomotrice et la révision

68
Q

Quelles sont les 4 caractéristiques fondamentales qui marqueraient, selon Fayol, la spécificité du language écrit:

A
  1. La dimension graphique
  2. La dimension orthographique (lexicale et grammaticale)
  3. La dimension textuelle
  4. La dimension pragmatique et communicationnelle
69
Q

Selon Scardamalia et Bereiter (1991), l’expertise rédactionnelle s’appuie sur quelles deux choses?

A

Un dialecte entre le contenu à formuler et la forme linguistique adoptée pour l’exprimer.

70
Q

Selon Chanquoy et Alamargot (2002), deux possibilités
complémentaires s’offrent au rédacteur pour augmenter la part de ressources
cognitives qu’il peut attribuer aux processus rédactionnels, lesquelles

A
  1. Réduire le cout inhérent à certains processus en les automatisant, notamment grâce à la pratique
  2. établir des stratégies de traitement pour contourner ces limitations capacitaires.
71
Q

Vrai ou faux, à 14 ans, les enfants ne consacreraient que 10% du temps de composition à la planification, qui se limiterait à ce qu’il faut écrire ensuite

A

Vrai

72
Q

Bereiter et Scardamalia ont
élaboré, grâce à la méthode des protocoles verbaux utilisée chez des adultes et des
enfants de 4ème, 6ème et 8ème grades, un modèle de la production écrite, présentant
deux types de stratégies de production:

A
  1. L’une, nommée stratégie des connaissances rapportées (Knowledge Telling
    Strategy),
    2- L’autre stratégie, plus experte, est appelée stratégie des connaissances
    transformées (Knowledge Transforming Strategy
73
Q

En quoi consiste la Knowledge Telling Strategy?

A
  1. composer texte au fur et à mesure qu’on a es idées récupérées depuis la MLT. Pas organisé. Cycles répétitifs. Revient à utiliser habiletés conversationnelles.
74
Q

En quoi consiste le Knowledge Transforming stratefy?

A

Élaboration d’une structure plus précise

75
Q

Nomme des améliorations qu’un professionnel de l’écriture peut amener au texte.

A

Creating, rewording, or refining messages; setting the style and tone appropriate to the audience; suggesting that content be added or subtracted; and help
ing to determine the form and format of a communications product that would best
suit client and audience needs.

76
Q

Whats a professional writer?

A

Is someone for whom writing is his
or her discipline and who, in addition, earns money from writing assignments, i.e., he
or she does not fall within the category of amateur.

77
Q

Quelles sont les « five areas of context
specific knowledge » ?

A

Discourse community knowledge, subject matter knowledge, genre
knowledge, rhetorical knowledge, and task-specific procedural knowledge

78
Q

Vrai ou faux: La maîtrise des aspects textuels (par exemple : genre, langue, etc.) est insuffisante.

A

Vrai

79
Q

En plus de maitriser les aspects textuels, que faut-il maitriser?

A

Connaissance de la culture, du contexte, des usages locaux et des motivations sociales
relatives aux communications écrites dans une communauté discursive.

80
Q
A